J'ai eu un fin filet de bave qui dégoulinait par le trou que je me suis fais à ma lèvre inférieur en me rasant il y a quelques jours quand j'ai lu le passage du conte sur mon perso. Avec patience, j'attendrai la prochaine suite, jeune padawan.
c'est magnifique ! j'adore ni trop long ni trop court
tu me plonge dans l'histoire !
c'est la ic que je retiens le mieux avec celle de goul !
continues ! et à la swit !
Merci tt le je fais de mon mieux
La sweet ce week peut-être
et sweet dans le courant de lasemaine prochaine
Sweet maintenant, je me rappelle déjà même plus de ce qu'il c'est passé la dernière fois tellement il y a peu de sweets
lol Sergent j'ai une vie privée en dehors de la fic, et pourtant je fais aussi vite que je peux dès que j'ai du temps libre ...
Dis toi que je connais des fics ou la sweet est toutes les deus semaines, moi je fais toutes les semaines donc mrde et voila ^^
sweet ce soir remerciez Sergent ^^ ça aurait dû être plus tard
Voici la sweet
[ Les démons.
Nul ne sait quand ils sont apparus. Certains disent qu'à l'aube du 21ème siècle, la Grande Guerre atomique aurait plongé notre monde dans l'obscurité totale durant cent jours, les nuages radioactifs nous cachant à la lumière bienfaisante du soleil, et que c'est durant ces Cents Nuits qu'ils seraient apparus. D'autres prétendent qu'ils ont toujours été là, attendant leur heure. Mais nous savons une chose.
Ils sont arrivés les premiers.
Nous sommes le 12 juin 2947. Neuf-cent trente-cinq années plus tôt, à la suite d'une lutte des pouvoirs entre les U.S.A et l'Europe pour le contrôle des ressources africaines, la guerre atomique a embrasé le monde. Nul ne sait ce qui a provoqué un déchaînement aussi violent de l'Humanité. Il ne reste aujourd'hui plus que quelques fous prétendant que tout cela à commençé à cause d'expériences illégales, fous qui disaient dire ces informations d'un quelconque membre de leur arbre généalogique.
Mais quelque chose a mal tourné. Les explosions répétées de ces armes de destruction massives ont déclenché une réaction non prévue de la Terre, comme si elle cherchait à se défendre. Les paysages ont été modifiés, la majeure partie de notre technologie de pointe a été annihilée, et notre mond autrefois civilisé a sombré dans le chaos le plus total.
D'une certaine façon, l'arrivée des démons anciens et autres monstruosités nous a sauvé. Cela a forçé l'Humanité à faire front commun, à s'unir devant cette nouvelle menace. Des cités ont été rebâties, d'anciennes armes ont été déterrées. Aujourd'hui, certains d'entre nous se prendraient même à espérer que notre monde redevienne celui des histoires contées par nos grands-parents.
Mais je connais la vérité. La vraie. Je sais ce qui va se passer. Je sais comment tout cela va se finir. C'est tellement évident.
Nous sommes condamnés.]
Inconnu
J'ai souvent repensé à ce jour au cours des évènements qui suivirent. Ce fameux jour au cours duquel tout bascula. Le jour ou ma vie entière changea, le jour ou tous mes repères, toutes mes convictions auquelles je m'étais si ardemment accroché depuis l'enfance avaient été balayés d'un simple revers de la main.
Le jour ou je devins amlach.
Les hommes qui m'avaient "capturé", à défaut d'un meilleur terme, étaient bien des amlachs. Je n'avais appris leur nom que bien plus tard, et ce par un pur hasard, tandis que je m'égarais une fois de plus dans les méandres de mon esprit. Le carreau qui m'avait touché était enduit d'un poison rare. Il tuait les êtres humains. Mais pour un amlach, il n'avait pour seul effet que de nous plonger dans un état catalytique proche de la mort. Seulement pout quelques heures.
