Juste une chose, j'adore ce jeu
Pour la fin je comprends pas mal de choses, c'est juste au niveau des "signes" et symboles que je voudrais m'étendre
Notamment ce que représente la clé, l'épée et le parchemin qui sont dans les mains de trois statues a l'éffigie de 3 présidents américains
Et que vers la fin, dans le monde ou elizabeth est devenue fanatique et que l'on combat sa progeniture (homme qui nous envoit les ommes masqués blanc), les statues ont l'épée, la clé et un flingue (et plus le parchemin) ... Quelqu'un pour 'éclairer
Ah ok, j'ai tout compris grâce aux 2 gros pavés de la première page
Finalement, tout reposent sur des "portes" qui permettant d'aller dans le futur et de créer d'autres monde parallèles modifié en modifiant des choses dans la passé.
Ce qui reste encore dans l'ombre pour moi, comme s'est déroulé la première fois pour Booker, ok on sait que Comstrock est revenu dans son passé pour volé sa propre fille, mais y'a bien eu une première fois oú Comstock ne pouvais pas exister, étant donné que Booker n'était pas encore Comstock
Enfin c'est compliqué
Les symbole sont simple. Jefferson, le parchemin, a rédigé l'acte d'indepednance des usa. Washington, l'épée, a combattu la perfide Albion et mené les troupes des colons soulevés. Thomas Franklin je sais plus trop (je pense pas que ce soit par rapport à la recherche).
Sinon le Booker qui a une fille est celui qui a refusé. Comstock est un républicain pur et dur. Je le vois mal se remarier, donc il ne s'est pas marié avant Columbia et n'a pas eu d'enfant. Anna ne peut être que la fille de celui qui a refusé le baptème, qui a lieu AVANT sa naissance.
Sinon, mon frère m'a fait part d'une théorie simpa. On sait tous qu'à la fin il y a une Elisabeth qui ne disparait pas. Serait il possible qu'il y ait eu une réalité ou elle ne s'est pas résolu à tuer Comstock (Booker) au berceau?
J'adore les images parodiques de tes post KHManiac.
J'ai pensé à une autre hypothèse intéressante pour le sens du "AD" (autre que Anna Dewitt) :
- Agnus Dei : c'est à dire "Agneau de dieu" pour les chrétiens (pensez aux images d'agneau sur les mur de Columbia). C'est à dire le Christ, notamment dans sa dimension de victime sacrificielle (pensez au sacrifice volontaire de Booker durant la scène du baptême).
Je ne sais pas si cette hypothèse avait déjà été évoquée.
Et double post pour faire une autre remarque :
J'en vois beaucoup qui disent que toutes les Elizabeths disparaissent à la fin, en même temps que les notes de pianos jusqu'au black screen. Mais justement non : les devs font bien exprès de laisser un doute à propos de la dernière Elizabeth. Elle peut tout aussi bien ne pas disparaître. C'est exactement le même principe de fin ouverte que dans Inception avec la toupie qui tourne et vacille légèrement avant l'écran noir (elle peut tomber, ou pas).
Je venais de la dire cette hypothèse. Ca voudrait par ailleurs dire qu'une Elisabeth ne s'est pas résolu à tuer Comstock au berceau.
Ouaip, hypothèse intéressante.
Je suppose qu'on aura pas de réponse à ce genre de question (ça fait partie du trip', et ça laisse un peu chacun s'imaginer des variantes, selon ses attentes vis à vis de l'intrigue, et plus particulièrement, des 2 protagonistes centraux : Booker DeWitt et Elizabeth).
Par contre, j'aimerai bien que Ken Levine nous explicite un peu son point de vue sur la chose.
Je suppose qu'il s'exprimera en temps voulu, le connaissant...
Mais je serai pas contre un petit perfect guide, à la Xenogears, ou à la NieR ? x-)
@lapynheart : oui, ces images sont marrantes, ahahahah. Le mec qui a fait ça m'a vendu du rêve !
