Ceci est le up d'un lecteur d'un auteur reconnaissant
J'avais oublié ta fic mais c'est bon j'ai rattrapé le retard bien joué !
Ceci est le up d'un lecteur qui se demande a quand la suite
Ceci est un hold-up d'un lecteur qui demande la SUITE.
Très bien
J'aime bien le fait que le danger ne leur saute pas dessus dès qu'ils sont dehors mais que, au contraire, tout dépend de où sont les iffectés (et de toi-)
Suite!
20 : tu veux bien me donner tona vis sur ma fic? Voici le lien https://www.new.jeuxvideo.com/forums/1-50-36189661-1-0-1-0-fic-meteore.htm (désolé pour la pub)
Suite ce soir, avec certainement un peu d'action ;)
Aucun problème, la pub est tolérée pour les meilleurs et fidèles lecteurs
Sweet, j'adore
KOM ON ET LE SOAR
ça arrive, je commence l'écriture now
Je viens de commencer ta fic et je la trouve très bien écrite , si faute il y a , elle ne m'ont pas gêné et que dire d'autre ? ... Sweet
Namého !
ça fait* classe.
Alors, verdict ?
J'ai tout lu, et j'adore. En plus, en guise de gros bonus, imaginer la fic' dans Lille, c'est un plus indéniable, ça roxxe.
Je trouve Thomas trop ... impassible , il ne faut pas oublier que c'est encore un adolescent et que l'image que tu donnes de lui a la fin fait genre ... qu'il refoule ses sentiments alors que face a ce genre de chose , il devrait être plus en panique ou avoir besoin d'un leger temps de reflexion parce qu'on part pas comme ça contre un zombie avec seulement 2 pieux qui de plus était un ami ...
Voilà ce que j'avais à dire , a part la fin qui me laisse sur ma faim , j'ai trouvé ça génial
Namého !
Je me sens chaud pour vous faire du rab aujourd'hui
Tu racontes trop bien les événements
/HS : Caractère des héros /
Thomas peut sembler sans cœur depuis le début de ce que j'aime à appeler les " évènements " Pour être plus clair, il refoule ses sentiments depuis qu'il a du achever M. Gills (Qui, soit dit-en passant, est un personnage secondaire inutile mais nécessaire à la continuité de la fic). Il fonce sur Laure pour qui il avait du temps de son vivant des sentiments profonds et va se dévoiler certainement dans l' U12
Clément, le narrateur, semble être un gars normal, il ne joue pas les héros, a un amour non avoué... En vrai, je ne l'ai pas encore bien développé, du moins pas assez à mon goût.
Bien que ça ne transparaisse pas, le perso qui me ressemble et auquel je m'identifie le plus est Matt (en plus Matthieu, c'est mon nom, alors voyez-vous, je me fais plaisir sur ce coup là), surtout avec son détachement apparent et sa vantardise sensée cachée sa "trouillardise" viscérale (enfin, peut-on parler de "trouillardise" dans le cas d'une fic de zombies ?). Accessoirement, il n'a pas d'histoire vachement développée, donc c'est assez difficile de le cerner
Jade : Créée de toute part, ainsi que son amie Isabelle. Je prends certainement des clichés de films d'horreur/action pour mes héroïnes, ça ne m'étonnerais pas de moi. Une part de vérité dans leur caractère, du moins.
Claire, comment dire, c'est en fait un peu le reflet d'une fille que je connais ( ah ok). Je pense introduire de nouveaux personnages calqués sur mes connaissances, à voir
Sur ce, je commence le rab de suite
Je trouve ta fic excellente
Je reclame une sweet
[Update : 12]
/Octobre 2011 : Terminus, tout le monde descend ! 2/
=> Métro Rihour
Tandis que je tenais Claire dans mes bras, je vis les membres de notre groupe nous dépasser l'un après l'autre, afin de prêter main-forte aux autres inconnus qui accompagnait Claire. Matt, peu assuré au début, pris goût à cramer ces choses aux côtés d'une de ses connaissances. Jade, elle, partit dans la mêlée, tandis qu'Isa resta à nos côtés, regardant la scène de loin, pétrifiée.
