Commando, pour le vote, je range ton texte dans quel forum ?
donc,le thème c'est l'été et l'imaginaire
peut etre devrais je faire un texte sur la bataille de Koursk
"La bataille de Koursk oppose du 5 juillet au 23 août 1943 les forces allemandes aux forces soviétiques sur un immense saillant de 23 000 km2 situé au Sud-Ouest de la Russie, à la limite de l'Ukraine, entre Orel au nord et Belgorod au sud.C'est l'une des batailles qui ont déterminé l’issue de la Seconde Guerre mondiale en Europe."
et je pourrais créer l'imaginaire,comme par exemple,un super char,ou une bombe A testé,etc...
J'apporte ma modeste contribution ! (Longueur du texte = '1493 '''mots)
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1870
La vapeur brûlante éjectée des locomotives, les chaudières bourdonnantes, les chauds Austru -si semblables aux vents du Midi qui soufflent sur les côtes Nicoises- ou tout simplement le passage effrené des voyageurs tendait à rendre l'atmosphère de la Gare de Vitebsk difficilement supportable. Le climat russe était traître, Jean l'apprit au cours de ses voyages : glacial et terrible en hiver, et parfois d'une suffocante chaleur en été. N'étant pas un homme de science, Jean s'était pourtant surpris à se retrouver captivé par un taité de météorologie publié dans le Bulletin de l'Académie impériale des sciences de Saint-Petersbourg et décrivant ce phénomène. Dévalant les marches de son wagon avec entrain, Jean tamponna légèrement son front suant d'un mouchoir en soie. La gare ne semblait pas bien vaste mais affichait une grande magnificence. Son architecture classique et le ton jaune ocre et blanc de ses murs suffisaient à manifester chez lui une certaine fascination.
Dans ses lettres, Ekaterina vantait la beauté et l'allégresse de la capitale impériale. C'est cette relation epistolaire qui poussa l'artiste à faire ses bagages et à quitter son appartement moscovite. Les lignes adroites et la qualité de verbe de sa correspondante petersbourgeoise suffirent à séduire l'expatrié.
On disait que la beauté d'Ekaterina Anatolievna Koukarina n'égalait que son amour de l'art. Jean qui recherchait à la foi une muse et un mecenat n'en demeura que plus excité à l'idée de rencontrer cette aristocrate. Pendant des mois, il s'efforcat à peindre et à publier quelques nouvelles, tantôt parues dans le Télégraphe de Mouscou tantôt dans Le Contemporain. Jean s'était par ailleurs exalté de se voir attribuer l'honneur d'être publié dans la revue qui avait autrefois imprimé les textes de génies littéraire : Tolstoï, Pouchkine, Gogol et tant d'autres. Dès qu'il reçut l'argent que ses acheteurs lui devaient, il s'était empressé de se payer un billet de train et emporta toutes ses affaires dans son voyage.
Et le voici désormais en plein coeur de l'Empire Russe, dans sa dimension la plus noble et la plus palpable. Un cocher attendait Jean à la sortie de la gare. Dans un russe absolument limpide, il pria le voyageur de s'installer et le prépara à une visite conventionnelle de la cité. Tandis que les sabots des chevaux claquaient sur les pavés, s'accordant dans une agréable mélodie, Jean restait béa devant les beautés de Saint-Petersbourg. Né à Nice il y a 25 ans, il avait passé une vie de bohème, à voyager partout en Europe. Il avait vu des choses magnifiques et inspirantes, mais ce à quoi il assistait dorénavant semblait véritablement indescriptible. Longtemps charmé par la beauté du pays, la capitale impériale symbolisait le coeur de toutes les Russies, pure et magnifique, distillée de toute misère. La calèche traversa le fameux Pont des Baisers pour traverser la Moïka. Une fois la rivière franchie, Jean ne se souvînt plus de rien. Il s'était assoupi durant le trajet. A son réveil, il fut frappé par une étrange sensation : Le cocher semblait avoir une voix complétement différente, s'en était presque amusant. Probablement une simple illusion provoquée par la fatigue. En tout cas, la voiture hippomobile s'était arrêtée au milieu d'une large place au bout de laquelle trônait une magnifique batîsse baroque à la façade bleue givrée. Une jeune femme attendait devant la calèche. Elle avait des cheveux de miel, coiffés en plusieurs tresses qui, tel Raiponce, lui descendaient harmonieusement le long de l'échine. Jean baisa la main qu'elle lui tendît. Une douce odeur de lilas parfumait sa peau. Parée de bijoux et d'étoffes, la comptesse portait une simple mais néanmoins élégante robe bleue majorelle. Un pendentif orné de lapis-lazuli s'accordait avec ses yeux de la plus merveilleuse façon.
