Agent Pliskin,

Le DCIA et son fils avaient des choses à se dire, et moi, revenu à la raison, ne pouvait que les laisser faire et m´éclipser. Hornet pensait la même chose apparemment, vu qu´il me rejoignit, sans doute gêné d´assister à une conversation personnelle.
Je marchai un moment pour m´éloigner et surtout pour essayer de comprendre ce qui s´était passé il y a quelques instants, Hornet me suivant toujours de près. Je me serai presque demandé s´il ne le faisait pas pour garder un oeil sur moi, de peur qu´une nouvelle crise de folie ne me prenne. Cette pensée m´horrifia un moment, puis me réconforta. Hornet était un vrai ami, et je pouvais compter sur lui pour me protéger quand il le fallait. Aurais-je fait de même pour lui ? Sûrement.
Je n´aurai pas dû me poser la question pour Hornet, mais plutôt pour quelqu´un d´autre. Quelqu´un qui avait besoin de moi justement.
Le son de vrombissement d´un moteur... non d´une hélice se fit attendre. Je m´arrêtai brusquement. Hornet me heurta par derrière ; il était perdu dans ses pensées lui aussi et me suivait aveuglement. Il n´avait pas entendu le bruit qui se rapprochait de plus en plus. Mais il s´en rendit compte lui aussi quand le « Aie » qui sortit de sa bouche parut presque inaudible, masqué par le vacarme que produisait... l´hélicoptère. Je pouvais le voir à présent. C´était bien un hélicoptère. Et, à ma grande surprise, il se dirigeait vers moi. Je dus faire, avec Hornet, un grand effort pour empêcher le tourbillon de poussière, engendré par l´avion près du sol, de nous fendre l´oeil.
Mes yeux étaient fermés, mon bras les protégeant, mais seule sa voix me suffit à le reconnaître. Mon demi-frère ne se fit pas attendre pour dire ce qu´il attendait de moi. Pas de suspens, pas d´entrée en matière spectaculaire. Il voulait quelque chose et il me l´annonçait clairement :
- La dague, Pliskin !
Sans le regarder, sans ouvrir les yeux, le visage toujours protégé par mon bras et mon col, la tête inclinée, je lui criai à mon tour :
- T´as besoin de tout ce vacarme pour la reprendre ? Viens te battre en homme !
- Ce n´est pas le vacarme dont j´ai besoin..., répondit-il.
- L´altitude donc ? Tes 10 mètres au dessus du sol m´impressionneraient ? rétorquai-je.
- Non, par contre si t´avais moins peur de la poussière, tu saurais !
Intrigué, je levai les yeux tant bien que mal vers l´hélicoptère. Et mon coeur se mit à battre.
Mon frère avait son arme pointée vers... Warren, qu´il tenait fermement, après l´avoir bâillonné. Ce dernier ne pouvait dire mot, la bouche hors d´usage. Mais je pouvais entrevoir des larmes briller sur ses joues, aussi éloigné que j´étais. À cet instant, j´eus honte de mes liens de sang avec cet être immonde qui n´hésitait pas à faire souffrir des gosses pour arriver à ses fins.
- Pourquoi tu ne viens pas la prendre directement ?! criai-je. T´as besoin de menacer quelqu´un pour que je te la donne ? Pourquoi ne pas me tirer dessus directement ? Tu pourrais récupérer ton trésor sur mon cadavre !
Il ne répondit pas. Je le vis même se figer pendant un certain moment. Le voyant ainsi, une pensée me traversa l´esprit. Était-ce parce qu´on était frères ? Pensée stupide. Ce n´était pas le genre de types à se préoccuper de ces futilités. Il devait y avoir une autre raison.
- Donne moi la dague, ou je lui tire une balle en pleine tête, à ce gamin ! lança-t-il après s´être redressé.
- Comment as-tu fait pour le capturer ?

Moins d´une heure plutôt...

Iron était fou de rage, il avait encore raté l´occasion de récupérer la dague... encore. Pliskin lui avait échappé sous son nez en sautant dans ce camion, et ses subordonnées n´étaient pas fichus de tirer à temps. Quand ils ouvrirent le feu, Pliskin était déjà hors d´atteinte.
Mais une parole, celle du DCIA, lui revint à l´esprit et il se dit que c´était peut-être pas plus mal. Son plan changea du tout au tout. Plus question de risquer la vie de son frère, il avait ses raisons. Il fallait trouver une solution de rechange, et vite.
Si on ne pouvait plus le menacer, lui, il fallait menacer quelqu´un d´autre. Mais qui ?
La réponse allait venir toute seule.
Mais avant cela, il devait d´abord s´occuper du RAY. Il était hors de question de le garder plus longtemps. C´était un modèle rare et il fallait l´évacuer au plus vite. Il désigna un de ses soldats pour s´en occuper. Tous espéraient le faire, car ça impliquait de quitter la base et donc cet enfer, mais seul un en eut la chance. Les signes de l´excitation trahirent le comportement de ce dernier qui ne se fit pas attendre pour décoller et quitter ses partenaires.
Iron monta avec les trois soldats qui lui restaient dans la jeep, grâce à laquelle il avait rattrapé le camion, et démarra pour rejoindre le reste des troupes des Patriots. C´est à ce moment là que la solution de rechange se pointa devant lui.
Ils avaient roulé quelques secondes seulement quand ils virent des hommes armés... non, deux hommes et une femmes. Ces derniers essayaient de rejoindre le plus vite possible un hélicoptère de l´autre côté de l´aire.
Il ne fallut pas longtemps pour deviner qu´ils étaient de Fox Hound, et encore moins pour s´apercevoir... que la femme tenait un enfant dans ses bras, ce qui la ralentissait énormément. L´un des deux hommes couvrait ses arrières alors que le deuxième ouvrait la marche.
Iron arrêta brusquement la voiture... Il y avait un seul hélicoptère, et il comptait bien le récupérer à leur place.
Quand ils virent la jeep freiner, les deux hommes se mirent à tirer par réflexe. L´un d´eux visait si bien qu´il fit tomber un des quatre occupant la jeep de sa première balle. Le reste de son chargeur eut moins de chance par contre et se perdit dans la nuit. Entre temps, Iron et ses deux soldats en vie descendirent du véhicule et se mirent à couvert derrière celui-ci. La femme profitait des tirs de sommation de ses collègues pour essayer de rejoindre l´hélicoptère, portant toujours l´enfant dans ses bras.
Les deux hommes marchaient en direction de la jeep tout en continuant à tirer pour dissuader leurs ennemis de tirer à leur tour et les forcer à rester cachés. Mais Iron, de la position où il était, s´il ne pouvait effectivement pas viser les deux hommes, pouvait très bien tirer sur la femme qui était à deux pas de l´avion. Et c´est ce qu´il fit.
La balle atteint Falcon, car c´était effectivement elle, au pied et la força à tomber sur ses genoux. Le garçon qu´elle tenait dans ses bras percuta le sol de plein fouet.
- Falcon ! s´écria l´un des deux hommes.
Iron avait obtenu ce qu´il voulait. En tirant sur Falcon, il avait distrait les deux autres. Ses deux soldats pouvaient ainsi se relever et vider leur chargeur à leur tour. Mais il avait sous-estimé la puissance de Bullet, qui, tout en courant en direction de Falcon, pouvait atteindre ses ennemis, la rage l´y aidant sûrement. Iron n´en croyait pas ses yeux ; ses deux soldats étaient morts, atteints tous deux d´une balle en pleine tête. Ils avaient eu à peine le temps de toucher légèrement le gilet par balle de Chip. Ce dernier suivit Bullet pour porter secours à Falcon.
Ils ne s´étaient apparemment pas rendu compte qu´ils ne s´´étaient pas débarrassés de tout le monde, qu´il restait encore quelqu´un, Iron.
S´il le faisait doucement et silencieusement, avec le noir de son côté, il pouvait s´approcher d´eux et les surprendre par derrière. Chip était occupé à soigner la jambe blessée de Falcon pour l´aider ensuite à monter dans l´avion, alors que Bullet essayait de réconforter Warren que sa chute avait sérieusement fait paniqué.
Ils avaient commis une grosse et grossière erreur sans s´en rendre compte. Ils étaient tous tourné vers l´avion, ou tout du moins avaient négligé certains angles. Iron en profita, et ils furent tous surpris quand il colla son flingue à la nuque de Chip.
- Pas bouger, le costaud qui tue en une balle, dit-il à l´égard de Bullet d´un ton courtois et posé que n´était pas ses paroles.
Il s´écoula un long instant où chacun essayait de deviner si l´autre était vraiment capable de faire ce qu´il voulait faire. Iron essayait de paraître le plus convaincant possible. En fait, il n´avait pas à se forcer à l´être parce qu´il n´aurait pas hésité un instant à éliminer son otage. Bullet, en revanche, ne pouvait pas risquer la vie de son ami et coéquipier et devait s´empêcher d´agir comme il en avait envie.
Iron avait remporté le duel et il le fit remarqué :
- Je veux le gosse ! Ou je shoote votre copain...
- Le gosse ? s´exclama Falcon.
- Et accessoirement l´hélico..., ajouta Iron.

