Effectivement, Lorenzo, cool ta vie
Déchiré à 1h30, elle est belle la vie De mon temps la cuite n'était que vers le milieu d'une soirée, genre 3h, pas au début
Qu'ils sont stupides
Comment ont-ils pu penser que, si les zombies ne sortaient pas en plein jour, ils pouvaient se promener tranquillement? Les bâtiments, ça arrête les UV, c'est bien connu...
SInon, très très très.... (n fois très) bon chapitre!
Ils ont pas forcément vu : Je suis une légende .
Donc bon
Comment ça je me nomme Aurélien, qui a dit ça ?
Suite, sinon. (Keskissonkon )
Oh ca va c'était pas une soirée x)
Encore mieux de boire tout seul jeune homme
J'espère que c'était du whisky + cigare, si vodka ou gin, tu as péché et tu iras en Enfer
A l'alcool...
j'y suis allergique (no fake )
Sinon, ta fic me fait penser et à "Je suis une légende" (même si j'ai lu que le livre) et à "Cellulaire" de Stephen King. A quand la suite?
A quand la suite ? Quand j'vois ta tête , j'me dis que les aveugles ont d'la chance
Le destin.
Le silence.
La peur.
Tu m'expliques le rapport avec le destin ?
Sinon, je vais faire le même commentaire qu'à toutes les fics, qui se ressemblent inlassablement : essayez de complexifier le truc ! Enfin, je sais pas, mais on dirait une écriture d'invention pondue pour passer le brevet des collèges quoi...
Eviter les répétitions, nuancer les descriptions, faire en sorte que les dialogues soient un peu moins "candides"... maturité quoi !
Le silence.
La peur.
Tu m'expliques le rapport avec le destin ?
Sinon, je vais faire le même commentaire qu'à toutes les fics, qui se ressemblent inlassablement : essayez de complexifier le truc ! Enfin, je sais pas, mais on dirait une écriture d'invention pondue pour passer le brevet des collèges quoi...
Eviter les répétitions, nuancer les descriptions, faire en sorte que les dialogues soient un peu moins "candides"... maturité quoi !
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Alors, jeune homme, je t'arrête de suite
Pour complexifier la chose, comment dire... c'est bien joli mais je vais pas te pondre un prix Goncourt en faisant les chapitres selon mon bon sentiment. J'écris avant tout pour me détendre et faire partager une histoire que j'invente au fûr et à mesure, mettant à profit le peu de connaissances et de matière que j'ai au sujet des fics, livres, films et jeux d'horreur/survival.
Diversifier les descriptions, sans problème, je sais que la plupart des termes que j'utilise sont peu variés, bref quelques problèmes dans ce genre, mais pour ma défense, j'écris, et dans le noir (aucun rapport, je sais), et tard dans la nuit (ça commence à avoir un sens) et dans un état peu favorable aux délires littéraires et envolées lyriques (que j'affectionne, bien que le 15-18 n'est pas composé à 90% de gens soucieux de ces caractéristiques propres à une œuvre de plan majeur).
Pour être honnête, je suis heureux d'avoir des lecteurs, et j'aimerais certainement en avoir plus, donc je vais suivre tes conseils. Je m'en vais faire une suite digne de ce nom.
J'hésite à renoncer aux dialogues candides, mais bon.
Rapport avec le destin ? Simple : Transfo HS + Zomzom incoming = Fatalité/ Destin (si tu préfères, c'était écrit qu'ils allaient finir dévorés dans ce temple de la consommation moderne qu'est la Fnac (non je ne spoil pas ) ).
Here I start.
Non non je n'étais pas seul mais yavait 2 amis chez moi et je tenais la chandelle c'était chiant
Tsais quoi, je vais lire ta fic x)
(je suis gentil je l'uppe.)
Allez, lis moi ça sale raclure
[Update : 16]
/Octobre 2011 : Ampoules grillées et flaques de sang/
=> Fnac
Résumé des épisodes précédents : Dans le but d’aller chercher du matériel utile, Théo, Clément, Matthieu et Alexis se sont enfoncés dans les entrailles de la Fnac, brisant une vitre afin d’accéder à ce qu’ils cherchaient. Malheureusement pour eux, ce qui semblait sûr ne l’était pas...
