Rhha ce texte... quelle ambiance!
D'ailleurs, cette mise en scène un peu glauque, dont le truc des yeux bleus de clair, colle bien mieux à l'ambiance sombre que je me fais d'une unité terroriste... Et puis bah même si ça va un peu dans les clichés (le zipppo qu'on lance^^), c'est un régal à lire!^^
Lockheed Tales #2: Sept Minutes.
2.Minuit
Caporal Lockheed
00:06:58
Sept minutes.
C'était comme si j'avais été foudroyé de partout, mes membres me remirent debout à une vitesse absolument affolante, et je ne pus dire si c'était par effet placebo ou nerveux que mes membres étaient parcourus de très désagréables fourmillements. Sans trop réfléchir, je sprintai par-dessus le corps du gars que je venais de trouer, fonçant à travers les boxes de l'étage. J'aurai dû jeter un coup d'oeil.
Les tirs fusèrent immédiatement, à peine eus-je mis un pied au-dehors du bureau du directeur. Par réflèxe, et grâce à l'entraînement spécial de réaction au tir qu'on nous enseignait à Fox-Hound, mes pieds se détachèrent du sol et je glissai sur le parquet tandis que le plâtre du mur derrière moi tombait sur mes épaules et à travers le petit couloir. Petit couloir qui, alors que je finissais de glisser, fut un angle parfait de tir. Je dégainai à nouveau mon Sig, et tirai un coup unique dans le genou du gars qui avait tenté de me canarder. Celui-ci, se trouvant bien plus proches de moi que ce que je m'imaginais -quelques mètres, tout au plus... et il m'avait raté, preuve que les soldats en faction étaient bien de la chair à pâtée des restes de l'Armée Rouge- plia en hurlant, laissant tomber son Ak dans le mouvement. Je me levai immédiatement, me baissai pour prendre son fusil tout en évitant un minable coup de poings, et lui mis un coup de crosse dans son genou blessé. Je repartis immédiatement, tandis qu'il s'écroulait à terre en hurlant, rangeant mon pistolet et prenant le fusil à deux mains. Mes pas étaient rapides, mon coeur était serré, mon souffle coupé par la peur de me retrouver incendié par cette putain de bombe, ou écrasé par les étages supérieurs qui s'écrouleraient dessus.
Effectivement, la bombe ne pouvait pas être un simple joujou qui aurait fait péter un bout de l'étage... Non, c'était bien un monstre qui, d'après le contact, était relié à d'autres explosifs un peu partout dans l'étage, dont un, toujours d'après les sources du pauvre gars froid sur la chaise, se trouvant relié à une impressionnante réserve de bouteilles d'hydrogène.
De nouveaux tirs me forcèrent à me baisser tandis que les balles rebondissaient de toutes parts sur les boxes, en une nuée de méchantes étincelles. Je me plaquai immédiatement contre une paroi, recroquevillé pour ne pas laisser dépasser ma tête, et continuai derechef à marcher, restant accroupi. Tenant l'Ak de la main droite, je fis glisser mon avant-bras le long de ma manche, pour voir en lettre rouges vif:
00:06:44.
Je préférais encore le bleu, tout compte fait...
-Je fais tourner les pales, grésilla la voix de Owl à mon oreille. Mais tu sais, le pilotage, c'est pas parfaitement mon truc...
Probablement entouré de partout, je préférai ne pas répondre, et continuai à avancer sans bruit. Jusqu'à ce que, jetant un coup d'oeil à un couloir, je retirai vivement ma tête avant que les tirs recommençassent.
-Ca va aller, t'as eu ton entraînement, dis-je à voix basse avant de sortir de ma couverture pour tirer quelques rafales et ainsi pouvoir me rendre derrière l'autre rangée. Et même si c'est du VR, les commandes sont les mêmes... t'as qu'à t'imaginer que les vitres sont des écr...
Deux soldats venaient de débarquer face à moi, armes levées. Sans trop réfléchir, je pressai la détente tout en plongeant à terre. Le premier gars s'effondra sur le deuxième en une pluie d'hémoglobine, arrosant ainsi tous les boxes alentours, une expression de terreur froissée sur son visage. Sans trop réfléchir non plus pour le deuxième, j'alignai sans tête sur le réticule saillant du fusil et pressai la détente. Une fois. Il s'écroula comme une masse dans un boxe, les yeux clos, presque paisiblement. Enfin, l'un des yeux, l'autre s'étant fait déchiqueter par la balle, qui avait envoyé une partie de sa cervelle sur le vieux clavier de l'ordinateur monolithique dont tout l'étage semblait être équipé.