Salut ici, je voulais juste prévenir de deux choses :
1/ Je vais passer de Cegetel à Free d´ici peu, donc pendant 2 semaines ou 1 mois j´aurai plus le net, faut pas vous en faire, j´en profiterai pour écrire

2/ Comme ca peut arriver prochainement, j´essaye de finir ma chronique avant, à très bientot donc.

Cegetel ? XD
Free ? XDXDXDXD

... Taggle Stone ! Tes sur bruxelle telecom ! pas de quoi être fier....

• pardon ulti *

Nice le texte. Pas franchement formidable, mais sympa à lire!^^

Par contre, la fin, ça part un peu trop en live je trouve... Surtout si tu pars du topic... XD

Alex, tes Chroniques!

Attends, je veux que ma fin soit au poil de cul près, mais d´ici la fin de la semaine elle y sera ...

Genre j´ai écrit la moitié, j´écris l´autre partie puis je retravaille et c´est okay.

Pliskin peut poster s´il veut, moi je ne lirais pas son texte car ça n´a aucun intêret puisque pour moi il n´est plus membre de MTS.
S´il a l´intention de revenir, moi j´avais dit à Thunder à l´époque "Si Pliskin revient et que vous l´acceptez comme une fleur, je me casse de MTS", parce que s´en aller parce qu´on a la flemme après avoir fait attendre tout le monde, c´est un manque de respect que je n´accepte pas.

Là je n´ai rien dit, car il dit qu´il voulait juste poster ce texte et voilà...

Le truc c´est que Stone m´a tout juste dit que Thunder et lui (et ptet d´autre, je ne connais pas toute la "conspiration") avait il y a longtemps parlé avec Pliskin après qu´il soit "parti" et qu´il leur a dit qu´il avait fait semblant de quitter MTS pour finir son texte sans que moi je le "stress" (à côté de ça Thunder donnait des Ultimatums et c´est moi qui stresse mais bon passons), et que vous aviez accepté de garder le secret.
Alors moi je veux confirmation de cette histoire, parce que soit Pliskin à vraiment quitté MTS par flemme, soit vous m´avez tous menti.
Dans les deux cas, ça fait des personnes qui m´ont gravement manquer de respect et avec qui je ne peux pas continuer l´aventure car ça je supporte pas.
Si cette histoire de mensonge est vraie, j´imagine que son texte est une manière de se réintégré doucement, toujours sous ce mensonge.
Donc pour moi c´est simple : soit Pliskin se barre comme prévu et on s´explique sur MSN parce que va me falloir des pardons pour que je reste. Soit cassos pour de bon basta mes chroniques sous le bras.

Non, Nab s´est réellement barré, après ce texte. Au départ, il voulait faire genre de partir et revenir en un coup de théâtre. Mais, glandeur comme il est, il a renoncé à continuer et son coup de théâtre s´est éclaté... mais il a quand même tenu à finir Fox Down (avec six mois de retard... ).

"Je l´ai ensuite laissé parce que je pensais revenir (comme le savent certains), mais comme c´est plus vraiment dans mes intentions, faîtes comme si elle n´existait pas."

Donc Nab n´est plus là. Perso j´étais au courant pour son pseudo come-back, mais il m´avait demandé de rien te dire (et tu me l´avais jamais demandé directement... muhaha Solid Snake Style^^). Après, si là c´est encore une feinte, je suis au courant de rien.

Quand à ton intention de partir, ce serait du gros gâchis! T´es un excellent auteur, et surtout l´un des seuls à avoir vraiment encore envie de continuer l´aventure, partir maintenant serait vraiment tout foutre en l´air, pas comme certains... Reste, on a de l´avenir.

Sergent Sonia / Patriot Owner

Chicago, 22 Octobre 2030, 9h30.

C’était mon tour de garde pour la journée, l’entreprise à qui appartenait cette immeuble était une multi national à gros revenus, l’agence de sécurité qui m’employer avait connu une hausse de l‘emplois suite à la fin de la guerre, les personnes voulant être protégé avaient triplés. Cette immeuble employer à temps plein 75% de l’agence qui moi-même m’employer, un sacré chiffre d’affaire. Pas compliquer pour le moment et bien payer, l’argent semble illimité ici. Je m’occupe du rez-de-chaussée, jusqu’au 15eme étage, après il assure eux même leur sécurité. Le 1er étage sert de bureau au employer, le second comporte un espace de détente, le reste est privé et je n’ai jamais vu personne là bas mais on ne me paye pas pour réfléchir mais pour assuré que seul les personnes autorisé puisse y allez. Mais aujourd’hui devait être un jour spécial, on nous avait informé de la venue de visiteur, mais on n’avait pas précisé le motif de leur visite mais que le personnel encadrant saurait répondre à leur demande. Je croisais Tom, qui finissait son service de nuit un peux tard, comme toujours.
« - Pas de problème Tom ?
- Non, tout va bien comme touts les soirs, Julie. Les portes des bureaux du 8eme étages bloques un peux, il faudrait peut être prévenir un serrurier qu’il vienne mettre de l’huile.
- J’appellerais à ma pause de midi, embrasse Karen pour moi !
- Compte sur moi ! Allez bonne journée !
- Oui c’est ça et toi dors bien ! »
Je fais les rapides inspections, il sonne 10h, le gros des employer devrait être entrée par la portes principal. Mais les premiers à arrivé, et ce sont les seul. C’est un couple que je n’ai jamais vue, une belle blonde, lunette de soleil, longue robe rouge fendu, démarche gracieuse, sur d’elle, a ses côté un homme blond, lunette également, 1m85, pull noir, jean noir, botte noir et blouson noir, on se croirais dans ce vieux film. Il passe le portique de sécurité.