La panique s’installa alors dans le groupe, chacun se ruant vers le point lumineux de la sortie, à quelques dizaines de mètres mais semblant si loin.
Des silhouettes multiples passaient devant le hâle de lumière de la vitre que nous avions cassée si peu de temps auparavant. Le front me brûlait, je courais sans savoir où je posais les pieds, me fiant au bruit de mes pas sur le sol humide et inondé de sang frais, mare qui allait peut être se remplir à nouveau.
La terreur me tiraillait les entrailles, chaque pas qui me rapprochait de la sortie semblait pourtant m’en éloigner, à mes côtés des cris déchirants, des supplications et des sons macabres, manifestations de la faim inhumaine qui habitait ces choses, camouflées dans leur sombre milieu. Je crus entendre la voix d’Alexis, avant de m’écrouler à terre, glissant sur la surface moite et glacée.
Je me relevais, pressé par la peur, pour retomber sur le même obstacle et dévaler le petit escalier que nous avions franchi tout les quatre, seul, éclairé par la faible lumière du dehors.
Une douleur sourde.
Des bruits carnassiers se faisaient entendre derrière moi, des bruits de chair qui se déchirent, des hoquets de douleurs, des pas rapprochés, des éclats de sang. Deux silhouettes me dépassèrent, sans me voir sur le coup.
Puis je vis furtivement les traits de Matt et de Théo, défigurés par l’effroi, ses yeux se posant sur moi. Mes paupières se fermèrent, sous le cou de la douleur ressentie en essayant de me relever. Mon épaule n’était pas encore guérie, et j’étais retombé dessus. Je sentais mon sang couler, peu à peu, le long de celle-ci, sensation que je commençais à connaître, malgré moi.
Mais la douleur ne provenait pas que de là. Avançant prudemment ma main écorchée, je palpais une plaie douloureuse au niveau de la cuisse droite.
Un objet planté en son sein. En passant mes doigts meurtris sur celui-ci, la vive souffrance ressentie me confirma ce que je pensais : un bout de verre acéré.
Je vis Matt et Théo me hisser sur leur dos, me tenant par les bras, tiraillant ma blessure à l’épaule, qui me laissa produire de faibles protestations. La douleur avait chassée la peur, et l’étourdissement qu’elle provoquait m’emporta quelques instants, me laissant groggy, assez sonné pour ne pas avoir la force de lever les yeux sur l’ombre morbide qui poussa une plainte, vive et profonde, lorsque sa peau décomposée fut touchée par la lumière salvatrice, alors qu’elle tentait de nous faucher comme elle avait fauchée notre compagnon manquant. Des cendres tombèrent de ses brûlures, s'envolant dans un souffle tandis que l'ombre repartit dans sa tanière se repaître du cadavre de notre ami.
Théo, Matt et moi nous affalèrent sur les pavés sales de la rue bordant le bâtiment que nous pensions sûr, peu avant, le souffle court. Je repris mes esprits peu à peu, le vent froid me glaçant la peau, gerçant mes lèvres, et ayant fait coagulé mes plaies pour l’instant.
Un cri se fit entendre non loin, et je reconnu à peine la voix de Benjamin avant de m’évanouir, faute de trop d’émotions.
Non, mais oui, je veux bien, mais c'est dommage quoi.
Et franchement, ayant étudié le sujet un maximum, je trouve que ta notion du destin laisse à désirer.
Théo, Matt et moi nous affalèrent affalâmes ^^
faute de trop d’émotions. au contraire... t'as eu trop d'émotions non ?
Arf, j'ai changé des bouts de phrases sans regarder
Thx de le notifier, je ferais plus attention la prochaine fois
T'as étudié la notion du destion à fond ? grand bien t'en fasses, ce n'est pas le cas de tout le monde ici
Destion ?
Destin*
fasse*
Bon, attends donné que je reprends les cours... demain matin, les suites vont être moins régulières, je le crains
J'essayerais de les faire plus conséquentes.
étant*
Wow, je suis de plus en plus crevé par mes vacances
Mais qu'est-ce que je fais là ?
Bah j'ai cours qu'à 10h
Bonne école vainqueur! (comment ça, elle est jamais bonne?)
A quand la suite?