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Sujet : [Fic] La Flèche Blanche.

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kamuko kamuko
MP
Niveau 9
07 novembre 2013 à 17:42:49

T'inquiète :ok:

SkyCraftGames SkyCraftGames
MP
Niveau 8
07 novembre 2013 à 23:07:26

J'ai vraiment hâte au combat avec le Rôdeur :bave: :bave: :bave:

Yrsch Yrsch
MP
Niveau 3
08 novembre 2013 à 18:34:27

:up:

Peil Peil
MP
Niveau 57
09 novembre 2013 à 13:59:44

Chapitre 85 :

Azzyro contempla le corps ensanglanté du garde dans ses bras. Il avait les yeux grands ouverts et fixait le plafond, sans rien y voir. Le sang qui jaillissait de sa gorge percée à gros bouillons avait maculé ses mains et sa poitrine.
Zarys Deskoï renifla sèchement.
Le capitaine de la garde releva la tête. Il se rendit compte que tous les convives avaient les yeux fixés sur eux deux. Cela n’allait néanmoins pas le calmer.

-Qu’est-ce qui vous a pris ? gronda Azzyro. Pourquoi avez-vous fait cela ?
-Fait quoi ?
-Pourquoi l’avez-vous tué ?!

L’Aiguille lui lança un sourire torve. La froideur avec laquelle il avait tué le garde contrastait avec l’expression aimable qu’il affichait en permanence sur son visage.

-Pourquoi l’ais-je tué ? Mais parce qu’il a attenté à la vie de la princesse, pardi.
-J’ai ordonné à mes hommes de le capturer !
-Et alors ? Je ne suis pas uns de vos hommes. J’agis comme bon me semble, capitaine.
-Etes-vous donc un imbécile ?! rugit Azzyro. Idiot au point de tuer sur le champ un homme dont nous aurions pu tirer des renseignements ?! Son organisation ?! Son but ?! Le nom de son commanditaire ?!

L’expression mi-amusée, mi-perplexe qu’arborait Zarys Deskoï jusque là disparut instantanément. Ses yeux revêtirent la froideur de la glace, et ses lèvres se tordirent en une grimace de colère. Le regard qu’il posa sur Azzyro aurait paralysé un troll des montagnes sur place tant il débordait de cruauté.

-Au nom de l’affection que vous porte la princesse, je fermerai les yeux pour cette fois. Cependant, ne me traitez plus jamais d’imbécile. J’ai fait couler à flot le sang de certains hommes pour moins que ça.

Azzyro lâcha le garde et se redressa, la main sur la poignée de son sabre.

-Un jour un homme m’a tenu semblable discours. On s’est rendu compte peu après qu’il avait souillé ses chausses tout en me menaçant. L’affection que me porte la princesse ? Je ne vois là qu’une pitoyable excuse pour dissimuler ta lâcheté. Essayes donc de me tuer si tu en as le cran, garçon.

Zarys pâlit et fit un pas en avant, sa lèvre inférieure tremblant de fureur. Azzyro dégaina à moitié sa lame et fléchit les genoux.
« Viens, pensa-t-il. Encore un pas, et tu es mort. »
Soudain, trois Chevaliers Lunaires s’interposèrent et barrèrent la route à l’Aiguille. Le roi frappa dans ses mains.

-Il suffit ! lança-t-il d’une voix impérieuse. Restez-en là ! Zarys Deskoï, reculez. Azzyro, rengainez votre épée.

Zarys se força à reprendre une mine joviale, mais il fit volte-face sans un mot et disparut d’un pas rageur. Azzyro cracha par terre et rengaina son épée à contre cœur. Les invités formaient un cercle autours du cadavre. Les Chevaliers Lunaires faisaient de leur mieux pour les en écarter.
Le capitaine tourna la tête vers le Rôdeur. Il tenait la princesse dans ses bras. Celle-ci tremblait de tous ses membres mais tentait de garder une expression calme. Le roi s’approcha d’elle. Azzyro remarqua que Felisia marchait à ses côtés.
Quand était-elle arrivée ? En même temps que le Rôdeur ? De toute façon, lorsqu’un danger menaçait la princesse, elle n’était jamais loin.
Le roi Karjyo posa sa main sur l’épaule du Rôdeur.

-Vous avez fait preuve d’une grande bravoure en protégeant ma fille. Je vous remercie. Elle serait morte sans votre intervention. Je vais vous faire chevalier et vous couvrir d’or.

Le Rôdeur resta silencieux. Mais Azzyro entendait sa respiration sous son masque métallique. Il semblait amusé. Felisia s’approcha.