"Je crains d'être indigne de m'adresser à une grâce telle que vous lorsque je peine moi même à être présentable.
-Ne soyez pas sôt. Votre petit costume, votre air negligé et votre accent -Seigneur !- vous donnent un air irrésistible.
-Il me tardait de vous rencontrer. Vos verbes m'ont inssuflé une grande passion, et si il y ai quelque chose de bien plus charmant encore que votre tenue, il s'agit bien de votre éloquence.
-Que n'ai-je pu avoir le loisir de vous rencontrer plus tôt. Aimez-vous mon parfum ?
-Madame, je peux sentir l'été m'étreindre à votre approche. Il vous sied à merveille.
-La Tsarine se fournit auprès d'un de vos compatriotes, Henri Brocard. La Cour importe ses flacons depuis Moscou."
Ekaterina sourit. Elle proposa son bras à Jean. Ils avancèrent d'un pas nonchalant vers le Palais.
"Magnifique, n'est-ce pas ? J'espère que la visite de la ville vous a plu. Cela doit vous être bien différent de l'austérité et de la froideur moscovite.
-Qui du Seigneur ou de votre grâcieuse personne devrais-je remercier de m'avoir donné l'opportunité de m'installer ici.
-Saviez vous que le Palais d'Hiver, en plus de servir de résidence hivernale à la famille impériale et à la Cour, est un grand musé d'art ? La collection comporte plusieurs centaines d'oeuvres.
-Je ne savais pas que la noblesse entretenait une relation si intimiste avec l'art. Vous avez dit une résidence hivernale ?"
La jeune femme se contenta simplement de sourire.
A leur approche, les portes du palais s'ouvrirent. Jean fut étonné de ne voir aucun garde à l'intérieur. Il fut néanmoins ébloui, littéralement, par toute la lumière qui se dégageait des nombreux lustres en cristal. Ekaterina conduisit son ami dans une grande salle, si vaste qu'elle aurait pu y accueuillir des centaines de convives. Sans qu'il ne s'en explique la raison, une mélodie parvînt jusqu'aux oreilles de Jean. La comptesse lui proposa une dance. Bientôt, les deux jeunes gens tournoillaient, virvoltaient au milieu de ce palais mystérieusement vide, dansaient gracieusement sur la musique de cet orchestre fantomatique. Seuls, seulement entourés des illustres spectres qui avaient un jour dansé en ce lieu, leurs corps ne semblaient faire plus qu'un tant la symbiose entre les deux êtres semblait surréaliste. La robe bleue majorelle s'animait parallèlement aux pas de dance d'Ekaterina. L'aristocrate faillit perdre son collier, mais l'emeraude tint finalement bon. Essouflés, aveuglés par les éclats coruscents émanant des lustres, leur valse se transforma en un grotesque ballet et ils rièrent aux éclats jusqu'à en perdre l'équilibre et à tomber l'un sur l'autre.
L'instant d'après, Jean se retrouvait assit sur un tabouret, une palette pleine de peinture dans la main gauche et un pinceau à poils fins dans la main droit. Ekaterina était allongée nue sur un divan. Elle posait langoureusement pour le peintre. Aucun homme n'aurait pu résister à l'appel d'une si belle créature. Et, bien que tombé amoureux de la comptesse, Jean se contenta simplement de peindre. Acteurs d'un amour platonique, metaphysique, leurs âmes n'en formait plus qu'une, unie lors de cet instant si onirique. Jean s'appliquait à transposer parfaitement chaque détail. Chaque courbe du corps féminin était soigneusement dessinée, chaque détail de la coiffure retranscrit à merveille, de sorte que l'enchanteresse se trouva bientôt représentée dans la plus grande perfection. Jean s'attela sur l'ultime élément de sa toile. Il choisit le pinceau le plus adapté et commenca à donner couleur à la pierre précieuse ornant le cou de la comptesse. Le rubis était flamboyant, étincelant. Ses tons rouges s'accordaient avec harmonie. Jean se recula pour admirer son travail. Après réflexion, quelque chose lui paraissait étrange. La pierre du pendentif d'Ekaterina n'était pas rouge lors de leur dance.Ce n'était pas un rubis mais une émeraude. Et lorsqu'il marchait avec elle avant d'entrer dans le palais, la comptesse était parée d'un lapis-lazuli. En relevant la tête, Jean fut stupéfé de voir que la comptesse s'était volatilisée. Il regarda sa toile et se rendit compte que les traits qu'il avait peint se gondolaient. En un instant, toute la pièce se mit à se déformer, à tourner dans tous les sens. Les boiseries changeaient de couleur, les lumières devenaient de plus en plus étincelantes. Jean ressentit des picotements dans ses doigts qui se mirent bientôt à saigner.
