Sinon go first page et cherche la présentation de mon perso sauf qu'à la place d'avoir 43 ans il en a 52. Sa fille a bientôt 21 ans

Oh non J'ai juste du mal à comprendre comment il en est arrivé au combat final contre Solem

Bah...la première partie est sur la page d'avant

OK sinon ton perso ayant achevé sa vengeance il voudrait protéger ce qu'il aime mon futur empire assurera cette paix rejoins moi et purifions ce monde décadent

• ceux

Déjà il est grave blesser sur une planète paummè. Ensuite il aimerait bien avoir un peu des vacances, reprendre contact avec sa fille et bien sur s'installer à la citadelle avec Tara puisque son "casier judiciaire" va t-être laver grâce au marché qu'il a passer avec Aria. Tout calculer l'ami. Donc pas moyen de pression sur sa fille puisque plus d'accusation

Bof la manipulation n'est pas forcé la perspective d'un monde meilleur n'est elle pas attrayante

‘’Compagnie, halte au feu !
-Négatif, continuez de tirer !
-J’ai dis halte au feu !
-Contre-ordre, a toute la compagnie, utilisez toutes vos cartouches, je répète, utilisez vos cartouches
-Vous comprenez pas, c’est des civils bordel de merde ! Vous tirez sur des innocents, enculés d’humains ! Le commandement turien a charge de cette opération, arrêtez de tirer immédiatement !
-A tous les soldats sous mon commandement, ici le lieutenant d’infanterie Thomas Zanovich, 4e Régiment, IIIe Corps, 1ère flotte de l’alliance. Nous avons exactement 26 cartouches thermiques par personnes et 105 par armes lourdes, et je demande a chacun de mes hommes de les utiliser jusqu’à ce que tout ce qui a 4 yeux et qui est en face de nous ne bouge plus !
-Hey, on se réveille ma belle…’’

Booker était complètement dans les vapes, allongé sur le côté droit, accroché à une chaise. Sa vue était troublée et il avait des acouphènes. Il regardait au sol, du sang en abondance se répandait. Quelqu’un lui attrapais le cou, et le levais. C’était un homme, la cinquantaine, les cheveux noirs, qui commençaient a blanchir, une armure de combat cachée sous une veste noire, une matraque télescopique à la ceinture. Le portrait craché de Booker…

‘’Mon nom c’est Michael Fordam. Agent de terrain dans Ion. Inc, filiale de Stahl Arms, la plus grande méga-corporations d’armes, d’équipements militaires et de sociétés militaires privées. On est les meilleurs et les plus chers. Mais on propose aussi de la chair à canon alien, moins bien armée mais toujours meilleure que les soleils bleus ou Eclipse, ou alors des tarés d’ex-marines drogués… Officieusement, tout ce beau monde est sous le commandement d’un homme que tu vas adorer. Notre libérateur et notre Empereur, le Messie.’’

Fordam était impressionné par Booker. Si il s’était échappé des simples aliens de Radium, il aurait compris. Si il avait été plus intelligent que les vicieux de Warrior, il aurait applaudi. Mais qu’il ait pu échapper à Ion et aux cobayes de Stahl Arms…

‘’Dis-moi juste, avant de commencer, comment tu t’es barré du vaisseau Quarien ?’’

Des explosions et des alarmes retentissaient partout dans le vaisseau, tandis que des soldats Quariens s’excitaient :

‘’2-6, ici 2-Control, vous êtes la dernière unité en vie, répondez’’

Il y avait un cadavre devant la Spectre et le Terroriste. Les deux sortirent leurs armes, et pendant que Booker surveillait derrière eux, Zeiza observa son corps, où une radio fonctionnait :

‘’2-6, répondez, toutes les unités 2 sont anéantis, ont a été percés, on est fini-
-Ici le Spectre Zeiza Irin, répondez.
-Quoi ? Putain de… On est envahi, le vaisseau a été isolé pendant le trajet par le relais, et des pirates se sont infiltrés, où est Teja ?
-Il est mort.’’

Il y eu un silence. On entendais le Quarien respirais. Pendant que Zeiza se tenais devant le corps inanimé du soldat, Booker s’approcha d’un coin sombre :

‘’Qu’est-ce que vous venez foutre ici, Spectre ?
-Nous étions en mission, c’est privé… Savez vous comment accéder au navettes ?
-Les pirates ne sont pas là pour capturer le navire. Ils sont là pour le voler. Ils ont déjà expédié tous les pods et navettes.
-Comment on fait, alors ?
-Venez me voir au niveau -3. C’est le doc ingénieur, il est attaqué, et c’est là que le reste de la résistance se trouve. Teja a un pass sur lui.’’