J'avais donc entendu les noms de mes agresseurs alors que je m'éveillai pour une enième fois. Sachant que j'allais bientôt replonger dans l'inconscience, j'avais tâché de me concentrer autant que faire se peut sur leur conversation afin d'en apprendre plus sur ce qui m'arrivait. Parmi des mots n'ayant aucune signification pour moi, tels que << Elu >> ou encore << Paradis Eternel >>, trois mots avaient retenu toute mon attention. D'abord, j'avais appris que l'homme qui me portait désormais sur son dos se prénommait Emmett. L'autre, qui m'avait parlé alors que je glissai doucement vers le sommeil, s'appellait Venelag. Mais ce fut surtout le troisième mot qui m'intéressa. Je ne l'entendis qu'une seule fois, mais jamais plus je ne l'oublia à partir de cet instant.
<< Nemesis. >>
Il se passa ce qui me sembla être une éternité avant que mon porteur ne se décide à me déposer à terre. Je tentais alors de le questionner sur l'endroit ou nous nous trouvions, ou au moins d'ouvrir les yeux. L'une comme l'autre de ces tentatives me causa une abominable migraine et eut pour effet immédiat de m'assommer. A cet instant précis, j'avais la même impression que si une meute de vampires était en train de me déchirer la cervelle à l'aide de leurs griffes pour en boire la substance. La seule différence était que je ne sentais ni leur haleine putride, ni leur abominable soif de sang que n'importe quel être était capable de ressentir.
Je sombrais de nouveau dans l'inconscience.
Lorsque j'ouvris les paupières, la nuit avait déjà recouvert cette surface du monde. Cette fois-çi, je me préparai à la souffrance qui allait fatalement refaire surface. En vain. Apparemment, les effets du produit s'étaient enfin estompés. J'en profitai pour jeter un oeil à l'endroit ou je me trouvais. Une chambre. Sombre, et humide, à en juger de la moiteur de mes draps. La seule source de lumière provenait de la lune dont les rayons filtraient à travers une petite fenêtre située sur ma gauche. D'après la hauteur à laquelle se trouvait la pièce, nous étions au second étage. Cette dernière était trop sombre pour que je puisse distinguer d'autres détails.
<< Déjà réveillé? >>
Je sursautai. La voix provenait de quelque part sur ma droite. L'inconnu se trouvait dans le coin le plus obscur, sans doute là ou devait être la porte. Je jetai un oeil dans sa direction.
<< Alors tu ne me vois vraiment pas? Etrange ... >>
Je plissai les yeux. A force de concentration, je parvenai petit à petit à m'habituer à l'absence de luminosité. Je pouvais désormais deviner la présence d'un lavabo en face de moi. Juste à côté, une forme rectangulaire indiquait la présence d'une armoire à double portes. Enfin, l'homme. Je pouvais à présent voir qu'il était assis sur une chaise, dans le coin droit. Une porte se trouvait effectivement juste à côté de lui. Son corps se mélangeait au l'obscurité, rendant impossible toute distinction entre lui et le reste. Si je parvenais à le distinguer, c'était grâce à un seul détail.
Ses yeux.
Leur blancheur brillait dans les Ténèbres comme si ils étaient luminescents. Ils m'observaient. J'éprouvais un malaise singulier devant cela. Comme si je m'appretais à jouer une scène de théâtre devant un millier de personnes, et que j'oubliais soudainement tout. Je savais que l'inconnu attendait quelque chose de moi. Quelque chose de très important, de vital même. Mais j'ignorais de quoi il s'agissait.
