Chartres c´est Fufu qui habite tout près de Chartres il me semble bien...
Dépêche-toi Blue , je pars demain matin ! Je voudrais connaître la suite !
Et si on organisait aux beaux jours une rencontre inter régionale ? Chacun apporterait une spécialité ! Rien que ce nom de trousse pinette me met l´eau à la bouche !!
Pour sûr que ça doit être meilleur que l´huile de colza très évocateur ce nom
J´amènerai mon jambon
J´ai retrouvé Reekoo dans un clip vidéo
http://www.binnes.com/video_voir,id,555,Alien-enchantee,.html
Eh Blue, alors ou en es-tu
Encore Finefleur?
C´est bon, j´ai la suite, je la poste au début de la nouvelle page.
allez vite la nouvelle page
pour moi c´est ok pour la visite
mais plutot cet ete lors de la grande transhumance ...
et hop et hop et hop ...
Blue ou est tu ?
ça y est Blue, la nouvelle page est ouverte
depuis le dernier épisode j´ai eu le temps de relire tout zola,hugo,verne,j´attaque l´encyclopedie universelle en trente volumes
Episode 12.
Finefleur n´arrêtait pas de reluquer sa bague. Les yeux incendiés de convoitise, la bave bouillonnant aux dents, le soutif agité de spasmes jouissifs. Normal, un diamant de 21 carats à 2000 dollars. Faut reconnaître que le Louxor ne faisait pas les choses à moitié.
J´entrevoyais déjà le film. Tard dans la nuit, la bague dans ma poche, fonçant plein gaz sur l´autoroute, direction Santa Monica. Non, allez, soyons pas crade ! Restons humain ! Pas la bague ! Bon, d´un autre côté, si je me barre, la bague symbolisant notre amour, moi n´étant plus là, elle risquerait de rappeler à Finefleur les souvenirs de notre bonheur envolé. Et comme je veux pas la faire souffrir.
Je m´étirai sur le canapé en cuir blanc. Matai l´écran géant 16/9 de la télé. Zappai les 700 chaînes. Finefleur collée à moi. C´est fou, mais les filles faut toujours qu´elles se collent à quelque chose. C´est viscéral. Génétique. Je sais pas. Comme une peur de la solitude, un truc comme ça.
— C´est quand même dingue, non ? qu´elle piailla joyeuse. On vit un vrai conte de fées. Si on m´avait dit un jour que je me retrouverai dans une suite royale au Louxor, avec un diamant de 2000 dollars au doigt et l´homme que j´aime. Blue, je crois bien que le Seigneur t´as drôlement à la bonne.
Elle passa ses bras autour de mon cou.
— Ah tu crois ? soufflai-je.
Elle me scotcha un bisou sur la joue.
— Dis, Fifi, j´ai pensé à un truc. Si on se mariait dans une semaine seulement ?
— Ah et pourquoi ? qu´elle demanda en se redressant, les yeux soupçonneux. Tu m´aimes plus ?
— Non, c´est pas ça. Mais ça nous permettrait de tirer en longueur et de profiter un peu de la vie de château ici, tu comprends ?
— Ah ouais, vu comme ça !
— On aura qu´à dire qu´on attend de la famille qui doit se pointer.
— Ouais, c´est pas une mauvaise idée. Blue, je t´adore.
Elle plaqua ses lèvres douces et sucrées sur ma bouche. Puis elle se retira et soupira :
— Dis, Blue, tu me fais un bébé ?
Et voilà, c´est reparti ! T´es gentil, tu t´attentionnes, tu privilégies, et vlan ! ça dérape dans le brutal, le plan baby boom, les mots qui font peur, qui angoissent le cœur !
— Je crois qu´on en a déjà parlé, ma puce, quand on sera installés et que j´aurai trouvé un boulot.
— Ben tiens, qu´elle s´exclama, peut-être qu´ils engagent au Louxor. Tu serais trop chou en groom.
