Ouais Ouais
Sinon pour les initiales si on garde juste "Metal Gear" ça pouyrrait faire un truc genre "MGHS" ça se rapproche de MGS, comme MTS, et en plus ça fait un jeu de mot car ce qu´on fait est secondaire à MGS, un peu comme du HS. MGHS !
Alex me l´a déjà dit sur msn, mais cette solution semble vraiment être la meilleure! Hundred shots tout court colle super...
... et MGHS! C´est génial putain! Sans dec, ça colle impec! Bon, ça se dit pas trop en anglais mais on s´en fout! XD
Viva MGHS!
Metal ? Gear ? Hors ? Sujet ?
Bon mortel, qui vcote pour "MGHS - Metal Gear : Hundred Shots" comme nouveau titre ? Il faut la majorité. Et je commence le site !
Pour.
Pour.
Et d´ailleurs...
The Chrysler Unit Chronicles. - 1 - There´s no easy way out.
Claire et Jay tenaient déjà leurs cartes juste au dessus de la fente. Je fis de même, puis dit d’une voix essoufflée, tant le stress me coupait le souffle : Prêts ? 3, 2, 1 …
Nous enfonçâmes simultanément les cartes. Personne dans la pièce n’osait bouger le moindre sourcil. Aussitôt, une alarme résonna dans la pièce, et quelque chose s’activa. J’entendis alors la même voix, stridente et désagréable, totalement dépourvue de sensualité, mais qui je l’espérais allait m’annoncer l’arrêt de toute cette folie :
- Cartes sœurs enclenchées. Fin de la procédure de préparation du missile. Procédure de lancement du missile activée.
- Quoi ? hurlai-je, tapant du poing sur la machine. Bordel de merde Forman, qu’est ce que c’est que cette connerie ?
Au moment précis où je terminais ma phrase, la porte de la salle s’ouvrit à nouveau. Je crus alors voir des revenants. En tout premier, se tenait la grande brunette qui avait failli nous faire rôtir, suivi de près par son adorable soeurette. Enfin, derrière, Hurricane se tenait là, son veston toujours plein de sang. Mes coéquipiers, sous le choc, baissèrent leurs armes, murmurant des jurons d’incompréhension. L’homme qui venait de me donner la dernière carte se tourna alors vers moi. Il souriait, jusqu’aux oreilles. Il fit signe aux autres de continuer à nous menacer, puis prit la parole :
- Tout d’abord, je tiens… Non, nous tenons à te dire merci, Kenneth. A vous dire merci à tous en fait !
De rage, Jay leva alors son arme, et la pointa sur l’homme.
- Jay, wait ! lui criai-je.
- Oula… Nerveux le garçon ! toisa-t-il. Bon… Après toute la mascarade qu’on vous a fait, j’estime que vous avez besoin d’un peu d’explications. Jetez vos armes et tout ira bien.
Aucun d’entre nous ne broncha, et je continuai à regarder notre interlocuteur dans les yeux.
- Ce sont des balles à blanc. Laissez tomber je vous dis.
- C’est du bluff ! souffla Milla.
- Ah oui ? Et bien vas-y chérie, tire ! répondit l’homme aux yeux bleus.
Ne se faisant pas prier, elle vida son chargeur sur lui. Il ne bougea pas un orteil, mais un rictus s’était formé au coin de ses lèvres. De dêpit, sans rien comprendre, nous jetâmes alors nos armes. Comment ? Comment avaient-ils fait pour remplacer nos chargeurs ?
- Je vois que vous êtes un peu plus disposés à continuer, commenca-t-il, alors voila. D’abord, nous ne sommes pas des Patriotes.
- Quoi ? balbutiai-je. Mais qui vous êtes à la fin ?!
- NSA… siffla Jay.
- Exactly. National Security Agency. Il n’y a jamais eu le moindre Patriote ici. En revanche, des patriotes, il y en a eu, et un peu trop même…
- Qu’est ce que tu veux dire ? le questionnai-je.
