Très beau geste
Et bonne victoire , ta Story avance vraiment bien
Bien joué
Suite !!
Beau geste Leon Head ! Sweet
HS : Sais-tu si on peut transférer nos données de current-gen à next-gen ?
Je ne sais pas Lykenz
Franchement, j'ai pas la tête à jouer un match, vous voulez une sweet scénaristique ou vous voulez attendre demain et avoir un match ?
Je viens de rattraper mon retard et je vois que tu as tenu compte de mes conseils comme quoi le personnage devait évoluer avec l'âge et passer à autre chose sans rester dans les querelles d'adolescents, il devient plus adulte, c'est très intéressant. Tu as su sortir du côté un peu trop ado pour en faire un personnage qui a l'air de prendre de la maturité. Tu as su franchir un cap grâce à ça, bien joué, tu gères bien. Continue comme ça.
D'ailleurs, depuis le début de la story, je me disais que le nom "Léon Head" ne sonnait pas du tout français mais plutôt "british" et du coup ça faisait bizarre pour un français mais tu as su rebondir à ce niveau-là pour glisser une intrigue qui montre qu'il est d'origine écossaise ce qui justifie son nom à consonance anglo-saxonne et apporte davantage de sens à l'histoire, c'est un + indéniable que d'avoir enfin fait comprendre (ça faisait un moment que je trouvais ça bizarre) pourquoi ton joueur français avait un nom qui sonne "british". Là, ça explique tout.
Une semaine passe. Deux jours la victoire à Nancy, les gars confirment en battant Bastia 2 buts à 0 à Gerland. Aujourd'hui, on affronte Caen à l'extérieur dans le cadre de la Coupe de France. On arrive au stade à 15h15 et retournons au vestiaire 2 heures plus tard. Le coach affiche les titulaires.
Gorgelin
Fofana
Umtiti
B.Koné
Dabo
S.Koné
Ferri
Gonalons
Pléa
Head
Ghezzal
Une équipe très chamboulée avec la présence de Fofana à droite et de B.Koné en défense centrale. Au milieux, S.Koné fait son apparition aux côté de Gonalons et de Ferri, deux titulaires indiscutables. En attaque, Ghezzal reste à gauche mais Pléa vient se glisser sur le côté droit, je reste en pointe. On remonte sur le terrain 15 minutes plus tard et après le traditionnel protocole, les domiciles engagent.
Je vais avoir ma première frappe au bout de seulement 5 minutes. Ferri me sert à l'entrée de la surface, je frappe de volée, au-dessus.
On domine complètement et ça va être récompensé un quart d'heure plus tard. Pléa reçoit le ballon à l'entrée de la surface et frappe ! Le gardien est battu !
Et juste avant la fin de l'heure de jeu, je vais doubler la mise. Pléa côté droit centre, je prends le ballon de la tête aux six mètres et double la mise !
On rentre au vestiaire 15 minutes plus tard.
-Très bien ! nous félicite le coach. Continuez !
On remonte sur le terrain un quart d'heure plus tard.
On domine encore et je vais le leur faire payer ne nouvelle fois à la 53ème minute. Suite à corner mal dégagé par la défense, je reçois le ballon aux 7 mètres et frappe sous la latte !
Première frayeur pour moi deux minutes plus tard, je me fais mal à l'épaule en retombant suite à un contact mais me relève et fait signe au banc que tout va bien.
A l'heure de jeu, Liendl remplace Agouazi et Ferri est remplacé par Grenier.
Et Grenier va ouvrir son compteur personnel seulement deux minutes plus tard. Sur un corner de Ghezzal, Grenier prend le ballon de la tête et inscrit un quatrième but !
Nos adversaires sont abattus, ils ne jouent plus et vont le payer encore plus cher. A la 71ème minute, je rentre dans l'axe depuis le côté gauche et frappe en pleine lucarne pour faire mon triplé !
2 minutes plus tard, Kim replace Calvé, Kim, Duhamel et Bedimo, Fofana.
A 4 minutes du coup de sifflet final, Gonalons est remplacé par Gourcuff.
L'arbitre siffle la fin du match sans aucun temps additionnel. Ce match m'a permis d'atteindre les 20 buts toutes compétitions confondues cette saison. Je donne mon maillot à Perquis, le gardien adverse. Belle victoire, acquise avec la manière.
Le triplé
Je suis ravi de cette victoire, gagner 5 buts à 0, c'est très bon pour la confiance, il faut également féliciter les Caennais qui ont bien joué en début de match. Si je ne me trompe pas, on affronte Marseille pour le prochain match. Sur le chemin du bus qui nous ramène à Tola Volge, j'entends comme un léger craquement au niveau de mon épaule, un très léger craquement, la douleur ne vient pas. Je me dis que ce n'est rien. Je suis vidé physiquement après ce match, comme à chaque math mais je me sens plus vidé que d'habitude. Il faut dire aussi que je n'ai pas ménagé mes efforts. Dans le bus, quelques minutes après, je ressens un second craquement, à peine plus important que le premier.
Je suis à côté de Maxime Gonalons.
-Ca va Léon ? me demande t-il.
-Ouais ouais ça va et toi ?
-Comme d'hab'. Encore bravo pour le triplé. En l'espace d'une demie-saison, tu es passé du statut d'un des joueurs les plus détestés de la Ligue 1 à un joueur apprécié par tous, chapeau. Tu en es à combien de buts cette saison, toutes compétitions confondues ?
-20.