-...ans. Rien de plus simple, finis-je de dire, tout en empoignant le fusil du premier gars que je venais de tuer, et changeant de chargeur, accroupi à côté d'une chaise.
En rouge vif: 00:06:17.
J'empoignant l'Ak du deuxième gars, qui semblait ne pas avoir servi, et mis la sangle autour de mon cou. Toujours accroupi, j'observai devant moi, au bout de la demi-douzaine de rangées, la sortie, qui semblait me narguer avec son petit "Exit" en vert lumineux au-dessus. Comme si une nouvelle impulsion m'avait frappé, je me levai, et, prenant mes jambes à mon cou, entrepris la folle escpade qui allait sceller le destin fatidique de ma petite personne... ou des quatre derniers bleus soviétiques qui, comme s'ils avaient cours de ballet à leur service militaire, levèrent leurs fusils en un mouvement simillaire.
-Le cadran de droite, c'est celui du vent, juste?
Passant les deux armes sous mes bras, tel un psychopathe petit gosse en train de bouder, mais avec des Aks sous les aisselles, je mis mes doigts sur la détente et les détonations assourdissantes étouffèrent les questions plutôt inutiles de Owl. Les douilles, volant quasiment à la verticale devant mon passage, voulaient peut-être m'éclipser les quelques balles qui se rapprochaient plus ou moins de moi, explosant les boxes derrière mon passage. J'entendis un, puis deux soldats crier. Une balle perfora mon épaule gauche. Je hurlai, lâchai l'arme de douleur... Puis continuai à hurler, plus fort cette fois-ci, plus intensément et, me retournant pour finir la distance en marchant à l'envers, balayai un dernière fois la salle de toutes ces crapules russes, tandis que, dans un dernière élan, je lâchais l'arme vide qui cliquetais dans le vide, et m'élançais en arrière tout en dégainant mon Sig et finissant de me couvrir. Je réatteris brutalement sur la moquette du couloir, tirai ma dernière balle sur un utopique bleu bolchévique qui venait de débarquer dans l'allée principale des boxes, pensant probablement que la balle à l'épaule m'avait trop épuisé. Je fis une roulade de côté, me relevai et fis tomber le chargeur à terre, en mis un autre. Et relevai ma manche.
00:06:01
Six minutes.
Je t'ai déja fait ma critique sur msn, j'aime beaucoup l'idée du "minute épisode"
J'avais rien à faire ce soir, alors j'ai écrit un autre bout de ma chronique.
Précédemment, dans MGHS :
Je sortis de la salle, le téléphone en main, et m’approchai de Claire, assise devant la porte. Sur la table, derrière elle, son éternel ordinateur portable attendait paisiblement qu’on le mette à profit. Elle le relia au téléphone, et un logiciel d’imagerie satellite en temps réel s’ouvrit automatiquement, et à mon étonnement, l’objectif n’indiquait pas les Etats-Unis. Un tout petit curseur, planté au beau milieu de l’Afrique Sub-saharienne.
METAL GEAR : HUNDRED SHOTS
- The Ninety-ninth Shot -
-- 2ème épisode : Déja-vu --
« Lorsque tu crois que tout espoir est perdu, que même Dieu ne peut plus te sortir de là, dis-toi qu’il te reste toujours un choix. Celui de comment tu vas mourir. ».
...
Je me réveillai péniblement. Cette voix résonnait encore dans ma tête tels les carillons funestes du destin. Une voix puissante, tellement audible et crédible que je croyais l’avoir prononcé moi-même. Je n’ouvris pas les yeux. Paupières closes, j’essayai de faire passer cette foutue sensation. La même qui me poursuivait chaque matin. Comme une impression de déjà-vu. Comme si tout se finissait aujourd’hui. Etonnant pour un soldat. J’avais peur de mourir. Mal à la tête. Ce putain de sentiment ne passait pas. Une envie de vomir qui montait. Une secousse. J’ouvris enfin les paupières. Un mur. Rouge. Du sang ? Non. Ca ne sentait pas la mort. Merde… mon cerveau était vraiment en train de péter un câble. C’était ni plus ni moins que la banquette sur laquelle je m’étais endormi. Je me retournai sur moi-même. Putain, j’étais pas seul. Je chopai mon arme dans ma ceinture et dégainai. Hmm… silhouette familière. Fermer un œil. J’ai pas dit les deux… un seul. Mieux. Bon. Un 85C mal caché. Milla. Un type mal coiffé. Kyle. Un énergumène enroulé dans une veste qui pioncait paisiblement sur la banquette opposé. Jay. Minute, où est …
- CLAIRE ?!