- Nous étions ici pour servir notre pays, mais ils nous ont trahi ! Soit-disant, une mission d’une importance capitale, protéger à tout prix une base ultra secrète contre une attaque terroriste, et pouvoir répondre à l’appel au cas où le pays aurait eu besoin d’un missile nucléaire. C’était il y a 5 ans. Depuis, nous aurions dû être remplacés, mais ils nous ont coupé tout contact vers l’extérieur. Nous avons déjà essayé de lancer un S.O.S, mais personne n’est jamais venu. Ces rats du gouvernement nous ont abandonnés, oubliés dans ce trou !
- Pourquoi vous n’êtes pas tout simplement… sortis ? demandai-je, éberlué.
J’avais du mal à déterminer quel sentiment s’étalait à présent sur le visage de l’homme. Il jubilait, à la limite de l’orgasme, et pourtant son visage semblait renfrogné. On aurait dit un malade mental qui venait de s’échapper de l’asile, et qui avait toujours les neurones qui s’entrechoquaient. Néanmoins, ses idées semblaient cohérentes, et je ne perdais pas une miette de son exposé. Quitte à crever, autant savoir pourquoi. Je n’étais peut-être pas si terroriste que ca, finalement.
- Ces enfoirés avaient pensé à tout ! continua-t-il. Ils avaient, dans le plus grand secret, programmé nos nano-machines. Elles agissaient comme un collier éléctronique. Si on cherchait à se tirer de la base…
- Elles arrêtaient votre cœur, finis-je.
- Presque. Elles arrêtaient le cœur d’un de nos coéquipiers, le notre uniquement si nous étions seul. Nous nous sommes rendus compte de ça après avoir tenté de nous échapper. C’est moi qui ai tué l’un de mes hommes ! Dans le plus grand désespoir, nous avons commencé à explorer la base de fond en comble. Dans une salle condamnée, nous avons trouvé un coffre, contenant plus de quatre millions de dollars, en petites coupures. Mais surtout, après quelques mois de recherches, nous avons trouvé une salle informatique. Un rapide apercu de ce que les ordinateurs contenaient nous aida à comprendre la véritable nature de cette base. Certes, c’était une base de lancement nucléaire, mais c’était aussi l’équivalent de Fort Knox, en données informatiques. Des milliards de dollars, stockés sur des serveurs, des informations capitales au gouvernement, des rapports d’espionnage de la NSA ainsi que de la CIA… Mais surtout, une liste. Une liste de toutes les bases telle que la notre, éparpillées dans le pays. Et dans le monde. Ainsi, nous nous sommes rendus compte que nous étions loins d’être les seuls dans cette situation. Et la solution aux problèmes de tous ces hommes et femmes se trouvait là. En effet, le contrôle des nanomachines s’effectuait ici, dans ce complexe. Forcément, nous n’avions aucun pouvoir de modification des données, même en y mettant tous nos efforts, impossible de cracker le système. Alors, nous avons imaginé une solution radicale. Anéantir le serveur, libérer tous ces gens, nous libérer. Hélas, comment ? Nous avons essayé de faire sauter la mine à grands coups de C4, non seulement l’un de nous y est resté, mais en plus, nous n’avons abouti à aucun résultat. Nous avons alors réalisé que la solution se trouvait sous nos yeux. Les missiles nucléaires. Evidemment, nous n’étions pas des terroristes, pas question de faire sauter tout le canyon. Nous avons alors déchargé l’une des têtes, laissé juste assez de puissance pour atomiser le complexe, et y avons ajouté une puissante IEM. Une chose est sure, le serveur n’y resisterait pas. Mais dès lors, un problème se posait. Nos nanomachines étaient également configurées pour que sans l’accord de nos supérieurs, il soit impossible de lancer une bombe. Mais, la seule facon de désactiver notre collier éléctronique, était que le silo soit la cible d’une attaque. Même si cette attaque venait de nous même.
Nous nous regardions tous d’un air incrédule, sans vraiment comprendre où il voulait en venir. Même pas besoin de poser la question, parti dans son élan, il répondit à nos questions, sans même que nous n’ayons ouvert la bouche :
- Vos nanomachines peuvent activer le système, peuvent tous nous libérer. Nous vous sommes si reconnaissants. En insérant ces cartes, vous ne venez pas d’interrompre le lancement, vous n’avez fait que d’en donner l’ordre. En effet, nous pouvions librement choisir d’armer un missile, mais pas de le tirer. C’est cela, le compte à rebours que vous avez entendu. Tu as déjà lu « In The Darkness of Shadow Moses » ? Nous nous en sommes servi, la combine des clés PAL, c’était l’idée. Bien évidemment, vous vous doutez que nous ne pouvons pas vous laisser sortir d’ici vivants. Et toi non plus d’ailleurs.
