Putain c´est abusé les fautes de dingues que j´ai fait, en me relisant juste là! XD Certaines sont vraiment effrayantes (on sent l´influence germanique proche de chez moi mdr... "Puis un moteur se mettre en marche rapidement" XD)
Version corrigée so!^^ Lisez celle-ci si vous arrivez!
Caporal Lockheed
-Tiens, mets ça...
-Merci.
Chip prit la casquette aux motifs de camouflage urbain chinoise que Bullet lui tendait, la renfrogna sur la tête et continua à observer la route. Bullet, quand à lui, se contenta de se glisser au fond du siège passager pour observer la carte. Je m´approchai d´eux (manquant de tomber lorsque le camion passa dans un nid de poule), et pris quelques nouvelles tout en jetant un oeil à la route de par le pare-brise incroyablement sale:
-Où est le camp le plus proche?
-Vers le Sud-Est, répondit Bullet en tournant la carte à l´envers. Il y a seulement un gros point rouge avec des infos notées en chinois dessus, mais d´après le psyché du pauvre soldat qui doit être en train de se réveiller au bord de la route, ça a l´air de situer les camps.
-On aurait dû le flinguer, décréta Chip en fixant du regard une jeep chinoise qui nous croisait. Il va donner l´alerte d´ici à quelques heures.
-Ca nous laisse déjà pas mal de temps, observai-je avec sagacité.
-On en aurait eu beaucoup plus si on lui avait foutu une balle entre les deux yeux, fit Chip en tournant son regard vers moi. Encore heureux qu´on avait du sédatif sur nous...
-Tu doutes des ordres du capo, Chip?
C´était Flint, de l´arrière du camion, qui vérifiait ses munitions à la lueur de sa lampe-torche.
-Je doute un peu de tout, répondit notre chauffeur sans sourciller, en regardant la route à nouveau, ses mains tranquillement posées sur le volant. Et c´est ce qui t´as sauvé la vie bon nombre de fois et qui va encore le faire.
Je me retournai pour observer le visage de Flint, notre montagne de muscles, et fus surpris qu´il ne s´énervât pas plus que ça. C´était peut-être le fait de bichonner son Saw qui le calmait... c´était déjà ça.
-La dernière fois que quelqu´un a dû effrayer deux bataillons d´ennemis en vidant son chargeur parce que l´éclaireur du coin s´était mis en tête que le chemin était miné et qu´il fallait le contourner, c´est quand même pas totalement grâce à toi non plus.
Le visage de Flint, dans la pénombre, était réfléchi de manière floue et rougeoyante, qui se perdait dans le décor sombre kaki de la bâche du camion. Flint aimait savoir qu´il avait accompli son travail et qu´il avait une place dans notre unité, et bien que son caractère de chien têtu était souvent insupportable, c´était peut-être, moralement, le plus faible d´entre nous.
-Remarque, le chemin était quand même miné... répliqua Chip avec un sourire en coin. Caporal, baisse-toi, on croise un transport de troupes.
Je me plaquai derrière le siège du conducteur, écoutai les camions et chars passer à nos côtés et observai la réaction de Flint.
-On aurait quand même gagné un temps précieux...
-Bien évidemment, dit Owl, visiblement agacé et sortant de son silence habituel. On aurait dû bombarder trente mètres de rues avec les cinq grenades qu´on avait et tirer sur le sol en espérant que personne n´entendrait rien, et éspérer encore plus ne pas sauter! T´aurais pu essayer de te trouver un Burger King ouvert tant que t´y étais.
La précédente mission avait effectivement eu lieu dans une petite ville tranquille de l´Arizona où un commando russe avait établi un camp de base. Une petite mission facile, même si nous avions fini par nous faire repérer et finir le tout en catastrophe.
-Fermez-la, objecta à son tour Falcon, et coupant Flint qui voulût se défendre, j´imagine, de manière stupide. Les Chinois ont peut-être des détecteurs radio dans le coin et s´ils surprennent une conversation entre soldats américains, qui plus est de Fox-Hound, on est bon pour le charnier le plus proche. (Puis, fermant les yeux, s´allongeant sur le banc en tenant son M24 parrallèle à son corps tel un chevalier tient sa lame dans sa dernière demeure) On va arriver à ce camp d´ici à quelques minutes. Profitez-en pour vous reposer, ça va pas être de la tarte.
Je hochai la tête, et jetai un coup d´oeil à Owl. Pourquoi fallait-il que ce soit toujours un subtalterne qui résolve les conflits dans MON unité? Depuis sa création, quelques mois auparavant, j´avais l´impression qu´au fur et à mesure des missions, mes soldats n´étaient que des comédiens prêts à tout pour se faire remarquer un peu plus dans leur jeu, sans même voir qu´ils étaient probablement déjà les meilleurs. La fierté de chacun l´emportait sur le résultat final, qui, je le sentais, pouvait à tout moment se terminer en désastre.