-Si je puis me permettre, le Rôdeur n’est intéressé par aucune de ces choses. Les titres de noblesse et les richesses le laissent indifférent.

Le roi Karjyo eut un regard perplexe. Le Corbeau apparut à ses côtés et sourit.

-Je vais me charger de ramener la princesse Lewyna dans sa chambre. J’imagine que la fête est finie. Elle a besoin de repos.
-Oui, répondit le roi. Faites donc.
-Non, intervint Azzyro en s’approchant. C’est moi qui vais ramener la princesse.
-Il suffit ! le coupa Karjyo. Corbeau, Felisia, Rôdeur, raccompagnez ma fille dans ses quartiers.
-Mais…
-Capitaine Azzyro, vous, suivez-moi. J’ai à vous parler.

Azzyro hocha la tête et fit signe à ses hommes d’évacuer la salle et de mettre le cadavre quelque part. Il lança un regard noir au Corbeau quand celui-ci donna son bras à Lewyna afin de la soutenir dans les escaliers.
Le roi sortit de la salle et se dirigea vers un autre escalier qui menait à ses propres quartiers. Azzyro le suivit.
Ils arrivèrent dans sa salle de travail. Le capitaine referma la porte derrière lui.
Le roi s’appuya sur sa table et soupira. Il ouvrit une commode et remplit deux coupes de vin. Il en tendit une à Azzyro.

-Non merci, fit le capitaine. Je ne…
-Prenez, et buvez, ordonna le roi. Je l’ai fait importer de l’Archipel de l’Automne. Il n’existe pas de meilleurs vins que là-bas. C’est un grand cru.

Azzyro prit la coupe et la renifla. Aucune odeur suspecte. Il la porta à ses lèvres et but une gorgée. Il devait reconnaître que le vin était bon. Le roi se laissa tomber lourdement sur sa chaise. Il secoua légèrement son verre et regarda sa boisson tourner à l’intérieur.

-Azzyro, j’ai réfléchit à ce que vous m’avez dit. Les attaques envers ma fille se multiplient, ces temps-ci. Il y a fort à parier que ce garde a été engagé par la même personne qui a payé l’assassin qui s’est infiltré dans la chambre de Lewyna.
-Votre mage va examiner le cadavre. Nous pourrons peut-être trouver des choses intéressantes sur lui.

Azzyro but une gorgée de vin et grogna.

-Si seulement cet imbécile de Zarys Deskoï ne l’avait pas tué…
-L’Aiguille a agit sans réfléchir, il est vrai, mais vous ne pouvez pas blâmer son sang de n’avoir fait qu’un tour lorsque ce chien a tiré sur ma fille.
-Certes. Mais il a peut-être condamné la princesse par la même occasion. Quelqu’un en veut à sa vie, quelqu’un qui a déjà payé deux assassins. Il y a fort à parier que le troisième aura appris des erreurs de ses prédécesseurs.
-La Confrérie Noire ?
-Non, un assassin de la Confrérie Noire n’aurait pas été maladroit au point de se déguiser en garde et tirer un carreau d’arbalète sur la princesse au milieu de la foule, sans échappatoire.
-La Morag Tong, alors ? Cela ressemble à leur méthode.
-Ils n’ont plus aucune influence en dehors de Morrowind, et nous sommes bien loin de Morrowind, majesté. De plus, le garde n’était pas un Dunmer.

Peil Peil
MP
Niveau 57
09 novembre 2013 à 14:00:06

-Les Sangs-de-Brume ? Les Ensommeillés ? Les Rougedagues ?
-Les Sangs-de-Brume sont basés à Orcrest et ils n’agissent jamais hors de leur cité, car le pacte qu’ils font lors de leur intégration pour gagner leurs pouvoirs les rend impuissants à l’extérieur des remparts de la ville. Les Rougedagues, eux, ont été dissouts il y a dix ans, et ils n’étaient de toute façon pas assez influents pour qu’on leur confie le meurtre d’une princesse. Quant aux Ensommeillés, vous savez bien que leur méthode d’assassinat est l’empoisonnement par goutte-de-lune. Si c’étaient eux qui avaient été engagés, la princesse serait déjà morte, plongé dans un sommeil éternel. Non, c’est forcément une autre organisation.
-Je vous charge de mettre ça au clair.
-Oui, bien sûr.
-Vous ne m’avez pas compris. Vous allez accompagner ma fille à Rimmen et enquêter sur ces deux tentatives d’assassinat, dans le plus grand secret, bien entendu. Tenez.

Le roi tendit un rouleau de papier à Azzyro.

