t'inquiètes pas, le dimanche y a pas beaucoup de monde
enfaite une astuce pour pouvoir aller sur la fic en 2 secondes mettez la en marque page
merci bon je le détaillerai un peu plus dans la semaine
Très bonne fic bien écrite, ça me rappelle " En quarantaine " pour le coup du héros car le héros de " En quarantaine " n'a plus de sentiments suite à sa sortie des souterrains et que par la suite, il mute en devenant un tueur qui n'éprouve plus rien et qui tuerai sa famille s'il la retrouve. Enfin, je veux pas faire le mendiant mais vu que tu as dis que ceux qui voulaient un perso dans ta fic peuvent le faire donc, voici la description de mon perso...
" Alucard, descendant de Vlad Tepès dit " Dracula ", le plus grand de tous les vampires de son époque. Fruit du vampire roumain et d'un démon ancien qui a prit l'apparence d'une jolie femme, suite à ce mélange de gêne, il est insensible à la lumière du soleil et n'a pas besoin de boire du sang pour survivre... Il erre sur la Terre à la recherche de ceux qui ont tué sa mère qui était devenu une humaine suite à un rituel qu'elle a pratiquée avec d'autres démons anciens, il n'hésitera pas à abattre ceux qui barreront sa route d'un simple geste de la main qui produit une brûlure intense de l'intérieur du corps de ses assaillants... Il espère qu'un jour, le voeu de sa mère qui est que les vampires et les démons anciens cohabiteront ensemble, sachant que les deux clans se livrent une guerre sans merci... "
Description : Peau semblable à celle d'un albinos, yeux bleu turquois, cheveux noirs épis, habillé d'un blouson noir en cuir, d'un jean's noir et d'une chemise noire, âgé de 271 ans, apparence d'un jeune homme de 21 ans, il est neutre avec les humains car il aime une humaine qui se nomme Emeraude et qui recherche depuis des jours...
Voilà, j'espère qu'il sera accepté...
Super GrandeCrinière ton perso est accepté (merci Ichi ) ça m'arrange beaucoup d'ailleurs parceque je pensais à faire quelquechose dans ces zones-là mais les idées ça va ça vient... Et tu veux un équipement particulier??
Sinon pour En Quarantaine c'est vrai que j'ai entendu que c'était une fic superbe mais toujours pas le courage de commencer vu que j'en suis déjà deux super bien lol
Donc plus tard sans doute ^^
Je réserve une place dans fic au cas où. J'attends de voir la suite (Ça démarre lentement m'voyez?) et d'en savoir un peu plus sur les vampires et les démons anciens.
Pas surhumain du tout le premier perso proposé.
non, jamais
quelqu'un pourrais mettre le lien de la fic quarantaine vu que vous dites qu'elle est bien
(je suis 3 fic en même temps, avant j'en suivais 7 mais certains ficeurs ont arrêtés d'écrire j'espère que se sera pas ton cas lorkdomine3 )
lorkdomine3 Bah, pour l'équipement, je vois bien un katana de 90 cm pour mon perso.
a pour le katna alors
Et Ichi je mettrai ton perso avec tout ce que tu m'as dis mais plus grandes seront ses forces, plus grandes seont ss faiblesses
ok si tu veux mais assez difficile d'atteindre un gars qui voit à 200 mètres (sans compter le sniper) et qui te fais avoir des crises cardiaques si il te touche au tron
(enfaite pour son physique il ressemble a Light du manga death note (et oui c'est mon moment fan de death note)
Tranquillou alors si il a le même physique que L alors un coup de vent et a pu le super invincible ^^
Petit au passage
nan le physique de Light (kira) le méchant le détenteur du cahier, celui qui le trouve
mais faire un personnage au physique de L ça serai drôle
je précise qu'il ne peut pas détecter les vampires car leurs cœurs ne battent plus, ils sont morts (scientifiquement) aucun signe vitaux donc il ne peut les voir venir mais les démons et les amlach il peut vu qu'il ont de l'énergie qui circule dans leurs corps (et cœur dans les amlachs si y a et si il bat)
Je verrai ça par contre ma conception des vampires n'est pas totalement la même que celle des légendes donc je verrais en conséquence ^^
d'accord, à la sweet !
Sweet possible demain, question de motivation (les devoirs n'entrant plus en ligne de compte en cette fin d'année )
Mis ou sont passés tous mes lecteurs
ici ! mais je suis désolé de t'apprendre ça, mais on a une vie à coté de ta Fic
Gniark gniark non non pas de vie je vous ordonne de rester ici à tout jamais
Si seulement c'était vrai
Bon sweet peut-être ce soir maxi demain ^^
Et voici la (longue) sweet.