Jean ouvrit les yeux. Le plafond était sombre et l'air humide. Un rat était en train de lui grignotter l'index. Il dégagea légèrement sa main pour faire fuir la bestiole puis laissa échapper un terrible soupire. En face de lui, un barbu lui asséna un sourire édenté.
"Tu es pénible quand tu rêve. Le même cauchemar ?
-Le rêve ne prend cette tournure cauchemardesque qu'à la fin. Tout semble normal, très réaliste. Et plus le rêve se déroule, plus il est incohérent. A la fin, je me rend compte que cela n'est pas réel et je me réveille.
-Tu devrais l'oublier. C'est à cause de cette histoire que tu pourris ici. Les hommes mariés apprécient rarement que leur femme prenne un amant.
-Si seulement nous ne nous étions pas fait prendre cette nuit-là.
-Si seulement. Réjouis-toi. Le bagne de Sibérie reste moins terrible que si l'on t'avait chatré.
-J'en doute.
-Essaies de te rendormir. Moi aussi j'aimerais avoir un peu de sommeil."
Jean se repositionna dans sa couche, ferma les yeux, et retomba endormi.
Comme vous l'aurez compris, j'ai abordé le thème du rêve (et celui de l'été dans une très moindre mesure) en décrivant celui que Jean fait régulièrement. Tout semble cohérent et très réaliste au début. C'est pour leurrer le lecteur qui ne s'attend pas immédiatement à lire le récit d'un rêve. Au cours du récit, de petit détails deviennent incohérents : La voix du cocher qui change, le fait que la comptesse habite au Palais d'Hiver en été alors qu'elle stipule clairement que c'est une résidence hivernale. Ce phénomène s'intensifie de plus en plus lorsque Jean s'apperçoit que le palais est totalement vide. La musique qui sort de nul part est clairement un élément onirique. Mais Jean ne se rend compte de la situation que lorsqu'il s'apperçoit que les pierres du pendentif de sa maîtresse ont changé plusieurs fois de couleur. Lorsqu'il comprend qu'il rêve, il se réveille.
L'idée m'est venu de mes propres expériences. Il m'est arrivé de faire des rêves totalement cohérents (ou qui du moins me le paraissent) puis de me réveiller lorsque je me rend compte que tout cela est faux et que je ne vis pas réellement ce à quoi j'assiste. Je voulais donc adapter cette sensation dans un schéma littéraire. Ce n'était pas facile car, compte tenu de la limitation de mots (1493 dans ce texte), la chronologie est très rapide et il est difficile de faire comprendre au lecteur de façon subtile que le récit qu'il lit est celui d'un rêve.
Quoi qu'il en soit, j'espère que cela vous a plu !
Le 22 juillet 2015 à 21:27:16 --crazymarty-- a écrit :
Commando, pour le vote, je range ton texte dans quel forum ?
bah dans le 25-35 pardi ! je l'ai marqué sur le forum je crois faut bien qu'il y est un représentant de ce forum
Homm
Tu nous mets à rude épreuve, malgré quelques fautes d'orthographe
Seconde contribution
(vous remarquerez que les deux se suivent mais que séparément elles prennent l'apparence de courte nouvelle )
Après maintes étreintes (les amis tactiles le sont parfois un peu trop) je pus enfin lui parler des êtres des bois, elle m'écouta parler de la peau rugueuse des arbres, des ailes bleu-nuit des fées que j'imaginais, du vent que je voyais comme une entité à part entière et du petit ruisseau qui était pour moi une muse ou je ne sais quelle autre créature pure et légère.
Elle n'avait pas l'air convaincue, mes propos n'avaient pas de sens pour les gens qui avaient une vie concrète et plus pénible (bien que le travail n'occupait pas une place importante dans sa vie).