• • • BIP ***

« - Veuillez retirer tout les objets en métal que vous avez sur vous, montres, clé, argenterie… »
L’homme ne me laisse pas finir, il sort un fusil à pompe de sous son blouson et explose l’alarme du portique, je réagis tout de suite en prenant mon arme de poing mais la femme m’attrape le poignet, me fait tomber sans difficulté et me maintient au sol, une jambe par-dessus ma tête, j’observe sous sa robe, une tenue noir sanglé. Des vigils arrivent pour m’épaulé, le mec lance le fusil à pompe sur le plus proche, il l’attrape évidement, l’intrus en profite pour donner un coup de pied qui transperce le fusil à pompe et vient percuter son thorax, la femme est mis en joue par deux de mes collègue, elle sourit, retire ses lunettes ! Ses yeux ! D’un rouge rubis étonnant par l’impossibilité de cette couleur. C’est un robot ! Son compagnon mets en joue les deux corps de protections, la femme sort de sa tenue sous la robe un Uzy, elle vise ma tête tout en souriant au deux gardes qui ne savent pas quoi faire. Finalement l’homme est le plus rapide et tir deux balle, chaque balle se loge dans un des genoux de mes acolytes. Ils tombent, blesser, la femme me relève sans peine, je n’arrive pas à soutenir son regards qui me sonde littéralement. L’homme s’approche et braque son arme sur mon front, la réalité de la mort s’affiche alors. Je ne suis qu’à une pression de gâchette pour sombrer dans le néant… Mais c’est un bruit sec de cross sur ma nuque qui m’envoie dormir…

« - Qu’es qu’on fait partenaire ?
- Aucune idée partenaire, qu’avez-vous en tête ?
- Faire notre boulot, détruire ce server, manger un casse croute et faire l’amour sur la plage ?
- Va pour les trois premières propositions, il faudra être plus persuasif que ça pour la dernière !
- A vos ordres partenaire !
- Jericho, cette mission m’a été attribué, retourne sniper sur le toit d’en face.
- Sans moi tu serais déjà morte très belle Sonia. Et j’avoue que tes yeux me manqueraient.
- Ma vie n’a pas d’importance, comparée à la mission.
- Et la mission implique que tu survives, je me vois mal rentré sans toi et avec un résultat négatif.
- Si tu me gênes Jericho…
- Continuons la route partenaire mais cachons c’est quatre personnes inanimé
- Mais seul la fille est inanimé, avec l’autre garde bien sur… »

• • • Clak…. Clak ***

« - Quatre personnes inanimé en effet….Bon Jericho, tu as la bombes ?
- Elle me fait peur, un mauvais choc et c’est toute le dispositif qui se mets en place ! Je hais la glycérine…
- Frost nous a assuré que cette glycérine, de sa fabrication été hautement stable, il faut vraiment que sa dégringole pour que sa pette.
- Il y a beaucoup d’escalier.
- On prendra l’ascenseur. »
Jericho traine les corps jusqu’au toilette, étrange que personne n’hurle, que la police ne soit pas là, que les employées ne court pas en tout sens comme lorsque les fourmis n’ont plus de fourmilière. Juste un imposant rien.
J’avance à la rencontre de Jericho qui revient tout juste des toilettes, je dois savoir…Il faut que je sache, pourquoi lui, la zone est vide, des colonnes de marbres sur la gauche et la droite. Jericho sourit, heureux d’être en mission, heureux d’être débrancher. Il est en face de moi, lunette sur les yeux, il doit voir que mon pouls s’accélère et que ma tension artériel augmente a une vitesse folle, peut être même voit il mes muscles épongeait l’adrénaline sortant en grosse quantité de mes glandes surrénale, il l’a vu, il se stop.
- Sonia ?
Mon coup part, il esquive, je donne des coups de plat de la main, visant les yeux et le coup, il esquive chacun de mes coups comme un danseur, un ballet mortel, où celui qui mène n’a que d’autre choix que d’assister à la mort du partenaire. Aucun coup ne porte, tout n’est que ballet sombre, le bruit de nos pas forment une mélodie, un requiem de douleur. Il recule, je m’avance, je frappe, il tourne sur le côté. Tension extrême, il attrape mon poings, me fait tourné, comme dans une salsa et me ramène contre lui, je sais qu’il sent mes formes contre lui, moi, je sens la bombe sous son pull
« - Ma douce, je trouve que l’on gigote trop pour la bombe, si tu veux faire un coup d’éclat, là pour le moment tu vas juste nous éclaté.
- Comment fais-tu ! Mes yeux devinent tes mouvements une seconde avant que tu les fasses, tu arrives quand même à esquiver mes coups.
- C’est lorsque l’ont veut frapper que les coups touchent cible, tu veux me jauger, pas me toucher, alors arrête ce petit jeux si tu ne sais même pas ce que tu veux. »
Mon poings part et s’écrase dans son flanc droit, à côté de la bombe. Il recule et se remet droit, il avance sur le côté tout en me fixant, il abaisse ses lunette pour m’attribuer un clin d’œil, il soulève son pull et retire la bombe tenant avec du chatterton, il la pose au sol.
« - Deux solution Sonia : On recommence notre petite dispute, on s’entretue durant de longue heure mais voyant qu’aucun de nous ne voudra rendre l’âme, on arrêtera car rien ne sert de tuer son alter ego, ou alors on utilise des flingues et on laisse décider les lois de la gravitations, de la vitesse et de la balistique se mettre en place. Mais je suppose que tu as déjà choisie… Je t’ai déjà dit que j’aimais ton Beretta ?
- Et moi que j’aimais ton Jericho…Jericho ?
- Mais Sonia sa n’a aucun sens ! Attend ! Ne me vise pas avec ce truc tout de suite ! Qu’es qui te prend !
- Moi j’ai eu les mains dans la merde et le sang depuis que je suis là, je ne suis pas un couillon de l’ère informatique, j’en ai bavez pour être à ce stade, à ce grade ! Toi, on te balance sur un jeu, tu zigouilles du soldat sous forme binaire et on te grade !
- C’est seulement pour ça que tu veux me faire la peau ? Je pensais à des attentions plus noble petite fille, comme le fait qu’il ne peut en rester qu’un, que le soldat n’a pas besoin d’aide, surtout lorsqu’il a ton talent, que tu te sentes déshonoré par ma présence ? Tu es juste jalouse de ne pas avoir eu droit à un jeux-vidéo en guise d’entraînement ?
- Ils comprendront qu’ils ne peuvent pas envoyer des bidasses informatisés pour faire un boulot de professionnel ! Tu demanderais à un boucher de te faire une tarte à la pomme ?
- Non mais je demanderais au boucher de me donner l’adresse d’un bon pâtissier »
Il me vise avec son arme, je fais pareil, il réajuste les lunettes, je tire, il fait pareillement, nos balles s’heurtent dans un fracas métallique et explosif, je roule sur la droite , l’ayant toujours dans la ligne de mire, une de ses balles me frôle, il cours sur la droite, une de mes balles fait un trou dans son jean, il court face à moi, je roule en avant, vers lui. Il saute au dessus de moi, ma balle passe entre ses jambe, lui il à toucher ma robe rouge. Il est dos à moi. Nous nous appuyons l’un sur l’autre, il pose son arme, je fais de même, il serait dommage de gâcher une veine tentative de raisonnement…Battons nous ! Nous avons été fait dans cette unique but, pour attendre le moment que celui là, ce battre contre quelqu’un qui nous ressemble.
Il se relève et avance de trois pas, je l’imite. Nous faisons face. Je cours la 1er vers lui, je tape, il à du plus de mal à esquiver que tout à l’heure, une droit touche, deux, il attrape mon bras, j’esquive un crochet, il me tien toujours, il m’attire vers lui, je mets un coup de coude, la vitesse le force à lâcher et reculer. Je donne un coup de pied, il l’attrape, je tourne, nous tournons, tout tourne. Il me lâche, je le vois reculer rapidement, il me fait un petit signe de la main, je le vois sourire avant d’heurter le mur. Tout tourne dans ma tête et lui avance vers moi. Je fais un croche pied, il tombe et se relève avec un mouvement de capoeira.
Il me fonce dessus et commence ses attaques, je les discerne et esquivent, il lance son poings, c’est trop tard, il va mourir, j’attrape le poing, je passe sous l’aisselle, je lui bloque le bras gauche avec ce même bras, je sors mon couteau et je le transperce….Pas, mon couteau s’arrête à 3mm de son œil droit…Il halète, il reprend sa respiration, moi aussi, je ne sais pas si il sourit.
« - Ok…Ok…Sonia, je ne suis qu’une pauvre bidasse de l’ère informatique, j’ai pas fait autant d’action héroïque que toi mais bon sang ! Allons détruire ce server et éloigne ce couteau moi !
- Ok rookie, allons faire notre job. »
Après cette petite bataille, je comprenais mieux pourquoi il avait droit a un telle baptême du feu, je devais former l’un des futures meilleurs combattant de l’unité. Nous allions commencer notre investigations au 8eme étages, car le plan qui se trouvais indiquait bureau de l’entreprise, l’ascenseur fut long à descendre. Après que les portes se soit refermé, le bruit caractéristique de la musique d’ascenseur se fit entendre.

