Voici ma contribution (écrite en seconde et limite hors sujet )
Une parole aveugle
Un coup dans le ventre, non pas un, pas un mais deux coups dans le ventre. Ces deux chocs me firent tousser comme si j'étais en phase terminale d'un cancer de la gorge, j'avais mal, pas seulement à la gorge mais aussi à l'endroit exact de ces deux pressions brutales. Je ne pensais à rien sauf à cette douleur incroyable qui traversait mon estomac et ma gorge, comme si j'étais un enfant qu'on corrigeait un peu trop fort pour qu'il ne recommence pas une bêtise. Pourtant, c'était moi qu'on corrigeait. Suis-je la cible d'une quelconque attaque ne visant pas ma personne mais seulement le peu d'argent, quelque pièces pour tout vous dire, se trouvant dans ma poche ? Non, il devait y avoir quelque chose derrière tout ça.
Mais d'ailleurs, où étais-je ? Aucun souvenir et toujours cette affreuse douleur qui, même légèrement estompée, continuait à me prendre les tripes et la trachée. De plus, je ne voyais rien. Ne prenez pas cela dans le sens que quelque chose me cache la vue, non, mais je ne vois vraiment rien. Je n'ai jamais rien vu en fait, je suis atteint de cécité comme ils disent. Je suis né comme cela donc cela ne me gène pas, je ne verrai jamais la lumière du jour ni les fleurs ni même n'importe quel animal. Je ne fais que me référer aux dires de personnes me décrivant ce qui les entoure mais pourtant je ne les envie pas. Pour moi tout ceci est normal, je suis né comme cela et je mourrai comme cela.
Enfin, j'ai beau vous parler de ma vie comme si de rien n'était, la douleur infâme est toujours présente. La personne qui venait de me frapper était partie alors que je sentais encore une présence derrière moi, comme un souffle. Oui il y a bien quelqu'un derrière moi, des gémissements parvenaient à mon oreille, des gémissements féminins. Je n'étais pas attaché ni bayonné ou quoi que ce soit, j'étais juste là assis, recroquevillé sur moi même à cause de cette foutue douleur qui s'estompait petit à petit. Je me dirigeais avec beaucoup de mal vers cette présence mais je réussis à la toucher. Je sentis un léger sursaut et des pleurs lorsque ma main toucha ses cheveux bouclés pourtant je ne sentais aucune peur venant de sa part, juste la surprise d'une présence inconnue. Aucune parole ne sortit de sa bouche sauf des onomatopées. Ces bruits me rappelaient quelqu'un ou même plusieurs personnes que j'avais rencontré lors d'un évenement spécial pour les personnes comme moi, les personnes ayant un sens manquant. Je n'ai pas la capacité de voir alors que certaines personnes n'ont pas la capacité de parler ou d'entendre. Je pense que cette femme ou plutôt fille a cet handicap. Je lui pris la main sans pouvoir lui expliquer la situation et la serra avec douceur pour lui faire comprendre que je n'étais pas mauvais. Elle est mes yeux, je suis sa parole. Je cherchais seulement à sortir d'ici sain et sauf et trouver de l'aide.
Je me souvins du bouton me permettant d'appeler à l'aide en cas de problème sur une manette accrochée à mon cou. Heureusement cette manette était toujours là, surement oublié par le malfaiteur. J'appuyai plusieurs fois pour être sûr d'avoir été entendu. Malheureusement, le truand revint et cette fois m'attacha les poignets et les chevilles à un lit. Je ne tenta pas de me débattre de peur de me prendre d'autres coups et de souffrir encore plus. Je cherchais des signes de présence de la jeune fille rien qu'avec des sons mais cela est trop difficile à faire surtout attaché. J'avais beau ne pas m'être débattu j'avais encore mal au ventre alors que je n'avais pris aucun coup.
Soudainement, je me sentis avancer poussé par quelqu'un sur mon lit à roulettes, par un homme avec un long manteau ou peut-être une blouse à cause de la matière qui me rappelait quelque chose. J'entendis le grincement d'une porte et mon lit y passer. Une odeur familière me fit sursauter de surprise en entrant dans cette salle, une odeur que j'avais toujours connue et qui me rassurait depuis ma tendre enfance. Je commençais lentement à comprendre ce qui était en train de se passer. Même sans la vue, je pense comprendre ce qu'est ce fameux puzzle dont les voyants me parlaient. Des indices délivrants une solution, pour moi c'était des odeurs et des souvenirs de matières précédemment touchées. J'attendais encore un dernier indice avant d'être sûr de mon hypothèse.
