Ah ça poste peux mais quand sa poste....
Le mien arrive ce soir ou demain.
Sympa Thunder.
Texte d'une rare qualité.
Avec sur 13 pages Word une seule faute peut-être...
Magnifique combat, alliant bien les différents sentiments que peut ressentir une personne dans ce genre de situation suite à une telle fusillade dans un étai en train de sombrer, un combat avec un harrier, une fuite sur une grue se cassant littéralement, et enfin un dénouement tragique sur ce qu'il reste du harrier ( j'utiliserai volontiers le terme de "pathétique" mais dans son sens premier de souffrance hein, comme les dans les tragédies grecques quoi, il suffit de peu pour que tout se brise si vite )...
Et c'est bien de pas être tombé dans le truc " un allié de perdu un de gagné -> de même valeur <- " Car là certes " l'Ange " est belle mais voilà. C'est une sorte de bouffée d'air ou d'ovni dans tout ce champ de bataille en ruine qui est très appréciable, de plus si elle est bien formée ça n'en est que mieux Mais rien à voir avec un "vrai" ami qui va mourir dans peu de temps...
M'enfin y a rien à redire, c'est juste parfaitement mené. Du vrai Thundy.
Qui es tu
Tiens Sima, tu fais pas la fic Onimusha avec snake-hkljdfqml ? Dis lui de ramener son cul ici !!
(Dingue on a un lecteur !)
SimaPang!^^ Il m'a dit bonjour sur msn après que j'aie posté et vu qu'il avait rien à faire je lui ai proposé de venir lire mon texte. D'ailleurs, écrivant sur la fiction Nobunaga's Gauntlet, il s'y connait suffisament pour juger. Et il a désormais pu juger mon boulot également!^^
Et... Suite, et fin, finale, de ma Chronique.
THE PATRIOT'S CASE
Épilogue
Ryan Locke
-Alors... tu as cette mallette ? me fit Snake alors que j'entrais dans la salle de briefing.
Mon Ange, dont je n'avais pas réussi à soutirer le nom, m'avait déposé dans la base auxiliaire Checkpoint Lucas avec l’hélicoptère, et je m’étais fait prendre quelques minutes plus tard par un autre de Hidden Glade. Alors que l'appareil était en train de s'en approcher, une nuée de jeunes recrues postées en garde s'étaient précipitées à la piste d'atterrissage, toutes armes levées. Lorsque la porte s'était ouverte et qu'ils m'avaient aperçu, ils les avaient automatiquement baissées, et j'avais à peine eu le temps de plonger une dernière fois mon regard dans le flamboiement de ses yeux. C'était du moins avant que sa main ne me pousse hors de l'appareil et que je tombasse à genoux sur le sol de la base en construction, tout en levant rapidement les mains, laissant tomber la mallette dans le même geste, pour qu'on ne leur tirât pas dessus. J'étais de retour au bercail, avec une mallette qui contenait des informations assez précieuses pour que les Patriots et U-155 aient déployé leur artillerie lourde, aient brisé la couverture de leurs meilleurs agents pour en prendre possession.
-On le saura en ouvrant la mallette, fis-je en la laissant lourdement tomber sur la table.
Il y avait dans la salle la "direction" au grand complet: Snake, Meryl, Cornellius, Cobra et Nick. Alors que Cobra et Nick observaient l'objet d'un oeil interrogateur, Cornellius semblait indifférent comme à son habitude, le regard perdu dans, je suppose, une profonde méditation.
-Ce n'est pas de l'argent ? fit Cobra.
-Je ne sais pas, répondis-je faiblement en les observant chacun tour à tour.
-Mais ça reste un objet d’une importance capitale, observa Meryl.
Nick toussota dans son coin, et tout le monde tourna la tête vers lui. Je sentais bien que les membres étaient sur les nerfs, qu'ils savaient que quelque chose avait dû foirer.
-Même si les communications codec ont été coupées peu après l'arrivée du Ray...
-Quoi ? Un Ray ? objecta immédiatement Snake, tout en restant calme, au fond de son siège.
-Il semblerait que Ryan se soit trouvé en pleine bataille entre U-155 et le Comité, continua Nick... et un autre groupe, non identifié.
-La « Double Entente », fit Cornellius dans son coin.
Je me tournai aussitôt vers lui. Au-dehors, le soleil commençait à tomber à l'horizon, et le soleil se teintait faiblement d'une couleur ambre. Tout le monde s'était d'ailleurs tourné vers lui, l'oeil interrogateur. Il toussota, se redressa dans son fauteuil et commença ses explications, les mains en clocher; une gestuelle habituelle à son sérieux.