« tu dududu tu dudududu »

1er Etages, la porte s’ouvre et un homme entre, un peux grassouillet sur les bord avec des petits yeux et des cheveux boucler, il nous salue d’un signe de tête, Jericho lui rend la pareille, l’ascenseur reprends son ascension.

« tu dududu tu dudududu »

2eme Etages, un homme qui apparemment connais notre premier grassouillet se mets à côté de lui et lui sert la main, Jericho et moi reculons jusqu’au fond de l’habitacle de l’ascenseur. Jericho me lance un regard amusé, mêler de crainte, que nous arriverait-il si ils savaient, étaient ils des agents ? Non, pas le gros, manque de discipline et surement pas assez sportif. L’autre, presque la même stature que Jericho, pouvais en être mais les deux discutait football américain et de la nouvelle défaites des gazelles du Texas face au coyote de l’Oklahoma.

« tu dududu tu dudududu »

Rien jusqu’au 6eme Etages, la porte s’ouvre et laisse entré un homme, en armure, les deux hommes des étages inférieures sortent avec précipitation, oubliant attaché caisse et paperasse. L’homme en armure ne nous regarde pas, une imposante musculature visible à travers le bulletproof, dos à nous, je l’observe… ET je vois sous son coude gauche, un flingue tenue par le droit, un Sig Sauer chromé.
« - You’re La Li Lu Le Lo »
C’est un soldat, en armure noir de la tête au pied, amère pensée que d’imaginer que nous allons crever, de part les balles du soldat noir, il se mit à tiré.
Je pousse Jericho, la balle se loge entre nous, le soldat se retourne et pointe le flingue vers nous, il me le mets presque dans l’œil, j’attrape son poings musclé et je pointe l’arme vers le haut, il tire quelques balles, il m’envoie contre le fond de l’ascenseur, je ne vais donc pas très loin, Jericho tire à son tour mais le soldat bloque son bras avec son pied, je maintient toujours son poings droit qui tien l’arme, je sort mon Beretta mais il le bloque avec sa main gauche, il tien sur une jambe, la droite, bloquant le poings gauche de Jericho avec sa cuisse gauche, Jericho à un genoux à terre pour ne pas souffrir de la position, plus aucun bruit pendant de longue seconde.

« tu dududu tu dudududu »

La porte s’ouvre dans le tintement de cloche, 8eme Etages. Jericho et moi repoussons l’agresseur dans le couloir, il roule en arrière et se rétablis après un saut carpé, Jericho sort le 1er de l’ascenseur et se rue sur le soldat, Jericho tente des droites et des crochets, l’homme en noir repousse tout du plat de la main, position de l’aigle. Il prend appuie sur le mur et saute sur Jericho, il lui donne des droites de son poings immense, et d’un coup de pied dans les côtes, il le ramène à mes pied. J’arrache ma robe rouge, l’uniforme d’en dessous semble décevoir notre nouvelle amis.