Zeiza récupéra le pass, et vit, en se relevant, que Booker avait disparu. Il était parti au bout du couloir.

‘’Book ?’’

Quelque chose n’allait pas. Elle arma son pistolet, et se mit ne position de combat. Elle avança, et activa une torche, quand une voix l’arrêta net :

‘’Mais tu fout quoi au juste ?’’

Elle se retourna, et mis quelqu’un en joue :

‘’Oh putain, tu calme, baisse ce truc…’’

Booker mis ses mains devant le pistolet de Zeiza. Celle-ci rangea son arme, calmement, et Booker baissa ses bras. Quand soudain, la Turienne le pris par le col, et le plaqua contre le mur :

‘’Qu’est-ce qui va pas avec vous ?
-Je… J’ai vérifié qu’il n’y avait pas quelqu’un. Un Quarien mort d’un coup de couteau alors que tout est fermé dans ce secteur, c’est louche…
-Et vous avez trouvé quelque chose ?
-Bah, toi…’’

Zeiza se senti soudain observée :

‘’Et vous pensez qu’il y a quelqu’un ici ?
-Peut-être…
-Et il peut nous tuer.
-Sûrement.
-Cela va être dur d’atteindre l’ascenseur.
-Probablement’’

Zeiza lâcha Booker, et couru de l’autre côté de la pièce, talonnée par Wells. Les deux entraient dans l’ascenseur, et les portes commencèrent a se fermer, quand une explosion les poussa au fond. Les portes se rouvrirent. Une main métallique empêchait sa fermeture.

Maintenant, tout le couloir était en feu. Une figure étrange se postait devant eux. Une personne avec une armure blanche, dure, et sur le visage, une sorte de casque intégral avec deux lumières rouges. Quelque chose sorti du bras gauche de cette chose : Une lame intégrée, longue et aiguisée, faite pour frapper d’estoc. Booker eut juste le temps de lire ce qui était écrit sur le torse de cette personne : ‘’Stahl Arms’’, avec une pyramide en guise d’insigne.

La chose poussa un cri strident. Un cri fort, ressemblant à une craie qu’on raye sur un tableau, et chercha a planté sa lame dans Booker. Celui-ci l’évita de justesse, et planta un couteau dans le corps du tueur. La lame se brisa contre l’armure. Il pris la gorge de Booker, et l’écrasa contre la paroi de l’ascenseur, et commencer a serrer.

Zeiza se releva, et plongea pour son arme. Elle tira une balle dans son corps, elle aussi arrêtée, mais la chose lâcha Booker. Elle se retourna vers la spectre et commença a marcher, quand les portes de l’ascenseur se refermèrent. Ils allèrent vers les salles d’ingénieurs.

La porte de la salle d’interrogatoire s’ouvrit brusquement. Booker n’avais même pas assez de force pour lever sa tête. Il tremblait, il était déboussolé, blanc, tandis que son sang continuait à se répandre sur le sol.

Un homme entra calmement, accompagné de deux soldats, dont les lumières rouges se voyaient dans l’obscurité. Il fit un signe à Fordam de sortir, et seul les deux militaires restaient en faction devant la lourde porte blindée qui se fermait.

L’homme resta un moment dans l’ombre, les bras ballants, regardant son œuvre.

‘’Thomas… Enfin…’’

Booker reconnaissait cette voix. C’était la même qui l’avais parlé avant que le bâtiment explose et que le trio de turiens se fasse tués. Une voix raque, obstruée, grave…

L’homme s’approchait, entra de fur et en mesure dans la lumière :

‘’Thomas Zanovich… Compagnie B, 1ère escouade, 4e régiment d’infanterie…’’

Il s’avançait vers Booker, et lui cassa la mâchoire d’un énorme coup de poing. Booker releva sa tête, qui parti en arrière, ensanglantée. Il toussa du sang, avant de voir clairement cet homme :

‘’Novak… Sergeant Novak Salkanivic…
-Ouais… Ouais Tom, c’est moi…’’

Novak alla dans l’obscurité chercher une chaise, qu’il posta devant Booker, et où il s’assit.

‘’Alors… T’as changé…
-Pas autant que toi.
-Oh, ça…’’

Novak été brûlé. Sa peau était noire, ses yeux étaient métalliques : Ils avaient été remplacés par des implants. D’ailleurs, tous les trous sur la peau de Novak avaient été remplacés :

‘’Oui, c’est vrai. Mais toi alors… Tu bosses pour Cerberus, tu bute des gens pour de l’argent, tu combat sans aucun but… Où il est passé le taré qui nous obligeait a tirer sur des civils ? A exécuter des turiens blessés ? A balancer des nouveaux-nés par les fenêtres… Hmm ?’’

