https://www.new.jeuxvideo.com/forums/1-13-8441566-1-0-1-0-0.htm
On n´est pas les seuls !
Et moi ! Et moi ! Et moi !
avec la lenteur du site .. vaut mieux que ce soit en une fois et si on a eu des problemes des fois ici jamais a ce point la ... du coup le temps que ça s´affiche j´ouvre 2 fenetres .. je vais nourrir mes thons et je reviens ici ... je vais soigner mon Pegase et je reviens ici , je vais baffer le pingouin ... et je reviens ici ... mais j´(en ai un peu ras le bol ...
C´est vrai ça ou sont Fushia et Finefleur ...
je suis allee faire la teuf hier soir mais je les ai pas vues ... j´ai rencontree Ourse mais elle m´a dit qu´on les avait pas vues non plus ...
Au fait Ourse c´est quand tu veux sur Empereur l´empereur Chris t´attends !! !!
Quand a reeko ... pas vu non plus hier soir ... il me semble l´avoir aperçu scotché a un pc dans la salle de jeu du Louxor mais il y avait de l´electricite qui sortait de ses antennes alors je me suis pas trop approchée ...
Ca rame toujours !
Vous n´avez qu´à mettre cette page dans vos favoris, ça vous fera gagner du temps.
Chris, t´as un élevage de thons ?
Tu as raison Chris , puisque Blue ne veut pas m´emmener à Santa Monica dans sa belle voiture rouge , je vais faire le concours d´Empereur !
C´est la meilleure,
je viens d´ouvrir un topic "bloquée à la fin du Chapitre 3" Je l´ai vu et relu, et il est supprimé. Je vais le remettre, mais que se passe t-il? Pourvu qu´il ne revienne plus et ainsi ne pas pas paraître en double, ce seait bien ma chance ?-
Peut-être est-il déjà revenu?
Mauvais temps sur la planète en ce moment
bienvenue a toi Ourse sur le forum empereur et si t´as besoin d´aide n´hesite pas a demander ...Quand au concours il est assez simple je vais sans doute envoyer ma 4 eme save d´ici la fin de la semaine ...
oui un elevage de thons et un pegase ... virtuels bien sur .. aujourd´hui ça rame presque pas ...
http://www.sushib.com/index.php
Ah OK ! Je te voyais déjà avec un vrai élevage de thons dans un bassin près de ta cabane dans les landes arides !
Bon, je vois que tout le monde roupille, je m´éclipse pour aller siffler un verre dans un bar. OK, Ralph, tu peux venir avec ! Chut, pas de bruit, faut pas réveiller Fifi ! Qu´est-ce qu´elle baragouine en dormant ? "Blue, fais-moi un bébé." ! Vite, Ralph, magne-toi, c´est pas le moment de s´éterniser, des fois qu´elle se réveillerait !
tout le
Me voici de retour de ma tournée des bars mais je n´ai pas rencontré Finefleur, on a du se croiser sans se voir
Enfin Fuchsia!
Et Finefleur. Tu ne l´as pas ramené
Ca va mal, mon post une fois de plus est parti!
Ca va mal ces jours-ci, les femmes passent leurs soirées a faire le tour des bars de la ville
Seraient elles alcooliques?
Non, elles cherchent l´âme soeur
ou alors elles ont perdues le chemin du retour
Et toi Ourse, si compatissante, tu devrais reccueillir les brebis égarées et nous les ramener bien vite car nous avons besoin d´elles
Episode 15.
Je glandais à la terrasse d´un des trente cafés du Louxor, Sugar Baby Love chanté par Les Rubettes jaillissait du fond de la salle déco rock´n´roll à la française avec Johnny, Sylvie, Eddy, Françoise et Rick en photos encadrés sur les murs tapissés de guitares et de Tour Eiffel. Je flashais trop beau dans mon tee-shirt made in Tahiti avec les Vahinés topless, que ça irritait léger Finefleur. Je sirotais mon drink à la fraise limonade aromatisé de cognac, savourant le début de cette matinée plutôt douce pour la saison, Finefleur et Fuchsia faisaient du lèche-vitrines, Reekoo et Ralph avec elles, quand j´hallucinai grave.