Je me relevai d’un bond, pointant mon canon dans le vide, balayant du regard la minuscule cabine. Les cheveux qui se disent Hasta la Vista les uns les autres. Une trace rouge sur la joue, due à la pression de ma paume pendant mon roupillon. Mon Desert Eagle rutilant qui balaye la pièce de son oeil vengeur. Hum ? Desert Eagle ? Ah, éclair de lucidité. J’avais décidé de changer depuis que j’avais ouvert une césarienne d’une seule balle dans le buste d’un mauvais indic’, quelques jours plus tôt. Jay qui, réveillé violemment, se cogne contre le hublot en sursautant et maudit ses ancêtres tout en se massant le front.
- Kenneth ?
Je jetai un œil par le hublot. Du bleu, du blanc. On était en l’air. Mais où précisément… ?
- Kenneth ?!
Hop, petit 180° de ma rétine qui va scruter l’écran de contrôle. Okay, super. On était au-dessus de l’Atlantique. L’avion était représenté tellement gros que j’aurais même pas pu distinguer selon si on avait été au-dessus de l’île de Ré ou de Philadelphie.
- ALEX ?
Milla qui venait de me mettre une baffe. Je tombai à la renverse et retournai dire bonjour à Madame la Banquette. Elle se jeta sur moi. C’est quoi ce bordel, une mutinerie ? Tiens, non. Elle me tenait le visage à deux mains, pointant son regard droit dans le mien.
- Putain, Alex, arrête ton délire. Tu manques d’oxygène ?
(- C’est ça, tu veux pas aller me chercher mon déambulateur aussi ?) pensais-je.
- Oh, ça va ?! renchérit-elle.
- Hmmm… Où elle est ? murmurai-je. Ma propre voix faisait écho dans ma boite crânienne, comme si ma cervelle était allée voir s’il faisait beau dehors.
- Qui ? demanda-t-elle bêtement.
- Mère Térésa. (elle me fixa d’un air louche pendant une ou deux secondes.) Mais non, Claire, qui d’autre ?
- Hum. Je dois vraiment te rappeler que tu as réveillé toute la base tellement tu as gueulé pour qu’elle ne vienne pas et qu’elle nous serve d’analyste ?
Ah, oui tiens. Je me disais bien que cela me rappelait quelque chose. Et pendant ce temps, Jay s’était rendormi, en grommelant. Et elle… son visage était toujours quelques centimètres au-dessus du mien. Irrésistible. Enfin, presque. Je savais que si je l’embrassais, j’en avais pour plusieurs minutes, soit de baiser, soit d’explications, c’était selon. Et me séparer d’autant de temps des bras d’Orphée n’était pas une solution envisageable. Je trouvai alors une autre utilisation à ma langue :
- Laisse tomber, j’ai juste fait un cauchemar. ‘Un delirium à l’opium de bonhomme.’
- J’arrive jamais à me rendormir après un cauchemar moi… dit-elle tout bas comme si c’était confidentiel.
- Et moi j’aime pas rester sur une défaite. Va te reposer…
- Ouais, je vais faire ça. Bonne n…
Je n’avais même pas eu le temps d’entendre le reste. J’étais déjà reparti dans un autre univers.
- Kenneth, réveille-toi !
Bon, tant pis. J’ouvris les yeux à nouveau. Ils étaient tous trois debouts, plantés là à me regarder comme si j’étais l’Antéchrist.
- Dingue ça… moyen de pioncer ? grommelai-je.
- Ca fait quatre heures que tu t’es rendormi, je te signale. On est au dessus du Nigeria. Faut qu’on se prépare à atterrir. Me renseigna Jay.