-Un autre nom qu’on donne à la Comrade Stealth Network… en fait, ils n’ont jamais vraiment eu de nom, ils s’appellent eux-mêmes comme ça parce que le peu de gens qui connaissent leur existence les nomment ainsi. C'est un groupe dont font partie les hauts groupements de la Chine et de l'ex-URSS... Les pontes de la mafia, des Triades, du FSB, des partis politiques, des groupements d’extrême gauche, et bien d’autres ; c'est presque identique aux Patriots, mais sauf que leur but est différent. La Double Entente était au départ toute petite, qui agissait faiblement en faisant des attentats, après la fin de la deuxième guerre mondiale, quand les Philosophes se sont séparés. Après la mission Snake Eater, l'argent a été séparé entre les Patriots et dilapidé dans le monde à cause de Big Boss... la Chine et l'URSS étaient ruinés. Mais ils ont eu un renouveau, un petit truc qui leur a magistralement botté le cul et les a poussé à passer à la vitesse supérieure.
-U-155, devinai-je en m'asseyant calmement.
-Exact, fit Cornellius avec un regard confiant. U-155. Quand ils ont su que le Comité avait un ennemi puissant, ils ont réussis à se faire des alliés un peu partout. Leur but est différent du Comité ou de U-155; leur but est politique. Ils veulent simplement destituer les USA de leur rang de première puissance mondiale pour les remplacer par les leurs.
-Un but commun, répliqua Cobra, ce n'est pas plus mal. Même si, à la base, c’est aussi le but du Comité, remarque. Enfin, son but avant que U-155 arrive et que sa destruction devienne une priorité… On doit en avoir peur ?
-Non, répondit Cornellius. Ils veulent la destruction mutuelle des Patriots et de U-155, pas la nôtre.
-Il n'avaient pas l'air de m'en vouloir, répondis-je. Ils voulaient la mallette. Ils voulaient la détruire.
-Et on est allé jusqu'à la destruction de la Red Shell pour la récupérer! objecta Nick.
Tout le monde se tourna désormais vers lui, les yeux exorbités.
-La Red Shell est détruite ? articula lentement Snake.
-Hum... j'y suis pour quelque chose en fait, dis-je en baissant légèrement la tête.
-Et Chip, où est-il ? demanda soudain le colonel, ses yeux farfouillant la pièce de long en large comme si feu mon ami y était caché.
-Eh bien, il y est aussi pour quelque chose, répondis-je.
Personne ne parla, tous me fixant droit dans les yeux. Chip m'avait trahi après tant d'années, il se pouvait également que quelqu'un ici soit une taupe. Je haïssais cette idée, mais je savais que c'était peut-être bien réel. Snake m'avait offert une nouvelle vie, chacun ici avait d'une certaine manière contribué à ma survie. Mais Chip aussi, lui aussi m'avait couvert dans les pires moments, m'avait épaulé dans mes tristesses. Pourtant il n'avait jamais été de mon côté. Je jetai un coup d'oeil inespéré à Nick, la seule personne en qui j'avais encore un tant soit peu confiance. Nick était un informaticien, Nick se débrouillait avec une arme entre les mains aussi bien qu'un gosse de trois ans. Mais la pensée de Hornet me vint également rapidement à l'esprit. Hornet; un bleu qui avait montré en quelques jours d'incroyables aptitudes au combat, un sang froid digne des plus grand combattants et une surprenante connaissance du coréen. Chacun ici était peut-être un agent dormant qui maîtrisait son jeu à la perfection.
-Chip est mort, fis-je simplement. Waterson, un agent des Patriots, a eu sa peau.
Chacun baissa légèrement les yeux, et le silence régna, durant de longues secondes qui étaient la naissance du mensonge et l'agonie de ma confiance. Mais Nick, qui avait observé l'opération par satellite, m'adressa un regard furieux; il savait que Chip était une taupe, il savait que je le savais. Je lui demandai du fond des yeux de ne rien dire, et est-ce à cause qu'il fût mon ami, où à cause que j'eus un pistolet à la ceinture, il ne dit rien.
-Waterson est également mort, fis-je d'un air sombre. Je doute qu'il y ait des survivants sur cette carcasse. Peut-être quelques agents dans la « capsule de survie », mais c’est tout. Nick... tu as de quoi ouvrir ça ? demandai-je en pointant la mallette du doigt.
Nick se leva, s'approcha de la mallette et observa rapidement la serrure. Ses yeux pétillaient. Je voyais qu'il mourait d'envie de me faire des reproches, mais n'osait même pas murmurer en compagnie de soldats d'élite, de peur qu'il soit lui aussi en danger peut-être.
-On devrait pouvoir la briser avec du matériel de crochetage assez évolué... je pars prendre ça!
Il sortit rapidement de la pièce. Le soleil se couchait, et le ciel était désormais d'un orange-rose pétillant qui dessinait de manière sombre le visage de chacun dans la pièce, cisaillant leurs traits d’une teinte pourpre d’un côté, et des ténèbres de l’autre. Tous les quatre étaient assis face à moi, à l'opposé de la table, et avec, entre nous, la précieuse mallette; l'obstacle qui nous divisait. L'obstacle qui nous empêchait d'être uni. L'argent, le pouvoir ? Quoi que renfermait cette mallette, elle nous séparait déjà fermée, et j'aurais voulu que Nick ne revînt jamais pour l'ouvrir. Une pensée stupide... une de plus.