• • • tut…tut….tut….***

Sergent Sonia / Patriot owner party 2

« -Sonia…La bombe est activé !
- Putain Jericho t’abuse !
- Excuse-moi chérie, la prochaine fois t’ira te faire casser la gueule, pendant que je me recoifferais… »
J’avance vers l’homme de noir et le combat commence.
Droite, crochet, saut arrière, roulade, roue avant et arrière, ce mec est un vrai athlète. Personne ne se touche, juste des effleurements de peau, des souffles d’air chaud proche. Coup de pied dans l’estomac, je vole et passe à travers le mur en platre, mes cheveux sont plein de poussière et des lumières blanches dance devant les yeux. Je me relève et lui claque quelque coup de tatane, histoire de marquer le coup. Il m’attrape par les cheveux et me hisse à sa hauteur, il me donne cinq à six droite dans l’estomac, j’ai le souffle couper. Il me relâche avec mépris sur un bureau situé à quelque centimètre de là, je m’allonge comme inanimé sur le bureau, pendant misérablement des deux côté du bureau de bois. Il fait volte-face et retourne dans le couloir, surement face à Jericho. Je l’entends hurler mon nom.
Des coups, des bruis humains, des craquements d’os et de tendons, le bruit qu’a le sol de craquer, le sang qui éclabousse se sol, je « vois » tout ça. J’ai une douleur affreuse au ventre mais je me relève quand même, j’ai connu pire…le tintement de cloche de l’ascenseur et une explosion 2 étages plus haut, les faux plafonds trembles et certain se fissurent par endroit… Le 10eme Etages doit être carbonisé…Si seulement le serveur pouvait être là… Et à ma grande surprise…Jericho entra, un œil tout bleus, du sang coulant de la bouche et du nez, il boite un peux et il garde sa main droite dans la poche… Dans la gauche, un étonnant couteau, de 45cm de long. Artisanale, les dents du poignard sont de vraies dents…
« - Dent de requin tigre et blanc… Mélange détonant… Dans la chair, sa fait du dégât et c’est que sa coupe ses machin là. Sa va allez Sonia, tu es toute pale…
- C’est la poussière, comment as-tu pus ?
- Simple, je l’ai laissez me foutre une dérouiller jusqu´à être au tapis, là j’ai sortit le couteau de ma botte et je lui est planter deux ou trois coup dans le ventre en prenant soin de tourné, je lui est fait une planchette japonaise qui la envoyer droit dans l’ascenseur, t’aurais vu sa dégaine, la tête à l’envers et les tripes à l’air, j’ai enlever la bombe et je lui est laisser avec un clin d’œil, juste avant d’appuyer sur ‘30eme étage’ et BOUM !
Non sérieusement Sonia ? Tu vas bien, tu es vraiment pale ! Attends j’appel le centre, tu as peux être un truc de cassé…
- Si tu veux, merci Jericho.

• • • Connection Codec…. Call…. Call…Call… Contact…. ***

- This is John
-John, c’est Jericho, regarde les courbes de Sonia, j’ai besoin de tes conseils médical, attends je mets les lunettes et je vais la scanner, tu reçois le tout dans 20 secondes….
- Ok c’est bon, je commence à recevoir les donnée…Oui intéressant ça… foulure du trapèze, elle à traverser un mur ?
- Tête la première …
- Ok, à part ça…Tout semble allez…Enfin si ce n’est que….Jericho, elle vient de faire une fausse couche…
- QUOI ! Une fausse couche comme dans : Je suis enceinte et j’attends un bébé ?
-Ce n’est pas important, elle doit finir la mission. A part ça tout va bien, tu devrais soigner ton bras, ce n’est pas beau à voir, Jericho, tu n’es plus en simulation, si tu donnes une droite à un mur, le mur n’explosera pas tu sais, alors arrête de frapper des murs de brique, si il te plaît et va te soigner, il y a des pansements dans la voiture.

• • • Disconnect from ***

- Alors Jericho, il dit quoi le toubib ?
- Sonia…Tu…Tu l’as perdu.
- Perdu quoi ?
- Ton bébé…Tu as perdu ton bébé.
-Mais…Je ne suis pas enceinte…
- Tu ne l’ais plus…
- Non ce n’est pas possible, mais je ne peux pas être enceinte, c’est impossible…Jericho !»
Le visage de Jericho était sombre, sans émotion aucune, et moi des larmes coulaient de mes yeux qui plus jamais ne devaient pleurer.

Excellent! Sans dec, on sent vraiment l´amélioration venir de plus en plus en toi! Les combats sont bien mieux décrits, plus cools à imaginer, et le tout a une certaine esthétique vraiment sympa!

Comme je te l´ai dit sur msn, certaines répliques font vraiment penser à du Tarantino!

"- Deux solution Sonia : On recommence notre petite dispute, on s’entretue durant de longue heure mais voyant qu’aucun de nous ne voudra rendre l’âme, on arrêtera car rien ne sert de tuer son alter ego, ou alors on utilise des flingues et on laisse décider les lois de la gravitations, de la vitesse et de la balistique se mettre en place. Mais je suppose que tu as déjà choisie… Je t’ai déjà dit que j’aimais ton Beretta ? "

Purement diaboliquement jouissif!

En attendant... le trailer n°III de ma Chronique!

-Les coïncidences sont inexistantes avec U-155. Mais ma chance m´a pour une fois fait défaut...
-Je ne crois pas aux coïncidences. Et ce n’est pas la dernière… il semble, d’après les rapports de quelques-uns des contacts de mon père en Europe, notamment à Barcelone et Nuremberg, que les Patriots commencent à s’intéresser aux activités antérieures de feu leur traître. Ils cherchent quelque chose, et on veut savoir quoi.
Mais on a une piste. Le billet de cinq dollars. Le microfilm qui a révélé des numéros de compte un peu partout...
_____________________

-Faites attention, dit le vieil homme, les explosifs sont dans des caisses remplies de mousse et de paille, mais on n’est jamais trop prudent. Prenez votre temps, je reviens plus tard voir ce qu´il vous faut.
______________________

-J´y vais seul ?
-Tu peux choisir un coéquipier pour piloter l´hélico qui t´y mènera, c´est tout, on n´a pas envie de faire du bruit. Il est probable que tu sois suivi par le Comité ou U-155, et si un de leur commando débarque et fait sauter la plate-forme, on est bons pour faire la une des journaux...
-D´accord, la cible c´est une mallette ?
-Oui, d´après les infos du billet.
_______________________

-On arrive. La Red Shell!
Je me levai et m´accrochai au siège du copilote, observant la station offshore qui se tenait au loin. En 2007, quelques mois après le naufrage du tanker, la Big Shell était devenue le symbole mondial de la protection de la nature et de la mer...
________________________

-Mais vous êtes sourd ? m´interrompit l´homme aux lunettes, qui commençait à s´impatienter. Cette mallette ne contient pas le moindre cent! Elle est néanmoins d´une importance capitale pour nos intérêts communs.
-Et vous alors, qui êtes-vous ? Vous ne faites partie ni des Patriots, ni de U-155…
-Appelez-moi... Seth.
_________________________

-Je vous conseille de nous laisser cette mallette! En plus, étant donné votre... "affectation" actuelle, il serait même préférable pour nous de vous coller une balle entre les deux yeux grâce à Teucros qui est armé d´un PSG-2 derrière moi et qui ne servira pas à s´en servir... est-ce clair ?
__________________________

-Tire.
-La mallette!
-TIRE!
Je levai la mallette devant ma tête, le reste de mon corps quasiment protégé par la barrière de sécurité.
Bon Dieu, le Ray refait un passage! Il faut dégager! cria le pilote.
-Il nous faut cette mallette!
-On va se faire empaler si on ne bouge pas d´ici!
-FUCK! On se retrouvera Locke, tout n´est qu´une question de secondes!