-Elle a raison, nous fit la voix de Bullet, à peine audible. Le camp pointe à l´horizon, préparez-vous.
-Décris-le, ordonnai-je.
-Une bonne douzaine de tentes, trois ou quatre véhicules et des soldats faisant leur ronde.
-Des contrôles à l´entrée?
Soudain, un silence. Suivi rapidement par le bruit caractéristique d´un silencieux se vissant au bout d´un canon.
-J´espère que non. Dans tous les cas, soyez prêts.
Une fois de plus, la symphonie de cliquetis de sécurité emplit l´atmosphère. Et, durant quelques instant qui, dans la semi-pénombre teintée de kaki, le silence tant convoité de Falcon eut sa minute de gloire.
-Je vois une tente plus large avec une antenne à côté, dit Chip. Probablement celle d´un gradé.
-Bien... dépose-moi à côté.
Un nouveau silence, tandis que je délestais de ma P-90 et sortais son Sig, y vissant moi-même un silencieux, puis vérifiant qu´il y avait une balle dans la chambre.
-Je vais aller chercher les informations concernant les coordonnées des derniers survivants à Downtown Seattle, précisai-je. Quand je serai sorti, tu partiras te garer plus loin, pour ne pas éveiller l´attention. Attends mon appel codec pour venir me chercher... si je ne reviens pas, essayez quand même de voir si je suis encore en vie.
Ironique ou pas, ma dernière remarque ne leur fit aucun effet, et chacun se contenta de hocher la tête. Lentement, je me glissai vers l´arrière du camion, mis mes Night Vision Google sur les yeux, jetai un rapide coup d´oeil et plongeai hors du camion dans les fourrés. Aussitôt, le véhicule repartit, et je pus observer à ma guise les alentours. Deux gardes, à l´opposé du camp, faisaient leur ronde nonchalament, et la plupart étaient assis autour d´un feu de camp, dont la vue me perçait les yeux. La tente principale était à moins de dix mètres, gardée par un soldat qui tentait péniblement de rester éveillé. Je m´en approchai calmement, la contournai et longeai son côté. Sur la pointe des pieds, je me glissai derrière le soldat, puis lui assènai une rapide manchette (il tomba sans même geindre), et jetai un coup d´oeil à l´intérieur de la tente. Elle était uniquement occupée par un gradé chinois occupé à ronfler, et semblait dénuée de caméras. Je trainai donc le corps inanimé du garde à l´intérieur, et m´approchai calmement d´une table où trônait un ordinateur portable. Jetant un dernier coup d´oeil à l´entrée et au capitaine en train de somnoler, je vérifia que l´appareil n´était en aucun cas piégé par une quelconque alarme, puis l´ouvris calmement et l´allumai.
"Hum, voyons si les Chinois sont tant à la pointe de la sécurité informatique que ce qu´ils prétendent!"
L´écran s´éclaira, et tandis que le programme se lançait, je me rendis compte avec une étonnante stupéfaction que pirater un ordinateur dans un alphabet que je ne connaissais pas allait me poser moult problèmes. Lentement, je refermai donc l´ordinateur, et me dirigeai vers le gradé. Décidant de jouer sur un effet de surprise et de terreur, j´enlevai mes lunettes thermiques, sortis d´une de mes poches la peinture sombre pour visage et m´en empreignai sur toute la face. Aussitôt après, je lui renversai le verre d´eau qui trônait sur sa table de nuit sur la figure. Il s´attendait à pouvoir envoyer une de ses recrues farceuses en première ligne, vu sa tête. Vue celle qu´il fit en se rendant compte que sa recrue ressemblait fort à un pistolet pointé en plein dans son troisième oeil, il en fit une toute autre.
-Hello my friend, commençai-je d´une voix suave. I´m looking for some informations... I hope you´ll be able to help me.
Il sembla marmoner dans sa barbe en chinois. Je semblai lui enfoncer le canon du silencieux un peu plus fort entre ses sourcils, et lui pointai de ma main gauche le soldat que je venais d´assommer, dont on ne voyait dépasser que les deux pieds.
-If you want, you can speak chinese wit´ him somewhere in the middle of the deeps of hell. Or... we can have a wonderful conversation in english.
L´effet désiré fut plutôt efficace.
-Okay... mais éloigner ce truc de moi.
-Comme vous voudrez, fis-je en reculant d´un pas, tout en ayant encore sa tête dans ma ligne de mire. Donnez-moi les coordonnées du groupe de survivant en centre-ville.
