Pour maintenant, dsl du retard. Encore une fois, uniquement dans le présent, je sais ça peut être chiant à force.
Chapitre 10: Quelques Révélations.
J'avais passé une nuit blanche à cause de cette réunion avec Leila. Du coup, je surpris Vidic vers 5 heures du matin, soit une heure avant l'heure du réveil, venir dans ma chambre et s'assoire sur une chaise, un carnet de note dans une main et un stylo dans l'autre. Il devait certainement prendre des notes. Je décidai de ne rien dire car il soupçonnerait quelque chose donc je me tut et fit mine de dormir. 1 heure plus tard, Vidic me réveilla comme à l'habitude. Je me lavai et m'habillai. A 6 heure 40 j'étais prêt. Comme c'était indiqué sur le planning, la session Animus devait commencer à 7 heures. Vidic était parti, il nous avait dit qu'il reviendrai à 7 heures. J'en profitai pour parler à Leila.
"Dit, est-ce que l'Animus est sûre ?
-Qu'est-ce que tu entends par sûre ?
-Je veux dire, est-ce qu'elle est dangeureuse ?
-Dans une certaine mesure, oui.
-Sérieusement ?
-On a vu, sur d'autres sujets, que l'Animus peut entrapiner une dépendance. On a même constatés sur le sujet, qu'elle pouvait détruire les neurones ou du moins les endommagers.
-Et qu'est il arrivé au sujet 2 ?
-Il est mort. Il a pointé un flingue sur moi. Je savais qu'il ne contrôlait pas ses actes. eux agents sont arrivés et ils l'ont abbatus.
-Désolé, Je savais pas que...
-C'est rien. Et puis, tout va bien pour le moment. Il n'y a encore aucun symptômes.
-Symptômes ?
-As-tu des hallucinations temporelles, des perdes de consciences, des maux de tête excessifs, des troubles de la personalitée ?
-Non.
-Donc tout va bien.
-Et pourquoi Vidic nous fait passer autant de temps dans l'Animus ?
-Tout ce qu'il voit, c'est sa paye en fin de mois. Et il veut surtout voir si les ancêtres ont eu en leur possession ce que nous cherchons.
-Et c'est quoi ?
-Je ne peux rien dire.
-Eviddement. Je suis prisonnier d'une société qui s'en fout complétement de la vie humaine et qui force des pauvres personnes qui n'ont rien demandé à aller dans une machine qui en plus, peut les rendres fou, et je devrais exécuter les ordres comme un bon soldat, sans rien dire ? Non mais vous rigolez ?
-Ecoute, Matt, je comprend ce que tu endures, je te l'ai déjà dit, et je suis de ton côté. C'est pas à moi que tu dois te plaindre. Si à 20 heures tu sors de l'Animus, c'est grâce à moi. J'essaye de convaincre Vidic de laisser les sujets vivres, mais il s'en moque. Il te ferait aller dans l'Animus jusqu'à minuit si il le fallait.
-C'est un taré ce mec.
-Comme la plupart des employés d'Abstergo."
Nous ne pûmes continuer notre conversation car Vidic arriva. Il me pressa d'entrer dans l'Animus, ce que je fis.
Alors ? J'espère que la fic aura plus de lecteurs.
Il se lève tôt le Matt sinon la suite pour quand
Dans l'après-midi où au plus tard demain matin.
Bon, dsl du up de plus d'un mois.
Up pour le chapitre 11
Chapitre 11: La Confrérie
Reims, 15 mai 1786, 10 heures 22.
Après cette discussion, moi, Julien et mon frère quittâmes la table. Nous traversâmes la salle à manger et arrivâmes vers un escalier qui menait à la cave. Nous commençâmes à descendre un dédale de marche où seul la fragile lumière de quelques torches nous éclairait. Quand nous fûmes dans la cave elle même, j'aperçus une longue tenue blanche à capuche teintée de vert par endroit. Elle était accrochée sur un mannequin en bois. A côté se trouvait une table avec différentes armes dessus. Je m'en approchai et je vis deux sortes de brassards avec un couteau très aiguisé à l'intérieur. A côté se trouvait une longue épée que les chasseur français appellent un coutelas. Il y avait aussi une petite dague comme celle qu'on utilise pour couper la viande. Ensuite, deux pistolets à silex était disposé à côté de la dague. Et, le plus surprenant, il y avait un rouleau de papier avec des écritures à l'intérieur. Je distinguai un nom mais je ne pus très bien le lire. Frédéric, me voyant près de la table me cria:
"Maxime ! Ne touche pas à ça !
-Pardon.
-Ce n'est rien. Approche."
J'approchai de Frédéric et il me fit m'assoir à même la sol. Il fit de même et me dit:
"Je vais te raconter une histoire. Il y à bien longtemps, à l'époque d'Adam et Eve, des êtres très puissants et disposant d'une technologie nettement supérieur, avaient réduits en esclavage les premiers hommes grâce à de mystérieux artéfacts. La génération suivante, une longue guerre entre les hommes et ses êtres se déclancha. Mais aucun ne gagna. Une catastrophe planétaire se produisit, anéantissant les deux camps. Les survivants firent de leurs mieux pour se reconstruire. Parmis ces derniers figuraient Abel et Caïn, les fils d'Adam et Eve. Leurs parents avaient réussis à voler un artefact, la Pomme. Ils la confièrent à Abel. Mais cela attira la convoitise de Caïn, qui assassina son frère par jalousie. Cela eut pour effet et former deux camps, celui de Caïn, les Templiers, et celui des partisans d'Abel, les Assassins. Ils se livrèrent une guerre sans mercie pendant plus de mille ans et cette guerre continue encore aujourd'hui. Mais, à l'heure actuelle, les Templiers sont en train de gagner et si l'on ne réagit pas, l'humanité tombera sous leur joug. Le Masque, celui qui a tué notre famille, c'est leur Grand Maître. Mais avant, il avait fait équipe avec notre père, mais il avait désobéi aux ordres. Alors, Maxime, je te pose cette question. Veux-tu venger la mort de notre famille ? Veux-tu devenir un Assassin, comme moi, Julien et notre père ?