Soon! ...On MTS!

Je doute d´avoir fini ce soir, c´est bien plus long que prévu.

Mais ca va être du bon, croyez-moi.

"Donc Nab n´est plus là. Perso j´étais au courant pour son pseudo come-back, mais il m´avait demandé de rien te dire (et tu me l´avais jamais demandé directement... muhaha Solid Snake Style^^). Après, si là c´est encore une feinte, je suis au courant de rien. "

Moi j´exige des excuses ! Jsuis désolé, mais on s´amuse pas à cacher ce genre de chose entre membres, c´est honteux. Et encore plus honteux d´accepter de le faire. C´est quoi ces manigances sérieux ? On est en 6e ou quoi ? Ca va être quoi après ? Tout le monde va se concerter pour tuer le perso de quelqu´un ?
Et me sors pas que t´es au courant de rien car tu savais très bien mon attitude quant au départ de Nab. Donc double excuse, surtout de ta part, fini l´hypcrosie là Thunder. Si tu veux (et Stone) que je reste, faut jouer cartes sur table moi je reste pas dans un contexte d´Amour gloire et beauté...

J´ai été banni temporairement, je prend ce pseudo maintenant

Lâche thunder sur ce coup, il n´y est pour rien.
Fin, personnellement, moi j´ai envie de le taper, mais toi t´as aucune raison de le faire.

Ça me sidère quand même, cette histoire de conspiration. Vous élevez le truc à un MGS-like carrément...

Question règlements de compte, si j´ai quitté MTS, c´est pas pour pouvoir écrire tranquillement comme tu le crois apparemment, c´est parce que j´ai été vexé, c´est tout.
Je suis un gros flemmard et j´avoue tous mes torts, mais c´est pas une raison pour m´insinuer que je dois partir si je suis pas prêt à être responsable. T´aurais sans doute fait pire que moi si je t´avais dit la même chose. Libre à toi de m´en vouloir, sache juste que t´y es pas étranger et que sur le coup, je t´en voulais beaucoup plus. Mais bon, passons...
Le fait est que t´avais raison et que t´as bien fait d´être franc, ma flemme fait que je dois partir. Ce que j´ai fait... sauf que je voyais pas les choses comme ça à ce moment là.

Arrête d´être gamin (là, avec ta réaction, on dirait pas un gars de plus de 20 ans...) pour une fois et continue à faire vivre ce super topic.

Tu sais Pliskin, si j´avais été à ta place justement dans cette histoire, je l´aurais ptet encore plus mal pris que toi c´est vrai, mais jamais, et je dis bien JAMAIS, j´aurais quitté le topic pour cette raison (d´autres oui, comme vous avez pu le voir plus haut, mais pas celle-là). Après m´être engagé comme ça, c´est honteux de partir de cette manière.

J´aurais, justement à la limite, demandé pardon et proposé de faire honnetement une pause - ce que tu as tenté de faire dans le secret je sais pas pourquoi, et ça, c´est gamin justement. Car si t´avais voulu revenir par la suite, fallait revenir s´expliquer face à face c´est tout, pas dans mon dos.
Faut assumer ses décisions comme celle que tu as eu de quitter parce que je t´avais froissé, et réfléchir toujours deux fois avant de les prendre, C´est ça être un adulte aussi.
Et Tout ça, ça vaut aussi valable pour ceux qui ont décidés de ne rien me dire sur le fait que tu voulais revenir, d´où ma demande d´excuses, c´est la moindre des choses.
Surtout que, me connaissant, faut être vraiment vraiment très, mais alors très con pour faire ça. Parce que vous deviez tous vous doutez que j´allais pas sauter de joie quand j´aurais éventuellement appris cette histoire. Et si vous le saviez, c´est que c´est vous qui déconniez.
Conclusion, si pour toi exiger des excuses c´est gamin, et ben ça l´est tout de même moins que tout ce que tu as fait dernièrement. Tu n´as donc pas à donner ton avis ou ton jugement dans cette situation, apprend à t´engager sérieusement d´abord dans ce que tu fais. Moi à mon nouveau boulot l´ambiance est pourri, mais si je démission, je peux pas revenir. Si dans la vie c´est comme ça, alors les engagements comme MTS (MGHS) doivent l´être aussi, sinon autant écrire nos textes en kikoolol.

"J´aurais, justement à la limite, demandé pardon et proposé de faire honnetement une pause - ce que tu as tenté de faire dans le secret je sais pas pourquoi, et ça, c´est gamin justement. Car si t´avais voulu revenir par la suite, fallait revenir s´expliquer face à face c´est tout, pas dans mon dos. "

Bah c´est ce que j´allais faire, avant de me rendre compte que j´avais bien fait de partir.

Bref, je suis vraiment désolé d´avoir à nouveau foutu la merde, c´était pas dans mes intentions. Et je précise que Thunder et Stone n´y sont vraiment pour rien. C´est pas à eux de faire des excuses, c´est à moi. Et je le fais, parce que ça serait une perte énorme pour le topic si tu venais à partir.

Cela dit, je m´en vais, en espérant que j´aurai moins la flemme de lire vos textes ^^

Ayé, j´ai fini ma chronique.

Je vais manger un morceau, je la relis, la peaufine, et la poste.
A tout à l´heure donc.

Personnellement je l´aurais beaucoup moins mal pris que toi. Pourquoi? Parce que le fait que Pliskin soit un glandu qui peut même pas écrire une heure par semaine mette au courant des gens sur un truc foireux, c´est probablement la chose la plus futile au monde, après lire le 20 minutes le matin.

Donc, si tu veux, oui je m´excuse de t´avoir rien dit.

Mais... je n´ai pas regrets de ne pas te l´avoir dit. Je prends pas ça comme une question de confiance, on a rien fait dans TON dos. On a rien dit à Alex non plus, ni au reste du topic (même s´ils viennent plus). Franchement je vais pas m´en vouloir de pas avoir révélé ce petit détail à la con, on n´a pas pris de décision importante sans toi, de toute manière Nab savait ce qu´il faisait, il nous a juste mis au courant, on n´a pris aucune décision sans toi.

Donc officiellement, je veux bien m´excuser. Mais à mon avis, la plus grosse hypocrisie, elle est justement ici, pas dans le post précédant ou bien au contraire j´ai dit ce que je pensais. A bon entendeur.