<< Ou suis-je? >>
Ce fut la première chose qui me passa par la tête. Non, disons plutôt que c'était la seule question dont la réponse m'importait pour le moment. Pourtant j'en avais une foule d'autres en réserve. Mais je refusais d'y penser, craignant que les réponses que l'inconnu me donnerait, car il m'en donnerait, j'en étais persuadé, ne changent ma vie à tout jamais. J'espérais encore que je puisse retourner en arrière. Irina, Vansolgh, Retham et Lostlanfa. Peut-être, si ma détermination était assez forte, pourrais-je les ramener? Peut-être oublierais-je le visage horrifié de l'homme dont l'âme était à présent mienne. Je n'en éprouvais nul regret, mais je me dégoûtais. J'étais à présent devenu tout ce que je haïssais le plus. Ainsi, je priais pour que tout cela ne soit qu'un horrible cauchemar. Mais, au fond de moi, je savais qu'il n'en était rien.
<< Ah! Une question prévisible. Et, tu as de la chance, je peux y répondre. Tu te trouves au Manoir des Vindels. Dans une des quarante chambres d'amis, pour être exacte.
- Je ... Cela ne répond pas vraiment à ma question.
- Non. Effectivement. Mais, je suis navré, c'est tout ce que tu auras pour l'instant. Il est encore trop tôt pour t'en révéler davantage.
- Je vois. Et puis-je au moins connaître votre nom?
- Evidemment. Je me nomme Venelag. C'est moi que tu as vu avant qu'Emmett ne t'endorme. A ce propos, navré que nous ayons dû en arriver là. Tu étais déboussolé et dangereux. Nous n'avions pas d'autre choix. >>
Je sentais la colère me gagner. Cet homme, non, cette chose refusait de me dire ou je me trouvais. Elle m'avait enlevé et, par dessus tout, elle conservait son sourire hypocrite alors que j'étais totalement perdu. Pourtant, je retins les propos acérés qui me tenaillaient et me déchiraient la gorge. Inutile de l'énerver. Mes forces n'étaient pas encore revenues, et j'étais bien placé pour connaître la force des amlachs. Autant se montrer le plus courtois possible, et tâcher d'en apprendre autant que faire se peut.
Venelag se leva et s'approcha de mon lit. Je pus enfin observer mon ravisseur de près. Ses yeux étaient bel et bien blancs, mais il y avait quelque chose d'inquiétant dans son regard. Une sorte de lueur malsaine, comme des fils entremêlés qui se promenaient dans ses orbites. Il sourit, laissant découvrir une impeccable rangée de dents presque aussi blanches que ses globes occulaires. Son apparence laissait penser que c'était un homme d'une soixantaine d'années, bien qu'il n'en ait sans doute bien plus. De profondes rides avaient creusées ses joues et son front, accentuant ses fossettes et mettant en valeur son regard perçant. Ses chevaux étaient coupés courts, de couleur gris/blanc, et il portait un par-dessus élégant, de couleur beige avec des rayures noires et discrètes. J'aurais mis ma main au feu que ses chaussures étaient en cuir noir véritable. Si je l'avais croisé dans la rue, outre ses yeux, je l'aurais sans doute pris pour un homme d'affaire. Bien qu'il n'en existe désormais plus beaucoup.
Venelag sourit encore. Il m'observait intensément.
<< Que m'est-il arrivé? >>
<< Ah! Une autre question. Je m'en réjouis. Néanmoins celle-çi est obsolète, dans la mesure ou elle est mal formulée.
- Je ne comprends rien à ce que vous dites!
- Alors je ne peux pas t'aider. >>
Je réfléchis. L'amlach aimait bien jouer aux devinettes apparemment. Je cherchais la " bonne question" qu'il attendait. Soudain, l'évidence me sauta aux yeux.
<< Qui suis-je?
- Voila, Selth Sityhs. Voilà la bonne question. Qui vous êtes? Un espoir, un avenir. Le représentant d'un monde meilleur. Le sauveur des espèces. Voici ce que vous êtes.
- Je vous en prie. Je suis éreinté. Je me retrouve dans une demeure qui m'est inconnue, dont j'ignore la position. Mes camarades ont été assassinés sous mes yeux. Je me transforme en une abomination, alors que c'était impossible. Et pour couronner le tout, une de ces horreurs me lance des devinettes sans queue ni tête! >>
J'attendis le châtiment. J'étais allé trop loin, je le savais. J'allais mourir ici, seul, sans rien comprendre à ce qui m'était arrivé. Peut-être était-ce le mieux. Peut-être ne voulais-je pas connaître la vérité. Juste me reposer.
