Salut à tous et à toutes! Voila ma toute première fic , j'éspère qu'elle vous plaira, surtout n'hésitez pas à me corriger pour d'éventuelles fautes, phrases mal tournées ou autres ^^ Voilà une intro histoire de voir si elle rameutera de nombreux (fans? lecteurs? qqn quoi xd.) Bonne lecture!
Première Partie: Chapitre premier. REVEIL
Douleur.
Ce fut ma première sensation. Depuis bien des années. Une douleur, vive et brûlante, partant de la zone située entre mes deux omoplates pour aller se réfugier jusqu'à ma tempe gauche. Jamais je n'avais eu aussi mal de toute mon existence. Mais je me réjouissais cependant de ressentir cela. C'était en quelque sorte un mal pour un bien. Je souffrais le martyre, je n'aspirais plus qu'à une mort qui m'avait été refusé longtemps auparavant, et pourtant je me délectais de chaque minute, de chaque instant passé au côté de cette compagnie algique. La souffrance me forçait à avancer. Mes gestes étaient lents, précautionneux, mais ils existaient bel et bien. Grâce à elle. Tout. Tout pour lui échapper. Tout pour survivre quelques secondes de plus. Ces précieuses, si précieuses secondes, rares, et éphémères.
Je tentais de me lever. Je ressentis presque aussitôt une douleur cuisante à la cuisse droite. Là où la lame m'avait perforé. Sa lame. Je m'effondrais sur le dos, hors d'haleine. Mais je refusais d'abandonner. Je tâchai de ne prêter aucune attention aux multiples étoiles qui dansaient autour de moi. On eut dit qu'elles se battaient pour obtenir le premier rôle de cette triste comédie. J'attribuai leur présence à l'horrible mal de crâne qui me martelait la tête. L'orchestre tout entier de l'opéra de Dancing Gates se tenait tout proche de ma boîte crânienne. Si elle existait encore... Nouvelle tentative. Cette fois, j'y allais avec d'infinies précautions. Je m'appuyai entièrement sur ma jambe gauche, celle qui avait été la moins touchée des deux. J'entendis mes os craquer, mais elle tint bon. Je soupirai de soulagement. Mes mains cherchèrent à taton un appui, n'importe quoi de solide. Le mur. Tout près. Je m'y accrochai de toutes mes forces, et me levai. Enfin! J'avais réussi! J'étais debout! Tout se passait bien! Je souris, du moins me sembla-t-il, et patientai quelques instants. Pour entendre un horrible craquement provenant du sol. Je m'effondrais. La migraine redoubla d'intensité. C'est alors que je compris la cause de ce craquement. Un os. Celui de ma jambe gauche. Elle ne tenait pas le choc si bien que ça, finalement. Un goût amer emplit ma bouche et mes narines. Je n'eût même pas la force de vomir. J'étais éreinté. La nuit m'appelait de tous ses voeux.
Je m'y abandonnai corps et âme.
Sang.
La première chose dont je me rappelle à mon réveil. Egalement le premier goût dont je me souvienne depuis ma... naissance. Ou ma mort. Question de point de vue. Difficile de qualifier cela quand on le vit. Quand on sent notre coeur s'arrêter, nos poumons se désagréger, et nos sens s'éveiller, comme s'ils sortaient d'un tumultueux entraînement dont ils seraient finalement les vainqueurs. Mes sens. Une douleur plus atroce que la précédente me submergea soudain. Mais celle-ci n'était pas physique cette fois. Disparus. Envolés. Aussi brutalement qu'ils étaient apparus. Et ils me manquaient. Cruellement. Je n'entendais plus. Du moins, plus comme avant. Terminé, les bruits réguliers d'insectes sur l'asphalte des rues de Britghon. Fini, les senteurs de sang séché de cadavres en décomposition situés à cinq rues de là. Il ne restait plus que moi. Et ma douleur.
Je choisis d'attendre. Jusqu'à ce que j'aille mieux. Ou que je sois capable de différencier ma main droite de ma gauche, ce qui n'était sans doute pas près d'arriver. Tout n'était qu'océan de douleur. Et de silence. Pas un bruit. Pas un murmure. Même pas le son devenu si familier des gouttes d'eau tombant sur la pierre dure et les os en décomposition. Rien. Ce n'était pas normal.
Soudain, un bruit. Non, pas un bruit. Un grognement. Suivi presque immédiatement d'une insupportable odeur de moisi et de chair. Je me tournai vers la droite, là d'où provenait ce son inquiétant. Ou plutôt, je tournai ma tête, seul membre de mon corps que je parvenais à peu près à contrôler. Je fus soudain saisi d'effroi. La chose était là, à une dizaine de mètres seulement. Le noir était total, aussi ne distinguais-je que ses yeux. Grands, immenses, composés de deux pupilles verticales noires, et d'iris rouges. Rouges sang. Je retins ma respiration. Un amlach. Les yeux se tournèrent dans ma direction. Je m'étais trompé, finalement. Je n'étais pas seul. Et je le regrettais immédiatement.