-On vous laissera passer partout avec ça. Ce parchemin porte mon sceau. Je vous autorise à faire tout ce que vous jugez bon pour garantir la sécurité de ma fille. Y compris verser le sang, si cela est nécessaire.
-Je… Merci. Qui assurera mes fonctions pendant mon absence ?
-Je vous laisse désigner quelqu’un. Du moment qu’il est compétent.
-Puis-je emmener des hommes avec moi ?
-Non. Vous serez seul. Je veux que vous soyez extrêmement discrets. Officiellement, vous n’accompagnez la princesse qu’en tant qu’ami et compagnon de voyage. Felisia se charge de sa protection.
-Je vois.

Azzyro reposa la coupe de vin sur le bureau. Il allait sortir quand la voix du roi s’éleva.

-Ah, et Azzyro… Gardez un œil sur le Corbeau et le Rôdeur.

Le capitaine hocha la tête.

-A vos ordres, majesté.
-J’ai confiance en vous, Azzyro. Vous êtes mon plus loyal sujet et votre efficacité n’est plus à prouver. Mettez cette affaire au clair, et revenez-nous vivant. Rimmen est un nid de serpent.
-La princesse a horreur des reptiles. Je les tiendrais à distance. Et je dénicherais celui qui essai de la mordre, dans l’ombre.
-Merci.

Il sortit avec un sourire satisfait sur le visage. La porte se referma. Le roi soupira et finit sa coupe de vin avant de la remplir de nouveau. Il tourna la tête vers sa fenêtre. Le ciel nocturne était quelque chose de magnifique. Un roi n’avait pas souvent l’occasion de le contempler.
Quelques minutes plus tard, la porte se rouvrit. Felisia entra dans la chambre du roi d’un pas lent.
Le roi pivota vers elle.

-La vie d’un souverain est épuisante, tu sais. Je ne la recommande à personne.
-Je sais.

Felisia s’approcha du roi. Celui-ci reposa sa coupe de vin. Un sourire apparut sur son visage. Soudain, ses traits se déformèrent et se brouillèrent. Ses poils disparurent, son museau se rétracta, ses oreilles s’allongèrent, et ses yeux changèrent de couleur.
Devant la Dunmer se tenait maintenant un Bosmer à l’allure séduisante et aux cheveux argentés. Une lueur malsaine brillait dans ses yeux.

-C’est sous cette apparence que tu me préfères ?

Son apparence changea de nouveau, et il devint un Argonien joufflu aux écailles luisantes d’humidité. Une queue de lézard était même apparue dans son dos et fouettait le sol en soulevant des nuages de poussière.

-Ou celle-ci ?

Une seconde plus tard, il avait pris les traits d’un Dunmer aux cheveux nattés et au regard profond. Sa bouche était dure, et sa peau rugueuse, mais il y avait quelque chose de doux dans ses yeux. Il s’appelait Helleniste, et il était mort depuis presque un an.

-Ou encore celle-là ? Je sais que tu adores celle-là.
-Cesse tes petits jeux, siffla Felisia. Et ne prends plus jamais les traits de mon frère. Jamais.
-A vos ordres, fit le Serpent d’un ton amusé avec une légère courbette.

Il reprit son apparence véritable en un clin d’œil. Son visage Impérial couvert de cloques et de cicatrices hideuses, son nez réduit à deux fentes pâles évoquant le faciès des reptiles, ses yeux maladifs enfoncés dans leurs orbites, ses dents taillées en pointe et son crâne rasé.
Le Serpent cracha par terre. Sa salive fuma en touchant le sol et creusa des petits trous dans le sol.

-Et le roi ? lança la Dunmer.
-En sûreté. Il dort. Je peux prolonger son sommeil, si tu le désires. De façon définitive.
-Tu le réveilleras dans trois jours. C’est la date à laquelle tu es censé arriver.
-Mes frères ignorent encore que je suis déjà là ?
-Oui, ils pensent que tu es le vrai roi.
-Et le quatrième ? Est-il également là sans qu’on le sache ?
-Non, mais il arrivera sous peu.
-Cela fait longtemps que je ne l’ai vu.
-Je sais. C’est moi qui ai tenu à ce que vous restiez tous séparés jusqu’à notre plan final.
-Pourquoi avoir fait ça ?

Le Serpent s’était assis sur le lit du roi, les jambes croisées, et sirotait son vin.

-Pour la même raison que je vous ai éloigné de Shuzug Gro-Yargol. Vous deviez progresser. Evoluer chacun de votre côté. Développer et affiner vos aptitudes. Et brouiller les pistes bien sûr. Vous n’ignorez pas que l’Empire vous a traqués pendant des années.
-Hum…
-Bien, reprend l’apparence du roi, maintenant. Je vais y aller. Reste discret.
-A vos ordres, Maîtresse, ricana le Serpent.