Ce qui me choque le plus c'est qu'Anna n'est même pas triste à l'idée de tuer son père
La suite, au prochain numérooo !!!
Anna est triste, mais ce n'est pas son père qu'elle tue. C'est Comstock.
C'est plus complexe que ne pas être triste, je pense.
ça fait partie du personnage d'Elizabeth, extrêmement complexe, au demeurant, comme on peut l'entrevoir pas mal de fois, au cours du jeu (et n'oublions pas qu'une partie d'elle détruira "peut-être" le NY du futur de la timeline du jeu, dans le jeu, donc c'est pas non plus quelqu'un de vraiment angélique).
Je me re-quote, depuis un autre post, sur un autre site...
"e personnage d'Elizabeth est, à ce propos, plutôt fascinant, dans sa construction.
Elle illustre d'ailleurs merveilleusement la grande profondeur dont témoigne l'oeuvre. (ce qui suit ne fait pas le liant entre personnages et intrigue, ce n’est pas le point de vue, je tiens juste à montrer les différentes évolution de l’intervenante, sans avoir le temps d’explorer ça avec toute la cohérence que le sujet mérite !).
D'abord femme-enfant, autant dans ses réflexions que dans son apparence, Liz nous apparaît comme l'oiseau tétanisé auquel l'on vient de rendre sa liberté : débarrassée de sa prison dorée, elle oscille entre l'émerveillement du monde qu'elle découvre (la plage, les rêves parisiens) et la crainte, celle-là même que lui inspire Booker DeWitt, trentenaire cynique qui la délivre sur des motivations très sommaires.
Puis, au fil du temps, la naïveté se change en force, les hésitations en détermination, les traits se durcissent : Elizabeth se soude à son compagnon, tire de lui certains de ses traits. Puis, vient la rupture, la trahison de DeWitt (NY). Les rêves se brisent, mais la jeune Liz arrive désormais à s'émanciper, et cette liberté d'esprit, comme d'actes, elle la doit aussi au fameux gus.
Une fois les retrouvailles passées, les costumes changent, Elizabeth devient une réelle femme. Cette impression est d'ailleurs dédoublée par le fait qu'elle prenne les tenues de sa défunte mère. Le jeu d'ambiguïté n'en est alors que plus fort : ignorant qu'il s'agît de la fille de DeWitt, le joueur, et le personnage lui-même, peuvent avoir l'impression qu'une intrigue romantique se noue sous leurs yeux. En effet, si les relations paternalistes restent au premier plan, on peut aussi dénoter des éléments qui laissent planer le doute, jusqu'au dernier moment (hésitations dans la voix de DeWitt, les mains qui se touchent, le passage où l'on doit resserrer son corset).
Six mois d’attente, des dimensions alternatives : une rancœur qui s’accumule, une folie qui s’enracine, des espoirs qui flétrissent, chez l’enfant vouée à anéantir l’Amérique. Délaissée par celui à qui elle voue le plus d’amour, lassée par le temps, anéantie par les tortures, Elizabeth devient l’exact reflet de le personnalité destructrice de son père. Elle réalise la funeste prophétie. Mais, tout n’est pas perdu.
Puis, vient le final.
Omnipotente, omnisciente, Elizabeth semble avoir perdu jusqu’à la dernière de ses émotions. Le jeu de miroir est saisissant : Paris n'est plus rien pour elle, alors qu'il cristallise dorénavant tous les espoirs de DeWitt. Liz est obsédée par la vengeance, le désir de « justice », torturée par le savoir qui lui fait désormais perdre la notion d'humanité. Elle est Dieu, elle effraie, dans sa transcendance des choses : « Are you afraid of God ? – No, I’m afraid of you ». Cette phrase, à elle seule, résume tout. On est passé de l'enfant, à la femme, pour terminer par la figure glaciale d'une déesse, dotée d'une touche célèste qui lui prive l'accès à la spère émotive terrestre.
