Bah là ça fait un gros bloc, il faudrait retourner à la ligne, faire des "espaces" quoi je sais pas trop comment l'expliquer, mais bref que ton récit soit plus aéré.
Ah oui, faire des paragraphes en gros ? Désolé, mais le prochain est encore comme ça, mais y a plus de dialogues... ça devrait passer. Sinon t'en pense quoi ?
Chapitre 19 : Paris
J’entrai dans la ville très exténué par cette chevauchée de plusieurs jours que j’avais faite. Je savais qu’il y avait de l’agitation actuellement, et que le peuple se révoltait. Mais je n’étais pas là pour ça. Il était tard le soir et leur réunion était programmée au crépuscule. Cela me laissait l’occasion de me reposer un peu. Je pensais alors à mes parents, surtout à mon père. Et à Frédéric. Il avait reçu ma lettre et savais où j’étais. Je pensais à tout ça, sans réellement prendre conscience de ce que j’avais déjà fait et ce que j’allais faire. Je me rendis vers six heures du matin devant les quais de la Seine, très calme en cette heure. J’entrapercevais quelques moines qui passait au loin, mais rien de plus. Pendant quelques dizaines de minutes j’attendis que les Templiers montrent le bout de leur nez. Ils finirent par arriver pile quand le soleil jetait ses premiers rayons sur le parvis de la cathédrale. Ils étaient sept, il en manquait un, et je remarquai d’emblée lequel, c’était mon ami Nicolas. J’eus un pincement au cœur en repensant que c’était un Templier. Les Templiers commencèrent à parler entre eux. Le Masque prit ensuite la parole et il y eut un silence général quand il ouvrit la bouche.
-Messieurs, vous n’êtes pas sans savoir que Francis et Juan ont été tués par un assassin. Nous n’avons malheureusement pas le temps de les pleurer. Nos ennemis nous traquent sans relâche, mais ils ne savent rien de nos plans. Vous savez tous ce que vous avez à faire je présume ?
L’assemblée fit un oui général. Le Masque sembla alors s’adresser à un homme en particulier, un homme rondouillard et chauve.
-Jean, vous passerez l’information à votre fils. D’ailleurs pourquoi n’est-il pas avec nous ?
-Il est malade.
-Hum. Bien. Thomas, l’avez-vous trouvée ?
-D’après mes recherches, elle se situerait en Italie. Difficile d’être plus précis.
-Ce n’est rien. J’enverrai une équipe là-bas. Il faut que je m’occupe du problème ici. Les Assassins sont peu nombreux mais discrets et disciplinés.
-Ces pleutres ne valent rien ! s’écria un homme arborant une tunique rouge.
-Si ils ne valent rien Jacques, alors expliquez moi comment deux de nos hommes les plus expérimentés ont pu périr sous la main d’un seul d’entre eux ?
-Ils étaient imprudents.
-Francis a été assassiné en pleine messe, et Juan sur son propre chariot. Avez-vous quelque chose d’autre à dire ?
-Oui, dit Jean. Un de mes hommes m’a informé qu’un dénommé Maxime d’Aquila est arrivé en ville hier soir et qu’il avait été vu en train de poursuivre Juan.
-Eh bien, assurez-vous qu’il ne nous cause pas de trouble. J’ai d’autres chats à fouetter. Il faut que je m’occupe de ce maudit indien.
-Un indien ?
-Oui un mohawk arrivé il y a un an. Il a annihilé notre confrérie en Amérique, et il compte faire de même ici. Mais je l’en empêcherai. Nous en avons terminé. Au revoir.
Je savais à présent que j’avais des alliés à Paris. Mais il me restait encore à les trouver.
C'est pas mal du tout, mais je trouve que le titre du chapitre 17 n'est pas évocateur... Enfin je ne vois pas le rapport
J'aime continue !!!