Je lui montrai l´ordinateur portable d´un coup de tête. Mais il semblait encore réticent, et hocha la tête lentement, pas encore convaincu. Tirer le chien de mon pistolet en arrière,e le regard inflexible, le fit réfléchir autrement. Sans un mot, il s´approcha de l´appareil, l´ouvrit, et commença à naviguer à l´intérieur, dos à moi. J´observai bien que ses mains ne viennent pas chercher une quelconque arme dans un des tiroirs, et jetai un coup d´oeil à l´entrée. Après deux minutes, il s´écarta légèrement sur la droite et me montra une carte détaillée. Tandis que, arme levée, je m´approchai de l´ordinateur pour vérifier que la carte était bien celle dont j´avais besoin et prendre les informations sur une clé USB, je remarquai, trop tard, que son doigt effleura le dessous du bureau. Devinant le bouton qui s´y cachait, je levai le pistolet dans sa direction, mais alors qu´il s´attendait à ce que je l´abatte d´une balle, je lui décochai un coup de crosse dans la mâchoire, fis une rapide prise de CQC et eus juste le temps d´arracher la clé pour la glisser dans une de mes poches, puis tenir en joue l´entrée de la tente. Le premier soldat entra sans réfléchir, courant arme contre poitrine. Je pressai trois fois la détente, et le son étouffé du silencieux se répandit dans l´air, tandis qu´il s´écroulait à l´extérieur du baraquement, la moitié du corps séparé par la porte de tissu. Je pressai le capitaine pour qu´il avance, et dès qu´un autre stupide soldat franchît la porte, se fut pour se le recevoir en pleine face. Je courus rapidement vers lui, lui décochai un coup de genoux dans le ventre puis un puissant coup de poing dans la face. Dehors, un coup de feu, unique, se répandit dans la nuit avec un écho puissant, rapidement suivi par un autre. Puis un moteur se mit en marche rapidement. Repérant le camion de par le son qu´il provoquait, celui-ci passa juste devant moi au moment où je décidai de sortir de la tente. Je me mis à sprinter derrière ignorant les soldats chinois qui devaient être en train de me courser, et bondis à l´intérieur. Je manquai d´écraser Falcon, couchée en travers du camion en position de tir, et ordonnai d´une voix forte:
-We get the hell out of here!
Me retournant, c´était pour apercevoir trois jeeps chinoises partir à nos trousses.
Yeah, ça prend forme!
Le truc que j´adore, c´est qu´on voit que tu t´éclates!!! Le scénario est super faible, l´intrigue est basique, et tout est basé sur les combats, les répliques, et l´esthétisme, un peu comme quand on va voir un Tarantino, on voit bien que c´est du pur travail perso... Et lire un truc qu´on sait que t´as pris du plaisir à écrire, personnellement, ça lui donne un goût différent, je trouve.
Pure texte détente sur MTS! ^_^ Ce sera à peu près idem avec mes Chroniques perso, et j´espère que ce sera le cas avec toutes!!!
"Je laissai en premier mon arme chuter sur le sol, avant d’entendre ceux de mes camarades la rejoindre également, dans un mélodieux concert de cliquetis."
C´est assez dingue de voir que le "concert de cliquetis" ressemble pas mal à ce que je viens d´écrire aujourd´hui avec ma petite mission, alors que toi t´as fait ça y´a des semaines déjà... sympa, comme anecdote!
Bon ben j´imagine qu´on peut commencer à poster les chroniques maintenant vu qu´Alex à craquer.^^
Je poste la mienne une fois fini (je peux vraiment pas dire quand). Et je lirai et commenterais vos textes qui m´ont l´air fameux dés demain !
Note que j´ai pas fini la mienne non plus, donc j´ai VRAIMENT craqué en fait.
Là j´attends qu´il y ait un autre texte pour mettre la suite de la mienne après.
Chronique
La mienne j´hésite encore à la poster en une fois ou pas. Mais je me vois mal la découper, le rythme est assez saccadé.
Kenneth, je suis vraiment heureux de voir qu´à nous deux on a réussi tant bien que mal à faire repartir ce topic! On va y arriver! Tu demandais un texte pour mettre ta suite? Tu l´auras!
Et hop, une petite poursuite en voiture, pas follement grisante comme d´autres de ma création ou d´Alex, mais suffisament prenantes, j´espère, pour faire passer le temps! Enjoy! (encore une fois, s´il y a des fautes je sais pas je suis pressé en ce moment-même!) Et à écouter, évidemment, avec le génialissime Sidecar - Espace from Fortress (avec un peu de chances, vous pourrez même entendre Chip tirer le frein à main!^^)
Lockheed´s Tales I: Seattle - Inside Hell
-Truck Chase
Caporal Lockheed
-Combien de voitures? hurla Chip.
-Trois... quatre peut-être, hurlai-je à travers le camion, tandis que les premiers tirs commençaient et que chacun baissait instinctivement la tête.
-Ils vont donc pas tarder à appeler des renforts, en déduit Chip en tournant violemment le volant sur la gauche.
Le camion glissa sur le sol humide et les roues latérales droites décollèrent quasiment du sol. Sans même que j´aie mot à dire, toute l´équipe se positionna sur la banquette gauche du camion, et le véhicule se repositionna. Chip finit de prendre le virage, les roues patinèrent quelque peu mais le camion se rétablit rapidement, et chacun baissa ensuite à nouveau la tête, tandis qu´une rafale laissait une traînée de trous bien visibles sur le côté gauche de la bâche kaki. La visibilité était mauvaise, le pare-brise était intensément dégueulasse, et les phares éclairaient très peu loin... si nous voulions les sauver, il fallait avoir un avantage quelconque.