Il avait déclaré cette dernière phrase en pointant son arme sur Forman, qui n’en croyait pas ses yeux. C’était grâce à lui s’ils étaient vivants, grâce à lui si tout cela allait se finir une bonne fois pour toute. Et ils allaient le laisser pour mort. Les terroristes avec les terroristes. Pas d’alliance. Les chats et les chiens ne cohabitent pas. Rien de moins que des animaux, toujours prêts à se battre pour le moindre bout de chair, pour leur survie. Des animaux, vraiment ? Bien sur que non. C’était la nature humaine. Au moment où ils nous conduisaient, le canon de leur arme appuyé contre notre colonne vertébrale, vers une pièce isolée, je remarquais un élément que je n’avais pas encore vu. Dans le dos de l’homme derrière moi, sur l’épaule de sa veste, un nom. « D.S.O, Desmond Secret Operation ». Alors même ce genre d’équipe aussi glauque avait un nom. Etrange, celui-là me disait quelque chose, mais ca remontait à loin, si loin. Tant pis. Nous venions d’entrer dans une pièce, étrange, épurée. Une fois la porte passée, on se retrouvait dans une salle entièrement vide, avec une vitre sur le côté. Comme ces salles d’interrogatoire qu’on voyait dans tant de films. Encore une fois, l’homme répondit à nos questions alors que nous ne les avions même pas posées, et que nous ne comptions pas le faire :
- La porte est blindée, ouvrable seulement par un système de passe, impossible à cracker. Quant à la vitre, triple verre renforcée. Rien ne la traversera.
Sur ces mots, et une fois que nous étions tous à l’intérieur, il ferma la porte. Par la vitre, nous les vîmes s’éloigner, alors que Jay se jetait sur la porte, et la frappait, inutilement. Réaliste, je m’assis au fond de la pièce, poussant un long soupir. Au bout de quelques secondes, visiblement résignés, les cinq autres firent de même. Forman s’assit à l’écart, l’air très mal à l’aise. Une haine difficilement maitrisée se lisait dans les yeux de Kyle. Il avait un regard expressif, à un tel point que parfois, parler lui était inutile. Je fixais ses pupilles sans vraiment m’en rendre compte, perdu dans les méandres de mon inconscient. Alors, lorsque Jay donna un coup de poing rageur contre le mur, je sursautai. Le silence qui régnait depuis quelques secondes avait eu raison de ses nerfs, il devait absolument avoir l’impression d’agir, de ne pas être immobile face à son destin. Et il disait tout haut, ce que nous pensions tous tout bas :
- Ahaha… Ils t’ont bien baisés hein ? Qu’est ce que ca fait ? D’être manipulé alors que vous pensez être le maitre du jeu ?! Qu’est ce que ca te fait ?! …
Forman ne réagit pas. Il regardait dans le vide, complètement perdu, déboussolé. Observant ce manque de réaction, Jay continua de plus belle :
- Allez ! T’avais pourtant une sacrée tchatche tout à l’heure, qu’est ce qu’il t’arrive ?! Ou alors t’es en train de réaliser que c’était couru d’avance qu’ils allaient te frapper dans le dos ? Réponds putain !
- Ils avaient promis… murmura-t-il, dans un souffle, pour lui-même.
- Hum ? Articule ! se mit à hurler Jay.
- 500 000 en liquide dès le début, et 2 millions une fois le travail terminé… Ils avaient promis… Ils avaient promis.
- Ha ! Parce que c’était pour le pognon ?! Tu as trahi ton propre camp pour du putain de fric…
La conversation pouvait vite tourner au règlement de compte. Je décidai d’intervenir, aucun d’entre nous n’avait besoin d’un tel spectacle.
- Fermez-la deux minutes… Forman, au lieu de te lamenter, creuse-toi un peu la cervelle. Qu’est ce que tu sais de cet endroit, qu’est ce que tu sais d’eux ?!