-Oui, répondis-je. Je suis prêt.
-Très bien. Mais il va falloir t'entraîner durement. Reviens me voir quand tu seras prêt. Tu devras aller voir Gabriel.
-Je vais le faire."
J'allais donc devenir un Assassin, pour venger notre famille. Je remontai à l'étage et allai dans la chambre de Gabriel. Le pauvre enfant n'avait rien eu le temps de comprendre, il n'avait que dix ans. Je commençai par lui dire:
"Gabriel, il faut que tu comprennes que tu ne reverras plus jamais papa maman et Marie. Ils sont... morts, dis-je en commençant à pleurer.
-Je sais, répondit-il en s'effondrant.
-Viens dans mes bras."
Et nous nous fîmes une accolade fraternelle, tout en pleurant de grosses larmes. Une heure après, j'allai voir Frédéric. Je lui dit:
"Je suis prêt.
-Très bien, suis-moi."
Alors ? Bien ou pas ?
"
Up.
Up up et up !
Euh... up.
La...suite!
Petit up.
j'adore ta fic ! je veux la suite !!!
PS:évite de faire un assassin qui veut venger sa famille ça fait trop ezio dans ac2 sinon j'adore ta fic continue !
SUITE !!!!
Chapitre 12: Rien est vrai tout est permis.
Frédéric m'emmena alors dans sa cour. Assez grande pour une seule personne. Au centre, il y avait une petite arène, je compris d'emblée pourquoi. Frédéric m'enjoignit à y entrer. Julien était là aussi, et je vis Gabriel à la fenêtre de sa chambre qui nous regardait. Je pris place au centre, la où une croix était dessinée par terre. Julien prit place en face de moi. Il me donna alors une épée courte et en dégaina une semblable. Il me fit signe de ranger mon épée. Puis, Frédéric dit alors:
- Très bien Maxime, tu vas devoir t'entraîner à te battre.
-Par quoi commençons-nous ?
-Très bien, si tu n'as pas d'arme et que tu ne peux pas t'en acheter une, tu vas devoir apprendre à désarmer. Julien.
Puis Julien attaqua. J'esquivait et prit la pointe de son épée entre mes deux mains. Et je tirai. Julien tint bon et me donna une tape sur l'épaule. Nous recommençâmes des dizaines de fois, sans succès. Au bout d'une heure pourtant, je parvins à prendre l'épée sur son pommeau et à l'arracher aux mains de Julien. CE dernier recula et m'applaudit. Frédéric fit de même. Puis, chaque jour, j'apprennais une nouvelle technique, l'esquive, la parade, la contre-attaque. A force, j'en avais marre de cet entraînement, je n'en voyais pas l'utilité. Je n'allais le comprendre que plus tard. Au matin du six septembre, après plusieurs mois d'entraînement, Frédéric me dit:
-Tu es fin prêt.
-Prêt à quoi ?
-A nous rejoindre. Et tu feras ta première mission dans la foulée.
Frédéric avait apporté tout le matériel que j'avais vu l'autre jour dans la cave, les armes, la tenue la liste. Julien aussi était présent. Ils avaient à présnet une posture solennel. Frédéric prit alors la parole.
-Quand la morale et la loi, baillône l'esprit des hommes, souvient toi...
-Que rien n'est vrai, dis-je comme si j'avais entendu ça toute ma vie.
-Quand les tyrans, s'élèvent au dessus du peuple et l'opresse, souvient toi...
-Que tout est permis.
-Très bien, je crois qu'il est temps. Prends-là, dit il en désignant la tenue.
Je la prit et l'enfilai. Elle était étonnament lourde pour une tenue comme celle-là et j'eus alors peur que cela empiète sur mes compétences. Puis je me saisis du brassard avec une lame à l'intérieur. Frédéric appelait ça, une lame secréte. Puis l'épée et les couteaux de lancer. Enfin, jeme saisis des pistolets et rabbatis ma capuche.
-Bienvenue dans la confrérie, dirent ils tous les deux.
-Merci, merci pour tout ce que vous avez fait pour moi. Du fond du cœur. Fred, tu parlais d'une mission.
-Oui, retourne la bout de papier.
Je le fis avec une certaine, comment dire, une fierté. Je vis 10 nom. Un me fit froid dans le dos; Le Masque. Et un autre encore plus: Nicolas Chapentier, mon ami de toujours.
-Les noms qui y sont inscrits, commença Frédéric, sont ceux de dix personnes qui ont juré de nous faire la vie dure.
-Des Templiers, dis-je avec une certaine tristesse dans la voix.
-Oui. Et tu devras tous les tuer un à un.
-Ou puis-je trouver le premier ?
-Dimanche à la messe, il célèbrera celle-ci.
J'adore ta fic', même si ça suit la même trame que le vrai AC, l'époque est cool et t'écris assez bien. Donc, FAIS LA SUITE !!!
Enfin, la même trame, pas tout à fait. Mais bref, continue