Ah oui ça pour du court, c'est du court

Le prochain chapitre a intérêt à faire au moins le quadruple !

Je sais, mais t'inquiète pas, le prochain sera conséquent. Ce sera ou dans la soirée ou demain matin.

On est déjà demain soir, et pas de chapitre à l'horizon :P

Du retard en perspective ?

Oui je m'en excuse. D'ici le 1er ce sera dispo, mais ptêt avant.

Ça arrive ?

Bonne année à tous les lecteurs et bonne lecture

Chapitre 16: L'effet de transfert
Lorsque j'ouvris les yeux, j'étais très désorienté. Je ne me souciai pas tout de suite de l'endroit où je me trouvais. Je me levais à demi de mon lit, me mettant assis sur le rebord. Et je regardai la salle. Je fus frappé par la récurrence du logo en spirale que j'avais déjà vu lors de ma rencontre avec Daniel. Mais la salle était vide, juste le lit où j'étais, et une vitre sur le côté. On aurait dit une chambre de quarantaine. Lorsque je posai le pied à terre, je faillis tomber. Je dus me tenir à mon lit. Je me sentais très faible. J'avais des courbatures au dos et à la nuque. D'un coup j'entendis une voix, que je reconnus comme étant celle de Leila.
-Ca va Matt ?
Troublé par cette question, je répondis simplement:
-Non. J'ai mal partout et je sais pas où je suis.
-Je suis désolé, mais on t'as mis en quarantaine le temps qu'on sache ce que t'a.
-Génial. Et je fais quoi pendant tout ce temps ?
-Tu vas devoir rester alité. Vidic et moi même regardons actuellement la suite de la vie de Maxime. Tu auras moins à aller dans l'Animus.
-Tu sais quoi, je préférerai encore aller dans cette foutu machine que de me faire chier ici.
-Ecoute j'y peux rien. Les médecins font de leur mieux actuellement pour savoir ce que t'a. Et surtout ne t'inquiète pas, nous surveillons tes signes vitaux à chaque secondes.
-Mais je comprends pas, comment vous pouvez revivre la vie de Maxime sans que je sois là ?
-Eh bien l'Animus connait ton code génétique. C'est pour ça. Bon je dois te laisser. Je repasserai te voir ce soir Matt. A plus.
Extrêmement faible, je retombai sur mon lit. Je ne savais pas ce que j'avais, et la seule hypothèse me venant en tête était une crise de fatigue dû à l'Animus. Je m'endormis facilement. Mais là, je fus brusquement réveillé par un mal de tête atroce. J'en hurlai dans la salle tant c'était douloureux. Et d'un coup, je me sentis happé, comme lorsque je me plonge dans l'Animus. Maos cette fois, je n'étais pas dans l'Animus. Il y avait quelque chose de louche.

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24 mai 1787, campagne champenoise
Cela faisait plus de 9 mois que je traquai ma cible. Sans succès. Plusieurs fois elle m'avait filé entre les doigts. Mais grâce aux espions de Frédéric, je savais qu'elle se trouvait dans une taverne, dans la campagne aux alentours de Reims. J'étais maintenant plus aguerri que lors de l'assassinat de Francis, mais je n'étais toujours pas au fait de la mystérieuse chose qu'il devait voir. Mais je ne devais pas penser à ça. Ma cible se nommait Juan Pablo de Cabròn. C'était un espagnol qui livrait des armes aux Templiers. Et je devrais vite le tuer.

Dsl de ce suspens, la suite arrivera de;ain

Super ! J'ai lu et c'est pas trop mal, quoique un peu court.

C'est drôle, tu dois bien faire attention aux détails, mais "Cabrón" en Espagnol ça veut dire "con", "salaud"

Ah bon ? Boh fuck it...

Au fait, la suite ce soir, vers 21 heures.

Ça fait déjà 4 jours que "ce soir" est passé ^^

Désolé, je pourrai pas poster avant ce week-end.

Une date pour le prochain chapitre finalement

Entre le 20 et 24 je peux pas faire plus précis...

Ok c'est cool

Comment Maxime peut limite encore courir alors qui cest pris un coup de couteau ?

Toujours là ?

