Merci
Jsp avoir plus d'avis, si ça plaît pas à d'autres je continuerai pas, j'écris pour le plaisir d'être lu
Il faut pas en demander trop tout de suite. Tout le monde sur le 15-18 ne lit pas les fic (Dont le nombre imposant de gens qui ont peur de lire des pavés ) et certains attendent que les fic aient atteint un certain nombre de pages attestant de leur popularité avant de lire.
D'autres encore attendent plus de suites pour voir si une fic vaut le coup d'être lue.
Le but n'est pas forcément d'avoir beaucoup de lecteurs mais d'en avoir des réguliers.
...
mdr ne t'en fais pas Allel comme je l'ai dis je poste juste pour le plaisir d'être lu, pag grave si vs êtes pas nombreux car j'ai quand même des lecteuuuurs
Suite terminée, je la poste ce soir vers 18h00, je suis inspiré en ce moment
oh non ya la bande de contamination
Comment ça soap
Nemesis comme dans RE ? + jay pas lu
Salut Goliath c'est quoi RE
Tiens pk le topic se remet pas dans les premières pages quand on up
Ah rien dis ^^
Bon je poste la sweet mnt psk apres je ps sans doute de l'ordi
Jsp que ça plaira, j'ai enfin réussi a dire tt ce que je voulais donc ca bougera sérieusement à partir du prochain
Ah et je vais ralentir le rythme, du toute façon devoirs obligent
Bonne lecture!
[Longtemps nous avons commis l'erreur de songer qu'il n'existait que deux sortes d"état: la vie et la mort. La vie est le commencement de toute chose, une chance de penser et de voir par nous-même, de nous épanouir, de grandir dans ce monde si beau et libre. La mort est le désespoir de tout être vivant, la fin d'une existence magnifique, magique, et la descente, brève mais douloureuse, vers l'oubli dont nous sommes tous issus. C'est ainsi que nous pensions jadis. Le monde était beau et pur, et la mort n'était que souffrances et damnation éternelle. Pas d'échappatoire, aucune issue. Il n'y avait que cela, le bonheur laissant rapidement, trop rapidement place au malheur le plus total. Tous les êtres humains pensaient ainsi, moi compris.
Quels imbéciles]
Source inconnue
Je me rappelle comment tout cela a commencé, il y a deux ans. Comment j'en suis arrivé à ma situation actuelle. Comment j'ai contribué à ce que l'on a nommé avec arrogance la "fin du monde" pendant si longtemps. Mais nous nous trompions. Ce n'était pas le terminus, la mort pour toutes les espèces, ainsi que celle de notre terre que nous semblions chérir tant.
Seulement la nôtre.
Je connais les histoires. Le héros naît dans un monde tout en blanc, le mal débarque et change sa vie à jamais. Ensuite il décide de se venger, sera souvent confronté à la tentation sans jamais y céder, et bannira finalement la noirçeur pour toujours, nous permettant de vivre dans la paix et la sérénité jusqu'à la fin des temps.
Ce n'est pas mon cas.
Je ne suis pas un héros. J'ai très souvent fait face à la tentation, si imposante, si alléchante, ce désir qui nous consumme de l'intérieur, qui nous promet tant de choses, mais qui n'est cependant qu'illusion. Tout héros est censé lui résister. J'y ai cédé à chaque fois. Je m'en suis délecté, absorbant chacune de ses plus infimes parcelles, me gorgeant de ce pouvoir infini qui m'était offert, en souhaitant toujours plus.
Je ne suis pas né dans un monde pur, ou le noir et le blanc constituent deux barrières infranchissables, deux caps insolubles. Dans les histoires, il y avait les héros, le Mal, et l'espèce humaine qu'il fallait à tout protéger. La d'ou je viens, tout ceçi n'existe pas. Bien, Mal, ce ne sont que des dérivés du même mot. Le désir. Tout n'est qu'une question de point de vue. Certains font le mal, mais seulement pour survivre, ou par souçis de faire le bien derrière. C'est la même chose pour tous les camps. Et l'éspèce humaine... Ah! Faibles, insignifiants, la plupart d'entre nous avait choisi de se terrer au fond de nos grandes cités si imposantes, vivant leur vie et refusant la réalité. D'autres, bien que relativement peu nombreux, ont choisi de combattre. Ils ont apprit les faiblesses de leurs ennemis, nos ennemis, et sont devenus des êtres redoutables, ayant développé des capacités incroyables, redoutés de tous. On les surnommait les chasseurs.