Mais jsais pas tu t´es pas dit "Si Ulti sait ça ou ça ça risque de le vénére et de faire des disputes" comme on en a maintenant ? T´as la vision à long terme d´un poisson rouge ou quoi ? Vu le nombre d´embrouilles qu´il y a ici, t´aurais pas pu limiter celle-la ?
Car non pour moi ce sujet n´est pa sune futilité, moi ça fait deux ans que je fais cette fic avec vous tous, je prends en compte chacun de vos dires (enfin Stone une fois sur deux :p ), on a pas de règles ou quoi que ce soit c´est vrai, mais un manque à la parole suivi d´un abandon, je trouve qu´il y a de quoi gueuler. Sérieux imagine tout les membres ferait pareil... Elle serait où la structure de la fic après ?. ..
Toi tu t´en fout pasque en général tu vois pas plus loin que ton nombril, comme je te l´avais dit y a quelques temps sur MSN, tu t´en fouterais de continuer la fic tout seul presque (enfin ce défaut devrait se corriger en grandissant, j´avais exactement le même, additioné a notre égocentrisme mitoyen^^). Tu n´as pas encore compris qu´on a aussi créer un groupe, un truc qui est censé être solide, et quand ce genre d´incidents arrive, ça décribilise le tout jusqu´à notre fic.

Bref je trouve ça très important... Donc bon OK mettons que tu ne voyais pas les choses comme ça sur le moment, mettons aussi que t´étais à l´ouest par rapport à la réaction que j´aurais pu avoir (je te pense pas aussi con mais bon je passe), j´imagine que le fait de s´excuser même si on a pas envie, juste pour que je reste, c´est un premier pas pour assurer la solidité du groupe avant toute chose, donc j´accepte les excuses car la raison reste bonne. J´apprécie aussi l´humilité de Pliskin malgré sa situation, je préfère qu´il parte comme ça que comme il l´avait fait.
J´imagine aussi que ma réaction est due aussi à la façon dont j´ai appris la chose, une fois de plus le finesse de Stone a fait des merveilles...^^

Mais sinon franchement, le structure du groupe est un sujet délicat qu´on traite pas souvent ici, on a du mal a la gérer. Alors juste ne la traitons pas chacun de notre côté. Si un membre nous dérange, si on veut que quelqu´un revienne, etc, il faut le dire à TOUS, sans exception, et sur le topic.

Bon maintenant, pour revenir au sujet, je n´ai pas encore eu le temps de lire le texte de Stone, et j´attends vivement la fin de la chronique d´Alex !

Allez... voici enfin la fin de ma chronique n°1 !

The Chrysler Unit Chronicles - 1 - There´s no Easy Way Out.
-- Dernière partie --

Tout bruit avait disparu. Le missile était en train de fendre l’air, et viendrait atomiser le secteur d’ici à peine quelques minutes.

**

- We’re done… venait de maugréer Jay.
- Tant qu’il y a de la vie… commencai-je.
- Oh, me sors pas tes proverbes à la con… siffla-t-il.
- Nous la joue pas dépressif fataliste mec, tu veux ? avait intervenu Kyle.
- Mais ta gueule toi aussi ! cria Jay.
- Y’a un moyen…
- Tu vas pas me f…
Kyle s’était interrompu, et s’était tourné vers Forman.
- Qu’est ce que tu viens de dire ?!
- Il y a un moyen de sortir d’ici… mais faut en assumer les conséquences. Annonca-t-il.
- Tu crois qu’on a le temps pour les énigmes ?! Crache le morceau !
- Juste derrière la brunette, y’a un panneau, il est pas super stable. Décroche-le, et tu trouveras une conduite d’aération, le circuit électrique qui commande la porte est dans une fosse, au fond.
Je me tournais vers Claire, avec un regard interrogateur.
- J’ai pas ça sur mes plans… dit-elle.
Elle avait à peine fini sa phrase que Milla venait de donner un chassé dans le mur. Le mur en décrépitude depuis plusieurs années – j’imagine qu’ils n’avaient jamais pu rénover toute la base… - s’était effrité, et derrière s’ouvrait bien un conduit.
Milla semblait déjà prête à s’enfoncer dedans, mais Forman l’arrêta.
- Le conduit descend à pic. Celui qui monte ne peut pas y remonter, et le seul moyen de faire péter le circuit, c’est avec une grenade. Ils ont pas pensé à vous les retirer, tant mieux… Mais celui qui y va ne peut pas en sortir vivant. Même pas moyen de lancer la grenade, il faut la poser dans le transfo’ pour que ça marche…
Milla s’arrêta, jeta un œil à la grenade accrochée à sa ceinture, puis à chacun de nous. Jay se leva, s’approcha de la jeune femme et lui prit l’explosif. Il s’apprêtait à rentrer dans le conduit lorsque Forman se remit à parler :
- Hum… J’ai jamais dit que l’un de vous devait y aller. Je n’ai plus rien maintenant… et c’est moi qui vous ai mené là-dedans… Au fond du silo, il y a une porte. Derrière cette porte, il y a une écoutille, c’est votre sortie.
Il se redressa, prit la grenade des mains de Jay, ne lui adressant même pas un regard, et s’enfonça dans le noir. L’expression dans les yeux de mon coéquipier était équivoque, mêlée de haine, de peur, de pitié et d’incompréhension. Lorsqu’il entendit que Forman était parvenu au fond du conduit, il reprit du poil de la bête, et s’écarta de l’ouverture.
- Qui nous dit qu’on peut lui faire conf…
Il n’avait même pas eu l’occasion de finir sa phrase. Une explosion puissante et sourde venait de surgir. L’espace d’un instant, je crus que le missile venait de revenir, que tout était fini. J’ai très vite compris en voyant une gerbe de flammes surgir du conduit. Au même moment, un déclic caractéristique nous informa que la porte venait de se déverrouiller. Sans attendre notre reste, nous nous mîmes à courir dans la base. Après avoir passé plusieurs portes coupe-feu, nous arrivâmes au niveau supérieur du silo. Nous courions tout droit, comme des dératés, et au fur et à mesure que l’on avançait, une voix stridente annonçait « Attention, Attention, missile en approche, évacuation immédiate. ». Nous descendîmes un escalier en colimaçon quatre à quatre, nos chaussures cliquetant allègrement sur le métal. Arrivé en bas, je défonçais la porte à la volée, me cassant – toujours allègrement – la gueule derrière. Je me mis à mouliner comme un dingue afin d’ouvrir au plus vite l’écoutille. Lorsque j’y parvins, le premier souffle d’air frais depuis plusieurs heures vint me roter au visage. On ne voyait absolument rien dans le trou. Cela pouvait aussi bien être leur fosse septique… ce qui me le laissait.
- Et alors quoi, t’as peur du noir ?! lança Kyle
- Vous croyez qu’il fait noir en enfer ?
- On va vite le savoir.