Encore un craquement, encore un peu plus important que je précédent, une petite douleur vient mais c'est supportable.
-Ah, t'es au courant que tu as été approché par Porto, Getafe, QPR et Schalke ?
-Non, le club a dû refuser les offres mais de toute façon, mon coeur est lyonnais, et je compte bien rester ici encore quelques années.
-Bonne décision.
Je réfléchis à la saison prochaine, si tout se passe comme prévu, on devrait jouer la Ligue des Champions, je m'imagine déjà affronter mon idole Pirlo ou le magicien Xavi, mon rêve. Mais la route est encore très longue pour jouer ces matchs. Encore un craquement, puis un autre. La douleur devient trop forte, je hurle de douleur en me tenant l'épaule droite, c'est vraiment pas bon du tout. Les larmes roulent sur mon visage, mais ce n'est pas des larmes de douleur mais des larmes de tristesse à l'idée que je ne puisse sans doute plus jouer durant plusieurs mois.
:up
Suite !
Suite
Aie la blessure,go mp stp
Suite !!
Le bus s'arrête sur l
Le bus s'arrête sur la bande d'arrêt d'urgence au bout d'environ une minute qui à mes yeux, en dure 4 à 5 fois plus. La douleur est horrible, affreuse, infernale, apocalyptique, atroce. Je souffre le martyre. Je vais en avoir pour au moins 2 mois si c'est une fêlure et plus si jamais c'est une fracture, je vais encore rater une grande partie de la saison. Tout ça à cause des coups de j'ai reçu étant enfant, je jure que j'aurais une rancune éternelle envers mes géniteurs, lui pour les coups, et elle car elle n'a jamais réagi. Lorsque je suis emmené dans l'ambulance sur une civière, accompagné de Milan Bisevac, le capitaine, qui a demandé à venir ainsi que du coach, Rémi Garde, je regarde le bus, implorant intérieurement le pardon des mes coéquipiers que j'abandonne. On me stabilise l'épaule avec une attelle afin que je ne puisse plus la bouger.
-Coach, je pense que vous êtes au courant, Milan, je ne pense pas que tu le saches, et tu pourras le dire aux autres si tu le souhaites, si je me blesse aussi souvent, je veux dire trois fois en une saison et demie, c'est parce que j'ai été un enfant battu autrefois, et que des fois, mes vieilles blessures se rouvrent.
-Je ne dirais rien aux autres. m'assure Milan;
-Bien, merci mec.
La douleur se calme un peu. Pourquoi Pourquoi a t-il fallu que cette blessure se rouvre alors qu'on est juste avant le match contre Marseille ? Pourquoi ? Je vais à l'hôpital Edouard Herriot à Lyon. Je suis brisé moralement. Je veux dire, j'ai fait une énorme première moitié de saison, et là, c'est la blessure, j'aurais dû demander à sortir lorsque je suis tombé. En effet, j'aurais dû. Milan repart 2 heures après l'arrivée à Lyon, en même temps que le coach. Je passe des radios, le verdict est formel. C'est juste des fêlures du l'épaule, j'en ai pour 2 mois environ. Je regarde le plafond de ma chambre, pour essayer de me remémorer la dernière fois que j'ai été aussi anéanti.
On est un 22 mars, on affronte Bourg-en-Bresse U15 en demie-finale de la Coupe du Rhône. On est dans le dernier quart d'heure, il y a zéro à zéro Je décroche jusque devant la défense pour récupérer le ballon, je remonte tout le terrain, je ne fais pas de passe car il y a un boulevard devant, on va aller en finale ! Soudain, le drame, un adversaire arrive à toute vitesse latéralement par rapport à moi, depuis ma droite et réalise un tacle assassin, mes protège-tibias se brisent et un morceau me rentre dans la jambe et comme si ça ne suffisait pas, un bout d'os de mon tibia gauche se décroche et me coupe les ligaments croisés de ce même genou. Mon agresseur se fait bien évidemment expulser, sous les quolibets des supporters présents.
Mon équipe gagnera ce match aux tirs aux buts 4 buts à 2 mais perdra la finale 7 à 2, privée de moi, le principal presseur offensif, qui s'occupe de remonter le ballon, des duels de la tête et également de marquer, mon remplaçant étant tout mon contraire. Cette blessure m'aura privé de 8 mois de football. Je n'avais jamais été aussi abattu. Je passe une nuit blanche à réfléchir à tout ce qui m'arrive en ce moment. Le matin , vers 11h00, la porte de ma chambre s'ouvre. Ce n'est pas Sabrina.
-Julietta, ça fait un an qu'on ne s'était pas vu, quel bonheur ! ironise-je.
-Léon, il faut que l'on reparle de Earnest Dubois, celui que tu avais fait fondre en larmes en 4ème.
-Attends, ça remonte à plus de 6 ans tout ça.
-Mais les conséquences sont apparues récemment.
-C'est-à-dire ?
-Il a été retrouvé pendu hier avec une lettre t'accusant d'être le responsable de tout ça.
Oula Léon va avoir encore des ennuie cette blessure au genou est horrible
Aller, comme je suis sympa je vais te filer un bon plan, sur ce site ils donnent souvent des codes Xbox Live Gold http://freekeysandcodes.com/xboxlivegold/
Bon par contre faut être rapide car quand ils en mettent y'a plus rien en moins de 5 minutes Moi j'ai réussit à en avoir un qu'une seule fois
Julietaaaaa, je lattendais !
Le retour de Julietta
Suite !!