Je détestais ces siestes express. A peine le temps de fermer les yeux, il est déjà plusieurs heures plus tard. Et après on s’étonne de vieillir. Pour couronner le tout, fallait qu’on fasse un tour au-dessus d’une ville qui devait grouiller de soldats et de DCA. Youpi. Tant qu’on y est, on aurait pu déployer une grosse pancarte avec marqué « Salut bande de cons, c’est les Ricains, vous savez, les maîtres du monde, on vient vous botter le cul et on espère être de retour chez nous pour la prochaine pleine lune. » Je m’avançai vers un des hublots, pour essayer d’apercevoir la terre sous nos pieds. Au lieu de cela, un enfer gris et noir s’étendait comme une nappe de pétrole dégazée sur plusieurs kilomètres par un de ces navires poubelles. D’après le pilote, les rebelles (les gentils, d’après le briefing) avaient fait sauter une raffinerie de pétrole. Pour une fois que je me plantais pas totalement dans mes comparaisons. Et, donc, on devait, pour atterrir, passer sous les nuages. En espérant ne pas faire la même connerie qu’Icare et se cramer les ailes. Sans prévenir outre mesure, le pilote plongea sous la fumée âcre. Re-bonjour miss banquette. Un « Merde, mais ils tirent à vue ces cons ! » suivi d’un « Boum » me firent me relever fissa. L’oiseau de plomb s’en était pris dans le plumage. Il allait de toute évidence falloir sauter. Milla ouvrit le sas de dépressurisation, et une bourrasque s’engouffra alors dans tout l’appareil. Je me saisis des parachutes, en tendant un à chacun, pilote et copilote compris. Hé bien, heureusement que Claire n’était pas venue. Il y avait juste le nombre. Kyle prit une profonde inspiration, et s’élança en premier. Je me retournai vers le cockpit, regardant à travers la large baie vitrée que formait le nez du coucou. Un formidable éclair blanc m’éblouit. J’eus le temps de me retourner, et de commencer à plonger par terre, que l’onde de choc venait de percuter l’avion de plein fouet. Au sol, je me redressai sur mes coudes, et aperçut par le hublot le champignon atomique qui s’élevait dans le ciel. La secousse avait fait tomber le pilote dans le vide. Enfin, le vide, pas vraiment. Le réacteur, pour être précis. Tout tournait tellement vite autour de moi que je ne savais même plus retrouver ma gauche de ma droite. Quelques secondes de ballet infernal. Ma montre, initialement posée sur la tablette, me passa devant les yeux avant de tomber dans ce trou noir. 15 heures. 42 minutes. 23 secondes. Et, selon la loi de cet enfoiré de Newton… ou Archimède… un de ceux là, le sol finit par venir nous heurter violemment. La dernière image que je vis furent les flammes qui envahissaient l’avion comme un diable qui sort de sa boite.
...
- Kenneth, réveille-toi !
Je rouvris les yeux. Plus de flammes. Plus de champignon atomique. Juste Jay qui me regardait impatiemment.
- Ca fait qu…
- …atre heure que je pionce, je suis au courant. On va atterrir, je sais aussi, merci.
Je me levai, et fis un bond jusqu’au hublot. Ces mêmes nuages couleur charbon. « Je crois bien qu’ils ont fait sauter la raffinerie à l’Est de la capitale. C’est ça qui crame. » Les infos du jour de radio pilote bientôt démolécularisé par un foutu réacteur. Je m’appuyai contre le mur. Quelques dixièmes de secondes plus tard, l’avion pencha en avant. Kyle faillit se ramasser contre la tablette que je n’avais pas refermée. Je me saisis de ma montre, et l’accrochai à mon poignet. Réagissant qu’on allait bientôt passer sous la couche de fumée, je courus jusqu’au cockpit.
- Si ce coucou est équipé de leurres, c’est le moment de les mettre à profit, lui dis-je, comme un ordre plus qu’un conseil.
Je m’attendais à ce qu’on soit frappés par l’une des ces saloperies d’une seconde à l’autre. Mais, curieusement, le ciel était calme. Aucun mouvement. Je jetai un œil au cadran de ma tocante. 13 heures, 8 minutes, 4 secondes.
Comme d'hab les Enfants ( ), c'est niquel et bien écrit
Et on est transproté dans le texte de bout en bout
Thunder Très bon Texte, encore une fois
Palme d'Or Oui, mais c'est uniquement des Fictions DBZ ... Puisque ce truc a été crée pour la 1ere fois sous l'Ere Tenkachi 3 et j'ai gagné la 2 ème ...