Oui, c´était bien Cold qui se pointait, la chemise hawaïenne et le bermuda club Med. D´hab il se fringuait dark, le blouson clouté avec la totenkopf dans le dos, le jeans lardé de coups de chlasse, les tiags avec les bouts ferrés pour éclater les burnes dans les bastons. Quand il démarrait avec son chopper dans Pleasantville, les vitres des baraques dansaient le jerk.
Et plutôt fatigué dans la chetron, on va dire, les yeux lourdés de valoches.
— Quelle surprise ! Qu´est-ce que tu fous à Las Vegas ? que je demandai.
— No comment.
Il me serra la pogne et se tala sur la chaise en face de moi.
— Ben dis donc, t´as l´air plutôt amoché, tu viens de te lever ?
— Je me suis pas encore couché, qu´il baragouina. A propos, j´ai t´ai vu sur une affiche. Félicitations ! T´as décroché le gros lot !
— Ça arrive. Et toi ?
— Ben comme toi, à Las Vegas pour me marier avec Pimprenelle.
— Arrête ! J´hallucine grave là ! Comment, t´es encore avec elle ? La dernière fois elle avait failli te flinguer ! T´as juste eu le temps de te barrer par la fenêtre et de sauter du toit, tu te prenais une bastos dans le buffet.
— Ben oui, qu´est-ce que tu veux, des fois les conflits ça attisent la passion, et avec le temps on s´attache. C´est comme un vieux clebs, t´as l´habitude de le voir tous les matins couché au pied de ton lit et tu veux pas le faire piquer par nostalgie.
— Purée, je vois que tu donnes toujours dans le sentimental. Alors comme ça tu te maries ? Bienvenue au club. Ben si je m´attendais à ça, toi le rebelle des bistrots, le tueur de beaufs, tu passes dans le camp des bourgeois maintenant ?
— Langsam, je suis pas encore dans la masse des esclaves de la société. Comme le caméléon je m´adapte, mais c´est juste la peau qui prend la couleur, à l´intérieur c´est toujours les flammes de l´enfer qui dévorent mon âme.
— Oui, je vois que t´es toujours fidèle à ta philo de l´apocalypse.
— Je veux. C´est pas une meuf qui va me plier à sa dictature. (Il serra les poings. Ses yeux crachèrent des éclairs.) Je suis un solitaire du road movie, un gun dans la pogne, je défouraille le premier, je récite la Bible ensuite.
— T´es sûr que tu te maries là ?
Cold esquissa un geste de la main.
— Je n´anticipe jamais, sauf pour les mandales dans les dents.
Je lâchai une rigolade.
— Et Primprenelle ?
— Elle est aux anges, tu penses. Elle a déjà acheté les couches-culottes pour le bébé.
— Hein ? Tu veux pas dire que…
— Langsam, on en est pas encore là. C´est elle qui se fait un film à la Pretty Woman. Madame exulte, prend ses aises, baguenaude dans les champs, moi je tempère, je refroidis, je glacialise.
— L´amour finit toujours par triompher ! Tu penses toujours à elle ? que je balançai dans une nouvelle rigolade.
— Aujourd´hui moins que jamais et demain autant qu´hier. Et comme hier c´est déjà loin.
— Ça promet !
— Bon, alors, s´excita Cold, on peut boire dans ce rade ?
Je crois qu´on venait d´entrer dans le vortex tourbillonnant des sliders de la dernière séance, avec les planètes en déroute et les étoiles qui se font la malle, les lutins qui fument le kif, les fées qui jouent du nunchaku, et les princesses qui donnent dans le girl power à grands coups de talons aiguilles dans les burnes des princes charmants. Y´a plus de morale ! Tout fout le camp !