Le lit s'arrêta et on me détacha pourtant je n'arrivais pas à bouger mes membres ou presque pas. Je connaissais cette sensation, être privé de tous mouvement, je l'avais déjà vécus et je compris ma situation. Les deux coups dans le ventre, le manque de souvenirs, la jeune fille, la manette toujours présente, le lit, la blouse... Tout est clair, je connais cet endroit et ce qu'on y fait. Je le connais depuis que je suis né, j'ai passé de longues heures dans ce batiment durant toute ma vie et j'y passerai encore du temps, jusqu'à ma mort. Le monde entier connait cet endroit. J'ai la fameuse solution du puzzle, je suis dans un hôpital. Malheureusement je ne comprenais pas pourquoi j'ai été attaché, jamais je n'avais eu ce genre de traitement. Je sentis mon lit bouger étrangement, comme dans une barque sur de l'eau. Je pensais à une légère défaillance dans les roulettes de mon lit qui le faisaient dévier mais je ne m'attarda pas plus sur ce sujet, j'attendais juste que quelqu'un m'explique la situation et fasse venir ma famille. Je ne pouvais toujours pas détendre mes muscles, je sentais mon corps un peu plus légé sûrement dû aux tranquilisants qu'on m'avait sans doute donnés.
Soundain je sentis la même présence qu'auparavant, c'était la jeune fille handicapé qui avait disparue. J'étais heureux de sentir sa présence car je commencais vraiment à avoir peur, aucune personne ne m'avait encore expliqué la situation depuis toutes ces heures passées. Alors que je sentais mon corps être de plus en plus légé, je sentis la jeune inconnue s'approcher de moi et mettre sa main sur mon coeur qui battais lentement. Sa main était douce et me rassurait beaucoup, une chaleur qui me rappelait le bonheur du feu de cheminé pendant l'hiver avec ma famille. Beaucoup de souvenirs me revinrent à l'esprit, tous ces bons moments passés étant jeune à apprendre les sons, à rire, à me faire des amis qui me soutenaient. J'avais l'impression de me rappeler de tout en même temps rien qu'avec cette main posée sur mon coeur. Cette sensation me rappela une expression que j'avais entendu lors de certains films, "voir sa vie défiler devant ses yeux", c'était plutôt drôle dans mon état. En fait, je n'étais pas dans un hôpital. Cette fille n'était pas juste une jeune fille handicapée, elle était mon guide vers ma fin. Car oui, je n'étais pas dans un hôpital, mais sur le seuil de la mort. Elle n'était pas mes yeux, elle était mon corps se vidant de toute vie. Elle ne me donne pas la mort, elle m'offre la paix.
Le 20 juillet 2015 à 12:10:57 Varadjhin a écrit :
Crazy, si c'est un début de fic on risque quoi ?
Le 20 juillet 2015 à 12:16:43 Varadjhin a écrit :
les fautes d'orthographe sont pénalisées
Les maladresses, les phrases mal tournées ?
Tu risques le fouet
La lumière fait disparaître les ténèbres
Le jeune homme était agenouillé devant la princesse, poing sur le sol et tête baissée. Le vent soufflait et les arbres semblaient se mouvoir en rythme avec l'air pur présent sur le chemin de terre. Ce chemin étroit, et pourtant si important. La princesse continuait à fixer le jeune homme, pas de manière hautaine comme n'importe quelle princesse le ferait, mais avec curiosité et angoisse, comme un enfant découvrant une nouvelle personne. Les deux gardes du corps de la princesse se rapprochèrent du jeune homme. Deux jumelles portant toutes les deux une longue chevelure blonde. Elles observèrent le jeune homme sous toutes ses coutures. Finalement, l'une d'elles se mît à rire.
« -Haha ! Alors comme ça, un simple paysan comme toi voudrait protéger la Princesse durant son voyage cérémonial ? Demanda la jumelle en riant.
-Oui. Je maîtrise l'épée, je peux être utile. Répondit-il.