Voila pour le renseignement
[HELP] Cherche désespérément texte de Fox Down ou Alex est censé faire un combat aérien.
Je le retrouve pas dans mon bordel, et je suis en train de tout relire, pour avoir une idée de quoi refaire pour le site.
Merci de votre aide future.
Lol et le sommaire que j'avais, il a servi à rien ?
Et si tu parles du texte du Harrier, c'est page 1205-1206. (Heuresement j'ai toujours ma documentation sur moi ! Vive l'USB ! )
J'ai oublié la page du sommaire ... redonne, je la mets en favori
Et merci bien cher confrere ^^
Vala, par contre faudrait que je vérifie si tu en a reposter depuis :
PS: Désolé de la façon de poster, problèmes de format.
T e x t e s d A l e x :
P R E S E N T A T I O N
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1 . U n e n o u v e l l e m a c h i n e à t u e r é m e r g e ( p a g e 1 0 9 5 )
2 . A s s a s s i n a t d u n p i o n ( p a g e 1 1 0 5 )
3 . M a n h a t t a n K a - b o o m ( p a g e 1 1 0 8 )
4 . N o m o r e a r m y , n o m o r e f a m i l y & ( p a g e s 1 1 2 1 - 1 1 2 2 )
5 . B a d N e w s ( p a g e 1 1 3 3 )
F O X D O W N
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
6 . A r r i v é e à F o x - H o u n d ( p a g e 1 1 6 7 )
7 . A r r i v é e à F o x - H o u n d , s u i t e ( p a g e 1 1 6 9 )
8 . R e t r o u v a i l l e s a v e c C l a i r e ( p a g e 1 1 7 5 )
9 . R é u n i o n d u n i t é s ( p a g e 1 1 7 8 )
1 0 . T h e w r o n g s i d e ( p a g e 1 1 9 1 )
1 1 . O n n e p e u t p a s f a i r e m a r c h e H a r r i e r ( p a g e s 1 2 0 5 - 1 2 0 6 )
1 2 . F i r s t k i l l s ( p a g e s 1 2 1 0 - 1 2 1 1 E T 1 2 1 3 ^ ^ )
1 3 . L i v e T o g e t h e r o r D i e A l o n e ( p a g e 1 2 2 6 )
1 4 . R e t r o u v a i l l e s a v e c S a l a d i n ( p a g e 1 2 4 0 )
1 5 . N o O t h e r C h a n c e ( p a g e 1 2 5 5 )
1 6 . D é r a i l l e m e n t ( p a g e 1 2 6 3 )
1 7 . C o r t e x & S e m t e x ( p a g e 1 2 6 5 )
1 8 . T h e F i n a l E s c a p e ( p a g e 1 2 7 8 - 1 2 7 9 )
1 9 . N o T i m e t o B r e a t h e ( p a g e 1 2 8 2 )
2 0 . N o T i m e t o B r e a t h e , p a r t i e 2 ( p a g e 1 2 8 7 )
2 1 . L i n t e r m é d i a i r e ( p a g e 1 2 8 7 - 1 2 8 8 )
2 2 . F i n f o n d d e F o x - H o u n d ( p a g e 1 3 0 1 )
2 3 . A c o n f l i c t o f g e n e t a t i o n s ( p a g e 1 3 1 6 )
2 4 . D é b r i e f i n g ( p a g e 1 3 1 9 )
I N T E R L U D E
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2 5 . L i k e T o y S o l d i e r s ( p a g e 1 3 3 2 )
2 6 . E n t r e v u e ( p a g e 1 3 3 4 )
C H R O N I Q U E S D E S S I X A N S
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2 7 . T h e r e s n o e a s y w a y o u t , P a r t i e 1 ( p a g e 1 3 5 2 )
2 8 . T h e r e s n o e a s y w a y o u t , P a r t i e 2 ( p a g e 1 3 5 2 )
2 9 . T h e r e s n o e a s y w a y o u t , P a r t i e 3 ( p a g e 1 3 5 3 )
3 0 . T h e r e s n o e a s y w a y o u t , P a r t i e 4 ( p a g e 1 3 5 3 )
3 1 . T h e r e s n o e a s y w a y o u t , P a r t i e 5 ( p a g e 1 3 5 4 )
3 2 . T h e r e s n o e a s y w a y o u t , P a r t i e 6 ( p a g e 1 3 5 6 )
3 3 . T h e r e s n o e a s y w a y o u t , P a r t i e 7 ( p a g e 1 3 5 9 )
Tiens je viens de me rendre compte d'un truc en regardant meis anciens textes...