Et il se jeta dans le trou. Après quelques secondes survint un « plouf ». Et puis plus rien. Mais pas le temps de réfléchir, je me jetai dans le trou, remarquant au passage qu’il y avait une échelle pour descendre… tant pis. Milla avait sauté tout de suite après moi, et faillit me retomber dessus lorsque je chutai dans l’eau glaciale. Nous dévalions un torrent souterrain, ballottés par les flots sombres. Passé un temps qui me parut durer une éternité, je débouchai à l’air libre, faisant une jolie chute de plusieurs mètres de haut pour atterrir dans une rivière boueuse. Je me réceptionnai douloureusement, et ce que je croyais être un rocher mal placé n’était ni plus ni moins que le crâne de Kyle. Je n’eus même pas le temps de remonter à la surface que Milla m’atterrit dessus. A l’air libre, mes yeux mirent un certain temps à s’adapter au soleil cuisant. Je me retournai. Un nuage de fumée et de flammes s’élevait du canyon. Il était vraiment moins une. Le sol vibrait, l’onde de choc se répercutant sans cesse contre les parois du canyon. Je m’inquiétais pour Jay et Claire, mais, tournant encore la tête, je me rendis compte qu’ils avaient aussi fait une petite escapade sous-marine.
- Ouah… on a bien failli finir carbonisés, enterrés vivants, truffés de balles et noyés dans la même journée… ça commence à faire beaucoup pour l’américain moyen. Railla Milla.
- Ah ah.
- Quoi, moyen ?
- Non, américain.
Le sourire malicieux de Jay voulait tout dire…
- Manquerait plus que Jay nous parle de ses conquêtes, et la journée serait parfaite. Clama-t-elle.
- Comme si t’en savais pas déjà assez !
- Dites, intervins-je, c’est pas qu’on ne soit pas avides de révélations, mais on a un peu autre chose à faire là non ?!
Au moment où je disais cela, un bateau passa en trombe à quelques mètres de nous, et à son bord je reconnus sans problème la joyeuse compagnie de la DSO.
- On dirait que ce sympathique moment de baignade touche à sa fin. Souffla Kyle.

Il avisa un bateau de touristes amarré à une centaine de mètres de là, ses occupants disséminés sur les bords du Colorado et dans l’eau ayant tous le nez en l’air. Se faufilant à la surface tel un gavial à la recherche d’une proie, il grimpa à l’échelle du hors-bord, balança une droite bien placée au pilote de pacotille, et mit les gaz dans notre direction. Alors que les japonais applaudissaient en croyant à une petite représentation théâtrale, nous montâmes un à un dans le bateau, et Kyle poussa la manette des gaz à peine avais-je posé un pied dans l’embarcation, ce qui faillit me balancer à la baille aussi sec. Nous rattrapions très vite nos ennemis, mais dès qu’ils nous vîmes dans leur « rétroviseur », ils poussèrent leur engin dans ses derniers retranchements. Nous étions à 20 mètres l’un de l’autre, slalomant à une vitesse folle dans les méandres du Colorado.
- Putain mais accélère bordel ! s’exclama Jay.
- Je suis au maximum !
- Le maximum ça suffit pas ! Fais l’impossible !
- On est trop lourds ! gueula Kyle, sans lever les yeux de la rivière.
- Je balance qui ? Milla, Claire… ou le patron ?!
- Va plutôt voir s’il reste pas un ou deux japs dans la cabine !
Alors que Jay se retournait vers l’arrière du bateau, je m’approchai de Kyle.
- Euh… Tu m’arrêtes si je me gourre hein mais… y’a pas de cabine…
- Je sais, c’est juste pour qu’il me lâche cinq minutes. Oh putain !
Hurricane ouvrit le feu sur notre bateau, alors que nous nous baissions, par pur réflexe.
- Bordel, c’est vrai qu’ils ont nos flingues !
- Nos flingues… Mais je suis conne, j’y ai pas pensé plus tôt ! s’exclama Claire en sortant son PDA.
- Dis, t’es au courant que l’IEM a dû le cramer ? lui demandai-je.
- Nan, il était sous l’eau au moment de l’explosion, il fonctionne… Super idée de mettre des émetteurs dans nos flingues. Ayé, j’ai la position de leur bateau.
- A quinze mètres devant nous, en train de nous canarder, pas besoin d’un PDA pour ça… C’est quoi c… Grenade !
Une grenade atterrit dans l’eau juste à nos cotés, dès lors Kyle commença à slalomer pour éviter des projectiles futurs, mais cela ne suffit pas.
- Grenade sur le bateau, grenade sur le bateau !
- Arrête de zigzaguer, elle se balade dans tous les coins !
De justesse, Milla réussit à attraper l’explosif, et le balança au hasard dans la flotte, qui se souleva d’un coup.
- Ils en dégoupillent une autre, faites gaffe !
D’un mouvement d’épaule à la limite de la luxation, Kyle fit virer le bateau à tribord, nous déséquilibrant tous par la même occasion. La grenade rebondit sur le flanc gauche de l’engin qui filait à pleine vitesse, et explosa dans l’eau sale du colorado. Certainement à court de projectiles, la joyeuse compagnie de la DSO ralentit leur hors-bord, afin d’être à portée de tir. Seulement, sous-estimant sa capacité de reprise, nous nous retrouvions plus près d’eux qu’ils ne l’escomptaient. Dès lors, j’étais plus en mesure d’analyser la situation. Le pilote était le chef de leur unité, dont j’avais déjà oublié le nom, tant il me semblait insignifiant. Hurricane était entouré des deux jeunes femmes, qui semblaient attendre afin d’économiser leurs munitions. Kyle poussa encore un peu plus le moteur, et vint percuter l’arrière de leur bateau, ce qui faillit leur faire rater l’un des nombreux tournants tous plus traîtres les uns que les autres. Sans grande surprise, ils se rétablirent vite, et commencèrent à ouvrir le feu sur nous. La fréquence de leurs tirs, la vitesse à laquelle leurs doigts agissaient aurait rendu ivre de jalousie un malade d’Alzheimer sur un seul pied par moins dix degrés. Les douilles se noyaient tristement dans la couleur grisâtre du fleuve légendaire, et allaient certainement rejoindre les trésors accumulés depuis des siècles. Et nous, pauvres cow-boys des temps modernes, réglions nos différends à notre manière, pistolets automatiques en guise de revolvers et bateaux à moteurs en lieu et place d’un pur-sang. Le combat perdait vraiment de son honneur. Seul le combat à mains nues était resté le combat roi. Mais ici, la beauté du combat n’était pas essentielle. Seule la beauté de nos misérables vies comptait. Je pouvais entendre le sifflement des balles qui passaient à quelques centimètres de moi. Je pouvais également voir que Kyle avait dû rester plus ou moins droit pour continuer à manœuvrer, et que cela s’était payé. J’avais pu voir la balle de 9mm traverser l’épaule gauche de mon partenaire, dispersant des millions de molécules d’ADN dans l’air chaud de la côte Ouest. Cela ne dissuada pas le jeune soldat, bien au contraire, il redoubla de volonté, et se remit à jouer aux auto-tamponneuses avec l’arrière-train de leur embarcation. Le statu quo resta identique un petit moment, les membres de la Desmond Secret Operations ne pouvant même plus se relever et ajuster leurs tirs, sous les coups de buttoir de Kyle. Mais nous remarquions bien que le fleuve tendait à se rétrécir de plus en plus, si bien que pour négocier un virage, leur pilote fut obligé de ralentir, et nos deux bateaux se trouvaient maintenant côte à côte. Hauts les cœurs moussaillons… l’heure de l’abordage.