-Deux « protectrices » suffisent amplement. N'est-ce pas Princesse ? »
La Princesse ne répondit pas, elle fixait le jeune homme, espérant peut-être croiser son regard. Finalement, le jeune homme leva la tête pour regarder la Princesse. Les regards se croisèrent, et la Princesse se retourna subitement. Ce qui n'avait même pas duré une seconde semblait avoir été une éternité de gène pour la Princesse. Elle réfléchissait, les mains serrées entre elles. « A quoi pense-t-elle ? » se demandait les trois autres personnes. Enfin, la jeune femme fît face au garçon, et c'est avec une air à a la fois confiant et intrigué qu'elle effectua un court hochement de tête. Le jeune homme, alors, se releva et avec un regard assuré, il ne répondit qu'un petit « Merci ».
Le voyage allait durer plusieurs mois, et cela faisait déjà plusieurs semaines que le jeune homme avait rejoint la petite compagnie. Le temps changeait incessamment en fonction des régions, la pluie laissant la place au soleil, et le soleil faisant place aux nuages. Les compagnons de voyage n'avait jamais été témoins d'un quelconque danger, suivant toujours le chemin de Terre qui s'offrait à eux. Les arbres qui semblaient protéger la route ne cessait d'apparaître à l'horizon, comme si ce voyage n'allait jamais se terminer.
Le jeune homme n'avait pas réussi à s'intégrer au groupe si ce n'est avec la princesse avec qui il partageait de nombreux moment très intimes. Pourtant, très peu de mots étaient échangés, ils se contentaient simplement de marcher côte à côte ou bien d'admirer la magnifique lune ensemble. Ils n'avaient pas besoin d'échanger des mots, leurs cœurs semblaient déjà tout partager. Ils ne se touchaient pas, leurs mains semblaient déjà attachées. Ils ne s'aimaient pas, ils étaient liés.
Et la route continuait, cette route infinie qui allait récompenser les efforts de ses voyageurs une fois la fin atteinte. La pluie tombait, le soleil s'élevait et la neige se posait. Les arbres protégeaient toujours la route, et le feu des voyageurs n'allait certainement pas s'éteindre. Les quelques brigands qui s’essayèrent à l'attaque de la princesse étaient rapidement éliminés. Le groupe ne cédait en aucun cas à la panique, et la plupart des tentatives se terminaient en moins de quelques minutes.
Le jeune homme passait désormais plus de temps avec la Princesse. Ils ne regardaient que les yeux de l'autre, comme si chacun allait chuter dans le regard de l'autre, comme s'il n'y avait plus d' « autre » mais un tout les regroupant. Une fusion exceptionnelle où ils ne deviendraient qu'un. Et cela arriva, une nuit comme les autres : ils ne firent qu'un.
Le lendemain, le ciel se déchira, les feuilles des arbres tombèrent, les fleurs fanèrent et l'étroit chemin de terre fît place à une flaque épaisse de boue. La pluie tombait, et la tempête de neige se levait. Pourtant, aucun râle ne se fît entendre, ils continuèrent leur chemin difficilement, en gardant leur souffrance pour eux-mêmes. Le paysage qui semblait si accueillant voulait désormais les rejeter. Mais cela n'avait guère de conséquences, les quatre jeunes continuaient leurs chemins, poussés par leur envie d'atteindre la fin de leur jeunesse.
Le jeune homme et la Princesse ne se quittait pas, ils continuaient d'avancer ensemble dans ce chemin qui n'avait plus d'estime de soi ni de confiance envers les autres. Un chemin complexe et transcendé par la jalousie de cet amour. Un chemin qui avait décidé de tout rejeter, de tout dissimuler, de tout refléter. Et pourtant, le jeune homme et la princesse progressaient, encore et encore, sans se plaindre et profitant du bonheur d'être ensemble dans cette épreuve qui ne voulait plus.
Et la route continuait d'absorber toute l'envie des voyageurs, tentant de leur voler leurs âmes et leurs cœurs. Mais les voyageurs continuaient, ils ne ressentaient aucune peur, aucune hésitation, ils avançaient pour atteindre la fin du chemin, peu importe que le monde se détruise, peu importe que le soleil meure, peu importe que la route soit jalouse à en devenir diabolique. Le jeune homme et la princesse ne pouvait s'écarter l'un de l'autre. La force de leur amour était trop puissant pour cette route, qui jurait pourtant de les éliminer.