Tandis que Claire enfouissant son visage dans le mien, je vis Thomas s'acharner sur ce qui restait de Laure. Ses pieux plantés dans le visage déjà torturé de feu notre amie, il continuait à frapper le corps sans vie, longtemps après que le reste du groupe fit son compte aux autres. Je m'étonnais de la facilité déconcertante avec laquelle nous avions mis en échec dix monstres et la difficulté que nous avions eue avec un seul d'entre eux, auparavant. Mais l'heure n'était pas à la réflexion. Je vis Matt s'approcher de Thomas, ses pas silencieux. Il s'accroupit au niveau de son visage, et lui murmura, assez distinctement tout de même :
" Allez Tho'. C'est fini.
_ Bordel, bordel, boooordeeel... murmurait-il inlassablement, depuis qu'il avait commencé à frapper Laure.
_ Ce truc est mort. Relève-toi gars. Si tu la connaissais, tu sais aussi bien que moi que taper dessus ne la fera jamais revenir. Viens.
_ Boordel... " , dit Thomas avant de s'arrêter de frapper le sac de chair et de sang qu'il avait laissé.
Il se releva, le visage en larmes, les mains en sang. Il prit une barre de fer qui trainait là, afin de se ré-équiper, puis rejoignit le groupe que nous formions à présent.
" Les présentations pour plus tard, avant faudrait se mettre à l'abri le plus vite possible. Quelqu'un a une piaule pas trop loin ? Une piaule sûre ?
_ Moi, dit Isabelle. A vingt minutes à pied. Au Quai du Wault.
_ Eh bah en avant, ne trainons pas ! " déclara le même inconnu, apparemment leader auto-proclamé du groupe.
Nous refîmes le trajet en sens inverse sans rencontrer ces choses, fort heureusement. Arrivé devant l'escalier, une horloge numérique indiquait presque minuit. La nuit ne faisait que commencer..
Grand' Place, la fontaine désertée, à l'inverse du midi où généralement la place est bondée. Toujours rien à l'horizon, et pourtant..
" Hé ? Ce corps là, il était pas là à notre arrivée... " , remarquais-je.
L'eau généralement terne de la Fontaine était colorée par le sang d'un cadavre fraichement tué, - une sorte de fontaine de sirop de grenadine sanglant, pensais-je - mais pas de "choses" à l'horizon.
Nous entamâmes alors notre trajet vers le Quai du Wault, mais arrivé au niveau du parc situé juste avant - parc qui me rappelait des moments passés avec Claire, et aussi maintenant l'œil sanglant de l'oncle Gills - la triste vérité nous éclata aux yeux. Des cadavres de SDFs jonchaient les bancs couvert de sang, la terre était gorgée d'hémoglobines de couples romantiques et nostalgiques du clair de lune, les feuilles de chêne baignant dans le fluide vital de celui qui les abreuvaient. Le vent cassa le silence qui était autour de nous, passant entre les buissons, chaque bruit manquant de nous faire perdre raison. Je tremblais et suait à grosses gouttes, non de peur mais de manque et surtout de stress. J'avais besoin de nicotine, et malheureusement j'étais pétrifié, cette fois par la peur, et n'osai allumer une autre cigarette, ce qui aurait certainement pu nous faire repérer.
Notre trajet jusqu'à l'appartement d'Isa se fit dans la terreur, voyant des groupes de ces décharnés au loin qui ne nous avaient, quant à eux, pas détectés. C'est dans un grand soulagement qui nous pûmes tous entrer dans le vaste appartement d'Isabelle, payé " grassement par ses parents " d'après elle. Coup de bol, nous pûmes nous restaurer, moment de légèreté après cette nuit étrange et terrifiante. Avant d'allumer la lumière, nous baissâmes les stores afin de ne pas attirer l'attention de ces choses, quand bien même pouvaient-elles encore réfléchir. Nous gardâmes les présentations pour plus tard encore, car nous nous affalâmes tous de fatigue les uns après les autres, d'un sommeil profond, en sécurité enfin jusqu'au lendemain.
J'avoue, flemme de faire les présentations de suite, la nuit porte conseil m'voyez