-Chip, éteins les phares et conduis avec les lunettes de vision nocturne! ordonnai-je tandis que je dirigeais ma P-90 vers une voiture dont les phares venaient d´éblouir tout l´intérieur du camion et commençais à tirer.
-Et si une voiture vient en face tous phares allumés, je fais quoi?
Je ne répondis pas, laissai le doigt sur la détente et les douilles commencèrent à voler dans le camion. Aussitôt, Flint prit le relais, posa son M249 en appui sur ses genoux (car Flint était encore assis, bien évidemment) et pressa la détente avec force. Le camion en fut presque ébranlé, tant par les secousses que faisaient l´arme lourde entre les mains de notre agent de soutien que par le bruit assourdissant des détonations. En moins de dix secondes, le sol du camion fut rempli de douilles de partout, brillant dans la lueur des phares quelques secondes, puis revenenant aussitôt dans l´ombre, lorsque ceux-ci volèrent en éclats et que la voiture ne parte en tonneaux sur le bord de la route. Deux autres voitures suivaient, juste derrière, comme si elles attendaient tous leur tour. Subitement et sans prévenir, Chip tourna le volant sur la droite, mais au lieu d´accélérer, tira brutalement le frein à main, qui émit un petit bruit saccadé.
-FEU DE SOUTIEN, FEU DE SOUTIEN! hurla Chip tandis qu´il rebaissait immédiatement le frein à main, changeait les vitesse et écrasait la pédale d´accélération pour faire marche arrière.
Aussitôt, Bullet défonça la vitre avec son coude et dégaina dans le même mouvement ses deux Berettas. Les tirs se firent violents de chaque côté, et chacun à l´arrière du camion, à nouveau, se baissa quand les balles emplirent l´atmosphère et que les étincelles volaient dans l´espace confiné. Le camion, toujours en marche arrière, eut un brusque sursaut, puis commença à trembler: nous venions d´entrer dans un champ. Osant ramper jusqu´à l´arrière du véhicule et jeter un coup d´oeil, je vis une des voitures déraper sur la route puis s´écraser contre un arbre et s´embraser immédiatement dans une rougeoyante explosion. Bullet continuait de tirer à coups secs et précis, chacun de ses coups de feu résonnant fortement dans tout le camion, chacun de ses tirs touchant sa cible, quelle qu´elle soit. Puis les tirs se stoppèrent soudain, rapidement suivis par le son des chargeurs tombant simultanément au sol et de deux autres insérés en un temps record. Et, bien évidemment, le bruit des culasses bien huilées revenant dans leur position initiale. Et puis Chip éteignit les phares, et tourna légèrement le volant de côté, le camion commençant à prendre une autre direction.
-Owl, prends tes lunettes de vision nocturne, fis-je en me tournant vers mon sous-chef, qui était en train de préparer des pains de Semtex, et vérifie qu´il n´y a rien derrière. Tu vas superviser Chip.
Owl ne dit pas mot, se contenta de sortir nonchalament ses lunettes tandis que les tirs des ennemis venaient de faire éclater le pare-brise en mille morceaux.
-Chip, Bullet, you´re okay?
-I hope so, répondit Chip en relevant la tête et pointant son Socom qui traînant auparavant calé entre deux sièges à travers les éclats de verre.
Il commença à faire feu, rapidement suivi par Bullet. Mais la jeep était trop proche et le tireur trop habile, et ils durent à nouveau s´incliner lorsque de nouveaux tirs explosèrent cette fois-ci les appuie-tête dont la mousse virevolta à travers tout le camion. Me calant contre le siège, j´ordonnai à Chip de continuer à rouler, plaquai latéralement ma P-90 sur le plat entre les deux appuie-tête et commençai à faire feu. Prenant ma tactique en avantage, Owl en profita pour jeter le pain de Semtex à l´extérieur du camion. Il passa entre les pneus de notre véhicule, et Owl, un sourire aux lèvres, appuya sur son détonateur. Aussitôt, la petite explosion de sa bombe fut suivie par celle du réservoir de la voiture ennemie, dont la chaleur et la luminosité emplirent tout l´intérieur du camion. Chip releva lentement la tête, enleva un bout de métal qui s´était coincé en plein milieu de ce qui restait de son appuie-tête, et se demanda comment un pneu en feu pouvait voler à une altitude pareille. Owl se retourna vers moi avec un petit sourire songeur:
-Avoir de l´oreille est souvent aussi, voire bien plus utile qu´une bonne vision.
Falcon se renfrogna. J´eus un autre sourire, et Flint commença carrément à éclater de rire.
-Attention, fit Owl, les NVG toujours sur les yeux, on arrive à l´aurée d´une forêt.