En tuant son père, mécaniquement, elle met fin à la boucle, mais devient, à son tour...une criminelle, tout comme ce dernier. Drôle d’identification. Enfin, elle disparaît, elle aussi."
J'pense que c'est vraiment un personnage qui mérite d'être analysé profondément, .
Salut,
Je propose de récapituler toute l’histoire à partir des éléments de tous ceux sur lesquels je m’accorde, ce qui reste donc un avis !
1/ Dewitt, tueur à gages, homme de toutes les situations, se fait baptiser pour cause de rédemption et devient alors Comstock
2/ Devenu religieux extrémiste et étant raciste, il souhaite créer une société qui conserve l’esclavage des noirs et autres origines, ceux qu’il nomme la sodome inférieure. L’abolition de l’esclavage, à l’époque des faits, est en effet très récente et n’a pas résolu pour autant la considération des peuples noirs auprès des peuples blancs
3/ Face à une Amérique évolutive (on voit dans le jeu des publications de journaux stipulant le rejet des projets de Comstock), ses projets sont en suspens jusqu’à la rencontre d’une scientifique : Mme Lutèce. Celle-ci a inventé un système capable d’ouvrir des failles dans des mondes parallèles…une série de mondes très proches les uns des autres, où seuls quelques éléments divergent.
En l’occurrence, dans l’un de ses mondes, elle rencontre son double…en homme. Robert et Rosalind sont donc une seule et même personne. D’ailleurs, sauf erreur de ma part, on ne trouve que des voxophones de Rosalind car seul dans un monde, elle seait un homme.
4/A eux 2, ils créent Columbia en figeant des atomes dans le temps pour créer une ville flottante.
5/ Grâce aux failles et multiples univers se ressemblant à quelques détails près, les Lutèce étudient les constantes (ce qui ne change pas) et les variables (ce qui change) entre les différents mondes. D’ailleurs au début du jeu (et selon d’autres indices à divers moments), les lutèce nous font choisir pile ou face et répondent : Tu vois : encore face.
Comstock s’en sert ainsi pour en tirer surtout les constantes et se fait prophète de Columbia en faisant croire qu’il devine l’avenir car voit à l’avance ce qu’il se passe dans d’autres mondes de façon récurrente. Il est ainsi adulé de tous et développe Columbia à son image avec notamment l’esclavage de la sodome inférieure, laquelle crée une rébellion sous le nom de Vox Populi.
6/ Sauf qu’un jour, la prophétie lui annonce que Columbia ne demeurera que si sa propre descendance prend la relève. Or, les voyages répétés à travers les failles vous condamne à petits feux, vous vieillissent et vous rendent stériles + saignements de nez.
7/ Dans un autre univers parallèle, l’un des facteurs changeant est qu’il n’a pas souhaité se faire baptiser, persuadé que ce n’est pas un baptême qui effacera ses péchés et ses crimes.
Il demeure Dewitt et élève sa fille bébé Anna alors qu’il a l’air de plonger dans la déprime et l’alcool.
8/ Un homme se présente à lui, en l’occurrence Comstock (soit lui-même mais issu du premier monde décrit) et lui propose d’acheter le bébé, ce que Dewitt accepte. Sauf qu’à peine accepté, Dewitt culpabilise et poursuit l’homme qui s’enfuit avec les Lutèce à travers une faille. Il tente de l’arrêter, le ralentit mais Comstock finit par passer sauf que le bout de l’auriculaire du bébé n’a pas le temps de passer la faille et reste dans le monde de Dewitt.
Dewitt se grave AD sur la main
9/ Anna est rebaptisé Elizabeth. Comstock en tant que Prophète fait croire à l’enfant miracle né en une semaine et se débarrasse de sa femme pour faire taire tous les témoins.