Booker relevait sa tête. Sa mâchoire était anéantie, et il regardait droit dans les yeux Novak :

‘’Pauvre merde hypocrite… pourquoi tu bute tous ces gens, toi ?’’

Novak se releva, et frappa la chaise d’un coup de pied :

‘’JE TUE PAS POUR LE FRIC, MOI !’’

Il donna des coups de poings dans le ventre de Booker, avant de jeter sa chaise à terre. Booker chutais, toujours attaché. Cette fois-ci il vomit du sang. Novak fit quelques pas vers lui, et se coucha face à lui :

‘’J’ai trouvé une utilité, moi… Un nouveau monde. Libre du conseil. Libre de l’Alliance. Libre des intérêts financiers. Libre de l’armée. Libre des gens comme toi…’’

Salkanavic posa sa main sur l’épaule de Wells :

‘’Combien t’as payé Cerberus pour venir m’éliminer, hmm ? Tu savais qu’ils étaient au courant que j’allais tuer les 3 turiens et qu’ils t’ont fait venir pour que tu te fasses tuer ? Irin, Einhardt, Saal… Tous ces cons la s’imaginent pas a quel point j’ai toujours un coup d’avance. J’ai appris de toi…’’

Il se releva, et se dirigea vers la porte, qui s’ouvrit :

‘’Tu me déçois, Thomas. Quand j’ai appris que t’avais survécu à Meat Hill, je croyais que tu serais un bon adversaire. A la place, tu va crever par terre, comme un chien, lentement, a cause de la perte de sang… Au revoir.’’

Il commença à sortir, quand Booker hurla vers lui :

‘’OU EST ZEIZA ?’’

Novak se figea net. Il retourna dans la pièce, marchant d’un pas rapide :

‘’Qu’est-ce que t’en a à foutre ? Qu’est-ce que t’as jamais eu à foutre ?
-C’est juste que si tu peux pas confirmer qu’elle est morte… Elle va revenir… Et elle va te buter…
-Ca m’étonnerais.’’

Novak se retourna vers Fordam, qui avait attendu à l’extérieur de la pièce :

‘’Michael, retournez sur Oméga. Prenez des hommes d’Ion avec vous. Et vous me rapportez sa tête.’’

Fordam salua, et parti.

‘’Pourquoi est-ce que tu t’intéresse à Zeiza ? Tu t’en foutais quand t’as appris que Julian avais disparu…
-Je m’en foutait pas… C’est juste qu’on devais continuer…
-Tu mens Tom. Tu mens comme tu respire, sale merde… Tu t’en branlais… T’es jamais retenu le chercher…
-Oh si, je suis retourné le chercher, seul, pendant que tout le monde se préparais à l’évacuation…
-C’était ça Anchorage ? Tu as menti à tout le commandement pour récupérer UN homme ? T’as envoyé à la mort 51 soldats pour en sauver UN ?
-Non, tu pige toujours pas… Approche…’’

Novak s’agenouilla :

‘’Anchorage, c’était du vrai… On a vraiment désactivé des bombes… Mais en plus, c’était où Julian c’était caché… Quand je suis parti dans l’aile ouest avec mon frère, on l’a sauvé, et on est parti tuer les 2 enfoirés… On a eu le chef, mais le second est parti, avec une bombe désactivée… Et il a tué mon frère et Julian…’’

Booker fit une pause pour reprendre sa respiration de façon douloureuse :

‘’Je suis désolé pour ce qui est arrivé aux 51 soldats, et toi… La grenade… J’ai crut que t’étais mort… Mais j’ai JAMAIS laissé un homme derrière… Y compris toi Novak…’’

Novak se passa la main sur son visage, et regarda à l’autre bout de la pièce. Il attendit quelques minutes, avant de crier :

‘’NON ! Tu mens… C’est pas vrai… C’était t out faux… T’as tué ces soldats… Comme t’as tué toutes ces personnes… Comme t’as toujours tué… Et après, t’es devenu chrétien, mais tout ce qui s’est passé, c’est que t’es devenu encore pire… T’arrête pas de tuer… Je vais rendre au monde un sacré service.’’