Sans doute ma + longue de toute la fic!
Enfin ça bougé héhé je promet à ceux qui disaient qe c'était lent à démarrer qu'ils ne seront pas déçus lors de la rédaction du prochain
Et d'ailleurs c'était nécéssaire ^^
[ La plupart des gens pense qu'amlach et vampire sont des cousins éloignés. On ne peut les en blâmer. Il existe en effet bon nombre de similitudes entre ces deux espèces. Leur faim, qui requiert une constante attention, en est un parfait exemple. De plus, leurs prouesses physiques sont vraiment ressemblantes. Mais il n'existe pas de monstres plus différents que ceux-là. Repu, un vampire ressemble à n'importe quel humain si l'on oublie ses pupilles rouge sang. Sa puissanse baisse à mesure que sa soif s'intensifie. En état de manque, le vampire voit sa peau prendre la couleur de la pâleur d'enfants albinos. Ses canines s'allongent et son caractère devient alors des plus déplorables. Mais il reste en mesure de se contrôler. Pas un amlach. Lorsqu'il est en manque, ce qui se traduit par des yeux couleur de jai, l'amlach n'est plus capable de se dominer. Sa force sera alors décuplée, son esprit se concentrera uniquement sur son besoin de nourriture, oubliant même de différencier ses amis de ses ennemis. C'est un peu comme les deux faces 'une pièce. Ou comme les deux aspects de la Mort. Démon du fait de ses yeux noirs lorsqu'il est en manque, ange en cas contraire à cause de la couleur particulière qu'ils auront alors.
Un blanc immaculé.
Seigneur, pardonnez-nous.
<<Le Repentir>> du Père Jell.
Trois jours avaient passés.
Nous étions désormais à mi-chemin de Sel'Thor. La capitale n'avait pas été choisie au hasard parmi celles qui avaient résisté aux Cents Nuits. Elle abritait en effet l'ancien Parlement des Etats-Unis avant l'embrasement du ciel. Mais cette époque remonte à trop loin pour que quiconque se souvienne encore du nom de la ville dans laquelle il se trouvait. Au vu de la place importante qu'elle tenait, l'on avait amménagé des défenses et abris anti-atomiques en quantité quasi-illimitée. Ses murs étaient dix fois plus resistants que l'acier, et ses portes, deux au total, s'avéraient imprenables. La radio et la télévision y fonctionnaient encore, tout comme l'eau chaude. Enfin, elle abritait cinq millions d'habitants, ce qui signifiait qu'elle était le plus important foyer de population actuel. C'est pour toutes ces raisons que l'on lui avait donné le titre de Capitale Mondiale de la Résistance Humaine. Si l'on pouvait se permettre d'appeler nos pitoyables tentatives pour survivre dans ce nouveau monde de "résistance".
Le soleil amorçait lentement sa descente vers l'autre versant de notre "belle" planète. Il nous fallait trouver un lieu sûr pour y passer la nuit. Nous nous trouvions en pleine cambrousse. Ou du moins, en se qui avait été autreis de la cambrousse. Les grands espaces qui abritaient autrefois des champs s'étendant à perte de vue étaient désormais recouverts de débris en tout genre. Restes de caravanes calcinés, tas de pneux, cadavres à demi-dévorés et odeur de pourriture intense, le paysage avait l'air de sortir tout droit d'un cauchemar. Ca et là, des cratères fumants remplaçaient les fermes et autres bâtiments destinés à la récolte. On eut dit qu'il avaient été disposés ainsi sciemment, afin de donner lieu à une sorte de visage grotesque.
Celui de l'épouvante.
Nous traversâmes les restes de ce qui devait être autrefois un village. Toutefois je n'en aurais pas mis ma main à couper. Cela aurait tout aussi bien être un tas de briques que l'on avait disposé ici dans un but quelconque. Plus de maisons, pas même de ruines de maisons. Pas de panneau indicateur, pas de peinture sur la route indiquant les chemins que l'on pouvait emprunter selon l'endroit sur lequel nous nous trouvions sur la voie. Pas même de route.
Seulement un misérable tas de briques.
J'observai mes compagnons. Bien qu'étant habitués à ce genre de désolation, on voyait bien qu'ils n'étaient pas à l'aise. Vansolgh ne cessait de jeter des coups d'oeil furtifs à gauche et à droite, comme si il espérait voir surgir quelque chose, n'importe quoi, qui lui fasse oublier, rien qu'un instant, l'horreur de la situation dans laquelle nous étions. Retham regardait toutes les deux minutes sa montre, un très vieux modéle dont les créateurs avaient fait faillite longtemps auparavant. Malgré son ancienneté, l'on pouvait encore lire, gravé au dos, la marque "Rollex".