Achtung ! Mars attaque ! Tous aux abris ! Sortez les sulfateuses ! Tirez sur tout ce qui bouge ! C´est dans ces moments-là qu´on apprécie le célibat. Hop, Ralph, lève ton cul ! Tu veux pas aller pisser ? Putin, regardez-le étalé sur la carpette, ce gros sac à viande, il a pris goût au luxe ! Jamais là quand il faut pour me sauver la mise ! Faux frère ! A la première occase je te largue dans le désert, tu boufferas du lézard, ça te fera les dents !
Fuchsia déboula avec une mini jupe en cuir rose ras le berlingot, un mini corset vert plutôt décolleté lacé dans le dos et des bottes bleues. Miss sexe carnaval.
— Vous avez vu ? qu´elle s´écria. Trop la classe le petit ensemble, non ?
Suivi par Reeko, arborant une combinaison spatiale argentée toute neuve avec le logo Star Strek dessus. Et son éternel casque aux antennes clignotantes. Vu la tenue de Fuchsia, les antennes brillaient non-stop.
Comme le Louxor banquait pour tout, la troupe se relookait côté fringues. Finefleur avait dévalisé les boutiques. Elle m´avait acheté de ces trucs, surtout les strings Tarzan imitation léopard. Et on accuse les mecs de fantasmer comme des malades.
Moi je vous le dis, le Grand Manitou me prépare un plan foireux. Je sens venir le météorite dans l´espace. Ça va se crasher sur ma gueule, que ça va pas être triste.
Les mains crispées sur le volant du pick-up, un rictus meurtrier décalqué sur les mandibules, Raymond fixait la route.
— Mon Dieu, larmoya Gertrude, si ça se trouve, ils sont déjà mariés.
— Mais arrête de geindre, tu me pompes l´air. Ça m´étonnerait qu´ils soient déjà mariés. A mon avis ils visitent Las Vegas. Et puis ils ont tout au plus deux jours d´avance sur nous.
— Mais comment on les trouvera ?
— Bordel, ça fait dix fois que je te le répète : On va au bureau des licences, ils doivent d´abord se faire enregistrer. Puis après on fait les chapelles, ils doivent s´annoncer à l´avance, les cérémonies ont souvent lieu plusieurs jours après. Des fois je crois que t´es encore plus débile que ta fille. D´ailleurs je me demande parfois si elle est vraiment de moi.
— Mon Dieu, Raymond, comment peux-tu dire une chose pareille ? On l´a conçue pendant notre nuit de noces, tu te rappelles plus ?
— Justement non. Je devais être sacrément bourré, tout s´explique.
Gertrude fondit en larmes.
— Ça va, arrête ton numéro.
— Mais tu sais très bien que je t´ai jamais trompé.
— Ça c´est sûr, avec la tronche que tu as, je vois pas à part moi qui serait assez suicidaire pour avoir envie de toi. Si, peut-être pour ton fric.
Gertrude serra les poings, le visage boursouflé par la haine, les yeux injectés de sang, des tremblements dans la nichonaille, et martela violent l´épaule de Raymond en hurlant :
— Espèce de vieux salopard, si tu crois que ça m´a fait jouir de perdre mes plus belles années avec un connard comme toi.
— Mais merde, arrête, je conduis, on va avoir un accident.
— Je m´en fous, tant mieux, comme ça tu crèveras.
Le pick-up zigzagua sur la route. Une bagnole venant en sens inverse klaxonna furax. Raymond braqua au dernier moment et freina brutal de l´autre côté de la route, contre la glissière de sécurité.
Il ne réussit pas à éviter le poing de Gertrude sur son œil droit.
Lucienne tira une bouffée de tabac sur sa Royale mentholée en matant le désert. Deux vautours copulaient sauvages près d´un cactus en battant hystériques des ailes.
Agenouillé devant la roue arrière gauche crevée de la Chrysler, Albert transpirait pour la dévisser.
— Je peux pas, Lulu, y a un boulon coincé.
— Mon vieux, je crois plutôt que c´est ton ciboulot qui est coincé. Quelle poisse ! Juste à trente bornes de Las Vegas !
— Mais je te jure, c´est coincé.