- Okay… Alors, par où je peux commencer… Je suis descendu ici pendant une mission de repérage, il y a plus d’un an maintenant. On avait juste détecté une activité éléctronique anormale, et comme on cherchait n’importe quelle base Patriote cachée… A peine j’avais fait deux pas dans la mine qu’ils me sont tombés dessus. J’étais armé, en uniforme, difficile de me faire passer pour autre chose qu’un terroriste. Mais au lieu de m’abattre, ils m’ont proposé un marché. 2 millions et demi si je faisais venir un groupe d’au moins trois personnes ici, ils s’occupaient du reste. Evidemment, je ne pouvais pas faire descendre de force trois touristes ici, cela n’aurait pas fonctionné… Alors ils m’ont expliqué le plan. Ils me donnaient 500 000 pour moi, plus la même somme pour convaincre des mercenaires d’aller attaquer votre base, histoire que ma disparition soit très marquée. Puis, pendant qu’ils programmaient minutieusement votre parcours dans le complexe, je me planquai, quelque fois ici même, quelques fois dans un chalet loué tout près d’ici… Et puis, le jour venu, je me montrai, en public, là où je savais qu’il y aurait l’un des nôtres capable de…
- L’un des notres, oui. L’interrompit Kyle. Mais ne t’inclut pas dans le lot. Tu n’es plus des nôtres…
- …capable de me reconnaître, poursuivit-il, imperturbable une fois lancé. Vous faire entrer, vous bloquer ici en faisant sauter le monte-charge, puis vous attirer petit à petit jusqu’à la salle de contrôle en nous arrangeant pour que vous récupériez les cartes au passage. Bref, vous faire croire que vous faisiez tout ceci de votre plein gré.
- Mais comment, comment vous avez fait pour vous faire passer pour mort ?! le questionnai-je.
- Simple. En ce qui me concerne, mon flingue était chargé à blanc, et il y avait quelque chose pour me réceptionner au fond de l’élévateur. Pendant que tu te battais, Frank avait remplacé tes chargeurs par des chargeurs à blanc, ni vu ni connu. Puis, en ce qui concerne les soeurettes, le système anti-incendie de la salle projetait du liquide anti-inflammable, qui vous a tous recouvert, elles et vous. Vous ne risquiez absolument rien des flammes, et pendant que tous vos flingues étaient sans surveillance, je les ai chargés à blanc. S’ensuivit la rencontre avec Frank, un stupide combat entre armes inoffensives, les siennes comme les vôtres. A un instant choisi, il lui a suffi de percer des poches de faux sang sous son gilet pare-balles, afin de se faire passer pour mort, et le travail était joué. Quand à la voix informatique, rien de plus simple que de la reconfigurer pour vous duper. Tout était prévu, calculé. Et vous avez marché.
- Mais je ne comprend pas. L’interrogeai-je. Comment ils comptent sortir, eux ?!
- Les nano-machines se déprogramment quand un missile vise le complexe. Ils vont pouvoir sortir par une autre issue.
Au moment où il prononça ces mots, un vacarme assourdissant envahit la pièce. Le missile était en train d’être lancé, le temps que les réacteurs chauffent, il allait partir dans à peine plus d’une minute… C’en était donc fini ? Est-ce que toute notre histoire devait s’arrêter à cet endroit, à cet instant ? Je regardai Claire, Milla, Kyle, Jay… Ils avaient attentivement écouté Forman, le regard perdu dans le vague, tout espoir mourrant petit à petit en eux. Ils ne semblaient même plus avoir la force de ressentir de la haine envers celui qui avait déclenché tout ca. A chaque seconde qui passait, ils ne croyaient plus… Jay était comme un frère pour moi, le genre de type avec qui on est complice et soudé jusqu’à la mort. Milla, elle… Je ne pourrais pas dire que je la voyais comme une sœur. Je ressentais quelque chose de plus, quelque chose de très malsain pour deux personnes du même sang. Quelque chose que je m’étais toujours caché, toujours renié. Mais qui apparaissait comme une évidence dans ces moments de pure détresse. Enfin, Kyle… Un bonhomme vraiment très prometteur. Incroyable. Je me rendais compte que je considèrais mon unité comme la famille que je n’avais jamais eu. Mais je dûs me résoudre à stopper le flot de mes pensées, lorsque je constatai une chose effroyable. Tout bruit avait disparu.