10/ Toutefois, à partir de là, la prophétie change. Comme la fille a deux parties de son corps dans 2 mondes différents, elle a le pouvoir d’ouvrir des failles, ce qui oblige Comstock et les Lutèce à construire une tour neutralisant ses pouvoirs pour qu’elle ne s’enfuit pas et un oiseau à la fois protecteur mais géolier . D’ailleurs il y a une symbolique entre la cage et l’oiseau mais c’est un autre sujet !. Les lutèces voient aussi que cet incident change les variables et prédisent une « fin du monde » commençant par NY à feu et à sang. La fille va en fait conduire à la perte de Columbia et du monde.
Les lutèce décide donc de revenir chercher Dewitt dans le monde où il a vendu son bébé et le font traverser la faille, lui efface la mémoire par un lavage de cerveau (ils arrivent bien à faire voler une ville !) et lui demande de ramener la fille…pour payer ses dettes. Car que ce soit Comstock qui aille acheter un enfant d’un autre monde, ou Dewitt qui le vende, c’est la faute de la même personne si tout le monde est condamné !
Ils pensent ainsi que si la fille revient, tout reviendra à la normale et c’est pour ça qu’il nous aide à plusieurs reprises dans le jeu.
11/ De son coté, Comstock voit à l’avance la venue de Dewitt chercher la fille. Il prévient tout le monde de la venue du faux berger qui veut la destruction de Columbia et qui sera reconnu par la marque AD sur la main.
Encore une fois, la théorie des constantes est vérifiée au début du jeu quand on lui dit de ne pas piocher le 77 à la loterie mais encore une fois…et de là on voit la marque AD sur sa main, ce qui lance alors la chasse à l’homme.
12/ A la fin, on comprend donc que la théorie des mondes parallèles fait que tous ces événements se répèteront indéfiniment (D’où Bioshock Infinite et les plusieurs Elizabeth de la fin et les plusieurs Dewitt qui tenteront le coup dont celui qui avait pris le commandement de la vox populi). Finalement, pour que tout ça n’arrive jamais, il faut tuer Comstock avant qu’il n’existe, donc avant le baptême
13/ La fin fin après générique, je la comprends dans le sens que finalement, rien ne s’est passé, Comstock n’a jamais existé…
Bon voilà, c’est possible qu’il manque quelques éléments, que certains jugent certains points être une erreur. Je ne pense pas détenir toutes la vérité mais je trouvais pas mal d’essayer de recoller les chainons les uns aux autres en un seul bloc plutôt que par 1000 post.
Moi quand je l’écris, ça m’aide aussi à y voir plus clair ! lol
KHManiac Voir le profil de KHManiac
Posté le 21 avril 2013 à 14:58:34 Avertir un administrateur
Pour ceux qui veulent un très bon résumé de TOUTE la trame, voici (et avec des dessins humoristiques !) :
http://i3.minus.com/ibuCqEIJ1wnHe6.png (partie 1)
http://i3.minus.com/iRzIlvKkf5gTb.png (partie 2)
http://i7.minus.com/imJUs5Ct5fRTg.png (partie 3 + ending)
Je trouve que ces collages résument plutôt bien l'histoire
merci magical
tout au long du jeu on avait à faire à un paradoxe jusqu'à ce que DeWitt meurt noyer par sa fille anna. ( avant qu'il devient Comstock).
Mme Comstock meurt en accouchant d'anna, puis les Lutèce mette en place colombia ( voxophone) , DeWitt utilise sa fille à des fins scientifique ( il devient Comstock), les Lutèce ouvre une faille pour modifier tout cela en recherchant DeWitt avant qu'il ne devienne comstock , sauf que cela échoue plusieurs fois comme on peut le voir à la fin avec toute les anna, jusqu'à ce qu'Anna le tue dans le baptême pour mettre fin à ce paradoxe, et la dernière scène après les crédits quand on ouvre la porte de la chambre à Anna, c'est juste pour remettre tout à zéro.