J'étais de ceux-la.
Jamais je n'ai essayé de comprendre le point de vue des autres camps. J'étais humain, ma considération n'allait pas plus loin. Ces êtres surnaturels étaient les proies, j'étais le chasseur. C'était ma vie. Et je pense que je l'appréciais, à ma façon.
J'ai toujours envié l'enfance de mes héros. Simple, magique. Jusqu'à ce que tout bascule, que leur vie devienne un calvaire. Encore un gouffre infranchissable qui me sépare de ces êtres mystiques. Car, aussi loin que je m'en souvienne, je n'ai jamais été heureux. Du moins, pas totalement. Je suis né au beau milieu d'une guerre. longue de plusieurs millénaires. Mais elle n'opposait pas deux camps, mais une multitude. Démons, vampires, amlachs. Et les êtres humains, censés s'en sortir au milieu de tout cela.
Quelle bonne blague. De tous les êtres, nous étions les plus faibles, les plus insignifiants. Et pourtant, nous avons survécut. Pourquoi? Trois raisons, d'une logique enfantine. La première étant que nous étions bien plus nombreux que toutes ces choses réunies. La deuxième étant les chasseurs, devenus représentants et protecteurs officiels de notre race. Je pense sincèrement que la troisième est la plus comique. Car, aussi puissants étaient nos ennemis, ils avaient tous le même défaut, la même faille, simple et cruelle. Nous.
Leur nourriture.
Mon grand-père a souvent tenté de me raconter l'histoire ne notre peuple. Il me répétait inlassablement, soir apres soir, comment il la tenait de son père, qui l'a tenait lui-même de son grand-père, qui la tenait de son arrière grand-père. Jamais je n'y ai prêté attention. Je crois qu'il était question d'une prophétie, d'un libérateur et de son ennemi mortel, sa némésis. Cela m'importait peu. Ces monstres avaient détruit mon monde, mon seul objectif était de faire de même avec le leur, C'était mon but ultime, l'histoire de ma vie. Emmener le plus possible d'entre eux en enfer avec moi. Beaucoup pensaient que je faisais cela afin d'améliorer la vie des enfants encore trop jeunes pour se battre. Sauver quelqu'uns d'entre nous.
Idiots.
Je me moquais de ces êtres, trop faibles ou lâches pour prendre eux-mêmes les armes. Je haïssais ces hommes et ces femmes, trop pleutres pour partir au combat, préférant confier leurs vies à de parfaits inconnus. Si cela ne m'avait pas été interdit, je les aurais volontiers tué moi-même. Pour moi, une seule chose comptait vraiment. La vengeance.
Tout se passa trop vite. Nous rentrions d'une chasse, mes collègues et moi. Quelque chose avait apparemment dévoré une demi-douzaine de moutons d'un pauvre berger solitaire. Un imbécile refusant de se battre, mais n'allant pas se réfugier pour autant derrière les grandes murailles de nos imposantes cités, seules protections à peu près efficaces contre ces cauchemards ambulants. Je m'étais d'ailleurs étonné qu'il existe encore quelqu'un pour nous témoigner de la scène. Sans doute le prédateur était-il en trop mauvais état pour oser s'attaquer à un être humain. Je ne me souviens pas de son apparence. Ces détails appartiennent à une autre vie, et se retirent petit à petit pour ne laisser qu'un vide, sombre et glacial, dans ma mémoire.
Mais je me souviens du vent. Des caresses de l'herbe sur mes pieds. De la fraîcheur de cette brise d'été. De la beauté de ce paysage, de cette magnifique campagne, qui avait eu la chance de n'avoir pas été brûlée, tout comme le petit village dont était issu l'infortuné, ainsi qu'une trentaine d'autres personnes. Je me souviens de cette vaste forêt qui nous entourait de toute part, laissant tout juste deviner un petit sentier à sa base qui semblait vouloir nous emmener tout droit en plein coeur de ce lieu paradisiaque. Et je me souviens d'elle, allongée au milieu des pissenlits, au haut de cette colline. Si belle. Son magnifique visage disparaissait sous une multitude de tâches de rousseur et sous une cascade de cheveux d'un rouge brillant. Elle portait une simple robe vert, déchirée au-dessus des genoux afin de pouvoir se mouvoir avec plus de facilité. Son parfum sentait la lavande. Elle avait posé sa lame et son arbalète à ses côtés, afin de me laisser l'embrasser sans gêne. J'avais fait de même, idiot comme je l'étais.