Pour.
Très bon texte Alex, comme dh´ab zéro fautes. On peut dire que le scénario avance dans celui-ci. J´ai bien aimé le passage ou Jay gueule sur Forman, et aussi le fait de forcer volontairement la base a être attaqué.
Par contre, quelques détails m´ont dérangés, comme de simples agents de la NSA qui connaissent l´existence des Patriotes... Oula faut se calmer.^^ Et évidemment le côté "tout était prévu, et on s´est cassé la tête pour monter tout une pièce de théatre inutile mouhahaha", j´ai rien contre les plans échafaudés, mais là le tout se ressemble un peu (sans compter l´inspiration volontaire du coup des missiles).
Ah oui, et faute de scénar aussi... Des balles à blancs qui décrépite une table ? XD
Sinon je me suis bien marré pour "Desmond Secret Operation" Excellent XD.
Vivement le dernier acte !
Tiens je me repassais le topic, quand je suis tombé sur un de mes postes que je reposte histoire que chacun s´en souvienne :
"Ultimate_gamer0 Posté le 07 mars 2007 à 22:30:19 JE voudrais lancer un débat (ou juste une remqruqe selon vos réponses) général:
Après les chroniques, et même pendant, il faudrai relimiter le rayon d´action des Patriotes.
- Eviter de temps en temps d´en faire l´ennemi N°1 à chaque mission.
- Réduire leurs actions a des magouilles dans ´lombre plutot qu´à des attaques massive comme FoxDown, qui je le rapelle est exceptionelle.
- Ne pas oublier que le fait qu´il n´y ait plus de comité les rends durant les 6 ans en tout cas, beaucoup plus passifs.
Je veux dire, quand on se rappelle de comment ils procédaient dans MGS2, il faut continuer à respecter cela et revenir plus aux Patriotes de MGS.
C´est pas un reproche hein jsute une remarque préventive pour rappeler qui est le comité et la façon dont il agit."
Pour ma part...choisissez le nom que vous voudrez, je vous fait confiance...sinon je lirais le texte d´Alex plus tard...au lycée j´ai pas le temps, et en plus les ordis osnt à chier. ^^
Cool... Manque plus que l´avis de Naked, que j´aimerais bien connaître...
Ca fait longtemps on l´a point vu celui-là...
Sympa le texte d´Alex. On voit que son style est en train de se définir clairement, quelque part entre un 24 et un Lost... bien foutu.
Mais! (il y a toujours un mais!) quelques détails m´agacent un peu. Par exemple, les gars qui ne font pas partie des Patriots, mais de la NSA... C´est vrai après tout, les Patriots contrôlent la CIA, le FBI, la DIA, la DEA, le Darpa, toutes les agences gouvernementales ricaines, mais pas la NSA qui se charge de les surveiller... J´ai trouvé ça un peu gros!^^
Ensuite, pour l´explosion, pas besoin d´ajouter un IEM!^^ Faire péter un missile provoque suffisament d´ondes pour tout niquer électroniquement à des centaines de mètres à la ronde.
Quelques passages sont sympas, dans le style mélo-dramatico-psycho-sombre que j´aime tant... Style "Je fixais ses pupilles sans vraiment m’en rendre compte, perdu dans les méandres de mon inconscient."
Mais c´est du bon... du très bon même. Et j´en profite pour continuer ma Lockheed Tale!!!
Seattle - Inside Hell
9.A traitor...
Caporal Lockheed
-Comment ça, un traître?
Le visage de Craig était d´une expression quasi-effrayante, sa bouche pendant légèrement en un dégoût difficilement maîtrisable, ses sourcils froncés, son habituel regard froid semblant deux fois plus puissant sur ma personne.
-C´est indéniable, Craig. Les ennemis n´ont pas pu intercepter les unités qui entouraient la ville sans infos. Quelqu´un a tout balancé de l´intérieur.
Nous étions dans un coin reculé du supermarché, quelque part au premier étage, à l´abri des membres de mon groupe et du sien. Après s´être ralliés, et que Dante m´eût serré dans ses bras comme un frère, nous nous étions servi des cordes dont les soldats d´élites russes s´étaient servis pour redescendre. J´avais donné l´ordre à mon équipe de ne faire confiance à personne, sauf Dante, que je connaissais bien. Mieux valait soutirer un maximum d´informations.
