très bon, j'adore !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

(j'attends toujours l'arrivée de mon perso à moins que ce ne soit lui le meurtrier ou l'homme aux yeux pourpre )

continues ! à la swit !

Suite + Les up sont inutiles comme tu as pu le constater.

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"Les lois prohibitives ont tendance à renforcer ce qu'elles voudraient interdire. C'est le point sensible dont toutes les professions juridiques de l'histoire se sont servies pour assurer la stabilité de leur fonction."

Création. Exposition. Contamination.
http://fic-contamination.eu

Cette suite m'a tenu en haleine, pour le coup de la créature aux yeux rouges dans le buisson, ça m'a rappelé une vieille fic que j'ai abandonné avec des ours-garous et le premier observait le héros de ma fic dans un buisson, coïncidence ? Peut être... D'ailleurs, j'ai eu un p'tit sourire pour le passage avec le héros qui voit les corps carbonisé de ses amis car les passages " gore " me font soit rire ou me font rire.

CHaud § T'as un vrai talnt mec, continue comme ça, c'est vraimment de la bonne

Cool merci tout le monde I am happy

Me font sourire *

Raaah ! Maudite touche TAB ! Heureusement que ce n'était pas sur ma PSP au boulot sinon, je m'aurai fais chopper... D'ailleurs, je ferai mieux de filer avant de me faire chopper par un collègue vu que je cours des risques énormes en prenant ma PSP...

J'ai le regret de vous annoncer que je vais arrêter ma fic parceque je n'ai plus envie

Mouhahaha non c'est pas vrai
Juste pour vous dire que comme vous le savez ce dont je parle pour le moment c'est des souvenirs de Selth pour dire comment il s'est retrouvé dans le caveau
Donc je pense que de tps en tps (assez rares) je ferai un retour dans le présent pour savoir ou il en est
Pour pas qu'on s'embrouille pendant les retours dans le présent je ne mettrai pas d'extraits de livres ou autres + 2 ** au début

Voila voila

Je say ça sert à rien mais quand même

Wahou non mais qu'est-ce que c'est que ce cirque?
Trois jours sans messages?
Je plaisantais je vais pas arrêter ma fic!! ^^
Non sérieusement sweet bientôt vive la fin des cours les maths me servent pour l'écrire maintenant :p

pas on postes pas tant qu'on a pas la suite !

Sweet ce soir

[ La légende dit que sur les monts escarpés de Venigh, au beau milieu des flammes tourbillonnantes, naquit Alucard. Il était un paria, un hybride maudit, le seul représentant d'une espèce qui n'aurait jamais dû exister. Une erreur de la nature. Le fruit abominable résultant de la procréation de deux espèces diamètralement opposées. Un suçeur de sang et une ancienne. Le résultat était impossible, mais pourtant il a eu lieu. On dit que lorsque la nouvelle de sa naissance s'est propagée, les deux espèces, par un commun accord, ont décidé de la mort des deux parents de l'hybride. La mère a périt dans d'atroces souffrances, ayant été transformée en une mortelle lors d'un ancien rituel afin de l'achever sans vergogne. Le père, dont on ignore jusqu'au nom, aurait quant à lui disparu. Mais nul n'a tenté d'abattre l'enfant, craignant par dessus-tout une quelconque malédiction. Ils l'ont abandonné, espérant qu'il ne survivrait pas longtemps dans ce monde hostile. Mais l'enfant vit toujours, et on dit qu'aujourd'hui encore il sillonne le monde à la recherche des meurtriers de sa mère, semant mort et désolation dans son sillage.

Mais ce n'est qu'une légende. ]
<< Contes et légendes de notre temps >> par Vain Salquiss

J'ignore combien de temps je suis resté au campement.

Une semaine? Un mois? Une année? Le temps n'avait plus aucune importance pour moi. Mes camarades avaient été détruits par une menace inconnue, une abomination dont nous ne soupçonnions même pas l'existence. Et, Vansolgh mort, le nom de la personne que nous étions censés rencontrer s'était évanoui dans la brume.

Pourtant je n'avais pas le choix. Je me devais d'avancer. Pas par soucis quelconque de patriotisme envers ma race. Je continuai vers Sel'Thor parceque je n'avais pas d'option. Les règles étaient en effet très simples. Si un chasseur ne se présentait pas dans le temps imparti pour prendre connaissance de sa mission, il était alors immédiatement considéré comme déserteur. La sentence, comme dans tout régiment, était sans appel. La mort.

Je continuai donc, ignorant si j'arriverai à temps pour mon rapport, et ignorant de ce fait si j'allais par delà ma mort ou non. Cela ne m'importait plus. Plus rien ne m'importait. Et cette faim, cette terrible faim qui me déchirait les entrailles, qui me retournai l'estomac comme s'il s'agissait d'un vulgaire morceau de papier ballotté par les vents! Cent fois j'aurai voulu mourir, cent fois cette mort me fut refusée.

Je savais vers ou je me dirigeai. Par chance, j'avais découvert une boussole irradiée sur le corps encore fumant de mon ancien chef. Ces étranges appareils avaient la particularité de pouvoir se recharger grâce aux radiations provenant du sol. Et les zones irradiées, ce n'est pas ce qui manquait. Tout être, autre que chasseur ou démon, serait déjà mort avec toutes les poches de radiations présentes dans les environs.