Je crois que je l'aimais. Elle était magnifique, intelligente, et surtout, c'était une châsseresse. Puissante et rapide. La traque avait été écourtée. La pluie avait effacé les traces, et de toute façon, la créature avait dû déguerpir depuis un bon moment. Les autres nous avaient laissés seuls, afin que nous puissions profiter pleinement de ces rares instants de répit et d'intimité. Tout était parfait.
Je revois la scène avec une quantité incroyable de détails. Le goût, tendre et mielleux, de ses lèvres chaudes et pulpeuses. Ses petits gloussements tandis que ma main se glissait dans ses cheveux. Et ce son. Infîme, à peine perceptible. Mais suffisant pour que je m'arrête un instant et me retourne. J'étais persuadé que ce n'était rien, mais quelque chose me poussait à vérifier. Juste un instant, et je replongerai dans cet océan de caresses et de douceur. Je me retournai.
Il était là. Grand, tout vêtu de noir, sa peau, lisse et brillante, contrastait avec les faibles rayons du soleil couchant. Et ses yeux. Ses grands yeux, d'un noir intense. Un amlach. Je n'eûs même pas le temps d'esquisser le moindre geste. Ma compagne n'avait encore rien remarqué. Je cherchai des yeux mes armes. Disparues, évidemment. Mes camarades étaient trop loins pour venir se porter à notre secours, et de toute façon, le vent couvrirait mes appels désespérés. Nous étions à sa merci.
Avec une rapidité stupéfiante, il s'approcha de moi et m'écarta brutalement de ce trésor de beauté, m'envoyant valdinguer quelques mètres plus loins. Avant que je ne touche le sol, tout était fini. Cela avait été rapide. Il lui avait fracturé la nuque, doucement, sans un bruit. Elle n'avait pas souffert, n'avait rien comprit à ce qui se passait. Puis l'amlach me rattrapa, écourtant de ce fait la chute qui m'aurait sans doute valu quelques côtes cassées. Il m'observait, ses yeux brillants de convoitise. Je ne pouvais rien faire. J'essayai de bouger. En réponse, il me broya le bras droit. Je hurlais. Puis, après un ultime regard, il approcha sa bouche de la mienne. Elles étaient quasiment en contact. J'entendis l'horrible bruit, venant du fond de sa gorge, tandis qu'il aspirait mon âme. Je jetai un dernier oeil au corps de mon amie, étendue à une dizaine de mètres de la. Je fermais les yeux.
Irina. Elle s'appelait Irina.
Ah et désolay pr les fautes j'ai pas relu
J'aime bien, mais évite d'écrire en abrégé quand tu postes sur le topic, y'a rien de plus chiant ça fait pas "sérieux"
Perso je pense qu'il faudrait d'autres suites car tu ne peux pas espérer fidéliser ton public en 3 suites ...
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Didn't you know horror ? You're going to !
Création. Exposition. Contamination
http://contamination.c.la/ Sur ce lien tu cliqueras
Woops désolé Hapo une sale habitude acquise au fil des ans je ne m'en étais même pas rendu compte ^^
On t'as pas déjà vu sur le conta' toi ?
Sergeeeent
Il se souvient de moi!!
Au début je croyais que ça allait me faire chier, mais finalement j'aime bien, enfin faudrait pas que les armes soient trop vieilles non plus ^^
Un bon vieux M9 planqué sous la cuisse, et paf dans saggle au gros méchant bouffeur d'âme
j'adore ! l'ambiance je suis pongé dans l'histoire, absorbé !
xd meci a vous deux! Et Sergent pour les armes ne t'inquiete pas, au début j'hésitai entre moyen-âge et moderne et j'ai finalement opté pour le moderne donc pas d'inquiétude il y aura un bon vieux mp9 qu'il se prendra dans la gueule ^^