Hugost: En fait c'est parce que c'est un marchand d'armes, donc je me disais que service après vente collait un peu mais c'est vrai que ya pas beaucoup de rapport je le conçoit.
assassindogs: Merci
Au passage il y en aura peut-être un dans l'après midi mais c'est pas sûr.
continue c'est génial
Thanks
Chapitre 20 : Nouveaux amis
Après la réunion, je rentrai à l’auberge. Je me fis servir une bière, essayant d’épier les conversations de bar. Mais les ivrognes à côté de moi n’étaient guères inspirés, tantôt ils parlaient de boissons, tantôt de leurs femmes, mais jamais d’un sujet intéressant. Mais d’un coup, la porte s’ouvrit brusquement et des gardes brandissant un avis de recherches entrèrent. Le dessin sur l’avis de recherche était celui d’un homme à la peau claire, portant la même tenue que moi. Les gardes s’exprimèrent alors :
« Braves citoyens de Paris, comme vous le savez, depuis plusieurs semaines, la ville est secoué par une série de meurtre commis par l’acte d’un odieux Assassin. D’après nos informations, il se trouverait ici. »
Je vis alors tous les regards se porter sur moi. Ma lame était prête à frapper à tout moment. J’avais ma capuche qui me cachait le visage et naturellement, les deux gardes s’approchèrent.
-Monsieur, puis-je voir votre visage ?
Je me tournai vers lui et il échangea un regard intrigué avec son camarade.
-Venez avec nous si il vous plaît.
Je quittai l’auberge avec les deux gardes. Ils me conduisirent dans une ruelle et me collèrent au mur. Le premier avait sa main sur le pommeau de son épée et je vis qu’ils me soupçonnaient.
-Quel est votre nom ?
-Devine, dis-je au garde en provocation.
-Quel est votre nom ? sur un ton irrité
-Euh… laisse moi réfléchir, Louis seize.
Il me baffa. Mais je continuai néanmoins à le provoquer.
-Si vous continuer vous serez mis aux arrêts. Pour la dernière fois, comment vous appelez vous ?
-Passe pas toute ta journée avec lui Albert, intervint l’autre. Tu vois bien que c’est le même, tue le qu’on en finisse.
-Ca plaira pas au capitaine.
-Tant pis, tu diras qu’il t’as provoqué.
-Certes.
Je vis qu’il dégaina son épée. D’un vif mouvement du poignet, j’enfonçai ma lame dans son ventre. Il grimaça et tomba au sol. Les yeux de son collègue s’ecquarquillèrent et il prit la fuite. Il courait vite et renversait les étals des marchands pour me ralentir. Il prit alors une ruelle escarpée, et j’eus du mal à le suivre. Je perdais mon souffle et il allait pouvoir prévenir les gardes. Mais d’un coup, une flèche vint se loger dans son dos. Le malheureux s’effondra. Je regardai derrière moi et j’aperçus l’homme de l’avis de recherche. Il était grand, le début de trentaine. Il était sur une corde à linge, mais il descendit et marcha vers moi. J’avais la flèche dans ma main et par prudence, je la lui rendis.
-Merci. Dit-il simplement.
-C’est à moi de vous remercier euh ?
-Connor. Tu portes la marque de l’ordre. Suis-moi Maxime.
-Comment…
-Ne te pose pas de question, nous avons des yeux partout.
Nous parcourûmes alors quelques rues avant de nous stopper devant un forgeron. Connor me tendit une bourse pleine à craquer.
-Achète toi une dague. Tu en auras besoin ici.
Je m’exécutai, achetant un couteau de boucher tranchant. Je sortis et moi et Connor continuâmes notre chemin jusqu’à une vieille bâtisse en bois, visiblement abandonnée. Mais Connor toqua à la porte, et chuchota un mot de passe. La porte s’ouvrit et je pus alors y entrer.
Bien
je précise que je posterai encore un chapitre ici avant de migrer sur le fofo Unity.