-Je sais où est le demi-milliard, dis-je enfin après une minute de silence, pour le briser et ne pas laisser le doute d'insinuer en eux. Deutsche Bank de Shangaï, compte n° 20'155-108.
Snake eut un petit rire de désespoir; Cornellius observait le vide; Meryl semblait perdue dans ses pensées; Cobra regardait une mouche.
-Je l'ai! cria Nick en entrant dans la pièce.
La première intonation de son excitation était forte et joyeuse, la deuxième morne et faible. Voyant le malaise général qui régnait dans la pièce, il s'approcha en silence de la mallette et commença à crocheter la première serrure. Chacun l'observait d'un oeil attentif, et je me demandai si c'était réellement pour savoir ce qu'elle renfermait ou juste donner l'impression de faire quelque chose, de jeter même un regard, dans la frustration qui emplissait la pièce. La première serrure fut crochetée après vingt secondes, la deuxième mit plus de temps. Mais au final, il y eut un autre déclic, Nick laissa le matériel sur la table et, fébrilement, j'ouvris la mallette. Le Patriot de Barcelone était fan de Stevenson, et je m'attendais à y trouver un vrai trésor. Ce fut le cas, mais il était imprégné d’un poison dont les relents allaient nous brûler nos idéaux peut-être les plus profonds.
-Qu'est-ce que c'est ? fit Snake, dont le couvercle de la mallette lui bouchait la vue des quelques papiers que j'étais en train de feuilleter.
Je sortis une, puis deux liasses de billets, que j’observai à la lumière. Des faux. Instinctivement, je me mis à rire nerveusement, et jetai les billets verts par-dessus mon épaule.
-C’est bidon ! criai-je. Des faux, toute cette putain d’histoire pour…
En fait, non. En observant la mallette, on pouvait très bien voir qu’elle était plus profonde que ça. Les autres m’observèrent attentivement, dans un silence pesant, tandis que j’enlèvais le fond qui contenait les quelques misérables faux billets, et regardais, ébahi, le vrai trésor de cette mystérieuse île qu’était la Red Shell.
-Ryan ? fit une voix quelque part de l’autre côté du couvercle de la valise.
Je me mis à rire, fortement, et j'avais bien conscience que je commençais à effrayer tout le monde, mais je m'en fichais. D'un geste brutal, je jetai la mallette au centre de la table, et les dizaines de feuilles s'en échappèrent pour voleter dans la pièce, l’aspect de chacune rougeoyant au soleil. Comme si elle était le sort mauvais, baigné de sang, qu'on avait jeté sur toutes les victimes des Patriots et de U-155. Autour de la table, chacun se saisit de la première feuille, du premier dossier qui lui passait sous la main.
-17 Juin 1972, fit Cobra en lisant l'un des rapports. "Agents n°2657 et 1921 ont correctement échoué à la pause des micros. Sujet n°421 Richard Milhous Nixon a accepté notre accord. Démissionnera sous peu. Pouvons désormais mettre sujet n°871, Gerald Rudolph Ford Junior au pouvoir." Qu'est-ce que ça veut dire ?
Nick se saisit du rapport qui le continuait alors que les autres étaient en train de lire la première feuille qu'il leur était tombée sous la main.
-Lui-même qui a fait partie de la Commission Warren, fit le caféinomane en commençant à lire sa feuille. "Sujet n°871, Gerald Rudolph Fort Junior, nous a fortement aidé à cacher nos activités quand au projet n°124, assassinat de John (Jack) Fitzgerald Kennedy Senior, sujet n°542. Mort du sujet n°871: 26 Décembre 2006. "
-Bon Dieu, fis-je à haute voix, presque en riant... la Commission... Warren!
Je me mis à exploser de rire, me pliant en deux au milieu de la pièce, sous l'oeil étonné des autres membres qui regardaient autant les feuilles que mon cas désespéré. Warren! WARREN!!!
-Ces feuilles contiennent l'histoire complète, tous les rapports du Comité jusqu'à la fuite du Patriot, dit Snake. Cela voudrait donc dire... qu'il s'est caché à Barcelone dans le but de nous faire parvenir tout ceci... depuis le début…
-Il faisait probablement partie de l'Alliance, fit calmement Cornellius. En tout cas, il y a un énorme dossier au sujet du projet n°124... dont un bout très intéressant qui concerne l'agent n°2, Revolver Ocelot.
Soudain, le moindre bruit présent dans la pièce s'arrêta. Je m'assis calmement dans mon siège, et le plus infime bruissement de feuille disparut.