Seule Lostlanfa avait l'air sûre d'elle. Je l'enviais. Alors que Retham avait un don relatif à la précision, le sien tenait simplement en la percéption. Elle savait toujours à l'avance si quelque chose n'allait pas. Ce n'étais pas des prémonitions. Appelons plutôt cela un pessentiment. Néanmoins elle ne s'était jamais trompée. C'est ainsi qu'elle avait su que nous étions attaqués, Irina et moi. Sans elle, je serai sans doute mort criblé de balles à l'heure qu'il est, après avoir vainement tenté de dévorer mes anciens amis. Je frissonnais en pensant aux dasâmés, et m'en réjouis. Tout sentiment ne m'avait peut-être pas quitté, finalement. Avec un peu de chance, ce n'était qu'une réaction passagère suite au choc psychologique que j'avais subi. Je m'accrochai désespéremment à cet espoir, aussi mince fut-il.
Bien que j'ai toute confiance envers le talent de Lostlanfa, je gardai ma vieille arbalète en mains, ne perdant que rarement de vue ma lame accroché au côté gauche de ma ceinture. Mes camarades faisaient de même. Ce n'était pas le moment de se faire bêtement prendre dans une embuscade. Je rêvais à des morts plus glorieuses que cela.
Nous avançâmes encore une bonne dizaine de minutes. J'étais épuisé. Nous n'avions pas dormi depuis notre départ. Le temps nous faisait défaut. Pour que l'on soit obligé de garder un rythme aussi soutenu, la teneur de notre prochaine mission devait être d'une importance cruciale. Je repensai à la lettre qu'avait rapporté Vansolgh. Un messager s'était sacrifié pour que nous l'ayons. D'après ce que l'on m'avait dit, il avait été obligé de finir les derniers kilomètres en rampant, ce qui expliquait son retard. Ceux qui l'avaient attaqué lui avaient arraché les jambes. Et, malgré tout le sabg qu'il avait perdu, il avait continué. Sa détermination m'impressionnait.
Notre chef ne nous avait pas révélé en quoi consistait notre mission, ni même le nom de l'homme à qui nous devions nous adresser à notre arrivée dans la capitale. Une fâcheuse et stupide habitude qu'il avait prise afin de se donner de l'importance. Et qui nous obligeait à le protéger coûte que coûte en cas d'attaque, sans quoi notre mission deviendrait un échec cuisant s'il mourrait.
<< Ca suffira pour aujourd'hui, dit-il. Nous avons largement rattrapé notre retard. Los' et Retham, établissez un périmètre de sécurité. Selth, tu m'aides à installer les tentes.>>
J'obtempérai. Je déposai avec un soupir de soulagement mon sac et mon arme. Je m'étirai en baillant. Etonnant comme cela peut être agréable après un voyage aussi éprouvant.
<< Arrête de baîller aux corneilles. Les tentes ne se monteront pas toutes seules. Je vais chercher du bois pour le feu. >>
Evidemment. Il me laissait me débrouiller avec notre matériel de récupération pendant qu'il allait se reposer quelque part. Classique.
Je sortis un première tente de mon sac et l'installai aussi rapidement et délicatement que faire se peu. La tâche était ardue, le sol n'étant pas droit et les tentes très vieilles. Un faux mouvement et la toile se déchirerait. Un miracle qu'elles soient toujours en un seul morceau.
Je me démenai avec les cordes. En fin de compte, je ne m'en tirai pas si mal. Une fois la première deux places montée, je soufflai et pris le temps d'observer le paysage. Nous nous trouvions au milieu d'une clairière. Les arbres alentours avaient été balayés par le souffle des explosions atomiques, dégageant une vue suffisante pour voir un ennemi potentiel arriver et se préparer en conséquence. Rien d'autre que des morceaux de bombes. A perte de vue. Des bombes, et le chagrin qui habitait les âmes en peine qui n'avaient pas eu le temps de fuir.
Aucune étoile ne pointait dans le ciel, mais la position de la lune m'indiquait que minuit devait s'être écoulée depuis un certain temps. C'est à ce moment que l'antiquité de Retham aurait pu me servir. Je me promis de ne plus jamais me moquer de sa vieille "montre".