— Une vraie lavette ! T´es même pas capable de changer une roue. Et ça veut jouer les Rambo. Blue est bien ton fils. Une faignasse comme toi. Dès qu´il y a du boulot, vous vous défilez.
— Mais je te jure, Lulu, c´est coincé.
Lucienne tira une dernière bouffée et bazarda la cigarette. Elle valdingua sur un lézard qui turbinait sec une lézarde. Le dos taquiné par le bout brûlant, il bondit en l´air en tirant une langue visqueuse, pas content du tout pour son coitus interruptus.
Lucienne se précipita sur Albert et le bouscula. Il roula en arrière dans le fossé. Elle empoigna la clé et tenta de dévisser le boulon.
— Putin, qu´elle grimaça, quelle merde !
— Ah tu vois, rigola Albert qui s´était relevé, triomphant.
— Ta gueule ! Commence pas !
Il remonta à sa hauteur. Un rire nerveux incontrôlable agita son corps.
En colère, Lucienne se rua sur lui et lui décocha une série de mandales dans les bajoues.
Albert se protégea avec les mains, recula, dérapa et roula une deuxième fois dans le fossé.
— Ah tu fais moins le fier ! qu´elle lui cracha, ironique.
A quatre pattes, il s´empara de caillasses, se redressa et les lui balança en rafale.
Lucienne se barra sous l´averse en braillant.
Mamie revenait de la station service, un sac rempli de provisions dans les bras, Poupi gambadant autour d´elle, quand une voix de femme tonna dans l´air :
— Mamie ? Je le crois pas ! C´est toi ? Vieille crapule !
L´espace d´une seconde, Mamie se demanda qui l´avait reconnue sous son déguisement de blonde.
Elle se retourna et loucha la grande brune qui se ramenait vers elle à grands pas, fringuée country avec le blouson en cuir, le jeans moulant, les bottes avec des franges, un sourire décalqué sur des babines laquées à outrance par un gloss rouge flamboyant.
— C´est moi, Mamie, tu me reconnais pas ? Chris, ta vieille copine de la CIA ?
Chris Sliver, alias Luciferia, alias l´araignée cruelle, alias 10-3 (because elle peut décapsuler 10 canettes en 3 secondes, aussi pour le chiffre 13, car elle porte la poisse, et pas qu´à ses ennemis), experte en explosifs (enfin presque, un jour elle a fait sauter par mégarde la moitié du QG).
— Ben dis donc, chanta Chris une fois devant elle, je vois que t´as gardé les bonnes habitudes. Tu utilisais déjà ce masque dans les années 70. D´ailleurs t´es la seule à conduire un corbillard. T´es en mission ? Tu reprends du service ? C´est pour échapper à ton fan club de males en rut ? Tu te souviens quand on a rancardé ces deux ploucs de routiers dans un motel et qu´on les a menottés au plumard ? Qu´est-ce que tu as pu leur mettre dans la tronche ! Ou quand on a foutu le feu au palais d´Amine Dada ? Ah c´était le bon vieux temps ! Ben t´as une sacrée chance d´être tombée sur moi. J´étais allée à Boulder City mais je me suis chopé un arbre en revenant, pas loin d´ici. Faut dire que j´avais pas mal picolé aussi. Bon, pas grave, j´avais fauché la bagnole, vu que j´avais emplafonné la mienne y a une semaine. Tu me connais, quand y en a plus, y en a encore.
Chris n´avait pas changé. Elle tchatchait toujours autant. Des types avaient passé l´arme à gauche rien qu´en l´écoutant déblatérer. Elle continua :
— Tu sais que j´ai un rade à Las Vegas ? Maintenant qu´on s´est retrouvées, on se quitte plus. Je t´invite. On va s´en jeter un derrière les nichons. Tiens t´as changé de clébard ? Tu donnes dans le mini. D´hab tu te trimballais toujours avec des molosses. Tu te rappelles quand t´as lâché Predator sur le dirlo de la communication, parce qu´il avait osé dire que t´étais trop combattante sur le terrain, relatif à quelques bavures ? Fallait pas te chercher, on te trouvait tout de suite.