Chapitre 17 : Service après-vente
J’avais appris beaucoup de choses avec Frédéric et Julien. Comme me fondre dans la masse. Je devais utiliser cette technique si je voulais passer inaperçue. Juan était un homme d’une petite quarantaine d’année, avec la peau plutôt blanche pour un espagnol et une petite moustache. Il était tout le temps entouré de ses deux laquais qui lui servaient de gardes du corps. Fred m’avait raconté qu’un jour un de ses gardes du corps avait passé au fil de sa lame car il avait arraché la tunique de Juan. Peu importe la véracité de cette histoire, aujourd’hui c’est eux qui passeraient au fil de ma lame. Ma cible se trouvait dans une taverne, appelé la caverne de l’ogre. Je connaissais cette taverne, j’y étais déjà venue avec Frédéric, quelques années auparavant. Mais cette fois, je n’avais pas le temps d’en profiter. J’entrai et je remarquai Juan entre deux ou trois ivrognes, d’une attitude humble. Il dégageait une noblesse qui contrastait avec l’allure minable des autres clients. On le remarquait facilement. Il était assis au comptoir, il discutait avec le gérant en espagnol. De ce que je comprenais, il disait qu’il était filé par un ennemi (je suppose qu’il parlait de moi) et qu’il comptait partir en Prusse le lendemain. Il lui demandait si lui et ses deux laquais pouvaient passer la nuit sur place. Surpris par cette demande, le barman commença à bafouiller ce qui eut pour effet de faire changer d’attitude les deux brutes de Juan. Ce dernier eut un regard évocateur, et il fit un signe de tête à un de ses gardes du corps. Celui-ci dégaina son épée et plaça la pointe sur la gorge du barman. Je regardai attentivement la scène, prêt à sauter sur Juan à la moindre occasion. Les autres personnes présentes dans la taverne ne prêtaient aucune attention à la scène, enivrés par l’alcool. Le barman bredouilla quelques prières. Le garde du corps numéro un le saisit à la gorge. Je décidai d’agir. Je lançai un couteau dans le bras de celui-ci. Son épée tomba sur le comptoir. Tétanisé, le barman se mit accroupit en hurlant. Juan se leva immédiatement de sa chaise et tira un coup de feu dans ma direction. J’eus heureusement le temps de l’esquiver et la balle se logea dans la fenêtre derrière moi. Puis il s’enfuit. Je couru à toute vitesse et en deux coups de lames, je mis K.O les deux laquais. J’aperçus alors Juan qui montait dans son chariot. Je volai alors un cheval et me lançai à sa poursuite. Ma monture protestait et je voyais le chariot qui avançait toujours plus vite. J’enfonçai alors l’éperon dans le flan de la bête qui gémit. Mais j’étais obligé. Pendant deux minutes, je dus faire tenir ce rythme effréné à mon cheval. Il fallait que je parvienne à monter sur le chariot et à tuer Juan. Il regarda derrière lui et lança un :
-Mierda !
Puis il saisit à nouveau son pistolet et tira. Le tir siffla à mon oreille mais ne me toucha pas. J’avais eu de la chance à deux reprises. Je fis souffrir ma monture, mais je parvins enfin au niveau de Juan. Je sautai sur le haut de son chariot. Lorsqu’il m’aperçut, il essaya de prendre des virages serrés mais je tins bon. Je pus lui asséner un coup au nez qui lui fit perde l’esprit pendant quelques instants, le temps pour moi de détacher le chariot des chevaux. Il était maintenant vulnérable. Je lui plantai alors ma lame en plein cœur. Sa bouche se remplit de sang mais il eut la force de dire en français :
-Va au diable, sale meurtrier.
-Je tue pour le bien de tous. Pas comme vous.
-Tuer ne mène à rien, à part la guerre et la haine.
-De sages paroles pour un vendeur d’arme.
-Je les vends rien de plus. Je ne demande pas à mes clients ce qu’ils veulent en faire. Les Templiers veulent un monde de paix, et leurs méthodes sont les seules qui fonctionnent.
-Les Templiers veulent dominer le monde et l’asservir, non le mener à la paix.
-Tu es si naïf. Cela te perdra, mon enfant.
Puis il gémit et ses yeux devinrent blancs et il mourut. Je le fouillai et trouvai une lettre sur lui. Je l’ouvris et je lus :
Frère
Comme vous le savez, nous somme privés de Francis, assassiné par un pleutre. Mais nous devons nous relever. Je vous attendrai devant Notre Dame, dans trois jours au crépuscule. Nous devrons discuter des événements passé.
Puisse le père de la sagesse nous guider
M
Je savais à présent où aller. Je n’eus pas le temps de revenir chez Frédéric. Je lui fit parvenir une lettre lui indiquant ma prochaine destination : Paris.