La route effectua alors sa dernière tentative pour briser les liens de ces voyageurs. Elle leva un torrent de boue et une tempête de neige. Et pourtant, le jeune homme et la Princesse s’enlaçaient, créant une protection que même le Diable lui-même ne pourrait briser. La route continuait ses attaques, d'une puissance telle que les étoiles disparaissaient et la lune brûlait et pourtant, rien ne changeait. Le jeune homme et la Princesse se tenaient dans les bras, tout comme les jumelles. Et la route comprit.
La route comprit que rien ne pouvait détruire un véritable amour entre deux âmes sœurs. La route comprit que rien ne pourrait les faire trembler. La route comprit que l'amour était d'une infinie puissance. Elle rappela ses armes, et fît place à un chemin de terre, empli de fleurs. Et les voyageurs virent alors la lumière au bout du chemin.
Coucou
Je vais participer
Donnez moi une ou deux heures pour pondre un texte potable
Déjà dimanche vite vite vite
Bon ça fera pas 1500 mots parce que je vais pas rajouter 1200 mots inutiles pour combler.
Je sais pas si c'est un texte qui me fera gagner non plus
A vrai dire j'ai écrit juste pour écrire.
Le temps de relire/reformuler/corriger et je poste ça
Ok.
Et voilà un texte
Rassure-moi j'ai pas besoin de remplir les 1500 mots?
_______________________________
Je prend conscience de ce qui se trouve autour de moi.
Le Soleil. Clair. Lumineux. Chaud.
La mer. Limpide. Translucide. Fraîche.
J’essaie de mettre des mots sur ce que je vois.
Un arbre ? Vert… Ombragé. Agréable.
Je me roule par terre.
Je suis dans le sable. Il n’y a personne. Je suis simplement face à la mer. Une mer aux eaux magnifiques.. J’y suis allé plonger il y a quelques jours. Beaucoup de coraux. De couleurs. De poissons.
Il fait chaud. C’est bien.
Le soleil éclaire la plage autour de moi. L’eau prend des reflets azur, cyan par endroits. On voit des algues dériver sous l’eau ça et là. Et du sable, du sable doux, chaud,.
Il fait bon. Mon esprit se délite. Je suis parfaitement reposé, entièrement relâché. Pas de travail, pas d’effort physique… Pas besoin de penser. Ni même d’envie de penser.
Un vent frais agite les feuilles. Le lent ressac du bord de mer m’apaise, régulier. Mes pensées ne sont concentrées sur rien. Elles volettent, librement, dans mon esprit.
Mes pieds me semblent détachés de mon corps. Ils sont légers. Ils flottent doucement. Je ne les bouge pas. Mais peut-être n’ai-je pas envie de les bouger ?
Je sens l’engourdissement remonter le long de mon corps, au rythme lent que me chantent les vagues et mon souffle. Mes mollets… Mes genoux. Mes jambes semblent détachées de mon corps. Elles me paraissent impossible à bouger.
Je respire lentement, doucement. Je ne pense pas, ou plus.
La douce chaleur du Soleil m’envahit. Je la sens dans mon ventre, puis sur mon torse, sous mon torse.
Dans mes épaules. Elle chasse les courbatures, décontracte mes muscles.
Mes bras se laissent, à leur tour, doucement aller, doucement décontracter.
Le stress accumulé pendant l’année retombe, lentement, comme une plume d’oiseau dans le vent. Je respire, tandis qu’un nouveau souffle de vent caresse mon visage.
Je ferme les yeux. La luminosité tamisée du jour passe la frontière de mes paupières, me plongeant dans un état ni tout à fait endormi, ni tout à fait éveillé.
Je m’abandonne lentement à la paix du lieu dans lequel je me trouve.
Je reste là, longtemps. Peut-être une heure, ou deux. Peut-être une éternité. J’en ai l’impression.
Je me relève quand le sable devient froid sous mon corps.
Quand la lueur que je percevais encore s’atténue jusqu’à devenir inexistante.
Je marche dans le sable, au rythme encore ensommeillé qui me convient.
Au-dessus de moi, le ciel est teinté de bleu, de violet. De rose, d’orange, de magenta. Les nuages qui flottent paraisseusement reflètent l’infinité de couleurs de la voûte céleste.
Le soir approche, mais le lieu garde son calme et sa splendeur. Le Soleil ne se couche que pour laisser place à la lueur argentée de la lune.
