Sweet
Bon accélération de la fic à partir d'aujourd'hui :D Je vous ai lésé avec une fic manquante, je me dois de remédier à ça au plus vite
Sondage : Qu'attendez-vous précisément de la suite ? Pensez-vous qu'il y a des choses à améliorer ? Que pensez-vous savoir sur le virus ?
Le 15-18 serait mort durant les vacances ? FAKE, c'est juste ma fic qui doit suxx
,
tout d'abord je voulais te dire que ta fic est super. Après pour ton sondage j'attends que tout le monde meurs dans d'attroces souffrances MOUAHAHA!
Non je déconne j'attends une retrouvaille entre les deux groupes de héros et, pour moi, il n' y a rien à changer. Pour ce qui est du virus je pense que les nouveaux médocs sont la cause de la transformation en zombie.
Et sinon... A quand la sweet
La sweet pour ce soir
Okey dokey, bien lu tes attentes que j'essayerais de satisfaire sans pour autant les suivre à la lettre MWAHAHAH
Sondage:
Qu'attendez-vous précisément de la suite ?
Un monde gouverné par les zombies
Pensez-vous qu'il y a des choses à améliorer ?
Si par améliorer, tu veux dire le nombre de zombies qui augmente de façon exponantiel, oui
Que pensez-vous savoir sur le virus ?
Il vient d'un médicament contre le grippe A et a la fâcheuse habitude d'être transmis par les morsures...
Critique sur la suite:
Sweet (c'est une critique ça )
Pour être exact, le virus ne se transmet par exactement ainsi...
N'up, pour le bien de cette fic macabre.
[Update : 9]
/Octobre 2011 : Virée Nocturne/
Mes yeux se posaient sur l'écran de mon portable, sans vraiment voir le contenu du message, mais dont la signification allait tout droit à mon esprit. Appuyant sur la touche de sécurité par mégarde, je voyais, en de grands chiffres blancs familiers, s'afficher l'heure.
22h27. Si peu de temps était passé, et tant de choses s'étaient produites.
Si les choses continuaient à ce train-là, la nuit serait longue, songeai-je.
" Alors, message de qui ? lança Thomas, le regard vide, observant vaguement le crâne qu'il venait d'écraser, comme s'il avait fait ça toute sa vie.
_ Claire, articulais-je difficilement.
_ Et ? demanda Matt.
_ Métro, ces trucs à leur trousse. Elle est avec un petit groupe, ils tentent de fuir.
_ Je sais déjà ce à quoi tu penses, glissa Thomas, le regard toujours braqué sur les corps inanimés.
_ Idem, claqua Matt, ses mots tranchant comme de l'acier, ou peut être était-ce la fatigue qui me donnait cette impression.
_ Qu'est-ce que.. Quoi ? demanda Isa. On va pas sortir quand même ?!
_ Hein ? fit Jade, ébahie. Tu penses peut être qu'on va les laisser crever, comme Guillaume ? " dit-elle, déterminée.
Durant le silence qui suivit ses paroles, je me rendais compte que c'était l'une des seules fois où j'entendais le timbre de la voix de Jade, jadis caché par ses sanglots et plaintes. Derrière le visage traumatisé se cachait une volonté de fer qui transparaissait derrière ses yeux.
" Bon, si on sort, autant ne pas y aller les mains vides. Doit bien y avoir un sac, on va y mettre des médocs et autres trucs utiles, et essayer de se trouver des armes, fis-je, ne croyant pas moi-même mes paroles. "
Mon assemblée acquiesça mes propos, et partit en quête de tout ceci en essayant d'éviter la mare de sang au milieu de la pièce. Après quelques minutes, notre inventaire se résumait à des boîtes de sparadraps et de bandages, des médocs en tout genre style fièvre, mal de gorge et autres, mis façon vrac dans le sac; ainsi que les deux pieds restants du tabouret brisé, quelques couteaux de cuisine trouvés à l'étage, des briquets et des bombes de déodorants venant de la même source, et une barre à rideau décrochée servant de lance de fortune. On se répartissait le tout, me prenant un couteau d'une belle longueur, Matt les lance-flammes potentiels, Thomas les pieux de bois dont il semblait connaître le fonctionnement, Isabelle la barre de rideau en métal et Jade deux petits couteaux de cuisine (enfin, petits, tout est relatif, et puis ce n'est pas la taille qui compte ).
Nous étions parés, mais nous retenions notre souffle lorsque nous nous tournâmes vers la porte d'entrée franchie environ une heure auparavant. Qu'allions-nous trouver derrière cette porte ? Je tentais de rassurer le groupe, en stipulant que la prochaine station de métro n'était pas bien loin, vers Grand'Place, à un quart d'heure de marche tout au plus - ce qui ne me rassura pas tellement, et qui eu un effet inverse sur le groupe, pensant aux prochaines minutes passées dans le froid et la peur - .
SWEET ?
Je précise que la pharmacie se trouve rue Colbert, si vous voulez vous représenter à peu près le trajet de nos héros dans un Lille emplie de hordes d'infectés amicaux
Un 15-18 mort pendant les vacances
Où est passé le forum où les topics et délires continuaient 24/24H ?
C'est pas les vacs en Belgique, pas encore
SWEET NAO !