Voila j'espère que ca a plu à quelqu'un ^^. Dsl si ça fait pavay, si ça gêne dites-moi et je tâcherai d'aérer, je rappelle que je prend compte de toutes les remarques (sauf critiques gratuites ) Pas d'action pour le moment, histoire de poser le tout
pavé
Je lirais, demain, parole de moi
Quand je serai au top de mes capacité
Youpi deux posts !! Merci polo je tacherai d'aérer alors et pas de prblm tagin ^^. Et euh sinon t'en a pensé quoi polo?
j'ai pas eu le temps de lire j'ai la tête dans le cul puis j'aime mieux lire quand c'est aérer
je lirai plus tard
Ok pas de soucis ^^
First page
Je lirais plus tard , là pas envie
J'ai lu mais j'ai pas trop aimé, donc pour être plus constructif je relirai
Cependant, PERSO j'aime pas trop quand tu fais du néologisme genre amlach
Didn't you know horror ? You're going to !
Création. Exposition. Contamination
http://contamination.c.la/ Et sur ce lien tu cliqueras
Pas de probleme Pika ^^ et Hapo c'est tout simplement parceque je souhaite innover au lieu de placer dans l'histoire des monstres que tout le monde connaît, je préfère en inventer de nouveaux Et tkt comme je sais que ce serait débile de faire des pages juste pour dire ce que c'est, j'ai imaginé une sorte de système très simple( vous verrez ca au prochain chapitre si ca plaît a quelq'n )
Je lirai également plus tard, bonne chance
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Contamination: http://fic-contamination.eu
BlaBla: https://www.new.jeuxvideo.com/forums/1-50-13850371-1-0-1-0-0.htm
Bon, j'ai lu maintenant tout compte fait
Déjà, les phrases courtes, j'adore (c'est pas ma fic qui me contredira...). Ensuite, de bonnes descriptions, assez choc, une belle écriture, pas de répétitions...
Seulement, je pense qu'il faut encore quelques suites pour pouvoir juger une fic, donc:
SWEET
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Contamination: http://fic-contamination.eu
BlaBla: https://www.new.jeuxvideo.com/forums/1-50-13850371-1-0-1-0-0.htm
Joli début
Je plussoie LeBiday, suite.
Pas mal, encore quelques fautes (oui c'est bien moi qui dit ça ).
Si si, j'en ai vu quelques unes...
Mais oui je te dis Bidou !
Après une ou deux phrases que je remanierai légèrement comme :
"Et je le regrettais immédiatement."
Je mettrai plutôt : "Et je le regrettais amèrement."
Amère => goût => sang.
Et puis c'est l'une des phrases typiques aussi ;)
Sinon, je pense un peu comme Bidou, c'est pas mal dans l'ambiance, surtout les sons et les odeurs, c'est ce que je need le plus dans une histoire.
Les phrases courtes, et le système de paragraphe introduit par des mots simples qui divisent sympathiquement ton histoire me plait, comme les "un - deux - trois" de Bidou ;)
L'histoire en elle même est promue à un avenir certains, mais seul ce dernier donnera la réalité. Surtout que cette phrase d'abord destiné à être stylée ne sert à rien, comme ce que tu viens de lire.
Je lirai les suites à venir, motive toi et n'habitue pas tes lecteurs à des suites à la chaîne, espace les dans le temps.
Je ne vise personne.
Non non, je t'assure Bidou.
Personne, non vraiment, de toutes les façons qui pourrai je bien viser ?
Cool de nouveaux posts!
Merci Lebiday, je ss content que tu apprécies, surtout que c'est toi qui m'a convaincu de faire une fic et d'écrire a la première personne ^^
J'ai déja rédigé la sweet, mais je ne la posterai que demain pour ne pas habituer les lecteurs à des sorties rapides, je suis au lycée donc le rythme ne sera pas méga rapide lol
Ah et euh merci à tous pour vos conseils et impressions! re
Voici la suite de cette petite fic
Partie 1 (Une lame dans les ténèbres), Chapitre 2:
[D'aucun pense que les amlachs sont des vampires, la plus grande chose les différenciant étant leur nourriture. Tandis que les vampires se contentent du fluide vital des êtres humains, leurs homonymes démoniaques aspirent leur âme toute entière. Il faut savoir qu'un être humain peut survivre si le vampire lui laisse suffisamment de sang dans l'organisme. Mais un amlach se nourrit de la quasi-totalité de l'âme, si bien que l'humain entre alors dans un état de démence incontrôlable. Une fois son âme consommée, il attaquera tout se qui se trouvera à sa portée, allant jusqu'à s'auto-détruire s'il se trouve seul. Autre fait remarquable, une personne dasâmée, ou sans âme, n'attaquera jamais d'amlach, quelque soit la situation. Du fait de récentes études, nous avons en effet découvert qu'en aspirant l'âme d'un être humain, l'amlach lui transmettra une partie de sa propre mémoire. Ce faisant, le dasâmé se prendra alors lui-même pour un amlach, et ne vivra, si l'on peut encore dire qu'ils vivent, que pour se nourrir. Bien évidemment, un humain ne peut aspirer d'âme, et il se retrouvera alors rapidement en état de manque, qui succédera bien vite à la folie. A ce jour, il n'existe qu'un seul remède officiel pour sauver un dasâmé, la mort ...]