C’est l’été.
Jerry, entre les mecs qui font des fautes, les dingues qui respectent pas le thème les débuts de fic et les putains de Kthulutistes
Je suis une classe à moi tout seul
Bon voila c'est ma 1ere fic, ça peut paraître un peu cliché mais si vous la suivez vous verrez qu'au fur et à mesure des chapitres ça deviendra de plus en plus du type fantastique.
Bref, bonne lecture !
PROLOGUE
C'est enfin le grand jour. Après une année passée en chimie à exploiter ce projet dont je suis le responsable, mon attente va enfin être récompensée. Ce projet consiste à rendre des cadavres animaux ou humains vivants. Entre autres, des zombies, mais il y là une grosse différence : le but est de permettre à ces " zombies " d'obéir à tous les ordres qu'on leur donne, que les humains ne peuvent pas faire, comme des métiers dangereux, ingrats ou répugnants. Afin de réanimer ces cadavres et de les soumettre aux ordres, il faut leur faire une piqûre, contenant un fameux liquide qui permettra de modifier le comportement en rendant totalement inoffensif le sujet. Cela peut paraître bizarre qu'un jeune comme moi de 17 ans s'occupe d'un projet d'une telle ampleur, mais en biologie, je suis un surdoué. Depuis mon plus jeune âge je m'intéresse aux gènes, aux micros-organismes, à la biologie tout simplement. C'est mon père qui m'a transmis cette étrange passion.
Je me dirigeai vers la l'estrade à côté du lac. En effet, nous avions décidé d'organiser cette expérience en pleine forêt, près d'un lac, afin d'éviter que tous les citadins ne vienne nous déranger, voire pire : voler le projet. Il y avait donc uniquement les membres du projet, professeurs de chimies, certains scientifiques, mes amis et tous les étudiants de 1ère S de mon lycée et de nombreux parents, dont mon père, ma mère étant morte d'un accident de voiture... Je montai sur l'estrade, me racla la gorge et commença un bref discours :
- Bonjour à tous, et merci d'être venu! Je n'ai pas besoin de vous expliquer comment se déroulera l'expérience car vous la connaissez tous, si jamais vous avez des question demandez aux professeurs et scientifiques, il vous répondront et vous expliqueront le processus. Malgré mes 17 ans, je suis responsable d'un projet phénoménal, et je remercie tout les professeurs ici présents de l'avoir accepté et de m'avoir aidé à lui permettre d'aboutir. Trêve de discussions, mes assistants vont procéder à l'expérience.
Des applaudissements et félicitations fusèrent, je saluai puis me dirigeai au fond de la clairière, avec mes meilleurs amis : Chloé, Léa, Pierre et Caroline. Nous parlâmes quelques instants, puis l'expérience débuta. L'assistant posa le cadavre du chat sur une table, puis lui injecta une dose du liquide virale. Toute l'assemblée retint son souffle. Puis, doucement, le chat ouvrit ses yeux. Ses pupilles, vertes, étaient marquées d'un signe qui le différenciait bien des autres chats : un éclat rouge.
Cela m'étonna car normalement, ce ne devait pas être le cas. L'animal leva une patte, une autre, puis se leva totalement et regarda devant lui en poussant un miaulement assez étrange : mon expérience avait marché. Un tonnerre d'applaudissement retentit de nouveau et un je ressentis un immense bonheur.
Soudain, un cri aigu perça l'ambiance de fête : je tournai la tête et vit que le chat venait de mordre l'assistant à la gorge. Ce dernier, les yeux grands ouverts, fut pris de convulsions et tomba lourdement sur le sol. L'assemblée observait sans émettre aucun son. Mon père s'approcha près de l'assistant blessé, puis poussa un cri de douleur et tomba à son tour au sol : l'assistant venait de le mordre.
Je compris tout d'un coup, et je n'étais pas le seul : des cris de terreur fusèrent. Les instants suivants furent une véritable pagaille : tout le monde chercha à s'enfuir, mais le nombre de mordus et donc de zombis augmenta en flèche. Je venais de créer non pas une gène modifiant le comportement de cadavre, mais un virus, une maladie, une épidémie : l'épidémie redoutée de tous, l'épidémie ultime, l'épidémie des films de fictions : l'épidémie de zombie. Un flot d'émotion me submergea : une tristesse et douleur folle pour mon père, mais une terreur et culpabilité encore plus forte.