Les miches talées sur le tabouret qui partait en arrière, Chris s´accrocha in extremis au comptoir et se remit dans la position verticale.
— Putin, là c´était moins une, le monde perdait la plus sublime de ses beautés. T´imagines ? Sûr que des milliers de mecs se suicideraient pour venir me rejoindre au paradis. Saint Pierre refuserait du monde. Ça foutrait un de ses boxons dans le ciel. Le Seigneur me renverrait immédiatement sur Terre, un coup de pompe dans le cul. C´est ça le destin tragique d´une vamp fatale : séduire, séduire, et encore séduire. Qu´est-ce que tu veux, on échappe pas à son physique. Quand la nature te gâte, c´est pour la vie. Faut faire avec.
Assis à côté d´elle, Mamie s´enfila un énième verre de whisky dans le gosier. A partir de cinq, elle n´avait plus compté.
— Ah y a pas à dire, ça fait du bien de se décrasser les amygdales. Remets ça ! qu´elle lança au barman, un black au torse nu musclé avec un nœud de papillon autour du cou.
— Hein, ma petite Mama à moi ! Je connais les bons plans !
— M´appelle pas Mama, ça me rajeunit pas !
— Tu t´appelles bien Mamie, non ?
— Merde, je te l´ai déjà dit cent fois, tu te rappelles plus ? C´est ma mie, du vieux français, ça veut dire ma bien-aimée.
— Si tu le dis, OK, captain (elle esquissa un salut militaire), va pour ma bien-aimée, c´est enregistré dans la soute à bagages. Jeannot, un autre !
Elle tendit son verre au black qui le remplit en deux secondes.
A l´autre bout du comptoir, une vioc hyper maquillée avec un boa en plumes, style maquerelle de clandé, commençait à sombrer dans le coma. Au milieu de la salle, sur une estrade élevée éclairée par des spots roses, trois chippendales en strings avec des casquettes en cuir se déhanchaient sur YMCA des Village People. Autour d´eux, une flopée de femmes hystériques s´excitait en poussant des cris jouissifs, des biffetons dans les mains pour les fourrer dans les strings.
— T´as vu, Mama, caqueta Chris en les montrant, c´est ça la vérité cosmique. Des mecs qui se la jouent, des femmes qui jouent avec, pourquoi s´emmerder avec des théories à la con, je te le demande. Hips ! Oups ! Pardon ! C´est rien, Jack Daniel qui saute en parachute ! Alors, pourquoi t´es de nouveau à Las Vegas ? Tu vas te marier avec Elvis ?
— Mais je te l´ai déjà dit avant, t´écoutes jamais quand on te cause, je suis un mec qui a failli flinguer Poupi.
Ah oui ! Poupi ! Dans tout ce ramdam on l´avait oublié. Le clébard glandait sous une table en lapant un bol de Martini rouge. Depuis qu´il a foutu le derche à Las Vegas, la bestiole refuse de picoler de la flotte. Va savoir pourquoi.
— Sans dec ? s´exclama Chris. Putin !
Mamie lui raconta une nouvelle fois.
— Là, Mama, j´en fais une affaire personnelle. Je prends les commandes. On va se le farcir, tu peux me croire. Jeannot ! Sors la gnole de la mort !
Après une rasade d´un liquide rouge dans le goulot, le tabouret se remit à vaciller, Chris n´eut pas le temps de s´agripper au comptoir.
Elle valdingua lourdement sur le carrelage aux dalles décorées de satyres.
— Putin, qu´elle cracha, c´est comme au bon vieux temps : picole, sexe et crimes ! La trinité de la tueuse des bouteilles, des mecs et des cons. Enfin des bouteilles et des cons, parce que tous les mecs sont cons. Pas vrai, Mama ? Vous n´aurez pas Chris, je suis la meilleure, cassez-vous bande de tafiotes ! Yeeeeepeeeeee Yeeeeeaaaaahhhhh !
Et elle sombra dans un sommeil profond ponctué de ronflements de turboréacteurs.