( résumer rapide)
magical23
Je suis d'accord sur quasi tout les point sauf sur le fait que les Lutèce lui on fait un lavage de cerveau pour qu'il ne se souvienne de rien, si tu te souvient à la fin quand les Lutèce utilise une faille pour revenir le chercher, lui la traverse totalement saoul et c'est en passant par la faille qu'il a perdu la mémoire, la seul chose qu'il se souvient c'est de ramener la fille et il effaceront la dette.
En traversant il saigne du nez car ce n'est pas la 1ere fois qu'il la traverse la faille d'où les perte de mémoire etc etc.
Pas d'accord. Mme Comstock n'est pas morte en couche mais assassinée par son mari. Mari qui, à cause des machines de Lutèce, était stérile et ne pouvait donc avoir d'enfant. D'ou l'achat de l'enfant de Dewitt qui lui n'a pas été rendu stérile par les machines de Lutèce puisque dans sa réalité il ne les connaissait pas.
Sinon, je plussoi par rapport au fait qu'il n'y a pas eu lavage de cerveau. On peut facilement imaginer que le jeu se passe très peu de temps après la vente de l'enfant, après tout le AD semble réçent. Il est facilement concevable qu'il se soit fait ça en étant saoul. Ensuite les lutèce viennent le chercher durant cette période, donc il traverse une faille en état d'ébriété. Vu l'effet que ça fait en étant parfaitement conscient, on peut imaginer que ça dessaoule sec et que le choc de franchir la porte, conjugué à l'alcool et le remord lui ont chamboulé un peu la tête. Les Lutèce n'avait plus qu'à jouer dessus (un lavage de cerveau aurait pu nuire à ses capacité donc aux maigres chances de succès de la mission).
Par ailleurs, je me demande si l'agence Pinkerton ne serait pas une agence dirigé par Lutèce ou par Comstock...
KHManiac
Je me suis moi aussi beaucoup intéresser sur le personnage d'Elizabeth et pour avoir fini le jeu pour la 6 ème fois récemment, tu as parfaitement retranscrit en détail son personnage, sa psychologie et l'idée que je me faisais d'elle.
C'est vraiment un personnage charismatique et très travailler, je me suis beaucoup attaché à elle durant tous le jeu.
D'ailleurs quand je suis arrivé à la scène du baptême et qu'elle nous noie avec les répliques qui marquent bien juste avant qu'elle le fasse, à ce moment là, j'étais complètement muet et ému puis l'écran noir qui s'affiche comme ça suivi des crédits qui s'affiche avec le thème d'Elizabeth en fond, ça m'a juste achever, j'ai lâcher une larme.
Et j'ai repenser à son évolution depuis la première fois qu'on la rencontre ou elle était toute innocente et charmante avec ses répliques et ses mimiques marrante puis au fil du jeu ou on se rend compte qu'elle se détruit petit à petit psychologiquement jusqu'à la scène finale, ben j'ai pas arrêter de lâcher des larmes durant tous les crédits.
C'est très rare qu'un jeu me fasse ressentir autant d'émotions une fois finis, c'est de loin l'un des rares meilleurs jeux de cette gen pour moi.
perso sur la scene après le générique j’arrête pas de me dire que c'est la naissance de big daddy je sais pas pourquoi.
car au final il va vouloir être le protecteur de sa fille
ce qui expliquerai qu'avant toutes les scènes avec les phare on le voit!
Et selon les mots d'Elizabeth tout les monde ont des repaire indentique il y a juste de changement du a quelque variable donc ... Big Daddy est pour moi un de ces changement
et qui sait peut etre qu'un des booker a appri ce qui se passait et au lieu de s’appeler Cumstock a choisit le nom de Andrew Ryan et crée rapture pour échapper aux problèmes extérieur (comme expliqué a la base) mais surtout échapper aux lui même d'autre univers parallèle.
car je ne pense pas que la presence de big daddy soit juste un clin d'oeil
mais bon avec des si ... ^^
et c'est la force de cette fin n’empêche c'est que temps qu'on aura pas le fin mot de l'histoire on pourra se créer de multiple fin.