- Papa ! hurlai-je de toute mes forces
Je sentis une main m'agripper. Alors ça y est, tout va se finir comme ça, mordu et condamné à errer sans fin en quête de chair fraîche. Je me retourna prêt à affronter mon destin et vis Léa, en train de hurler à travers l'apocalypse :
- Max, allons nous en, vite ! Je ne peux pas te laisser la !
Elle continua de me tirer et je me dis que de toute façon je n'avais que cette solution : fuir. Nous rejoignîmes Chloé, Pierre et Caroline et nous montâmes dans la voiture de Pierre. Fuir ne fut pas aisé dans cette panique, mais finalement nous y arrivâmes. Le long de l'unique petite route qui menait à la clairière ou la catastrophe avait eu lieu, nous aperçûmes des voitures de policier, et plus loin des tanks. L'armée était déjà sur le coup, comment avait-elle fait ?
Quelques heures plus tard, après un long blanc dans la voiture causé par le choc, j'arrivai à prononcer quelques mots :
- Ou allons nous ...?
- Chez moi, près de la mer, loin de cette folie, répondit Pierre.
Personne n'osa répondre, et Pierre mit la radio. La musique qui passait, " I'd love to change the World " fut subitement interrompue par un flash info. A cause du mauvais réseau, nous ne pûmes entendre que quelques mots :
- Bzzz... Problème en forê..... Zomb... Bzzzz... Armée et for....de l'ordre tuées ...Bzz... transform..... en... Bzzz morts-vivants...
Ces mots là furent amplement suffisant. Le cauchemar ne faisait que commencer.
Heu j'ai lu un peu et je vois que 3 textes intéressants (sur le topic 15-18 en tout cas)
Après c'est subjectif, et moi je serai incapable de faire un texte pareil, mais à mon avis le problème c'est que trop de gens essaient de faire des textes "tro styl t voi" ou de faire du remplissage. 1500 c'est une limite, pas un chiffre à atteindre...
Enfin je pense
Cela dit le texte d'Andromagne est excellent
Et le premier texte sérieux qui ai été posté aussi
Et pour les autres c'est beaucoup trop long
Sauf Fargan, dont j'ai déjà vu des fics, salut Fargan, et qui a fait un truc pas mal à mon goût
Cela dit sans vouloir critiquer, un thème "fourre-tout" est pas assez restrictif à mon avis
The Witcher 3 à 7€
https://www.g2a.com/r/promo-the-witcher-3-nosteam
Et la version STEAM à 24€
https://www.g2a.com/r/promo-the-witcher-3-steam
10 jeux STEAM (au hasard) pour compléter sa bibliothéque pour 2.97€
https://www.g2a.com/r/steam-10-random-cd-key
Watch Dog à 1.09€
https://www.g2a.com/r/promo-watch-dogs-pc
Skyrim Legendary Edition (tous les DLC!) à 7€
https://www.g2a.com/r/promo-the-elder-scrolls-v-skyrim-legendary-edition
Payday 2 à 8.07€
https://www.g2a.com/paydaday-2-steam-cd-key-global.html
Les 12 mois du Xbox-live à 24€
https://www.g2a.com/r/promo-xbox-live-12-months
Le PSN+ 12 mois à 44€
https://www.g2a.com/r/promo-playstation-plus-365-days-card
Et pleins d'autres encore !
Profitez des promos les KHEYS, & c'est NO-FAKE !
flsim
j'ai une question :
On poste notre texte sur un seul topic ou sur tous ?
J'ai encore rien écrit mais je me demandais.
Pourquoi il n'y a pas le +35 qui participe? Lorient n'a pas accepté de se mesurer à des jeunes par peur qu'on lui mette la misère?
Tu vas être content, mon cher Crazy, je vais avoir le temps de participer. Je m'y atèle de suite.
Je vais essayer d'écrire dans un format différent, ça risque d'être compliqué, mais quitte à tenter l'originalité...
Voilà, un petit truc que j'ai rédigé, sous la forme d'un sonnet. En espérant que ça passe.
Et j'ai de la concurrence à ce niveau-là, avec Andromagne qui me sodoculte.