Un instant plus tard, c’était le roi Karjyo qui se tenait sur le lit, dans ses habits royaux. Felisia sortit de la chambre et expira.
Elle n’aimait pas le Serpent. C’était celui qui lui posait le plus de problème. Son emprise sur lui n’était pas totale, et il en était parfaitement conscient. Il… n’obéissait pas comme il le devait. Il était différent de ses frères. Néanmoins, il était nécessaire à ses plans, comme les trois autres. Bien sûr, une fois que tout serait terminé, elle devrait s’en débarrasser.
Felisia croisa une servante et reprit un visage aimable.
Le plan se déroulait comme prévu alors… pourquoi était-elle inquiète ?

Mont-Cul Mont-Cul
MP
Niveau 10
09 novembre 2013 à 14:05:56

Super sweet :oui:

SkyCraftGames SkyCraftGames
MP
Niveau 8
09 novembre 2013 à 15:00:07

:bave: :bave: :bave: :bave:

SWEEEETT!

Pseudo supprimé
Niveau 10
09 novembre 2013 à 17:09:57

j'ai l'impression que le serpent prépare quelque chose dans le dos de felisia en tout cas il est vraiment puissant vu que même le rodeur et le corbeau n'ont pas découvert qu'il s'était déguisé en roi

SkyCraftGames SkyCraftGames
MP
Niveau 8
09 novembre 2013 à 20:46:11

Oui mais le Rôdeur est pour moi le plus fort des 4.

Meme si on ne sait pas qu'est-ce que le 4e est :doute:
Surement un genre de gros barbare :hap:

Peil Peil
MP
Niveau 57
09 novembre 2013 à 21:05:27

Tiens ouais, vous préférez lequel des Quatre ( des trois qui sont apparus pour l'instant ) ? :noel:

zorro85 zorro85
MP
Niveau 10
09 novembre 2013 à 21:15:42

Perso, indéniablement le rodeur, un tueur froid et sanguinaire... C'est le guerrier idéal, à coté, les deux autres ont beau être impressionnant (Le corbeau peut bien secréter n'importe quel poison?) ils sont trop sûrs d’eux, je suis sûr que ça jouera contre eux, le rodeur lui semble pas aussi fière qu'eux. Et je préfère cet état d'esprit

Peil Peil
MP
Niveau 57
09 novembre 2013 à 21:49:02

"Le corbeau peut bien secréter n'importe quel poison?) "

Ca c'est le Serpent :hap:

Pseudo supprimé
Niveau 10
09 novembre 2013 à 22:43:22

je dirais que je préfère le rodeur j'aime bien son style à la terminator qui traque inlassablement sa proie mais j'attend beaucoup du quatrième

LamastiquemonZ LamastiquemonZ
MP
Niveau 10
10 novembre 2013 à 00:24:25

J'aime bien le serpent même si c'est un peu un gamin à se déguiser en n'importe qui tout le temps :noel:
Je me suis fais tellemts d'hypothèses, déjà je suis sûr que l'aiguille était le chef (ou un sous-chef) du faux garde et qu'il l'a tué exprès...
Puis que le serpent ca se rebelzer ( :hap: ) et aider Roderick et sa bande :oui:

LamastiquemonZ LamastiquemonZ
MP
Niveau 10
10 novembre 2013 à 10:19:48

A chaque fois je confonds ta fic avec assassin's creed (1&2) puisque je l'ai fais y'a pas longtemps et avec les histoires d'assassinat et je m'imagine les villes en mode Jérusalem ou Venise de la Renaissance, le capitaine je le prend pour (le gars dont j'ai oublié le nom dans le 2, l'ex-général d'après ce que j'ai compris, celui qu'on doit sorti de... :spoiler: :hap: de prison et qui veut tout le temps se battre avec son épée dont j'ai aussi oublié le nom... fin :spoiler: ), le roi je le prend pour le roi Guillaume du 1, l'Aiguille me fait penser à Leonardo je sais pas pourquoi :hap: Et à chaque fois j'oublie que c'est des chats et jz les imagines en humains, ça m'a fait pareil pour les Argoniens :hap: Et si tu rappelais pas assez souvent j'en oublierai que l'histoire se passe sur Nirn :noel:

zorro85 zorro85
MP
Niveau 10
10 novembre 2013 à 13:04:05

Le serpeut peut changer d'apparence ET secreter du poison??
Mais il fait quoi alors le corbeau? :hap:

Peil Peil
MP
Niveau 57
10 novembre 2013 à 13:16:23

"Le serpeut peut changer d'apparence ET secreter du poison??"