Chip freina, puis remis la marche avant et longea celle-ci jusqu´à trouver un petit chemin sylvestre menant à une route. Il y stoppa le camion, et tandis que le reste de l´équipe observait les environs à la recherche d´éventuels ennemis, je mis les informations de ma clé USB, volées à l´officier chinois, sur le PDA de Owl.
-On dirait que les survivants se sont retranchés quelque part entre ces rues, observa-t-il, ce qui laisse quand même assez peu de cachettes.
-Sauf ce centre commercial ici, fis-je en pointant du doigt.
-Exactement... Mais maintenant qu´ils savent qu´une unité est venue pour les secourir, ils vont probablement avancer l´attaque. Voire probablement la faire cette nuit même. On n´a que quelques heures, Lockheed, après il risque fort d´être trop tard.
Je hochai la tête, le laissai observer les données et appelai Nick:
-Opérateur ; j´attends votre identification.
-Arrête le macchiatto Nick.
-Hey, comment tu sais que c´est un machiatto?
-Tu es toujours pris de délires cinématographiques dingues en buvant du macchiatto... Fox-Hound, Unité d´Élite n°4. Nom de code Nightbird, code de mission 1951TT16E.
-D´accord, Lockheed, fit-il après avoir bu une gorgée de café. Que puis-je faire pour toi?
-On peut arriver à communiquer avec les survivants à Downtown Seattle?
Après un silence, et d´un ton moralisateur:
-Si on pouvait communiquer avec eux, tu penses vraiment qu´on t´aurais donné l´ordre de trouver leurs coordonnées? Le serveur central de Fox-Hound est suffisament sécurisé, tu sais.
-Hum, à ce que je me souvienne, ce n´est pas toi qui es allé jusqu´en Italie chasser le bonhomme qui a tout foutu en l´air la dernière fois.
-Juste, fit-il cette nuit sans ce petit ton dû probablement au macchiatto. Non, on n´a plus de communications. On peut encore envoyer des messages selon l´ancien code, mais si la taupe est à l´intérieur, elle peut les recevoir.
-Tu as la liste des agents survivants?
-Oui... mais on ne sait pas vraiment QUI est encore en vie parmi ceux-ci.
-Bien. Trouve un agent qui agit selon l´ancien code. Celui d´avant le piratage. La taupe a probablement été recrutée durant la guerre. Une taupe profondément incrustée à Fox-Hound ne risquerait pas sa couverture pour prendre une ville à l´intérêt stratégique moyen.
-Juste. Mais nos ennemis peuvent aussi l´avoir recrutée bien avant, ou alors l´avoir retourné durant la guerre. Souviens-toi de Kang.
-Il doit se souvenir de mon cigare, lui...
-Arrête le narcissisme, Lockheed, ça te vas mal. Je vais demander à un agent qu´on pense encore sûr de rester sur leurs gardes. On a environ... (clics intensifs de souris) une trentaine d´agent coincés là-bas. Si on peut compter au pire une douzaine de survivants, on a onze chances sur dix de trouver quelqu´un de sûr, en comptant de la taupe ne s´est pas descendre par inadvertance.
-Bien.
Et, ne voulant pas lui préciser qu´il y aurait pu y avoir plusieurs taupes, et qu´on avait peut-être onze chances sur douzes de tomber sur une d´elles:
-Terminé.
-Terminé.
J´enlevai la main de mon oreille, et m´assis quelques instants sur une souche d´arbre, fermant les yeux, écoutant le bruissement des branches mortes dans le vent et les crépitement légers du tonnerre au-dessus de ma tête. Reste fort, Lockheed. Tu es un soldat, tu es l´espoir de tout un peuple. Tu ne les décevras pas.
-On continue, fis-je d´une voix forte en me levant et fixant mon équipe qui revenait vers le camion, le regard plus vif que jamais. On a des alliés à sauver.
Désolé je n´ai aps encore lu vos textes, par contre bonne nouvelle, j´ai continuer ma chronique ! (Ca faisait un moment...)
Je pense la poster en un truc comme 3 parties. Mais je le ferais pas avant de l´avoir fini entièrement. En attendant, ralentisser un peu le ryhthme SVP, sinon y aura trop de texte à analyser lol. Encore bravo pour votre motivation en tout caS.
oui là stop ya "trop" à lire XD
J´ai fini ma 1ere partie ! Elle fait environ 6 pages Word taille 12 sans compter le précédemnt... Donc en toute logique le texte devrait faire 18 pages environ. Je continue dés demain et je posterais le texte d´ici peu.
18 pages c´est la taille d´un texte ou la taille de la chronique ?
Moi, j´attends un peu que vous ayez le temps de lire, et je continue à balancer la purée.
La taille de la chronique...
Rien que le précédemment fait deux pages presque MAis bon au moins rien ne vous echappera.
J´ai lu la chroniques d´Alex pour l´instant (vu qu´elle se passe au moment présent).