Je fermais les yeux.
Le rire cristallin de Venelag me força à les rouvrir. Il riait! J'allais mourir, et il se moquait de moi! J'allais l'insulter copieusement, le sort qu'il m'avait réservé ne pourrait de toute façon pas être pire, quand il reprit la parole, à ma grande stupéfaction.
<< Vous avez raison. L'heure n'est pas à la devinette. Je vais donc vous répondre, bien que cela ne me soit interdit. J'apprécierai que vous ne vous énerviez pas. Vos pouvoirs sont immenses, mais vous ne les contrôlez pas. Pas encore. Il serait regrettable que le manoir ne soit endommagé, ne croyez-vous pas? >>
Je m'approchai de lui. Nos visages se touchaient désormais pratiquement. Je sentais son souffle rapide se frotter sur mon visage moite. Finalement, les draps n'étaient pas humides. C'était moi qui transpirait. Son sourire s'élargit encore un peu. Visiblement, ce qu'il allait me révéler le surexcitait. Et moi aussi.
<< Qui vous êtes, Selth Sityhs? Vous êt... >>
Une énorme explosion secoua tout le manoir. L'armoire s'écrasa sur le sol avec grand fracas. J'entendais à présent des tirs de mitrailleuses et de pistolets à plasma venant de l'extérieur. Quelqu'un hurlait des ordres à l'intérieur du manoir. C'était la panique. Quel que soit l'agresseur, il avait pris les amlachs totalement par surprise. Venelag jeta un regard agacé sur la fenêtre. Il soupira.
Ses yeux devinrent soudain paniqués tandis que quelque chose traversait ma fenêtre. Un homme. Ce fut à mon tour de paniquer. Qui que ce soit, il ne portait pas les amlachs dans son coeur. Et le fait que je me trouve dans un de leur lit, avec des yeux de la même couleur que les leurs ne m'aiderait pas à lui prouver que je n'étais pas des leurs. Le nouveau venu se releva. Un chasseur. Très expérimenté, d'après ses mouvements fluides. Il ne possédait aucune arme. Il avait dû les laisser à l'extérieur. Je ne parvenais pas à distinguer son armure. Un nuage nous masquait la lueur de la lune.
Vénélag se précipita sur le chasseur. Je n'eut même pas le temps de l'avertir. Il s'accroupit et attendit. Tout se passa extrêmement vite. L'amlach se jeta avec toute se force et sa fureur sur son adversaire. Le chasseur esquiva le crochet qui aurait dû lui briser les machoires. Il dirigea son bras droit vers la gorge de Venelag, mais celui-çi la stoppa d'un revers de la main avant qu'elle n'atteigne son but.
Le sang jaillit.
Chaud, savoureux. Un sang noir qui s'échappait par saccades. Je levai les yeux vers les deux ennemis. Le chasseur avait une lame cachée sous l'avant bras droit. Elle avait perçé la gorge de l'amlach.
Le chasseur sourit, puis, sans plus de cérémonie, il projetta son adversaire contre ce qu'il restait de la vitre, l'envoyant promener au dehors. Je lui jettais un regard reconnaissant. J'étais sauvé.
<< Mon Dieu! Heureusement que vous êtes arrivés! J'ignore ce qui se passe, mais ... >>
Je me tus soudainement. Le chasseur avait tourné la tête dans ma direction. Un instant, son visage avait été éclairé par une explosion, quelque part au dehors. J'étouffais un cri de stupeur. Je tentais de m'enfuir. Il m'aggrippa alors, et me projeta contre le mur, brisant de ce fait le lavabo en trois. Je l'observai, à demi-assommé. Il avança dans ma direction, et s'accroupis. Il souriait. Je le regardais droit dans les yeux, ne parvenant pas à y croire.