Un rebord de fenêtre, une paisible nuit noire
Un beau ciel étoilé, le chant des sauterelles
Magnifique décor pour le plus beau des soirs
Et ce beau soir d'été me fait penser à Elle.
Je la vois dans les champs, cheveux volant au vent
Je la vois je la sens, doux parfum huile d'argan
Une journée d'été se fait tant désirer
Une vie regrettée se fait tant oublier.
Je ne peux pas la voir car elle n'existe pas
Je ne la connais pas, mon esprit l'inventa
J'écris mais mes mots meurent, je pense à mon trépas.
Dehors, sombre est la nuit, la nuit d'un soir d'hiver
J'imagine l'été, j'imagine la vie claire
Car je n'en verrai plus, un grand Merci, cancer.
Accrochez vous ça décroche ! J'ai choisie le thème de l'imaginaire et de l'été .
Ce soir là, la lune était pleine et particulièrement blanche, un vent frais caressait les herbes haute de la Forêt Vierge et le silence était à son comble. Allongé sous un chaîne Messire Black et son guide le célèbre chasseur Romain l'aiguille avaient allumer un feu de camp. L’aiguille, était surnommé ainsi a couse de sa tendance à aiguisé les pointes de ses fléché pour faire passer le temps " C'est un tic " avait-il confier à Messire Black. Black, de son vrai nom Messire Gorge Blackroum était originaire des cités, un archipel situé dans les région du sud, il avait les cheveux noir comme ses yeux lui venait tout droit des ténèbres, ce qui justifiait pleinement sont surnom au yeux de l'aiguille. Le chasseur dormait paisiblement, enveloppé dans plusieurs draps, il avait pris la selle de sont destrier en guise de coussin, Messire Black songea qu'il n'avait jamais entendue un homme ronfler de la sorte. Black, allongeait sur un simple draps au couleurs de la maison du Val-Des-marrais c'est a dire bleu et gris ne trouvait pas le sommeil "Il fait beaucoup trop froid pour dormir. se disait-il. "Et dire qu'ils sont en été... l'hiver et surement assassin dans ses région" il se redressa et saisit de provision.
-Reposer ça. dit l'aiguille d'une voix endormie.
Messire Black resta sourd a cet remarque.
-Messire ! Repris l'aiguille. Les animaux pourront sentir l’odeur de la nourriture !
-Les animaux dorment. répondit Messire Black en sortent un morceau de viande séché du sont sac.
Messire Black était âgé de trente-quatre ans, c'était "un homme grand et robuste, courageux et dévoué" comme l'était touts les chevaliers des cité, il y quatre jours, il c'était embarquer dans une aventure aussi dangereuse et noble : Retrouver le meurtrier du roi des roi. les témoins du meurtre avait dit que le tueur c'était enfui par le forêt vierge "Les témoins... des paysans aussi illuminé que des ânes, le nouveau roi dispose de toute une armé et il envoie deux hommes débusquer le meurtrier de son père... veut-il vraiment le retrouver ?"
-Messire ! refermer ce sac vous allait nous faire tuer ! hurla l’aiguille.
-Un chasseur de prime n'a pas d'ordre à donner à un chevalier. lança sèchement Messire Black.
A suivre ?
Un petit poème en prose de l'été sur JVC
"À passer tes journées sur JVC
Une vie entamée, tu renies déjà la Liberté
Tu as oublié tes valeurs,
Et le monde extérieur,
14 Juillet, pour toi célébrer
Rime avec "Oublier"
On ne cesse de te le dire "Sors"
Non, taper sur un clavier n'est pas un sport
Ici, on se traite de gros porcs,
Mais certains n'ont pas vu leur corps,
Désolé de te le dire, mais tes 50 abonnés,
Ne remplaceront jamais ceux sur qui tu peux compter,
Je pense notamment à celle qui t'a elevé,
Pauvre mère, elle ne fait pas le poids face à Internet,
Ou encore ta foutue tablette, mais elle au moins, elle lit la Vraie Gazette
Et pas la copie Made In JVC
T'as troqué ta Life contre un Avatar, ton CV contre une CDV
T'as troqué ton corps contre un gros bide
Fais moi plaisir, par cette chaleur,
Éteint ton Ordinateur"
Je viens de lire le topic, et j'ai vraiment envie de recommencer à écrire, je m'ennuie tellement chez moi.
Merci, je ne sais pas par contre si je participe.