Alors j´ai adoré le début, la présentation, la narration des décors de la mine, l´ambiance glauque et tout.
J´aime aussi beaucoup le côté huit clos, ça pose les bases de cette chronique directement et c´est génial. J´ai bien aimé les clin d´oeil, déjà rien que le titre, une des chansons préférés de Togo et aussi le "Authorizied Personal Only", vieil hommage à Alias (j´en parlais d´ailleurs avec Locke y a pas deux jours quand on cherchait un nom à la 3e organisation lol). Sinon bon perso j´espère quand meme que le scénarion va quand meme se montrer bientot, sinon, huit clos oblige, on frôle un peu le Syndrome Couloir (oui Naked, je sais XD). Mais bon j´aime beaucoup, c´est pas prise de tête, et surtout, comme l´a dit Thunder, on voit que tu t´éclates, et ça se ressent, c´est le principale.
Je lirais les tales de Locke tout à l´heure ou demain. En attendant j´ai commencé la 2e partie de ma 1ere chronique. Qui sait ptet que je posterais la 1ere avant de toute finir !
Pratiquement fini ma première Chronique, les textes de Locke sont somptueux comme d´habitude, quant à la Chronique d´Alex, je dois avouer qu´elle me captive énormément, j´ai envie de faire le fou et poster la mienne au plus vite...mais non, résonne toi un peu, sois patient !! ^^
Bonjour ici.
Nouvelle partie de mes Chroniques.
The Chrysler Unit Chronicles - 1 - There´s no easy way out.
Tout à coup, sans prévenir, elles ouvrirent le feu – c’est le cas de le dire – en notre direction. Nous eûmes tout juste le temps de sauter aux quatre coins de la pièce, qu’à nouveau elles dirigeaient les flammes de l’enfer vers nos pauvres corps. A nouveau, nous esquivions de justesse, mais ces galipettes désordonnées ne nous sauveraient pas longtemps. Sautant près de moi, Jay me fit remarquer quelque chose. 5 cibles. 2 armes. En restant éparpillés, seuls deux d’entre nous seraient sous le feu de l’ennemi, mais les trois autres auraient le champ libre pour contre-attaquer. Je tentais tant bien que mal de me faire comprendre de mes partenaires, en leur intimant de rester isolés les uns des autres. Ils mirent un petit temps à comprendre, mais une fois que c’était fait, ils exécutaient la manœuvre parfaitement. Ayant le champ libre, je fis un rapide topo de ce dont je possédai afin de contre-attaquer. En général, dans ce genre de situation, la meilleure façon de s’en sortir était d’utiliser le décor à notre propre avantage. Hélas, ici, je voyais peu de possibilités. Les machines ne m’étaient apparemment d’aucun secours, aucun outil nonchalamment posé dessus qui aurait pu servir d’arme, les fûts d’uranium étaient bien trop lourds… et trop radioactifs. Il y avait bien un gros bouton d’arrêt d’urgence, mais quel intérêt ? Quand la méthode fine ne fonctionnait pas, il restait la méthode bourrine. Interrompu dans ma petite analyse par les flammes qui se rapprochaient dangereusement, je fis un saut de cabri de l’autre côté de la salle, atterrissant à côté de Claire. Elle était en sueur, mais elle ne semblait pas prête d’abandonner. Kyle, quant à lui, essaya de lancer son couteau en direction d’une des femmes, qu’elle esquiva avec une facilité déconcertante. La deuxième folle pyromane en profita pour envoyer une autre gerbe de flammes, qui enveloppèrent l’avant-bras du cadet de l’équipe. Il sauta en arrière, alors que Milla, se jetant sur lui, l’aida à éteindre les flammes. Essayant de constater l’étendue des dégâts, il s’arracha une partie de la manche. Rien. Pas la moindre brûlure. Sa peau était rouge, certes, mais rien de bien grave. S’estimant chanceux, il recommença à bondir derrière les machines. Je repris le cours de mes pensées, interrompues par la mésaventure de Kyle. La méthode bourrine donc. Le dernier recours que je voulais utiliser, à savoir les quelques grenades dont je disposais, me semblait inévitable.
J’en dégoupillai une, et la lançai sur une portion de grille sur laquelle se trouvait une des femmes. Elle se décala de quelques pas sur le côté, alors qu’un trou s’ouvrait dans la coursive de fer qui décrivait un carré tout autour de la salle. Une idée me vint alors à l’esprit. J’avisai une des machines qui perçaient les parois de la pièce, et surtout l’un des leviers sur le côté. Je n’étais pas expert dans ce genre d’équipement, mais j’étais quasiment sûr que c’était celui de la puissance fournie. Me positionnant près de la machine, je balançai une autre grenade, de sorte que l’une de ces flamboyantes demoiselles se retrouve coincée entre les deux trous. Comme tout à l’heure, elle ne fût pas déstabilisée pour autant. Je me demandai même si elle avait remarqué qu’elle était dans une position assez inconfortable. Appuyant de tout mon poids sur la manette de la foreuse, je poussai la puissance au maximum. Presque aussitôt, les murs se mirent à trembler. Je lançai une dernière grenade dans la direction de la femme. Elle se cramponnait tant bien que mal à la barrière afin d’éviter de tomber, et l’explosion la projeta à nos côtés. Jay lança son couteau dans ma direction, que j’attrapai du revers de la main. Je soulevai alors la femme qui gisait à terre devant moi, lui enlevai son casque, et la menaçai du couteau. Elle laissa tomber son lance-flammes sur le sol. Je me positionnai en face de la deuxième pyromane, et lui criai :
- Baisse ton arme, ou je la descends !