Mais j'étais un chasseur, et la mort s'obstinait à m'ignorer, bien que je l'appelle de tous mes voeux.

Cela devait faire quelques heures que je m'étais remis en route. La tête me tournait, et ma conscience s'endormissait à mesure que ma faim grandissait. J'ignore ce qui me vallu pareille chance. Peut-être étais-je aussi discret qu'un fusil à plasma faisant feu sur une horde de dâsamés, peut-être me repérerent-ils grâce à un quelconque appareil. L'important était qu'ils m'avaient trouvé.

Des humains.

Une dizaine d'êtres humains, s'approchant à vive allure, sans doute pour me secourir. Leur absence de méfiance devait être dûe à la plaque que portait tout chasseur pour se faire reconnaître, une plaque métallique sur laquelle étaient gravées " Protecteurs de l'Humanité ". Ce n'était pas l'idée la plus originale qu'avaient eu nos chefs. A vrai dire je m'en moquais. J'étais sauvé.

C'est alors que je le sentis.

Un délicieux parfum flottant dans l'air. On eût dit que toutes les senteurs du monde s'étaient mélangées dans le but de créer quelque chose d'unique. Et le résultat dépassait tout ce que l'on aurait pu imaginer. Le pire, c'est que plus les humains s'approchaient, plus l'odeur se faisait plus présente dans mon esprit. Jusqu'à ce qu'il n'y ait plus qu'elle, annihilant tous mes autres sens, me privant de tous mes repères visuels. Je n'eus qu'un instant pour voir mon visage dans l'armure brillante de la proie la plus proche de moi.

Ils étaient totalement noirs.

Je savais exactement ce que je devais faire. L'homme n'eut que le temps de pousser un bref cri que j'étais déjà sur lui. Ma main droite enserrait sa gorge tandis que l'autre écartait vivement son arme, un long couteau ébréché. J'entendis le bruit devenu si familier provenant du fond de ma gorge, ce même bruit qui hantait mes cauchemars depuis ce fameux jours.

Mais cette fois je n'étais pas celui qui se faisait attaquer. Je n'étais plus la proie.

L'âme de mon adversaire s'échappait doucement de son corps. Je sentais le délicieux liquide, si l'on pouvait qualifier cela comme tel, couler dans mes veines, tandis que la formidable énergie qui en résultait alimentait chacune des fibres de mon corps. Le malaise et cette faim accablante s'étaient envolés. Ainsi que ce bref instant de folie.

J'observai avec horreur le défunt s'effondrer devant moi. Bientôt il tenterai de tuer ses semblables pour se nourrir, bien que ce soit inutile. Je ne pouvais les laisser affronter pareil moment. Je brisai la nuque du dâsamé. J'eus tout juste le temps de contempler mon reflet dans sa protection avant que les premières balles ne fusent à mes oreilles.

A présent, mes yeux étaient d'un blanc immaculé.

Je jetais un regard désolé aux pauvres gens qui venaient d'assister à la mort en direct d'un de leurs camarades par un amlach déguisé en chasseur. Car j'en étais certain à présent, j'étais devenu un amlach.

Je m'échappai. Chacun de mes pas me transportaient sur une dizaine de mètres. Je pouvais aperçevoir chacune des particules constituant un morceau de métal ou encore un tas de terre. Les quelques insectes qui avaient survécut à la Grande Guerre s'affairaient à reconstruire un de leur nid. Je me rendis compte que j'ignorai le nom de ces drôles de choses avec des antennes et possédant six pattes. Et juste après je me rendis compte qu'ils se trouvaient à une dizaine de mètres et qu'un énorme reste d'abri souterrain les cachait à ma vue.

Pourtant je les voyais.

Mais qu'est-ce qu'il s'était passé? Les amlachs ne pouvaient pas se reproduire, c'était mathématiquement impossible. Et pourtant j'étais devenu l'un d'entre eux. Pourquoi moi? Moi qui les haïssais par dessus-tout? Cela n'avait aucun sens.

Je me remis en route, laissant là ces insectes et mon crime. Je devais partir. Le plus loin possible.

Un sifflement.

Je tournai la tête, juste à temps pour voir le carreau d'arbalète qui volait droit vers moi. Je n'eus pas le temps de l'éviter. Mes pouvoirs m'étaient pour ainsi dire inconnus, je n'en avais aucune connaissance, j'ignorai comment m'en servir. Il se ficha droit dans ma poitrine, me projetant vers l'arrière.

Je fus rattrapé de justesse par un inconnu. Ma vue se brouillait. Je ne distinguai plus que deux globes totalement blancs.

Ses yeux.

<< Ne t'en fais pas, me dis une voix sur ma droite. Cela ne te tuera pas. Nous l'avons fait pour te calmer. >>

J'observai mon interlocuteur. Là encore, je ne perçevais que ses yeux. Tout le reste n'étais que brouillard. Néanmoins je crus voir un pâle sourir se dessiner sur ses traits.

<< Bienvenue, Selth Sityhs. Nous t'attendions. >>

Voilà et je rappelle que vous pouvez vous créer un perso, cherchez mon post dans les pages précédents pour plus d'infos j'ai la flemme de redire

Génial, tout simplement

100ème post