Y a que Naked qui sait que Maria est Meryl non ? Je veux dire avant qu'on le rejoigne au sous-sol... (Et même après ?...)
Oula, peux pas t'aider sur ce coup.
Sinon, d'une merci, et de deux j'adore les noms que tu as donné à mes premiers textes ! Manhattan Ka-Boom, c'est juste génial.
...C'est toi qui l'as donné. XD
Mdr mais quel amnésique celui-là des fois.^^
J'ai fait des calculs :
En moyenne, on poste chaque année 2.53 fois moins de pages que l'année précédente.
23 mars 2005 (création du topic) à Fin 2005 : 811 pages de postés.
(Bon en meme temps les deux premiers mois y avait que des noobs qui postait en SMS toute la journée^^)
2006 : 416.5 pages de postées.
2007 : 133.5 pages de postées.
Le chiffre idéal pour une année prospère avec de bons textes serait de faire un peu plus de 500 pages par un an. Au boulot !
Remarque en même temps, si tu prends la quantité de textes produits, elle est aussi grande maintenant que quand on postait plus. Les posts d'avants étant plutôt du blabla... qui me manque un peu d'ailleurs...
En gros, la productivité augmente!^^
Oui c'est vrai, enfinc ette remarque est surtout vrai pour 2006 par rapport à 2005.
Déjà, d'après mes observations, le "vrai" MTS/MGHS, à commencé vers les pages 482-483, peu après l'arrivée de Cobra, en Aout 2005. C'était vraiment le 1er échange de texte un peu construit, qui se suivait et constituait une histoire à part entière. La méthode qu'on connait quoi.
Mais bon en 2007 on a pas vraiment carburé faut le dire, j'ai même pas vu passé l'année, on commence sérieusement à avoir des vies^^... (moi par exemple, 6-7 textes en 2007 contre 38 en 2006, soit 6 fois moins environ !)
Bon j'arrête là, si je continue, je pourrais faire un lien entre le choc pétrolier de 73 et le ralentissement du topic, on dirait vraiment unc ours d'économie.
Je pense quand même qu'après les chroniques on aura un meilleur rythme... Le tout est de finir les chroniques avant 2009 (mission impossible XD)
C'est moi qui avais donné le titre ? oO
Merde alors, je m'étonne tout seul ! xD
Moi je me suis étonné à chercher ma 1ere chronique il y a quelques jours... 15 pages en arrière, alors que je l'avais postée en 2007.
Et d'ailleurs, je tiens à préciser qu'en 3 mois complets, nous avons fait... 9 pages et demi ! XD
Soit, si nous continuons sur ce rythme, 38 pages par an.
Ce qui nous ferait une diminution de 65% par rapport à l'année dernière.
Enfin... quand on déboulera sur MGS4 on va carburer les mecs, c'est le calme avant la tempete !
Personnellement, j'ai la sale impression que quand MGS4 va sortir, on trouvera ça tellement superbe qu'on sera trop dépité avec cette concurrence de malade qu'on aura! XD
Mais on continue! YAY
Sinon j'ai pas mal écrit en 2007 encore...
2005: Activité très intense! Mais petits textes...
2006: Activité moyenne! Mais textes moyen-gros. (Barcelone Wave et Fox Down) + Chronique II
2007: Activité moyenne. Mais gros rendement! Lockheed Tale I
+ (et surtout) Chronique II
2008: Activité faible: Lockhhed Tale II et peu de Chronique II
Bref... mais bon, j'y ma fiction Hitman depuis un bout de temps aussi! Et je passe bien moins de temps devant mon PC qu'en 2005.
Naked le pré-ado MGS fan me manque! Reviens, bonhomme, merde, t'étais un des leaders!
J'avoue, c'est vraiment dommage cette histoire.
Sinon Thunder on compte en textes postés sur le topic, pas écrit chez soi !
Ouais... Naked parti.
Il abuse quand même, concilier 3 familles d'un coup c'est faisable.
Nous, on y arrive nan ? Bah voila...
Personnellement, à part ma première partie de chronique, en 4 mois j'ai rien foutu.