A ce moment, celle que je tenais en respect balbutia quelque chose :
- Eteins la machine, sinon on …crève tous…
Ne faisant pas attention à sa recommandation, je répétai mon ordre :
- Baisse ta putain d’arme !!
Elle ne le fit pas. Au contraire, elle leva le canon et envoya une flopée de flammes dans ma direction. J’eus tout juste le temps de me planquer, alors que la rousse tombait, inanimée et en feu. Milla sauta alors, récupéra le deuxième crache flammes, et arrosa la brunette qui ne tenait même plus debout, à cause des vibrations qui frappaient toute la pièce. Celle-ci, sans le moindre cri, tomba, dans le même état que sa sœur, par-dessus la rambarde. Je me dépêchai alors d’aller baisser le régime de la machine, alors que des blocs de pierre tombaient du plafond. Au bout de quelques secondes, la terre cessa de trembler. Remontant par l’échelle, nous atteignîmes le palier supérieur, et pénétrèrent dans la petite salle de contrôle intermédiaire, laissant derrière nous les cadavres enflammés des deux femmes.
Nos armes s’y trouvaient, sur le palier de la porte coulissante, en vrac. Bizarre, elles avaient été déplacées. Mais par qui ? Peu importe, le chargeur, au vu du poids, était toujours plein, et aucun doute là-dessus, c’était bien nos armes. Sur un côté de la salle se trouvait un plan des lieux. Il y avait semble-t-il encore plusieurs niveaux. Ce complexe était visiblement immense. Etrangement, une partie du plan était effacée, la partie à l’extrémité de l’installation. Mais un constat était particulièrement alarmant. Je ne voyais pas d’autre sortie. Claire s’installa devant l’écran de contrôle, et essaya d’entrer dans le système. Un léger grésillement suivi d’une fumée s’échappant de l’unité centrale suivirent aussitôt. Tout l’ordinateur était foutu. Jay me tapota alors sur l’épaule, me montrant un petit sigle, dans le coin du plan. Je l’aurai reconnu entre mille, il s’agissait de celui de la NSA. Mais pourquoi la NSA possédait-elle une ancienne mine d’uranium ? Et surtout, pourquoi les Patriotes en avaient-ils pris le contrôle ?
Tant d’interrogations auxquelles je n’avais toujours pas les réponses. En tout cas, c’était bien la deuxième fois que l’on essayait de nous tuer… Enfin bref, plus rien d’intéressant par ici. Même pas de deuxième porte. Claire avait pris en photo les plans, et les avait numérisés sur son petit PDA. D’après ses indications, nous sortîmes de la salle de contrôle. Je m’attendais presque à la même surprise qu’avec Forman, que les corps aient disparus. Raté, ils étaient bien là. Le feu étant éteint, je fouillai leur poche, et trouvai ce que je cherchais. Une autre clé GSC, d’un niveau plus élevé. Toujours en petite pro de la technologie, Claire brancha son appareil sur le panneau d’ouverture de la prochaine salle, qui s’ouvrit quelques secondes après. Vraiment incroyable. Non seulement elle savait tenir un flingue, mais elle se débrouillait aussi en électronique. Je me fis alors une réflexion inquiétante. Les Patriotes l’avaient ils mieux élevée que moi ? Après tout, elle était battante, courageuse, elle avait l’air en bonne santé… Non, non… Il ne fallait pas que je m’enlise là-dedans. C’est moi qui l’avais élevée, eux l’avaient juste… entraînée. Après tout, quand je l’avais perdue, elle avait quoi ? Si ma mémoire est bonne, 13 ans, 4 mois. A cet âge là, elle était déjà façonnée… Mais était-ce à mon image ? C’est vrai que je n’avais pas beaucoup été là pour elle… J’avais vraiment l’impression que tout le monde avait contribué à la rendre aussi forte qu’elle l’était à ce moment, sauf moi. Sa mère, les Patriotes… Et trop tard pour me rattraper maintenant.
Cela ne changeait rien. J’étais fier d’elle, de ce qu’elle était devenue. Mais je ne pouvais pas accepter que ce soit grâce à mes ennemis. Je devais me ressaisir. Sans les Patriotes, elle aurait eu une véritable éducation, devenue une fille normale, serait allé à l’université, et tout ça. Okay. Je me voilais la face. Mais peu importait. Arrêter de penser au passé, et se concentrer sur le présent. Voire sur l’avenir. Avenir qui risquait d’être assez court si on ne sortait pas tous d’ici.