Il se releva :

‘’Va te faire foutre, Tom… T’as jamais été rien. T’as tué quand t’étais un Biker. T’as tué quand t’étais un mercenaire. T’as tué quand t’étais un soldat. T’as tué quand t’étais avec Cerberus. T’as même tué quand t’étais à l’orphelinat… Ton frère m’en a parlé…’’

Il quitta la pièce, et la porte se ferma.

Bon chapitre J'ai hâte de voir la suite

Welda, si tu veux on oublie le passage que j'ai écris avec Fordam et je le réécrirais quand t'aura finis ta mission ? mais sauf que sa va se passer à la citadelle et sa me permettrait par la même occasion de faire quelque chose d'autre

Comme tu veux, mais j'aimerais bien que le prochain chapitre se passe du point de vue de Zeiza

C'est mieux

Très bon chapitre Welda

joncour je t'attends pour pouvoir poster MON truc.

Pardon, je continue d'écrire, je devrais le poster en fin d'après-midi

Ouai là je veux la suite ! A quand la suite ? Dans 1 minute ? 10 minutes ? 1 heure ? quel jour ? Quand il fera beau ? dans 5h36 mn 56 s et 78mil ?

Comme je n'ai rien trouvé à rajouter ou à corriger je la poste. C'est un petit chapitre

Lorsque Dan avait ramené la frégate de Pat à la Citadelle, avec les esclaves, Udina lui avait envoyé un message exprimant «ses sincères remerciements» et qu'il pouvait garder le vaisseau. Quel faux-cul ce type... pensa Dan en lisant le message. Après avoir contacté sa sœur au SSC pour qu'elle s'occupe des esclaves qu'il avait déposé à la Citadelle, il avait consulté la liste des contacts de Pat, et s'était dit qu'allait commencer par le trafiquant d'esclaves installé sur Virmire. Il avait trouvé un équipage «réduit» dans la zone de rétention: un navigateur, un timonier, etc... Au final il se retrouva avec dans son équipage trois asari, cinq Turiens, deux galariens et huit humains. Le strict nécessaire pour manipuler correctement la frégate dont il venait d'être fait commandant. Il allait partir pour Oméga chercher des informations sur d'éventuels trafiquants d'esclaves des soleil bleus installés sur Virmire. Le trajet ne fût pas trop long, bien qu'il s'ennuya à mourir. L'ambiance était «silencieuse» à bord du vaisseau. Il établit mentalement son emploi du temps à Oméga: Je vais voir Aria, pour des informations sur un trafic d'esclaves à Virmire, si elle n'en a pas, j'interroge le premier soleil bleu que je croise. Ensuite seulement, je vais au bar. Cette fois, lorsqu'il s'approcha de la loge, aucun des gardes du corps d'Aria ne lui barra la route. Bonne nouvelle se dit Dan, Aria a du leur faire comprendre que je suis avec eux.

Aria: Tien, bonjour Dan.

Dan: Je me suis dis que je pourrais passer te rendre visite.

Aria: Tu as bien fait, ça fait toujours plaisir...

Dan: J'ai quelques questions qui me trottent dans la tête.

Aria: Vas-y, je t'écoute, c'est le moins que je puisse faire pour te remercier d'avoir sauvé Butch.

Dan: J'aimerai savoir si te n'aurais pas entendu parler de trafic d'esclaves sur Virmire ? Je suis tombé sur une frégate qui en transportait une cinquantaine, ainsi qu'une grande quantité de sable rouge. Quand j'ai interrogé le commandant, il m'a dit que les esclaves lui provenaient d'un trafiquant implanté sur Virmire.

Aria: Hum... J'ai quelqu'un qui est allé sur Virmire. Je l'y avait envoyé pour mettre fin à des agissements des soleils bleus. Comme tu es un de mes homme les plus digne de confiance, je vais te dis ou tu pourra le trouver.

Dan: Merci, j'apprécie beaucoup.

Aria: Je suis sûre que tu trouveras le moyen de me rendre service pendant cette mission.

Dan: Je l'espère. On se reverra après que j'ai vu Dante. Merci encore.

En s'éloignant de la loge d'Aria, il se sentit chanceux de l'avoir plus ou moins comme amie/protectrice. Peu de gens on cette chance. Se dit Dan. Sans elle, il se sentirait beaucoup moins en sécurité au moment de s'endormir. En arrivant à l'adresse que lui avait donné Aria, il fut pour le moins surpris: il y avait des traces de sang au sol et sur les murs, mais apparemment les cadavres dont provenaient cette peinture avaient été enlevés. Il toqua trois coups bien détachés à la porte. Un homme lui ouvrit la porte. Il avait visiblement le même âge que lui et tenait un revolver dans sa main droite, la gauche était bandée. Ce fut lui qui parla en premier :

Dante: Salut. On se connaît ?