Campé devant la glace de la salle de bain, vêtu d´un costard à paillettes, Persée ajusta sur sa tête une perruque noir luisant à reflets bleus avec une banane sur le devant.
— Tu crois qu´on va assurer en sosies d´Elvis ?
A côté dans la piaule à deux lits, Jo enfilait le même costard à paillette que Persée.
— Un peu, oui, et comme ça on passera inaperçus.
Il alla se mater dans la glace de l´armoire. Puis il plaqua lui aussi sur sa tête une perruque noir luisant à reflets bleus avec une banane sur le devant.
— Trop la classe ! "Love me tender, love me true!" qu´il chanta en se déhanchant langoureusement et en claquant des doigts. I am the king ! T´es prêt ?
— Oui, mais c´est pas un peu trop voyant, les paillettes ?
— Mon vieux, plus t´es voyant à Las Vegas, plus tu te fonds anonyme dans la foule. On va tomber les filles comme c´est pas permis.
Le temps de plaquer des Ray-Ban aux verres miroirs sur leur nez, ils quittèrent l´hôtel Paradise, situé à deux rues du Louxor, en rouldinguant du fessier.
Pas loin de Las Vegas, sur une petite route en plein désert, Ourse ouvrit le coffre et détacha Karl.
— Bon, révérend, ça suffit maintenant avec vos conneries ! On a une mission, alors vous allez vous habiller, on file à Las Vegas et on ramène tout le monde à Pleasantville illico presto.
Karl sortit du coffre, tomba à genoux devant Ourse, les mains jointes et supplia :
— Oui, mais avant la punition, s´il te plait, maman, j´ai été un vilain garçon !
Ourse secoua la tête.
— C´est bon, mais après vous obéirez ?
— Oui, maman, c´est jurez, je serai un petit garçon bien sage !
Ourse s´empara d´une corde dans le coffre, attacha les chevilles de Karl, noua l´autre bout au pare-chocs arrière de la Triumph, et pris place au volant.
— Purée, je te jure, mais qu´est-ce qui m´a pris de m´embarquer dans cette galère ?
Elle démarra et roula à 30 à l´heure droit dans le désert.
Toujours en slip, traîné le cul sur la terre sablonneuse, Karl criait :
— Plus vite ! Plus vite !
arf que c´est bon ... plus vite plus vite ... non non a ton rythme
j´espere quelle ne s´est pas cassee une patte au ski ...
mort de rire
Mama devrais-je dire
Je ne me rappelais pas avoir bu autant de Whisky de toute ma vie et poupi non plus, autant de martini. Les assoiffards s´arrêtent là, n´est-ce pas Chris?
On change vite d´aspect , selon le gout imaginaire de notre cher Phantom, toujours aussi excellent d´ailleurs
N´empêche qu´on s´amuse beaucoup sur notre vie!
Alors qu´on pourrait s´offrir le paradis!
Qu´importe, nous voilà emportés dans un autre univers, avec parmi nous un nouveau venu
mais Fifi et Fufu, que sont elles devenues?
Et Ourse, je ne te croyais pas aussi energique pour faire taire le réverend
Tu vois Chris, on ne sait jamais ce que sera fait demain? Comme dans les jeux, on passe d´un monde à l´autre seulement en claquant des doigts. Sans commentaires! Bravo : rire:
Il me tarde quand même de savoir comment vont réagir les filles! Endormies qu´elles sont mais un peu oubliées momentanément, j´espère!mais....attention aux repliques!
Il nous faut attendre maintenant le prochain épisode pour connaître la suite et parler de ce mariage tant attendu
de
bah mama c´est tellement moi ... meme le coup de la descente de tabouret ... je veux pas dire Phantom mais on a du faire la teuf ensemble dans une autre vie ... par contre ton pote le copain de primprenelle même si il existe reellement (moi aussi du reste ) soit on boit jusqu"a la mort soit on se marrie ... je prefere encore me transformer en fee ... :lol; d´ailleurs je prends des cours avec Melu ...