Elle n'était pas une rêveuse de mon envergure !
Le ciel avait viré à la nuit et la brume s'était dispersée, une immense voûte de lumières froides et cristallines avait remplacé le ciel de feu. Cette robe de nuit qu'avait revêtu le pays m'enchantais et je me pris à rêver, cet état ne perdura pas longtemps, je fus réveillé par un contact doux et tendre.
Mes yeux mirent un moment à s'habituer à l'obscurité environnante, sous les arbres la lumière des étoiles était ténue.
Mon amie s'était collée à moi, la nuit était avancée et le simple tissu bleu ne la réchauffais guère, sa famille aurait tôt fait de s'inquiéter. Je la pris contre moi et je l'étreignis dans l'espoir de lui apporter de la chaleur.
Elle lutta quelques secondes pour se défaire de moi, elle préféra s'installer à cheval sur mon corps (décidément aucune notion de pudeur).
Pour la première fois elle me parla avec plus de distance, moins de complicité mais beaucoup plus de je ne sais quoi dans la voix...
« Alors, parle moi de tes rêves maintenant »
Je ne sus que dire, je venais de tout lui raconter. Après une brève hésitation je pris ses cheveux d'une main, ils étaient lisses et encore humides, noirs comme cette nuit de cristal. Elle me dit dans un soupir :
« N'a tu jamais pensé aux femmes, à la légèreté et... »
Je l'avais interrompue en posant ma main contre ses lèvres.
Et pour la première fois je lui dit ce que je ne voulais même pas m'avouer.
« Je n'ai pensé qu'à toi, je ne m'en rendais pas compte mais je ne pensais qu'à t'approcher, j'aimais par dessus tout te voir au ruisseau, légère comme une fée ou une autre créature délicieuse » cette fois elle fut plus directe, elle plaqua ses mains contre mon torse et me dit tout haut, brisant la quiétude de la nuit et le murmure du vent :
« Je t'aime, et je suis, en cette nuit, comblée de bonheur. Elle se mit à pleurer le visage plein de joie : tu m'aimes, comment est-ce possible de ressentir de telles émotions ?
Je ne pus me retenir, un peu maladroitement nous nous embrassâmes sous ce chêne dans cette pénombre apaisante, au bord du ruisseau.
Mon corps uni au sien pour la première fois... nous fûmes deux à pleurer.
Les instants qui ont suivi étaient bien plus chaleureux et sûrement moins purs (ils furent pur pour nous)
Elle m'avait ôté mes vêtement, une simple chemise et un vieux pantalon de toile brune et s'était débarrassée de la toile bleue qui, à présent, gisait sur le sol.
Nos corps se plaquèrent l'un à l'autre, elle me susurra « Jamais je n'aurais pensé devoir faire ça »
et je ne pus résister, je sentis la poitrine se raffermir contre mon torse, les frissons que je ressentis à ce moment là furent froids. Des frissons de désir, ils me parcoururent le corps du tors au visage.
Puis, ne sachant comment, elle se mit à gémir, une expression de douleur se peignit sur son visage tandis que je ressentais des sensations différentes de toutes !
Je réalisais à ce moment précis que nos corps venaient de s'unir, dans une soupir de plaisir mêlé de larmes elle me souffla un merci et dans un baiser langoureux nous nous oubliâmes à la passion du corps.
Ce fut pour elle comme pour moi un moment unique, les mouvements de ses anches parfaites et lla fusion de nos corps, lente et douce, l'expression divine de son visage.
Elle se mit à étouffer de petits cris, avec de plus en plus de difficulté puis en laissa échapper un, elle se tortilla dans tous les sens mais l'étreinte se poursuivait frénétiquement. Je ne pus plus continuer au bout d'une dizaine de minutes et, épuisé, je laissais mon corps tomber dans les feuilles mortes et la terre sèche. Collée à moi, haletante, nue, elle me murmura « Merci » et se blottit dans le creux de mes bras avant de tomber dans un profond sommeil. L'excitation ne s'était pas dissipée de mon côté et, une demi heure plus tard l'expérience se réitéra avec d'avantage de brutalité, son corps ondulant de bonheur fut le plus beau spectacle qu'il me fut donné de voir, sa voix déformée à l'ultime moment fut la plus beau des chants et sa peau, son corps si doux en totale harmonie avec le mien la plus douce des étoffes.