Dan: Je pense pas. Je suis Dan Blamon. Tu es Dante ? fit Dan en tendant la main. Aria m’a dit que tu avait des infos sur un trafic d’esclave mené par les Soleils Bleus sur Virmire.

Dante: Ouais j’ai des infos. Bon rentre. fit Dante en s’écartant pour le laisser passer.

L’appartement était…. noirci , fumant et des flammes se voyaient encore à certaines endroits. Dante remarqua son regard:

Dante: J’ai trouvé que la déco n’était pas assez flamboyante alors je l’ai refaites à la grenade incendiaire.

Dan: Je suppose que tu l’a pas fais tout seul. Tu as rien trouvé de mieux que des soleils bleus comme pots de peinture ?

Dante: Bien vu, deux Soleils Bleus m’ont aidé. Une asari et un drell. D’ailleurs l’asari m’a servie à repeindre le couloir.

Dan: Je vois. Et pour les infos ?

Dante: Je les ai posés sur ma table. Donc elles sont par terre.

Dante se baissa. Dan le vit poser sur la table (en bois) une pièce de monnaie qu’il avait gardé en main pendant toutes la conversation.

Dante: Dis moi Dan, pourquoi tu bosses pour Aria ?

Dan: Je bosses pour ceux qui paient le mieux entre l’Alliance et Aria. J'essaie de rendre service, tout simplement.

Dante: Je vois. Pas Cerberus donc.

Dan: Non. Et toi, pourquoi tu bosses pour Aria ?

Dante: Parce que, quand je suis parti de chez moi, je voulais changer de vie, faire quelque chose d’intéressant. Il se releva avec un datapad qu’il lui tendit. Voilà tes infos.

Dan: Merci beaucoup. Je suis un peu pressé (de revoir Aria ), mais si t’a besoin d’aide pour ta déco un jour tu peux toujours m’appeler. (Dan se dirigea vers la sortie)

Désormais, il n'avait plus qu'à aller voir Aria et retourner au vaisseau. Il dirait à Aria qu'il avait les infos et la remercierait. Il retournerait ensuite sur son embarcation vérifier deux-trois détails. Et au passage il prendrait deux ou trois bières. Une fois de retour à la loge d'Aria, il se dit que faire bref pour une fois ne lui ferait pas de mal et ferait gagner du temps à Aria qui était apparemment un peu «occupée» ces temps-ci.

Aria: Déjà de retour ?

Dan: Dante avait toutes les infos dont j'avais besoin, merci beaucoup.

Aria: Il n'y a pas de quoi.

Dan: Merci encore, je vais y aller. Je reviendrai te dire coucou une fois que ce sera réglé.

Aria: Alors à plus tard.

Au bar, il commanda deux bières butariennes et les but cul-sec toutes les deux. Il sentit une chaleur réconfortante grandir en lui, mais l'ambiance semblait maussade, et personne ne semblait faire chier trop de monde pour justifier un cassage de gueule en règle. Il décida de retourner au vaisseau pour partir de l'astéroïd au plus vite.
Lorsqu'il arriva dans son vaisseau, l'ambiance était la même que lorsqu'il l'avait quitté: Un silence de mort hormis quelques discussions à voix basse et le bruit des machines. Il décida d'aller faire un tour à l'armurerie. Son armure était équipée de petites plaques de métal aux niveaux des genoux, des coudes, des épaules ainsi que des omoplates: Il était impossible de lui faire une clé de bras: l'armure empêchait le bras d'aller plus loin que l'os le permettait. Après cela, il resta pendant quasiment tout le voyage dans sa cabine à se reposer et se concentrer sur le but de sa mission: Trouver le responsable du trafic d'esclaves en provenance de Virmire, et mettre fin à ses activités. Sa secrétaire, une magnifique asari au beau visage et aux formes voluptueuses, chargée de tout ce qui était «administratif» à l'intérieur du vaisseau l'appela:

Secrétaire: Monsieur Blaton, nous arriveront sur Virmire dans cinq minutes.

Le temps semblait avoir passé plus vite qu'il ne l'avait imaginé.

Secrétaire: Je capte des communications dans une base qui appartiendrait aux soleils bleus.

Dan: Bien, j'arrive.

Classe de l'action et un peu de poésie parfait

Ton perso est pas emo je taquinais le gougeon
Cette d'idée d'Arène est intéressante je la reprendrais (peut être contre tes persos )