Oui :oui:

"Mais il fait quoi alors le corbeau?"

Ses capacités n'ont pas encore été révélées, tout ce que vous savez pour l'instant c'est qu'il a réussit à suivre le Rôdeur pendant une semaine sans que celui-ci ne s'en aperçoive, donc c'est pas un petit joueur :hap:

Moulin-Wesh Moulin-Wesh
MP
Niveau 10
10 novembre 2013 à 13:35:04

C'est fou, j'en arrive presque à vouloir que le Rôdeur et ses potes s'en sortent sans grand mal (ou plutôt sans réels problèmes vis-à-vis de leur mission) alors qu'ils représentent les ennemis du Héros :rire:

Pour ma part, et comme pas mal de monde (sûrement pas pour les mêmes raisons), mon préféré parmi les Quatre reste le Rôdeur. D'une parce qu'on a déjà eu droit à plusieurs démonstrations de ses talents, mais aussi parce que c'est celui qui en dit le moins et qui reste le plus serein.
En fait, c'est celui qu'on connait le mieux puisqu'il est apparu dès le début, et je pense que ça joue pas mal sur le ressenti (bien qu'il soit le plus bad-ass des trois :oui: ).

Peil Peil
MP
Niveau 57
10 novembre 2013 à 21:50:38

Chapitre 86 :

Zemir ouvrit péniblement les yeux. Aussitôt, la puanteur étouffante de sa cellule envahit ses narines. Quelques jours plus tôt, il en aurait vomi. Aujourd’hui, il s’y était accoutumé. Tout comme l’odeur du sang et de la poussière.
Le Rougegarde se demanda ce qui l’avait réveillé. Il se redressa sur un coude. Les cris de la foule, dehors. Et le fracas des épées. L’acier sonnant contre l’acier, parfois entrecoupé des hurlements des combattants et du son de leur corps retombant lourdement sur le sable.
L’arène de Rimmen était bruyante.
Zemir voulut se rendormir mais il savait qu’il allait combattre, aujourd’hui. Comme tous les jours. Jusqu’à ce qu’il meure. Le destin des gladiateurs.
Comment en était-il arrivé là ?
Leandrey, Marang et lui avaient quittés Roderick, Shuzug et les autres plusieurs jours plus tôt. Un an, lui semblait-il, mais en réalité, il n’avait du s’écouler que deux semaines. Ils avaient longés la côte pour atteindre Rimmen. Vouloir rejoindre les Libérateurs… Quelle connerie.
Ils avaient été surpris par une troupe de Thalmor, à la frontière d’Anequina, à la place des rebelles qu’ils étaient sensés contacter. Leandrey avait été fauché par un éclair de feu qui avait jaillit de la main d’uns des Elfes.
Son frère avait emporté quatre guerriers Altmers avant que le chef du groupe ne prononce sa foutue incantation. Zemir était occupé à affronter un autre Elfe à ce moment là. Il n’avait entendu qu’une détonation sourde et le cri de Marang. Puis, il avait tourné la tête, et n’avait vu qu’un corps calciné, à moitié réduit en cendre, au milieu d’un cercle écarlate de sang et de tripes.
Zemir avait continué à se battre. Le même Altmer qui avait tué Leandrey était parvenu à le désarmer alors qu’il égorgeait son sixième Thalmor. Et il s’apprêtait à l’achever quand le chef avait retenu le geste de son soldat et s’était approché.
Il avait toisé Zemir et un sourire s’était dessiné sur son visage.

-Un vrai diable, celui-là. Ce serait du gâchis que de le tuer maintenant. Il faut que Lëzambe le voit.

On lui avait lié les poignets et les chevilles, et on l’avait attaché à un cheval. Zemir avait bel et bien rejoint Rimmen, mais en tant qu’esclave. L’Altmer qui l’avait capturé l’avait vendu au dit Lëzambe, le chef de l’arène de Rimmen, un petit Khajiit maigre aux yeux perçants et aux griffes limées, membre de la famille royale de Rimmen, les Sakäyazaka.

-Oui, il pourrait se débrouiller, avait fait Lëzambe en l’inspectant, bien que je doute qu’il survive à un seul combat face au Scorpion Noir ou à Lemy Rougepoigne.
-Qu’importe, avait répondu l’Altmer, il amusera le peuple. C’est tout ce qui importe.