Ses yeux.
Des yeux pourpres.
Argh faut que je me calme je n'avais pas vu que c'était aussi long désolay
Oh boi, ça commence à devenir très intéressante cette suite avec l'apparition des nouveaux persos.
^^et sinon tu as aimé GrandeCrinière
Bien sûr que j'ai aimé, d'où mon commentaire ci-dessus.
okk thx
Une petite sweet pour faire patienter ?
yououh !!! c'est mon perso !!
encore une super suite, j'adore l'ambiance de la fic, je pense que c'est celle que je préfère !
continues !
Je poste ue petite sweet ce soir en attendant la prochaine ( qui n'arrivera que lundi prochain minimum )
**
Une porte.
Enfin! Cela faisait des heures que je rampais dans ce tunnel sombre, humide et froid. Centimètre après centimètres, écorchures après écorchures, douleur après douleur. Je me souviens un jour avoir dit que je me noyais dans un océan de douleur. Je me rendais désormais compte que j'étais bien loin de cela. L'incantation n'avait pas eu pour seul effet de m'épuiser. J'avais également eu l'impression de mourir.
Encore une fois.
Je rouvris les yeux. Je ne m'étais même pas aperçu qu'ils s'étaient fermés. La douleur semblait s'accentuer à mesure que l'eau répandue en grandes flaques sur le sol pénétrait ma chair, et que mon sang s'échappait par mes multiples plaies pour aller se mélanger aux gravillons et au sol humide. Je pouvais ressentir chacun de ces minuscules cailloux s'enfoncer dans mes blessures alors que je répétai inlassablement les mêmes mouvements.
Respirer. Bras droit, jambe droite. Puis les deux autres. Douleur. Encore une fois. La porte n'était plus qu'à une dizaine de mètres sur ma gauche. La lumière se coupa soudain. Le générateur avait dû rendre l'âme. Neuf mètres. Encore un effort. Mes os, cassés ou broyés, semblaient prendre un malin plaisir à me rappeler que je n'avais aucune chance de m'en sortir. On eut dit que quelqu'un s'était acharné à frapper chacun d'entre eux jusqu'à les transformer en poussière, avant de recoller le tout maladroitement, oubliant au passage l'emplacement que certains occupaient. Pourtant, je continuai. Je n'avais pas le choix. Je devais survivre. Pour LE tuer.
Un mètre.
Elle se dressait devant moi, tel un gardien dont la tâche était de ne laisser passer personne. Il était mon ennemi. Je devais à tout pris franchir cet obstacle. Peu importe ce qui arriverait. Je levai mon bras, dans une misérable tentative pour atteindre la poignée. Après quelques instants, il retomba mollement sur le sol. La clenche semblait me fixer de manière sadique. J'étais pitoyable, et elle le savait.
Pitoyable.
Je dois reconnaître que j'ai peine à me rappeler de ce qui suivit. Mes souvenirs deviennent alors flous et confus. Des flashs, des sons qui reviennent à la surface pour ressombrer aussitôt dans les abîmes de mon subconscient.
Je me rappelle d'un tremblement, sec et brutal. Assez puissant pour faire se détacher d'énormes blocs de pierre du haut du tunnel. Une explosion, sans doute. je ne dois qu'à la chance que l'un d'entre eux ne m'ai pas écrasé. La porte 'en eut pas autant. J'entendis un grand fracas tandis que les gonds de métal cédaient. Elle tomba juste devant moi.
Je me déplaçais afin de mieux voir. Un escalier. Dont certaines dalles étaient brisées. Un escalier qui menait au rez-de-chaussée du manoir. Et à Emmett.
Un large sourire s'étira sur son visage tandis qu'il me contemplait de ses yeux noirs. Il se mit en position d'attaque. C'est à cet instant que je compris enfin une très vieille expression, que j'avais lu un jour dans un livre d'Histoire.
J'allais de Charybde en Scylla.