-"Balles du tireur Lee Harvey Oswald (sujet n°1255) encastrées normalement d'après ses tirs. Nombre de tirs: 2. Balles du tireur Revolver Ocelot (agent n°2), ont atteint la cible à la tête (sujet n°542). Nombre de tirs: 1. Reste des balles changées par nos agents sur place. Mort du sujet n°1255 par agent n°627, Jack Ruby, conformément aux instructions. Pouvons désormais implanter sujet n°1174, Lyndon Baines Johnson, à la tête du pays pour commencer projet n°157: Guerre du Vietnam."
-Nom de Dieu... Ocelot, fit Cornellius. Même si on n'a plus rien à craindre de lui... Ocelot...
-On dirait que nous avons en notre possession des documents qui pourraient nous aider à la destruction du Comité par leur savoir, le tout en partant de leurs débuts, commençai-je. Cela explique pourquoi chacun des deux partis en puissance veut en prendre possession. Ceci est la mallette du phénix, mes chers. Toutes les infos sur leurs sujets, bases, projets et autres agents se trouvent ici. Nous avons entre les mains les Patriots jusqu’à 2028. Nick... fais un classement, mets tout ça dans les archives, avec une sécurité maximum. Ne fais pas passer les inf...
-... les informations sur un serveur externe à celui de la base et toujours mettre les informations sur une clé USB, ne jamais les faire transiter par Internet.
Je souris.
-Oui, dis-je d'un air stupide, perdu dans mes pensées.
-Cela pourrait nous aider à découvrir les cachettes de U-155, dit Cobra.
-C'est peut-être même pour cela que le Patriot nous a fourni ces infos... s'il faisait réellement partie de l'Alliance, son but est on ne peut plus clair désormais.
-Et si c’était un leurre ? objecta Cornellius. S’il faisait vraiment partie des Patriots, était mort à leur cause et qu’ils veulent nous mener sur une multitude de fausses pistes ?
Tout le monde se tut, frappés par l’argument détonant mais pourtant tant probable de l’agent.
-L’avenir nous le dira, lançai-je d’une voix calme. L’avenir nous le dira.
Calmement, je lançai un dernier sourire à chacun, me levai, et partis vers la sortie. Mes pas semblaient tous lourd, tandis qu'en sortant de la pièce j'avais l'impression d'y laisser une partie de moi-même. Ces feuilles... des chiffres, des lettres, des informations. C'était une forme de dégoût pour moi, une survie pour les Patriots: synthétiser la vie et les actions si importantes d'une personne par ces symboles, qui faisaient perdre toute leur importance aux choses. Transformer la foi et l’espoir de chacun en données, en statistiques. Éteindre l’étincelle de Liberté qui brûle en chacun de nous… Peut-être la manière qu'avaient les Patriots, et U-155 pire encore dont les informations n'étaient que des données virtuelles perdues dans l'Infini informatique, de se prouver à eux-mêmes qu'après tout, ce qu'ils faisaient n'était pas si horrible.
Suite, et fin... au prochain!
Ryan Locke's Six Years Chronicles I: (Barcelone Wave: ) THE PATRIOT'S CASE
Suite et fin.
-Falcon ?
Je toquai à la porte de sa chambre, dans l'allée des chambres de la base. Durant plusieurs secondes, ils n'y eut aucun bruit, pas même un futile craquement. Je tapai une nouvelle fois à la porte, puis commençai à frapper le bois de manière irrégulière. "J'ai besoin de te parler" La porte s'ouvrit, et elle apparut, l'air sombre, dans l'encadrement de la porte. Elle était en habits de civils. Simple, ni mal habillée ni sexy, ni trop mal ou trop peu. Juste simple, les cheveux quelque peu en bataille, mais toujours aussi beaux. Elle continua de me regarder dans les yeux, sans rien dire, puis son poing cogna sur la porte tout comme je l'avais fait. "Parler de quoi ?"
-Te faire des excuses.
-À propos de quoi ?
-Tu savais pour Chip, non ?
Elle détourna les yeux.
-Alors il... commença-t-elle.
-Oui.
Elle releva ses grands yeux bleus vers moi, dans un regard puissant et profond, un regard qui se voulait franc, amical et peut-être un peu plus.
-Je m'étais trompé à son sujet, continuai-je. Pourquoi ne m'as-tu rien dit ?
-Il y avait... trop de risques.
Elle ne s'expliqua pas, et il s'en suivit un silence gênant.
-Et toi, tu es dans mon camp ? demandai-je d'une voix calme et douce.
-Est-ce que tu penses que je suis dans ton camp ?
-Je pensais que Chip était dans le mien, répondis-je au tac-au-tac.
-Je ne pouvais rien te dire... désolée. Vraiment.
-Et qu'est-ce qu'il savait à propos de toi ?
-Pas grand-chose.
-Et qu'est-ce que moi, je suis censé savoir à propos de toi ?
-Que je ne te laisserai jamais tomber! fit-elle avec un ton d'une franchise inégalable. Tu pourras toujours compter sur moi.