Le Thalmor était reparti avec les poches pleines d’or et Zemir avait été conduit dans les sous-sols de l’arène où se trouvaient les cellules des gladiateurs. Depuis, il avait combattu, jour après jour. La première fois, il avait du faire face à deux Khajiit. Il les avait défaits facilement. Le lendemain, il avait occis uns des champions de l’arène, un Orque au visage à moitié brûlé. C’était à ce moment que son nom avait commencé à résonner un peu partout dans la cité, et qu’il s’était taillé une réputation.
Le Loup de Lenclume, qu’on le surnommait.
Des hommes étaient venus le chercher. Quand un combattant commençait à faire parler de lui et à être apprécié de la foule, il était fréquent qu’on le déménage dans une cellule individuelle, plus spacieuse et plus luxueuse. Les champions de l’arène comme le Scorpion Noir ou l’Ours avait le droit à de vrais lits, des repas complets chaque soir, et même des serviteurs pour leur apporter tout ce dont ils avaient besoins après chaque combat.
Zemir l’ignorait. Quand les hommes étaient venus le tirer de sa couche de paille, il avait brisé le nez du premier et avait étranglé l’autre, presque jusqu’à le tuer. Il avait alors gagné une autre réputation, celle d’un prisonnier rebelle et sauvage. Alors on l’avait laissé dans sa vieille cellule puante.
Aujourd’hui, Zemir n’était plus que l’ombre de lui-même. Un homme brisé.
Les arènes étaient courantes en Tamriel. Il y avait eu une en Cyrodil. Il y en avait une très réputé en Val-Boisé. Sur l’Archipel de l’Automne, chaque cité en possédait une. Mais la plus célèbre de toutes était celle de Rimmen.

« Les cris ont redoublés, pensa Zemir en tendant l’oreille. C’est sûrement l’Ours qui se bat. »

L’Ours était un monstrueux Nordique, quasiment aussi grand et épais que Shuzug, au crâne rasé et à la mâchoire carrée. Il avait l’habitude de combattre presque intégralement nu, vêtu seulement d’un pagne de fourrure, et armé d’une petite hache en fer, face à des adversaire bien mieux équipés, et souvent nombreux.
De ce qu’avait entendu Zemir, il avait mené cinquante combats, jusque là. C’était l’uns des favoris de Lëzambe. Le petit Khajiit riait toujours aux éclats quand l’Ours décapitait ses adversaires après leur avoir tranché les mains et les pieds –sa méthode d’exécution favorite.
Zemir avait eu l’occasion d’assister à l’uns de ses combats, depuis sa cellule, en observant l’arène à travers les barreaux, et il s’était réjouit de ne jamais avoir eu à affronter cet homme.
Mais l’arène de Rimmen était pleine de combattants redoutables, et l’Ours était loin d’être le pire d’entre eux.
Lemy Rougepoigne était un Khajiit trapus et musculeux, au cou aussi large que celui d’un taureau. Il s’était lui-même coupé la queue, car elle le gênait pour combattre. Il avait gagné son surnom en tuant trois guerriers à mains nues, lors de son tout premier combat.
Malgré son apparence, Lemy Rougepoigne était extraordinairement agile et vif. Et il possédait une force surprenante. En dehors des fois où il se battait à mains nues, il affectionnait porter un gigantesque espadon, qu’il maniait à une seule main, là où la plus part des guerriers peinaient à le soulever avec leurs deux mains.
Mais le plus féroce et le plus redouté était le Scorpion Noir.
Un Rougegarde, comme Zemir. La rumeur disait qu’il était d’origine noble et qu’il s’était lui-même engagé comme gladiateur dans l’arène. Il ne se battait que rarement mais chacune de ses apparitions étaient attendues et acclamées par toute la ville.
Il était tellement célèbre qu’il disposait d’une véritable chambre dans l’arène, près des appartements de Lëzambe, de plusieurs femmes, et qu’il dînait régulièrement à la table royale, dans le palais de Rimmen. La reine s’était entichée de lui, disait-on, et l’appelait son « vilain petit scorpion ».
A la différence des autres gladiateurs, souvent des esclaves ou des prisonniers, le Scorpion Noir aimait se battre, et faire couler le sang. Il était jeune mais était pourtant le plus ancien combattant de l’arène encore en vie, après quatre-vingt-douze combats, et autant de victoire.
De toute façon, un gladiateur ne connaissait jamais qu’une seule défaite, dans l’arène de Rimmen.
A l’extérieur, les cris de la foule redoublèrent d’intensité. Zemir se leva péniblement et s’approcha d’uns des murs de sa cellule, comportant une minuscule fenêtre dotée de barreaux. Celle-ci donnait directement sur l’arène.
L’Ours, le visage tâché de sang, brandissait la tête de son adversaire. Il avait un grand sourire. Sa hache dégoulinait. Zemir aperçut le roi de Rimmen, dans les gradins, avec sa femme et ses enfants à ses côtés, ainsi que plusieurs généraux Thalmor et que Lëzambe.