Chris lui passa le bras autour de l´épaule. Secoua le ciboulot. Crachota :
— Comment tu me trouves ? Je me suis fait refaire le portrait, un lifting, et dernièrement une liposuccion, je commençais à avoir une bedaine et un cul de vache, normal, la bibine. Et t´as vu maintenant ? Miss America! Les lolitas peuvent s´aligner ! On est les meilleures, hein, pas vrai ma grande ?
Poupi venait de s´accrocher à la botte droite de Chris et ramonait costaud du derche.
— Je crois que ton clébard m´a à la bonne, on dirait, qu´elle rigola, je les excite tous, normal, on m´appelait pas Chris la tombeuse pour rien. Ça me fait penser à Donald, tu te rappelles, le gars…
Planqué dans la jeep pas loin de la station-service, les yeux scotchés sur les jumelles, Jo blablata :
— Ben dis donc, elle s´est dégotée une copine, une grande brune, elles ont l´air de bien se connaître, et elle pas l´air commode du tout. Vu l´allure, elle doit savoir manier le chlasse, et pas pour peler des patates
— Je le savais, cracha Persée, les doigts vissés sur une bouteille de Jack Dany déjà bien entamée, elles bossent en duo. Peut-être même qu´il y en a d´autres. On est tombés sur un nid de serial killeuses.
Il s´enfila une longue rasade de whisky dans le gosier.
Ourse tentait de repousser les avances du révérend Fulton. Il avait arrêté la Triumph sur le bas côté de la route en entendant "True Love" à la radio, excité par la voix sensuelle d´Elvis, et il s´était jeté sur la nonne, les yeux révulsés, la bave aux dents, les doigts baladeurs.
— Arrêtez, Karl, vous êtes devenu fou ? Pensez à notre mission ! Soyez raisonnable, le Seigneur nous regarde !
— Allez, Oursinette de mon cœur, laisse-toi aller aux plaisirs que le Seigneur a créés. Tu es si croustillante avec ta mini en cuir.
— Ça suffit maintenant ! s´écria Ourse en agrippant ses cheveux.
A sa plus grande surprise, ils lui restèrent dans la main.
— Ma perruque ! s´exclama Karl affolé, rends-la moi !
— A une condition, qu´elle répliqua en la tenant hors de sa portée, tu seras un très gentil garçon bien obéissant. Sinon panpan cucu.
— Oui, je serai un très gentil garçon bien obéissant, mais rends-la moi !
Ourse lui redonna la perruque. Karl s´empressa de la remettre sur son crane lisse en tremblotant. Puis il la regarda avec des petits yeux intimidés et articula :
— Dis, tu me feras panpan cucu ?
— On roule et on se tait ! gueula Ourse.
— Oui maman, répondit Karl.
Et il démarra.
Ne pouvant plus me connecter hier soir , je viens de prendre connaissance de la suite...
Blue, tu es le meilleur. L´arrivée de Chris ne me surprend pas, on s´y attendait un peu mais les retrouvailles avec Mamie Génial !
Quant à nous deux, le vrai couple d´amoureux. Cependant, il faut que je te remercie pour une chose : merci d´avoir marqué "ma puce (j´adore , quand on sera installés et que j´aurai trouvé un boulot" et non "quand je t´aurai trouvé du boulot"
Blue pour ce moment de pur bonheur dans la saga et sur ce topic
Génial, Super! Tu es le meilleur! Je suis : mort: de
Je savais que je retrouverais ma copine, toujours aussi battante, toujours aussi sur la défensive, tout comme moi d´ailleurs, mais m´appeler vieille crapule, là c´est un peu fort, tu aurais pu mettre vieille canaille
Tout d´abord, te rappelles-tu de nos jeunes annes, des années 40. Très jeunes à l´époque mais déjà bien indisciplinées .Nous sortions d´un pensionnat religieux, mais nous ne connaissions pas Ouse à l´époque et ni tellement le Seigneur. D´ailleurs je ne sais pas qui protegeait qui?. Il ne savait pas tellement être présent car nous étions déjà très obstinées et nous collaborions déjà pas mal autour de nous. aussi, devait-il ignorer ce dont nous étions capables. Il nous laissait avec notre incertitude et nous battre avec notre conscience!