Cette dernière pensée me fit revenir à la réalité, me rendre compte que les autres m’attendaient depuis déjà quelques secondes, que j’avais traversé un ou deux couloirs sans même m’en rendre compte. D’après Claire, la salle où nous étions à présent était une salle de communication. Avec la profondeur à laquelle nous étions enterrés, je me demandais bien comment des communications pouvaient passer hors d’ici. Je n’eus même pas besoin de poser la question, car Milla venait de dégager de longs tuyaux qui remontaient dans la roche. J’allumai le poste de radio, à la recherche d’une fréquence. Beaucoup d’entre elles étaient vierges, mis à part une petite demi-douzaine. 4 étaient absolument inaudibles, j’avais beau appeler, aucune réponse claire. La cinquième diffusait un message radio en boucle. Impossible de comprendre, la personne parlait français. Et enfin la dernière. Je me mis à appeler, sans grand espoir :
- Mayday, mayday, can someone hear me ?
Quelques secondes, puis une réponse.
- That is the Grand Canyon radio frequency, what’s happening ?
- Can you make a connection with the point Two One Five, Zero One Six ?
Ces coordonnées étaient celles de notre contact radio avec la base de Saladin. J’espérais pouvoir appeler des renforts, qui viendraient nous appuyer et nous faire sortir d’ici. Après une courte réflexion, l’homme répondit :
- Mmmmh. Okay, wait a minute.
Après quelques temps d’attente, la communication reprit.
- This is Two One Five, Zero One Six, S Base. Identify yourself.
- S. Base, this is Chrysler Unit. We’re at the…
Un bruit aigu vint me déchirer les tympans. Visiblement, le contact avait été coupé. Un autre homme prit la parole, l’espace d’un instant je crus qu’il s’agissait de notre premier contact, mais cette voix m’était familière pour une autre raison.
Quand au scénario, vous vous rendrez compte au bout d´un moment qu´il a déja commencé, sans que vous le sachiez.
Forman à la radio?^^
Excellent texte! Parce qu´ici, on voit que tu t´éclates, mais je trouve la qualité encore meilleure que celle des autres textes! La bataille avec les filles au lance-flammes est captivante (merci pour le voc´ Saladin^^), qu´en plus j´écoutais avec le thème de The Pain, qui colle parfaitement (mieux que celui de The Fury, je trouve!^^).
J´aime beaucoup les réfléxions du personnage sur sa fille en pleine mission, qui le rendent très humain. Mais bon, remarque, j´ai toujours aimé les réfléxions de toute sorte de toute façon!^^
Après y´a encore quelques détails sympas, comme le message qui passe en boucle en français... , ou le truc des cartes d´accès à code toujours plus élevé, très MGS. Good work!
Je devrais bientôt lire vos textes, une fois que j´ai fini ce que j´ai à faire (Fic Onimusha le final du tome 1). Je continuerai ainsi ma première Chronique qui sera sans doute équivalente à celle de Ripple.
Bon bah fini le texte d´Alex, j´attends la suite avec impatience, le cliff est bon ! Sinoin très sympa le clin d´oeil à Lost avec le message en français, mais j´en ai repéré un autre, peut-être inconsciemment : Les deux furieuses dans le souterrain, me font penser aux deux furieuses de la base sous marine dans la fin de la saison 3.^^
Sinon à la fin, je parie que c´est Scamp.
Je voudrais juste attirer votre attention sur ceci (lisez au moins les deux premières pages please):
https://www.new.jeuxvideo.com/forums/1-10757-398812-1-0-1-0-0.htm
Si c´est vraiment le cas, on aura presque anticipé le coup avec l´Enchaîné (l´esprit synthétisé de Psycho Mantis avec les capcités physiques de Vamp) et Wolf (l´esprit synthétisé de Octopus dans le corps de Wolf). Et je ne parle pas de Fortune/Raven qui a claqué depuis longtemps... Ce serait énorme! XD
Je me demande si Hideo va intégrer l´assimilation des Mèmes et des Gènes pour créer la Théorie du Chaos. Qui devrait être le thème de ma 3e Chronique, la manipulation réelle de masse! Évidemment, je n´en dis pas plus, mais c´est dingue de voir que MTS suit presque parallèlement les idées de notre bon viel Hideo!^^
Bof, recopier une personalité ça s´est déjà vu pas mal de fois dans la SF etc... Faut pas non plus s´enflammer. Surtout que là ça n´a rien a voir, on parle des agissements des MEME sur un clone.
L´esprit des trois dans MTS est synthétisé, par le système glande-nano si je me trompe pas, ça n´a rien a voir.
Si Old Snake a vraiment ça, ce sera pas volontaire.
Va attaquer Dan Brown c´est mieux.