-C’était un magnifique duel que nous a offert l’Ours aujourd’hui, hurla Lëzambe. Et une victoire éclatante de ton champion, peuple de Rimmen !

Le Nordique jeta la tête au sol et mit un coup de pied dedans. Elle alla rouler jusque dans unes des fosses piégées qui parsemaient la zone de combat. Puis, il mit un genou à terre et, sans cesser de sourire, s’inclina face à la famille royale Sakäyazaka.
Le combat suivant opposa un troll bardé de pièces de métal et deux lions du désert. Le troll brisa les vertèbres du premier d’un seul coup de poing. Le deuxième parvint à la contourner et à lui planter ses crocs dans l’épaule.

Peil Peil
MP
Niveau 57
10 novembre 2013 à 21:51:03

Ce fut une boucherie. Les deux bêtes firent preuve d’une sauvagerie inouïe mais la puissance du troll eut raison du deuxième lion.
Ensuite, il y eut un duel entre deux gladiateurs, dont l’un avait une arbalète, et l’autre un bouclier et un trident. Puis, le maître de l’arène fit s’affronter cinq magiciens à demi-nus. Les spectateurs rirent beaucoup quand l’uns d’eux embrasa son adversaire et le fit courir dans toute l’arène en hurlant.
Zemir s’éloigna de la fenêtre.
Ce serait bientôt son tour.
Et il savait qui il allait affronter aujourd’hui.
Le Rougegarde s’étira et grimaça en entendant ses articulations craquer. Il exécuta plusieurs exercices d’assouplissements et de respiration. Puis, il s’allongea à même le sol et attendit. Des bruits de pas retentirent.
La porte de sa cellule s’ouvrit en grinçant sur trois gardes.

-Lève-toi, dit l’uns d’eux. C’est à toi.

Zemir ne se fit pas prier. Il aurait pu résister, mais à quoi bon ? Il allait mourir. Alors que ce soit l’épée à la main, les yeux dans les yeux avec son adversaire, et sous les rugissements et les acclamations de la foule, plutôt que dans une cellule sombre et puante, frappé à mort par trois gardes dont il ne voyait même pas le visage.
Il se surprit à repenser à Anor. Etrange que ce soit le visage du mage qui lui vienne à l’esprit à ce moment là.
On le guida à travers une série de couloirs, puis il arriva dans une salle circulaire avec un baquet d’eau chaude au milieu. Trois vieilles Khajiit aux yeux crevés et aux lèvres cousues l’attendaient. L’uns des gardes ordonna qu’on le baigne et qu’on le lave. Les Khajiit s’exécutèrent, telles des machines dwemers.
Zemir devait paraître propre pour aujourd’hui. C’était un jour particulier. Son adversaire n’était pas n’importe qui. Un champion de l’arène, comme lui. Et un duel de champions était toujours excitant. Les deux combattants devaient présenter le meilleur d’eux-mêmes.
Quand Zemir fut entièrement lavé, on lui passa une tunique rouge et un pantalon de soie. On lui noua les cheveux avec un bandeau blanc. Cela fait, on le força à enfiler une armure de cuir légère par-dessus ses vêtements.
Enfin, un des gardes l’amena dans un couloir plus grand que les autres, donnant sur une énorme grille en métal Elfique. Derrière, Zemir voyait le sable chaud et brillant de l’arène, et entendait les clameurs des spectateurs.
Le garde à ses côtés lui donna un glaive et lui tendit un bouclier rond. Zemir le refusa. Ce n’était pas son style de combat, et un bouclier ne ferait que l’alourdir et l’encombrer. On lui proposa un heaume, mais Zemir secoua une nouvelle fois la tête. Un casque rétrécirait son champ de vision et ne serait de toute façon pas une protection suffisante face à l’homme qu’il allait affronter aujourd’hui.
Les grilles se levèrent lentement. Le garde poussa Zemir à avancer. Le Rougegarde obéit.

-Peuple de Rimmen ! hurla Lëzambe. Voila ton champion, ton héros que tu as découvert récemment, celui dont l’agilité et la dextérité ont eu raison de Bruk Gro-Yarzo, et dont la façon de manier sa lame est tirée directement de l’antique art de combat Rougegarde ! Oui, le voila, le Loup de Lenclume !

Zemir mit un pied dans l’arène. Le soleil l’éblouit, mais il ne plissa pas les yeux. Il leva la tête et contempla les gradins, pleins à craquer. Le sable de l’arène était parsemé de tâches de sang et d’os mais aussi de fruits, de bibelots, et de tout ce que la foule jetait aux gladiateurs.
Le Rougegarde vit la grille d’en face se lever à son tour.