Te souviens-tu de nos voyages à Fontenay le Comte avec tout notre attirail, tantôt en bicyclette, pour tromper l´ennemi, puis en torpédo par la suite avec Dolce ma chienne à l´interieur pour notre défense?
En glanant tout d´abord des renseignements par ci par là, nous étions déjà dans un drôle de pétrin, mais le secret professionnel étant toujours présent, nous savions respecter le secret du silence, c´est pourquoi,que personne ne connaissait rien de nous!Toujours à l´affut!
Aprèsles années 60 - 70 -alors là c´est autre chose! Nous avons toutes les deux connues, cauchemars, bagarres, humiliations, mais battantes comme nous le sommes,nous avons pu toujours nous sortir de toutes les situations. Cela ne nous a pas empéchées de beaucoup rire
La coopération n´étant pas toujours facile,la communication non plus, nous avions beaucoup de problèmes de toutes sortes qu´il nous fallait résoudre toutes seules avec beaucoup de moments critiques et terribles à supporter.
Les éloignements volontaires nous permettaient de nous faire oublier pendant quelque temps, et de pouvoir ensuite refaire coucou aux moments les plus propices. Parfois les résultats dépassaient nos expériences. La encore "top secret" n´est-ce pas Chris?
Etant au service des autres, ce n´est comme bosser chez Mac Do, difficile de reprendre une vie normale après de telles années? La CIA, le FBI ou même l´armée, entre drogue, mafia ne s´arrêtaient pas là, les "huiles" de la CIA veillent toujours sur nous, mais nous sommes des dures à cuire et il nous fallaient bien plus pour nous abattre. Il ne fallait pas nous chercher car on nous trouvait tout de suite....
Mais revenons maintenant à Finefleur. Qu´elle est heureuse fifi, avec son diamant aux doigts, le couple de l´année quoi? Je verse une petite larme en pensant à votre bonheur de ce jour. J´espère que dans huit jours, vous serez mariés? J´espère que votre bonheur durera toujours, comme dans les contes de fée et que vous aurez beaucoup d´enfants!
Mais qu´est-ce que je viens de dire là. Ah non, je viens de lire que vous parlez déjà de bébé!!. Mais vous avez le temps d´y penser? Attendez tous les deux, je vous vois venir avec votre désir d´enfants... C´est bien ça, et dire que je ne l´ai pas vu venir. Bien sur que vous voulez un bébé, c´est tellement attendrissant?
Toujours les mêmes, mais qui s´en occupera? Je vous dis non tout de suite, ne comptez pas sur la mamie. J´en ai élevés 3, nenni! Ne comptez pas sur moi pour faire la nounou!Débrouillez-vous sans moi!Ils seraient bien capables de me le confier pour pouvoir faire la fête pour sortir tous les jours dans les boites de nuit?
Quant à Ourse, je la plains en ce moment. Entre le Seigneur et le révérend, elle me parait bien affolée et je me demande comment elle va s´en sortir et ni comment cela va finir. Faut-il te venir en aide Ourse? Si je refuse les enfants, je me propose de t´aider en priant notre Seigneur d´en venir à bout. Finefleur et blue n´ont réellement pas besoin de nous pour le moment.....
Mais pour le savoir, attendons encore et toujours la suite et la fin de notre feuilleton
toujours excellent blue
ps: quand tu sera marié,si ta femme t´embete,il me reste un stock de colliers anti....puce
mdr c´est excellent
j´esperais bien que ce serait moi qui viendrais mais la ça depasse toutes mes esperances ... Depuis 3 ans qu´on communique c´est incroyable comme tu me depeins bien ...
presque tout y est juste un truc je suis blonde mais brune apres le lifting c´est normal ... quand on change on change ... j´adore ma nouvelle image ...
Quand a Finefleur et toi hum ;; me demande ce que ça va donner ... la suite la suite ...
Hier doudou a eu ses trois minutes de rire annuel ... moi j´ai eu mon rire hebdomadaire ... quoi dromadaire ?
Je regrette plus la tomate