<< Je rêve ou tu n'as monté qu'une tente? Alors c'est comme ça? Je m'éreinte à la tâche pendant que tu te la coules douce!>>
Je grognai à l'encontre de Vansolgh une moquerie bien placée. Je cru qu'il ne m'avait pas entendu, jusqu'au moment ou il me toisa de toute se bedaine en m'annonçant que je prendrai le premier tour de garde et que je veillerai trois heures au lieu de deux. Je ne ripostai pas.
Je m'installai donc près du feu en observant trisement les deux tentes dans lesquelles dormaient mes camarades. Retham s'était moqué de moi à son retour, sans doute pour se venger de mes réflexions sur son antiquité. Lostlanfa avait sourit et était allée directement se coucher. La nuit promettait d'être longue et ennuyeuse.
C'est alors que je l'entendis. Un grognement. Terrifiant. Il m'avait littéralement paralysé sur place. La surprise n'y était pour rien. Ce grognement était chargé de mots épouvantables. De murmures indistincts. Comme si l'on voulait me dire que je n'avais aucune chance, que tout était fini. C'est en tout cas ainsi que je le compris. J'étais tétanisé. Au bout d'une éternité, je me decidai à me tourner vers sa source. Mon cou pivotait de lui-même, malgré toutes mes protestations. Il était là. Les yeux rouges sang. Un homme. La nuit le cachait entièrement, mais je n'avais aucun doute là-dessus.
J'enflammai un morceau de bois sans le quitter des yeux. Je faillis étouffer un cri de surprise. Je m'étais trompé. La nuit ne le cachait en rien. Il était noir. Entièrement. Son corps, ses mains, ses jambes, tout n'était qu'une immonde fumée noire. Tout sauf ses yeux. Il m'observa. Je tendis la main involontairement, espérant je ne sais quoi. Mais elle ne rencontra que du vide. Il n'était vraiment que fumée.
Un son s'échappa de l'endroit ou se serait située une bouche. Un sifflement. Je me penchai pour mieux l'entendre.
<< Que dites-vous?>>
Il s"arrêta instantanément. Sans me quitter du regard. Puis son ton changea. Ce n'était plus des sifflements, mais bien des paroles qu'il prononçait à présent. Un seul mot. Qui me noua les entrailles, qui me glaça le sang. J'ignorai le sens de ce mot, mais il m'avait touché en plein coeur. Jamais je n'avais pareille sensation. A cause d'un simple mot, de trois misérables syllabes.
<<Némésis.>>
Puis tout changea. Les tentes, le feu, la clairière, la créture, tout disparût. Il ne restait plus que du blanc. Du blanc à pertes de vue. Et ma peur.
Un homme, tout de blanc vêtu également, m'observait. Je le reconnus immédiatement. Ses cheveux noirs d'ordinaire en bataille étaient bien coiffés, sa tenue impeccable, ses traits anguleux figés en un admirable sourire. Rien avoir avec mon <<moi>> actuel. Pourtant c'était bien moi. Il sourit de plus belle. Je vis avec horreur mes propres yeux. Ils étaient totalement blancs.
<< C'est ainsi que tout commence.>>
Il me montra quelque chose du doigt. Je me retournai. Cette fois, un cri d'horreur s'échappa du fond de ma gorge. Ils étaient tous là. Retham, Vansolgh et Lostlanfa. Même Irina était présente. Morts. Tous baignaient dans leurs sang. Et pourtant aucune blessure n'était visible. Mais ils étaient morts. J'en étais convaincu.
J'entendis un rire sinistre. A la place de mon double se tenait la créature. Toujours en fumée. Toujours les mêmes yeux rouge sang menaçants. Il sifflai.
<< Taaaaa fauuuuuuuute. Ssssssss. Tout est de ta fauuuuute .>>
Je m'éveillai en sursaut.
J'étais affalé sur le côté, haletant. Mes cheveux collaient à ma tempe. J'étais en sueur. Mais je souris. Tout cela n'était qu'un rêve.
Un goût amer me remplit la bouche et les narines. Je me relevai prudemment. Une odeur de carbonisé flottait dans les air. Elle provenait du feu. Ils étaient là. Vansolgh, Retham et Lostlanfa. Leurs corps brûlaient lentement sur les braises restantes. Ils avaient quasiment perdu tout leur sang.
J'hurlai. La créature les avait tué. Alors que je dormais. Ou que j'hallucinai. Elle les avait tous massacré. ll ne restait plus que moi.
Seul.
Petit clin d'oeil à la fic d'un pote à moi pour le passage à la Rolex, j'avoue que ça ne vient pas de moi
Vive le vol