-Et pour ton plaisir, peuple de Rimmen, cria Lëzambe, voila l’homme qui va affronter le Loup ! Tu l’aimes, tu l’adores, tu l’acclames ! Sa brutalité n’a d’égal que sa vivacité et sa perfidie ! Aucun de ses adversaires ne s’est jamais relevé ! Ses poings sont plus durs que le roc ! Oui, peuple de Rimmen, voila Lemy Rougepoigne !

Le Khajiit trapus s’avança dans l’arène. Pour l’occasion, il portait une armure de plate rutilante et un cerceau en or sur la tête, parodiant le cerceau d’argent des champions du tournoi de Torval. Et bien sûr, son énorme espadon, traînant derrière lui et laissant un sillon dans le sable.
Lemy Rougepoigne se positionna au centre de l’arène et leva le poing. Une vague de hurlement lui répondit. Zemir pouvait presque sentir l’air vibrer, et le sol trembler.
Le Khajiit musculeux se tourna vers la loge de la famille royale et la salua. Zemir cracha par terre. Plutôt crever que de l’imiter.
De toute façon, ce que voulait voir la foule, c’était le sang, pas de marques de respect.
Zemir soupesa son glaive et le fit tournoyer entre ses doigts.
Il était léger et bien affûté. De la bonne qualité. Sûrement du métal dwemer.
Lëzambe leva les bras au ciel.

-Que le combat commence !

Aussitôt, Lemy fit volte-face et s’élança vers Zemir. En arrivant à son niveau, il rugit et balança son espadon dans sa direction. Zemir se baissa et la lame lui frôla le crâne. Il contre-attaqua d’une botte éblouissante de vivacité et recula d’un pas.
Lemy para l’assaut et agita son espadon au-dessus de sa tête, comme s’il ne pesait rien.
Les spectateurs aimaient les démonstrations de force. Zemir, lui, savait que c’était ce genre de vantardise qui entraînait la mort. Sur un champ de bataille, tout mouvement inutile pouvait être fatal.
Le Rougegarde bondit, avec la prestance d’un félin, et abattit sa lame. Elle ne fendit que le vide. Lemy Rougepoigne s’était décalé au dernier moment, si rapidement que Zemir ne l’avait même pas vu faire, et ce, malgré l’encombrante armure qu’il portait.
Le Khajiit trapus ricana et écarta les bras.

-Eh ben alors, Rougegarde, qu’est-ce que tu vises ? Le sable ? Je suis juste là !

Zemir se remit en garde et commença à tourner autours de son adversaire. Il devait être prudent et ne laisser aucune faille.
Lemy Rougepoigne ne fit pas mine de se protéger ni d’attaquer, se contentant de se cogner la poitrine du plat de la main en provoquant Zemir et en criant à la foule. Il agitait son espadon au-dessus de sa tête, sans cesser de rire.
Le Khajiit n’avait visiblement jamais connu que l’arène. Il était arrogant et prêtait plus d’importance au sens du spectacle qu’à la mort de son adversaire. Une erreur. Un vrai combattant ne se souciait guère de ce genre de chose.

-Alors ? lança Lemy. Attaque !

Zemir s’élança. Il feinta un coup d’estoc, et Lemy leva son épée pour parer, mais la lame de Zemir siffla dans l’air et bifurqua pour frapper le Khajiit à la gorge. Celui-ci pivota au dernier moment et la pointe du glaive heurta son épaulière métallique et ricocha dessus en faisant voler des étincelles.
Zemir recula et évita de peu le revers dévastateur avec lequel répliqua Lemy. Son énorme lame vrombit en passant à quelques centimètres de son nez. Le Rougegarde tourna sur lui-même et frappa vers le bas.
Sa lame tinta en rebondissant contre la jambière de Lemy. Zemir se glissa sous son bras et attaqua sur ses flancs. En vain. Le glaive ne fit que heurter le métal de l’armure de plate du Khajiit. Lemy se retourna et leva son espadon, avant de le laisser retomber lourdement.
Zemir fit un pas chassé sur le côté et la lame s’enfonça violemment dans le sol en soulevant un nuage de poussière. Lemy Rougepoigne haleta en l’ôtant du sol.

« Foutue armure, pensa Zemir. Les seules failles sont sa gorge et ses articulations, mais il est rapide. Difficile de frapper juste dans le feu de l’action. Enfin, il est vif dans ses déplacements, mais sa technique laissa à désirer. Il n’a sans doute jamais vraiment appris à se battre et mise tout sur sa vélocité et sa force brute. »

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