-Je ne dis pas que le traître se trouve dans ton équipe, il est peut-être dans les Marines.
Craig ne dit mot, tourna légèrement la tête pour me fixer encore plus intensément de ses grands yeux bleus, les muscles de sa mâchoire effectuant de petits spasmes. Et le petit Persée que j´étais n´avait aucun bouclier pour oser se défendre contre une autorité pareille, un regard d´un bleu si puissant que le Ciel lui-même n´aurait eu l´idée de l´affronter. Même Naked n´avait pas cette terreur dans les yeux. Car, au-delà de la colère, la terreur venait de profondément s´incruster en lui, lui glaçant les os de toutes parts. Je ne dis mot, détournai le regard, et il détourna également le sien du mien, partant faire quelques pas en direction d´une petite baie vitrée, se passant continuellement une main sur la bouche, l´autre accrochée à une poutre d´un blanc délavé.
-Les Marines qui nous accompagnaient ici se sont tous fait descendre, dit-il enfin. Le reste des hommes n´est composé que de soldats, de quelques caporaux, d´un ou deux lieutenants et d´un capitaine. En bref...
Il se tut. Je me tournai lentement vers lui, et il fit de même, sortant d´abord son visage carré de l´ombre, ses deux pupilles luisant dans l´obscurité. De fureur, ou de peine, je n´aurais pu le dire.
-En bref, soit la taupe qu´on cherche est un de ces gradés, soit... Ca ne peut pas être... ça ne peut pas être un des gradés des Marines, ils en savaient trop peu sur tout ce qui se passait autour. Fox-Hound tire les ficelles de l´armée. C´est forcément un gars de mon équipe.
Puis, se tournant totalement vers moi:
-Au fait. Je connais Dante aussi bien que toi. Ce...
-... ne peut pas être lui.
Il s´avança lentement, me toisant de son regard d´un venin intense.
-Ne joue pas aux héros. Tu as vu cette guerre comme moi. On m´a raconté. Pour Kang. Ce gars était à Fox-Hound depuis neuf ans. Bien plus que la plupart des gars qui ont jamais foulu le sol de la base, et pourtant il a retourné sa veste sans aucun problème d´orgueil. Les gens ne sont pas tous de bons petits soldats, marchant point par point au rythme des tambours. ThunderSn... ou Lockheed, ou quel que soit le nom de code de merde que tu portes depuis un petit bout de temps. Tu es une paire de mains et un oeil valide qui sont complémentaires à ton flingue. Dès qu´une chance de survie plus grande est possible, les gens changent de camp. C´est humain.
-C´est traître.
Il fit la moue, et commença à regagner le couloir qui menait aux autres.
-Ne fais pas confiance aux gens. Je ne comprends d´ailleurs pas pourquoi tu me fais confiance, à moi. En tant que gradé, je devrais être le plus en mesure de communiquer des infos à l´ennemi.
Je me stoppai net, les poils frétillant dans mon dos, comme si j´étais tombé dans une piscine d´azote liquide. Immédiatement, je me saisis de mon Sig à mon holster fémoral et dégainai en direction de sa tête. Il ne bougea pas, et tourna légèrement la tête vers le canon, son oeil dans le même axe que le mien.
-Tu tiens déjà à faire une bavure? Libre à toi. C´était un conseil, bonhomme, juste un exemple percutant pour te prouver que tout est possible dans notre monde de soldats. Réfléchis un peu, et range ça avant de commettre une bourde.
Il continua à avancer, et tandis que je retournais dans ma tête tous les éléments me prouvant que cet homme, l´un des meilleurs agents de Fox-Hound actuellement sur le terrain, était une personne de confiance, il me dit d´un air calme, levant légèrement le bras.
-The safety´s on.
Il tourna à l´angle du couloir. Laissant une dernière goutte couler le long de mon nez, j´observai la sécurité du pistolet, jurai entre mes dents et remis le pistolet à sa place.
Bon, je répond aux commentaires sur mon texte et je lis celui de Locke ensuite.
Par contre, quelques détails m´ont dérangés, comme de simples agents de la NSA qui connaissent l´existence des Patriotes... Oula faut se calmer.^^
Forman peut en avoir parlé brièvement, après tout ils ne font jamais que les citer.