Après un nouveau baiser nous nous baignâmes dans le ruisseau et nous nous endormîmes un peu plus loin dans les bois, dans une cabane de chasseur.
Le 23 juillet 2015 à 00:31:40 Varadjhin a écrit :
Homm
Tu nous mets à rude épreuve, malgré quelques fautes d'orthographe
Merci beaucoup
Mais pour parler des fautes, c'est vrai que j'ai un sale syndrome propre à beaucoup d'auteurs amateurs : J'arrive à corriger les fautes les plus voyantes mais il en reste toujours, ainsi que des répétitions ou des maladresses, que l'on repère qu'après la publication
Le 23 juillet 2015 à 00:00:14 commando501 a écrit :
Le 22 juillet 2015 à 21:27:16 --crazymarty-- a écrit :
Commando, pour le vote, je range ton texte dans quel forum ?bah dans le 25-35 pardi ! je l'ai marqué sur le forum je crois faut bien qu'il y est un représentant de ce forum
Mais du coup c'est pas franchement équitable si personne ne poste là bas. T'es sûr d'être en final du coup, non? Ou alors j'ai mal compris le système de vote ...
moi non plus j'ai rien pigé xDD
bah en me le disant c'est vrai que dans un certain sens, c'est plus du jeux, je pense que je le mettrais dans le forum écriture si personne ne post sur le 25-35 ^^
Oui enfin même sur le forum écriture y'a pas grand chose de posté
En revanche, si quelqu'un a lu mon texte et peut me donner un avis j'en serais ravi
Le 23 juillet 2015 à 01:50:45 Homm a écrit :
Oui enfin même sur le forum écriture y'a pas grand chose de postéEn revanche, si quelqu'un a lu mon texte et peut me donner un avis j'en serais ravi
J'ai beaucoup aimé, très original et l'idée est sympathique, j'aime bien le style d'écriture bien que je trouve certaines phrases trop lourdes en longueur. Je pense que je voterai pour toi.
Et puis bon l'explication de ton texte n'était pas nécessaire, le but est que l'on puisse l'interpréter nous même, si ça n'est pas évident c'est raté. Mais je pense que tout le monde peut comprendre l'évolution que tu as voulu donner à ton récit.
Et ne t'en fais pas pour les fautes d'orthographe, sauf si cela peut pénaliser pour les votes, mais il n'y a que les personnes étant de mauvaise foie pour se focaliser sur la forme en oubliant le fond.
Merci beaucoup !
En effet, j'aurais du cacher l'explication du texte derrière un bandeau "spoil" en indiquant la nature du message, histoire que ceux qui voulait garder leur interprétation n'aient aucune intervention extérieure
Mais beau défi en tout cas, c'était clairement chaud de respecter le thème et de lui donner cette forme et cette chronologie là dans le contexte que j'ai utilisé et dans une limitation de 1500 mots. J'ai essayé de donner vie au récit en incluant de nombreux détails de l'époque (le nom de la gare, des revues/journaux de l'époque qui correspondent tous à l'année indiqué au début du récit, quelques éléments architecturaux... Par ailleurs, bien qu'étant un personnage fictif, Ekaterina Anatolevna Koukarina est indiquée comme un membre d'une réelle famille noble de l'époque, les Koukarine, et présentée comme la fille fictive d'Anatole Koukarine Je voulais écrire dans un style proche du réalisme et faire en sorte que tout soit cohérent dans les moindres détails -malgré la longueur restrictive du texte- afin de leurrer le lecteur au début et partir dans quelque chose de complètement différent à la fin.
Chaud Homm..Tu m'as tout spoilé avec le 2ème post:-(
GGay sinon!
Homm, c'était vraiment pas mal, à un moment ça m'a fait penser à Anastasia ^^
quoi dire ?... c'était bien décrit justement pour donner un côté des plus réalistes qui soient. Une chute bien placée. pas de répétitions, un peu de fautes , la plupart des phrases est bien formulée.
Merci pour vos retours positifs !
Et désolé NeoDream, mais fallait pas lire le deuxième post en premier
Vous cassez pas la tête avec Mein Pseudo, appelez moi Neo:-)))
Déjà fait ...
Voilà mon texte, même si j'ai bien peur d'avoir légèrement abusé du thème de l'imaginaire :
http://www.docdroid.net/48vC1Gi/texte-concours-15-18.docx.html
Les mots-thèmes me font penser à CAMUS.