Rofl, sweet ce soir
Sweeeeeeet is coming sooooon
L'heure H approche... Oopa
[Update : 10]
/Octobre 2011 : Virée Nocturne 2/
Je m'apprêtais à ouvrir la porte d'entrée massive, mais alors que ma main touchait la poignée et ressentait le froid du métal gelé, je jetais un dernier coup d'œil à notre groupe :
Jade se tenait en seconde position, les pupilles brillant d'une étincelle qui m'inquiétait quelque peu. Elle portait un jean slim d'un noir profond - et, bien que j'avais les slims en horreur, lui seyait assez - , qui arrivait à sa taille fine et était retenu par une ceinture à la boucle énorme. Elle arborait de solides bottes de cuir brunes foncées dont les semelles baignaient dans la flaque de sang qui s'écoulait toujours sur le carrelage, silencieusement. Elle portait une doudoune sans manche, simple, qui laissait apparaître les manches d'un pull de soie blanc sous lesquelles dépassaient les manches longues et noires d'un t-shirt. A ses mains, les deux couteaux qui brillaient à la lumière fébrile que procurait l'ampoule de la pharmacie.
Derrière elle, se tenait Thomas, son jean habituel, son pull noir qui transparaissait dessous son cuir noir laissé ouvert, ses éternelles converses noires, et ses pieds de tabouret fraichement brisés.
A ses côtés, Isabelle, le regard fuyant, ses cheveux ténébreux le laissant à peine transparaître. Son jean blanc était tacheté d'éclaboussures de sang, ainsi que ses chaussures noires. Elle portait un pull de soie à col roulé gris, et un blouson en jean noir. A ses mains, deux gants en cuir du même noir que les bottes de Jade, tenant fermement sa barre de fer improvisée et sur-dimensionnée.
Tout derrière, jetant un œil mi-dégoûté mi-amusé aux cadavres et à la marre de sang qui s'en échappait, Matt. Caban noir, gants noirs tenant briquets et bombe de déo. Jean noir à son tour, et à sa ceinture attachée tout bien que mal une seconde bombe de déo - certainement en cas de pépin, le reste du stock étant détenu par Thomas, portant le sac - . Il levait ses pompes noires elles-aussi en essayant d'esquiver le plus possible le sang qui avançait sur le plat glacé du carrelage.
Ces quelques observations faîtes, je pris une grande inspiration et ouvrit la porte. Devant nous, rien. Je descendis lentement le perron, prudemment, regardant à droite et à gauche dans l'espoir de ne pas voir de silhouettes sombres se cachant dans l'ombre. Espoir qui fut récompensé, pour l'instant. Nous avançâmes ensemble devant le perron, et refermâmes la porte sans bruit, et sans regret. Je sortis fébrilement une cigarette du paquet situé dans la poche de mon blouson, en proposa à tout le monde et attendit que Matt me l'alluma afin d'inspirer une bouffée destinée à calmer mon stress, mon excitation et surtout ce sentiment d'oppression et d'être observer qui me faisait couler des sueurs froides. La fumée de nos cigarettes, à Thomas, Matt, Isa et moi se diffusait dans l'air glacé lentement, et les cendres tombaient à nos pieds, sans bruit autre que le papier à cigarettes se consumant. Un silence ô combien terrifiant. Nous commençâmes notre progression dans les rues de Lille, guettant le moindre bruit suspect et la moindre forme suspecte. Durant plusieurs minutes, le silence planait sur nous, tel un voile comprimant l'air que nous respirions avec difficulté. A chaque bouffée, il me semblait que l'air se refroidissait de plus en plus. La route était déserte, seules quelques voitures abandonnées gisaient sur notre passage. Les propriétaires volatilisées, et leurs clefs aussi, malheureusement. Dans plusieurs d'entre elles, nous trouvèrent des vestiges de leurs occupants, tel que billets de cinéma datant du jour même, ou encore nounours en peluche usé et mâchonné par les quenottes d'un enfant.
Notre progression nous fit découvrir près de la Grand'Place de Lille une carcasse humaine, mâchonnée quant-à-elle par les crocs non moins humains d'un bête qui ne l'était certainement plus.
Nous approchâmes du but, à savoir le métro, sans que rien de grave ne fut arrivé sur la route, qu'à peine arrivé en haut des escaliers et escalator de celui-ci, nous vîmes les marches souillées par un fluide d'un pourpre profond.
Un appel à l'aide sorti du fin fond de la station, à peine audible, mais suffisant pour déchirer le silence qui pesait.
Nous descendîmes quelques marches lorsque quelque chose craqua sous les pas de Jade...
" Un-un doigt.... "
Elle avait écrasé ce qui restait d'un cadavre : un doigt humain ou il restait plus d'os que de chair, et sur la chair brillait en de rares endroits où le sang ne l'avait pas tachetée une lueur doré, celle d'une alliance.
Un spectacle horrifiant, qui s'accompagna d'une redondance des appels à l'aide, au loin dans la station, provenant du tunnel sombre, éclairé par de minuscules lupiottes crépitant et s'éteignant fréquemment. Pas de quoi nous rassurer à nous engager dans ce tunnel.
Puis les appels à l'aide se transformèrent en cris plus proches que jamais. Et mon portable de sonner :
[ 1 nouveau message de : Claire ! ]
J'aime bien me rendre compte que mon histoire est très suivie
Yeah, c'est bon ça, en même temps, vers 1h30, personne n'a envie de se prendre un pavé comme ça :o
Ceci n'est pas le up d'un auteur mal-aimé :'(
Ceci est le Up d'un lecteur d'un auteur mal-aimé
Ceci est le up d'un auteur reconnaissant