<<Les mondes des enfers>> de Selth Sityhs
La créature se jeta sur moi.
Ou plutôt, elle essaya. J'entendis un bruit de métal, sourd et bref. Suivi de cris désespérés. Ses cris. Quelque chose la retenait. Je me mis en position assise afin de voir de quoi il s'agissait. Avec le temps, mes yeux s'étaient un peu habitués à l'obscurité. Preuve inquiétante qui en disait long sur le temps que j'avais passé ici.
Je me tournai sur le côté. Une grille. Voila ce qui la retenait. Une grille nous séparait. Etroite, fragile. Et pourtant, l'amlach ne parvenait pas à la détruire. Impossible. N'importe lequel d'entre n... d'entre eux pouvait briser ce genre d'obstacle très facilement. Pas lui. Je l'observait avec plus d'attention. Il était la, tout près. Il se tenait aux barreaux de la main droite tandis qu'il tentait de m'agripper avec la gauche. Mais j'étais trop loin. Un détail retint alors mon regard. Sa peau. Il était torse-nu, un pantalon en lambeau le recouvrant jusqu'aux genoux. Ses cheveux étaient courts et sales. Et sa peau était d'un gris argenté.
Je relâchai mes membres tendus, et soupirai. Ce n'était pas un amlach. C'était un dasâmé. Faible, et innoffensif tant que cette grille nous séparerait. Cette même grille qui m'ôtait tout espoir de partir de la d'ou venait la créature. De toute façon, inutile de songer à partir par la tant qu'elle s'y trouvait. Aussi faible était-elle, je n'avais absolument aucune chance face à elle dans mon état. Et elle le savait.
Je cherchais un autre passage. Un faible souffle, derrière moi. Le vent. Je sentais le vent. Le mur de pierre qui m'entourait s'ouvrait à un endroit, laissant deviner un passage. Je m'armai de courage et me mis à ramper, laissant derrière moi les cris du sans-âme ainsi que le sombre et effrayant caveau dans lequel on m'avait laissé pour mort.
Ma douleur au dos s'était atténuée, ainsi que celle de mes jambes. Pas ma tête. A chaque mètre parcouru, j'avais l'impression que l'on essayait de me broyer le crâne avec une pierre. Je tâtais mon cou, puis remontais lentement jusqu'à mes cheveux. Du sang poisseux s'était mêlé à eux, capturant en même temps la poussière qui recouvrait l'ensemble de la pièce. Normal que j'ai mal. On avait bien failli m'ouvrir la tête!
Les cris se turent. Je me retournai. A présent, une cinquantaine de mètres me séparant des crocs assoiffés de la chose. Elle m'observait, la rage au ventre. Ses yeux rouges me lorgnèrent une dernière fois, puis ils disparurent définitivement. Elle avait abandonné. Sans doute avait-elle senti une proie à sa portée non loin d'ici. Je ne pris même pas la peine de plaindre la future victime. De toute façon, elle serait rapidement vengée, avec tous les chasseurs qui rôdaient autour de la propriété.
Je me remis en route. Cette fois, j'étais réellement seul. Avec ce silence étouffant. Et ce long couloir, qui ne voulait pas finir. Une étrange impression, familière mais cependant terrifiante, m'envahit. Celle de m'enfoncer une fois de plus dans les abîmes, comme si je m'étais porté volontaire pour creuser ma propre tombe pour ensuite m'y allonger. Je n'y prêtai pas attention et continuai de ramper.
J'étais vraiment dans un sacré pétrin.
merci ! une nouvelle fic ! j'aime beaucoup continues !
(bonne idée d'avoir mis ton lien sur la fic "la décadence d'Albion" si t'avais pas mis j'aurais pas trouvé)
continues !
Voilay je trouvai que l'idée de placer des extraits (inventés ) de livres ou autres donnaient une ambiance sympathique, et en plus ca permet d'en apprendre plus sur certains personnages/créatures sans bcp de blabla, si vs aimez pas faut me dire je mords (presque) pas
Avis??
Ah euh surtout pas d'inquiétude c'était tres court mais voulu, ce sera plus long a partir du prochain si vs aimez
Waouh merci Ichi