Super Beaucoup d'action mais bon Dieu, tu aurais vraiment pu espacer, c'en est presque illisible...
Mais ça n'enlève rien à la qualité de l'histoire, qui est franchement pas mal, même si je trouve que les événements s'enchaînent trop vite à mon goût. Il y a toujours quelques fautes un peu bêtes qui auraient pu être évitées...

Bon chapitre dans l'ensemble, je t'encourage à continuer mal grès le peu de personnes qui se manifestent.

Merci pour ce retour positif ça fait plais Mais que veux-tu dire par espacé ?

Chapitre 18 : Un chemin difficile
J’avais chevauché pendant deux jours durant, m’arrêtant juste pour m’abreuver et donner un peu de répit à mon cheval. On était à présent au matin du 26 mai. Il me restait encore une journée de cheval. Mais mon cheval était épuisé, et moi aussi d’ailleurs. J’avais peine dormi, étant buté à assister à cette réunion. Mais alors que je chevauchai, je me sentis partir. Par prudence, je m’arrêtai à l’auberge la plus proche. Je m’assis pour prendre un peu de repos et boire un coup. C’est alors que je sentis un frisson me parcourir le corps. Je sentis alors une main se poser sur mon épaule. Et une voix que je reconnaîtrai entre milles.
-Alors comme ça t’as eu Juan ?
-Le Masque ! Que me veux-tu ?
-Oh mais rien, j’étais juste venu ici pour m’abreuver et me reposer. Un longue route m’attends.
-Je sais où tu vas.
-Tu n’y parviendras jamais.
-Et qu’est-ce qui te fait dire ça ?
-Je te tuerai avant.
-Tu aurais voulu me tuer tu l’aurais déjà fait.
-C’est vrai, mais maintenant j’ai deux raisons supplémentaires. Vois-tu, tu as pris la vie de Francis et de Juan. La tienne en échange de la leur serait plus que charitable.
-Va au diable.
Il me saisit alors et me mit au sol. Il dégaina alors sa lame secrète et me la colla à la gorge. Je sentais qu’il aurait pu me tuer, mais il ne le fit pas. Il rétracta sa lame et me releva.
-Je n’ai pas de temps à perdre avec un gamin comme toi. Mais je te préviens, lors de notre prochain combat, il n’y aura que deux issues possible, sois tu mourras, soit ce sera moi.
Puis il partit, devant les clients ébahis par ce qu’ils venaient de voir. Je décidai de ne pas m’attarder ici et je partis sur mon cheval. Après quelques heures, je dus m’arrêter, pris par la faim. Je mangeai les quelques pommes que j’avais sur moi. Mais alors que j’allais me remettre en selle, une flèche alla se loger dans l’arbre derrière moi. Je dégainai mon épée, prêt au combat .Je vis quatre hommes qui arrivait sur ma gauche et deux sur ma droite. Je devrais combattre si je voulais m’en sortir. Un des gardes m’attaqua au niveau du flanc. J’eus à peine le temps d’esquiver son coup qui m’entailla un peu la cuisse. Je grimaçai mais je parvins à enfoncer mon épée dans son ventre. Lorsque je la retirai, ses entrailles tombèrent au sol ; l’odeur était insupportable. Je me fis ensuite cerner, les hommes firent un cercle autour de moi .Ils étaient cinq contre un. Je sortis mes pistolet et abattit deux des hommes d’une balle dans la tête. Plus que trois. Je fis jaillir ma lame et je tranchai dans les chairs du premier homme qui hurla de douleur. Je lui tranchai alors la gorge. Puis je saisis l’autre et en fit un bouclier humain. Il alla s’empaler sur la baïonnette de son compagnon. Voyant sa mort approché, il se tira lui-même une balle dans la bouche. Je me remis en selle et chevauchai encore plusieurs longues heures avant d’apercevoir enfin la silhouette des remparts.
Il risque d'il y avoir encore un ce soir et deux demains.