Chip me parlait souvent de la même manière. Le ton de l'ami ? Le ton du menteur.
-Et ces enregistrements qu'il m'a montré ? L'appel radio que tu as passé dans le Chinook, la personne à qui tu parlais durant l’attaque de Fox-Hound à la radio ?
-Un ami.
-Plus important que moi ?
-Est-ce que ça existe ? fit-elle avec un sourire.
Il y eut un petit silence. J'observai à nouveau ses lèvres parfaites, et elle remarqua que ma vision s'y portait. Lentement sa tête s'inclina vers la mienne, et alors que ses lèvres s'approchaient de celles qui étaient miennes, je fis un petit pas en arrière et lui dit d'un air sobre, tout en restant respectueux:
-Malheureusement, on dirait bien que oui...
Je me retournai, hagard. Elle m'observa repartir dans le couloir, jusqu'à ce que je tournasse à un angle, et que mon regard se perdît dans le ciel qui commençait à devenir d'un bleu sombre, et où l'unique lumière était loin à l'horizon, intouchable. J'avais des buts, j'avais des convictions, et je ne voulais pas tout sacrifier maintenant. Chip était un ami, il m'avait trahi. Falcon était-elle plus qu'une amie ? Je n'en savais rien, mais le fait était qu'elle avait tout autant de raisons de me trahir que lui. Une fois de plus, je me maudis de penser que ces personnes proches de moi que je rêvais de prendre dans mes bras (et bien plus encore pour certaines), étaient peut-être celles qui provoqueraient ma chute. J'avais mal à penser de ne pouvoir laisser tomber ma tête sur l'épaule de quelqu'un de peur que celle-ci me poignarde. Je n'étais pas paranoïaque, j'étais un soldat dans un monde cruel, et ma seule force était celle des autres, qui attendaient en silence la rédemption. Ma seule force était de savoir que je changerais peut-être le monde de manière meilleure. Peut-être. C'était déjà le plus puissant synonyme d'espoir qu'on aurait pu trouver dans mon coeur.
Ce soir-là, je sortis dans la chaude nuit de Floride, pour observer les étoiles, ce firmament, ces fragments d'espoir qui scintillent au milieu du noir total.
Voilà, c'est tout pour cette Chronique n°I! J'aimerais juste dire que ça me tient vraiment à coeur de continuer tout ça avec vous... j'ai fini cette Chronique il y a plus d'un an, et même si bon nombre de modifications ont été ajoutées ça me rend un peu nostalgique de penser qu'elle a traversé les époques... dont je me souviens même plus maintenant!^^ Une petite page qui se tourne.
Pour info, pour ceux qui ont fait Portable Ops. J'ai fini fin décembre 2006 (deux ou trois jours après la mort et Ford... ce pourquoi je l'ai noté ), donc je ne pouvais savoir que cette même idée de la malette allait arriver dans le jeu... coïncidence plutôt sympa, je trouve. Vive MTS!
G E N I A L
Thunder Je suis un grand amateur de Fictions... Tu viens de me clouer le bec J'ai lu toute ta Chronique et je reste sur le ...
Et vivement la prochaine
c'est quoi cette invasion
C'est un club privé les mecs
Plus depuis mon arrivée on dirait...
Je vois qu'il faut que je revienne mettre de l'ordre...
Kinroi: Un grand amateur de fictions? C'est-à-dire?
Sinon bah la Chronique II est environ aux 2/3, et est déjà plus grosse que celle-ci! XD Mais bah, j'avance très lentement et j'ai ma fiction Hitman à continuer aussi... (un épisode par mois, mes lecteurs ralent... y'a de quoi)
MGHS... 2008, l'une de ses grandes années! YAY
Ah oui... pour ceux qui n'ont pas lu la Chronique... j'ai trouvé une musique que je juge quasi-parfaite pour l'intensité dramatique lors du combat sur le toit de la Shell... ou des autres! (merci Sima^^)
http://youtube.com/watch?v=r4Jxt_D5D1E&feature=related
Enjoy!
Et... tant que j'y suis, trailer de la Chronique II! (Ceci n'est pas forcément représentatif de la version finale)
Cela faisait désormais plusieurs années que j'étais à la poursuite de U-155 et de ses serveurs. Des années de traque qui s'avéraient parfois utiles, parfois nous amenaient dans des endroits sombres où seul le traquenard était roi. J'étais un roseau, futile mais pourtant incassable. Du moins c'était ce que je pensais être, on ne s'était encore jamais attaqué à ma famille; ce n'était qu'une question de temps.
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-Il nous reste d'autres infos, répliqua Naked. Mais je pense qu'il faudrait que tu te reposes avant tout...
-Tu te fous de moi! fis-je en riant, pour me rassurer plus qu'autre chose.
-En fait, non. Tu sais que Nick et son équipe d'informaticiens gardent un oeil sur les familles de nos agents, au cas où il y aurait des décès, des naissances, ou autres trucs de ce genre.