Et évidemment le côté "tout était prévu, et on s´est cassé la tête pour monter tout une pièce de théatre inutile mouhahaha", j´ai rien contre les plans échafaudés, mais là le tout se ressemble un peu (sans compter l´inspiration volontaire du coup des missiles).
Là, j´avoue que tu as raison.
J´ai peut-être exagéré le coté "mise-en-scène"...
Ah oui, et faute de scénar aussi... Des balles à blancs qui décrépite une table ? XD
Quant à ca, alors là, c´est totalement ma faute... erreur de scénar´
Locke :
Mais! (il y a toujours un mais!) quelques détails m´agacent un peu. Par exemple, les gars qui ne font pas partie des Patriots, mais de la NSA... C´est vrai après tout, les Patriots contrôlent la CIA, le FBI, la DIA, la DEA, le Darpa, toutes les agences gouvernementales ricaines, mais pas la NSA qui se charge de les surveiller... J´ai trouvé ça un peu gros!^^
J´ai pas compris.
Je suis pas super super renseigné sur les Patriots alors...
Ensuite, pour l´explosion, pas besoin d´ajouter un IEM!^^ Faire péter un missile provoque suffisament d´ondes pour tout niquer électroniquement à des centaines de mètres à la ronde.
Ah, je savais pas...
C´est logique, quand on y pense, mais bon, c´est pas très important dans le scénar´
Oui c´est vrai tu as raison pour Forman, j´y avais pas pensé.
Sinon pour la remarque de Locke, Alex a jamais dit dans son texte que les Patriotes ne controlait pas la NSA...
Déjà pour commencer, comme la plupart des agences, les Patriotes ne les controlent qu´indirectement, et assoie le pouvoir qu´ils ont sur eux qu´en cas d´Urgence (style FoxDown), donc dés que y aune opération de la NSA ou la CIA, faut pas forcément voir les Patriotes dedans.
Enfin, quand bien même ce serait le cas, je ne vois pas en quoi ça empeche les bonhommes du bunker de monter tout leur manège...
XD ! J´ai relu des anciens textes de thunder, moi, saladin...
XD !
La course au big texte XD !
Qué des textes de merde j´halucine XD !
Ouais moi quand je relis mes anciens c´est pareil... Je fais comme Thunder là je me mets à tous les corriger. Et c´est dur XD. En plus mon 1er texte était assez long j´ai galéré, là j´attaque les suivants. Ca occupe.^^
Petit texte de Lockheed, centré sur le dialogue avec Craig...
Le fait que l´action ne soit pas du tout présente renforce beaucoup ce que fait Locke à la fin, à savoir menacer Craig, j´ai beaucoup aimé ce coté là.
On ne voit toujours pas qui peut-être le traitre, et puis Craig qui ne paraissait pas suspect le semble plus maintenant
Mais surtout, j´ai bien kiffé le petit "The safety´s on"
C´est très... Bah c´est très classique, mais j´adore.
J´ai commencé à écrire la dernière partie de ma Lockheed Tale. Elle va évidemment, scène finale oblige et tout le tralala, durer plus longtemps que les autres, d´autant que je me suis mis à faire une description précise de mon équipe et celle de Locke.
Si le boulot va bon train, j´espère poster la fin en même temps que la fin de la Chronique de Alex, puis poster la mienne. A voir encore avec les autres membres qui le voudraient, notamment Ripple.
Si Saladin, Stone, voire Naked et Alex passent dans le coin, montrez-vous, et dites-nous quand vous pourrez faire évoluer vos Chroniques et les poster.
Heu... l´équipe de Craig, je veux dire!^^
Mais n´attendez pas trop dessus... écirvez!
Rhaaa pas Alex dans le post, Mecha!
Putain faut que je dorme un peu plus moi... XD
Bref, viva MTS - MGHS.
Je ne vous laisserai pas tomber!
J´aimerais bien que Mecha repasse histoire que tout le monde lance un
Sinon toujurs aucune nouvelles de Naked ces derniets temps
Pour ma chronique, elle est encore loin d´être terminée, j´ai très peu continuer. Pour tout dire je pensais continuer cette semaine jsuis en vacances donc tout arrive.