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Je restai ainsi à nouveau quelques instants derrière l'édifice creusé un peu plus à chaque seconde par des projectiles de toute sorte. Le bruit des balles percutant le marbre et des sifflements des ricochets fut à nouveau mon seul univers, tandis que j'attendais que mon coeur s'arrête de battre.
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-Non non, ta famille va bien, répliqua Naked sans bouger, d'un calme plat, le regard serein. Au contraire, elle va très bien.
Il ouvrit la poche de sa veste, et en sortit un bout de papier plié qu'il me présenta.
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Elles apaisaient mon âme, la guidaient vers ces propres étincelles qui tapissaient mon ombre, ces espoirs qui voletaient dans la nuit, comme des lucioles dans un morbide monde aveugle, sourd, insensible. Seul l'odeur et la goût de la mort y régnaient en maître. Mais ces étincelles, ces balles se frottant à moi mais ne me touchant pas, ces tirs qui effritaient avec une force incroyable ce poteau, et emplissant l'air de ces petits feux d'artifice aux accents étranges. C'était juste... juste maintenant.
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Non... non. Naked Snake était différent, il me comprenait. Il m'avait envoyé pour protéger ma famille d'un éventuel danger. Il l'avait fait pour éviter que ma souffrance me transperce en apprenant des événements que j'aurais pu éviter, pour que je puisse les aider en toute circonstance... Mais pourquoi moi?
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-Fous le camp, répétai-je dans le vide.
Il y eut un silence radio, un silence total. Les chacals s'étaient arrêtés de hurler, et plus aucun bruit ne se diffusait dans les environs. J'entendis quelques grésillements, comme si elle voulait dire quelque chose, mais elle se ravisa et le silence fut à nouveau roi, ponctué uniquement par des cliquetis métalliques venants de l'extérieur. Lorsque la douzaine de grenades tomba sur le plancher, je regrettai soudain de lui avoir ordonné de partir.
Juste pour prévenir que j'ai commencé ma 2nde Chronique, et que CETTE FOIS ( tadaaaam xD ) j'ai préparé tout un scénario avant, pour que l'histoire de base tienne vraiment la route.
En gros, ca va apporter beaucoup de réponses sur la première chronique.
Thunder...
MAGNIFIQUE.
Bon okay, des fois le nombre de comparaisons et métaphores devient un peu envahissant, mais c'est du putain de grand art !
Je détaillerai même pas, parce que tout est bon, sur tous les points... à part que j'ai ( encore xD ) les mêmes idées que toi...
Chronique I: Partie VI:
AMBU… :
Je me réveillais, j’avais mal partout, un miracle que je sois encore en vie…au début l’intense clarté de la pièce m’avait fait plissé les yeux pour mieux voir où je me trouvais…j’étais retenu par de gros crans en fer, reliés à eux mêmes sur une grosse table en fer sur laquelle j’étais allongé. La pièce était vide à l’exception de quelque ordinateurs placés sur ma droite, j’entendais quelqu’un bouger derrière moi :
- Qui est là ?!
Aucune réponse, il ne fallait sûrement pas y compter…mais ma question sembla faire son effet, la personne qui faisait du bruit dans mon dos se plaça finalement face à moi, à ma surprise cet homme portait un exosquelette. Généralement les exosquelettes n’étaient adaptés qu’à des personnes de taille normale. L’exosquelette que j’avais en face de moi faisait dans le deux mètres, ses épaules étaient aussi large que la table sur laquelle j’étais allongé, ses muscles avaient des contours ronds et lourds, tout ceci témoignait de l’aspect assez monstrueux que devait avoir la personne qui revêtait ce costume. Sa voix résonnait gravement, une forte voix rauque déformé par l’exosquelette :
- Déjà réveillé, j’aurais pourtant cru que le Ray allait t’éliminer…
- Je suis de nature solide.
Je lui fit un sourire narquois, ce à quoi il me répondit :
- Solide en effet, j’ai analyser le métal dont est fait ta carapace…il est de nature inconnue, mais à en juger par la façon dont tu te déplaces, il est très souple, mais aussi d’une solidité à toutes épreuves…j’ai été surpris de voir que tu avais survécu au Ray.
- Tu te répètes là…pourrais-je savoir à qui j’ai à faire ?
- Je n’ai pas de nom…je fais juste partie de l’unité AMBU…tu te souviens ?
- Oui l’AMBU, j’ai tué l’un d’entre vous !
- En effet Saladin, tu as tué N°8…
- N°8 ?
- Nous l’AMBU, sommes 8 combattants choisi par notre maître, U-155, afin de protéger les sites qui lui sont chers…le serveur de Foxhound était d’une grande importance…
- Si tu le dis, et toi pourquoi tu es ici ?
- Je n’ai pas à te répondre…tout ce que tu as à savoir c’est que je suis le N°4, ma force n’a donc rien à voir avec celle de N°8…
- Oui il faut dire qu’il était particulièrement faible…
Manœuvre d’intimidation par la parole, ce N°8 m’aurait tué, si je n’avais pas eu une soudaine saute d’humeur…merci à ma schizophrénie…enfin je ne savais toujours pas vraiment de quoi il s’agissait. N°4 s’activa devant un ordinateur, puis il me posa un casque sur la tête, derrière son casque j’étais sur qu’il affichait un redoutable sourire sadique. Il retourna vers l’ordinateur et me dit finalement sans même avoir la politesse de se retourner :
- Tu es certes très résistant, mais je pense que ceci aura raison de toi…
Il appuya sur une dernière touche et un sifflement aigu se mit à bourdonner dans mon crane…une intense douleur se propagea alors dans tous mon corps, sans que je puisse vraiment savoir pourquoi, je me mis à hurler…non pas à cause de la souffrance, mais comme si j’avais peur…mes yeux se fermèrent malgré moi, je sombrais dans l’inconscient…en face de moi se tenais Sonali, dans son exosquelette, je lui tranchais la tête sans le moindre remords…comme si nous étions deux, je m’entendis crier au loin, crier de rage, de haine et de tristesse…un autre moment, je voyais Cobra qui, bien que blessé, tentait de sauver Stone du sort que je lui réservais, puis je m’effondrais à terre, secoué de spasmes violents, ma première crise due à Foxdie…au loin c’était un cri de douleur cette fois…puis je me retrouvais face à mon Naked, il m’annonçait que j’avais un fils, et que Sonali était morte à l’accouchement, dès ce jour j’avais haï ce fils inconnu, car de sa naissance survenais la mort de la personne que j’avais aimer le plus au monde…cette fois-ci c’était un cri de colère mêlé de tristesse…la torture mentale me sembla durer une éternité. Au loin je m’entendais hurler comme un dément, je n’avais aucune conscience du temps ni de l’espace, j’étais là à souffrir sans rien pouvoir faire…j’avais oublié la base, oublié Ulrich le scientifique, oublié l’exosquelette qui devait sûrement prendre son pied en ce moment…à un moment tout sembla s’arrêter, j’étais seul perdu dans un vaste horizon noir…c’était l’enfer ? La lumière se fit petit à petit, la vaste étendue noire devint blanche et pure, une personne s’avança, cette personne avait mes traits, mais semblait bien plus jeune…ce n’était pas moi, nous n’avions pas les mêmes yeux…à ses cotés apparu Sonali, bizarrement, au lieu d’être heureux de la voir, j’avais peur, peur comme un gamin grondé par sa mère, peur au point de me pisser dessus. Elle me toisait d’un regard plein d’arrogance, elle fit un geste à l’homme qui me ressemblait étrangement, et elle lui tint ces mots :
- C’est lui qui m’a tué…
L’homme leva alors une arme, pointé droit vers mon crane, j’aurais voulu fuir, mais je ne pouvais plus bouger…rien ne bougeait, ils me regardaient tous les deux, avec des yeux qui jugeaient tous mes crimes, je voulais hurler que je l’aimais, que les Patriotes m’avaient abusé, que U-155 m’avait utilisé comme un pion, que depuis le début je n’étais que le dindon de la farce…mais rien ne sortait, l’homme appuya sur la gâchette. La plus formidable poussée d’adrénaline que je n’ai jamais eu me déchira alors les entrailles, j’hurlais de toutes mes forces, non pas un hurlement de peur, mais de colère. Je fermais les yeux pour me retrouver de nouveau dans cette salle, l’exosquelette se tenait devant moi, bien que son casque cachait toutes émotions, ses gestes trahissait une certaine inquiétude…à nouveau je hurlais :
- TU N’AS PAS LE DROIT, TU M’ENTENDS…JE N’AVAIS PAS LE CHOIX !!!!
Mes poings si fermement attachés à la table par les attaches de fer, semblèrent doter d’une force sans pareille, dans un effort surhumain je brisais mes chaînes comme s’il ne s’agissait que de simples liens de cordes. Je me retrouvais debout devant l’exosquelette. Tout sentiment humain m’avait abandonné, je ne pouvais exprimer la moindre pitié, j’allais tuer cet homme comme j’en avait tué des milliers, mais avant je devais le faire parler. Sa panique sembla l’emporter, il savait qu’il n’avait qu’une seule solution :
- Très bien, je vais moi même te réduire en bouillie…
Dans un cri il se jeta sur moi et me frappa directement au visage, d’habitude un coup d’une telle force m’aurait désarçonné et projeter au loin, là j’étais resté de marbre, comme si il venait de frapper dans une vaste épaisseur d’acier…à mon tour de frapper. Le premier coup fut pour sa joue gauche, mon poing s’enfonça dans l’armure qui le protégeait, plusieurs câbles furent sectionnés, le métal se froissa…le casque se déchira en partie, ainsi apparue son œil gauche. Le coup en plus d’anéantir sa protection le projeta contre le mur en béton qu’il traversa pour atterrir dans une nouvelle de ces pièces à l’apparence entièrement électronique. Il se releva et chargea à nouveau, sa jambe se leva pour me frapper aux cotes, je levais mon bras gauche pour bloquer le coup entre mon bras et mon thorax…je tenais sa jambe, avec mon bras droit je frappais le genoux de la jambe prisonnière…jambe qui se plia en deux, il cria, il souffrait. Il devait souffrir autant que je venais de souffrir, il tomba à terre, je sautais sur lui, m’asseyais sur son ventre, je bloquais ses deux bras avec mes pieds, et ma main gauche vint fermement lui enserrer la gorge. De ma main droite, je déchirai le casque en glissant mes doigts dans l’interstice que j’avais créé tout à l’heure. Son visage apparu enfin, un homme chauve aux yeux marrons, il avait peur…tant mieux. Je le toisais d’un regard à moitié amusé à moitié haineux :
- Qu’est-ce que tu viens de me faire ?!
- C’est une forme de torture cérébrale…
- De la torture cérébrale, et dans quel but ?!
- La…la mort…
La peur se mettait à le faire bégayer ce qui ne pouvait que m’amusait, oui je m’amusais à voir cet enfoiré qui avait dû se marrer à me regarder crier tout à l’heure, il avait dû prendre son pied, j’allais le lui rendre au centuple :
- Explique moi comment ça fonctionne ?
- Mmmh…
Il ne semblait plus pouvoir parler, non disons plutôt qu’il ne devait plus parler, l’expression de peur qui se lisait sur son visage laissait entendre qu’il n’avait pas le droit d’en parler :
- Parles où je te tue !
- Qu’est-ce que ça change, si je dis quoique ce soit d’autres, c’est lui qui me tueras !
Je soulevais sa tête que je cognais violemment au sol :
- Tu vas parler !
- Oui…oui, arrêtes de frapper…
- Comment oses-tu me tutoyer !
Avec mon pied gauche j’écrasais alors son épaule droite, j’entendis l’omoplate et la clavicule se briser, il hurla à nouveau, une baffe qui lui arracha deux dents le fit taire, de longs filets de sang coulaient désormais de ses lèvres qui enflaient à vue d’œil :
- A partir de maintenant tu me vouvoies, AMBU N°4…et tu me dis en quoi consistait cette torture !!
- C’est un procédé qui vise à activer vos nanomachines, pour faire resurgir en vous vos souvenirs les plus douloureux…c’est psychologique, normalement les troubles dus aux souvenirs deviennent si intenses qu’on fini par en mourir…mais…
Un coup de poing qui lui arracha de nouveau quelques dents le fit taire, maintenant le flot de sang qui s’écoulait de sa bouche, l’empêchait tout simplement de parler…si il avait essayer, la dizaine de dents en moins n’aurait fait sortir que des sons inarticulés…il semblait si triste, j’ai même cru à un moment qu’il allait pleurer…tandis que moi affichait un sourire satisfait, je levais mon poing droit :
- Tu ne me sers plus à rien !
Mon poing s’abattit sur sa bouche la mâchoire inférieur se détacha, la mâchoire supérieure s’enfonça, mon poing s’abattit avec tant de violence si bien qu’il finit par toucher le sol…le résidus qui restait devant moi n’avait plus rien d’humain, le sang se mit soudain à couler, il y en avait partout…je revint dans la pièce, je détruisis chaque ordinateur et mis en pièces le casque et presque comme un dément je me mis à hurler :
- Tu ne t’amuseras plus jamais avec moi U-155 !!
Une fois calmé je sortis par l’unique porte qu’arborait la pièce, à ma grande surprise, pas de grande salle, juste un couloir, au bout une seule porte…dessus il y avait écrit :
Section Génétique
C’était là que je devais aller, j’avançais fébrilement vers la porte, j’avais bien sur ramasser tout mon équipement dans la pièce précédente. Je retins mon souffle lorsque j’ouvris la porte…
Ma Chronique datant d'il y a un moment, je dois avouer qu'elle est de piètre qualité, je vais bientôt attaquer l'écriture de ma seconde, si je m'y applique, je devrais pouvoir vous la faire partager d'ici la fin du mois d'avril.
Petit sondage : je publie ma chronique II en live de son écriture ( donc dès que j'écris 1 chapitre je le poste ) histoire de faire avancer un peu le topic maintenant que Locke a fini la sienne, ou je balance tout une fois que j'ai fini, ce qui sera moins bon pour le topic, mais la chronique sera plus évoluée ?!
Thunder Disons plutot un grand lecteur qui aime bien les histoires crée par d'autres autour d'Univers bien complets ... MGS, DBZ... Et j'en, passe
En tout cas, ta Chronique fait facilement partie des meilleurs que j'ai lue
C'est vrai que je l'apprecie autant que les romans de Dante.