Faen est un Dunmer aussi non ?
Oui Faen est un Dunmer mais né en Yokuda
À quand la suite ?
Hier ;)
Chaud, j'ai pris du retard. On va dire que la suite sortira demain
Merci d'avance
Dans ce cas vivement demain
Chapitre 79 :
Alors qu’ils couraient à toute allure à travers la jungle, la végétation vibrait autour d’eux et s’animait. Ils entendaient les pas lourds et effrénés de l’Arbre Ayazambë derrière eux qui, juché sur ses hautes racines, les poursuivaient tel un chien affamé.
C’était une course haletante dans l’obscurité. Le premier faux pas leur coûterait la vie.
Edwin, d’une incantation, matérialisa une boule lumineuse flottant au-dessus d’eux et progressant à leur vitesse. Sandre jeta un coup d’œil derrière son épaule. Il pâlit.
L’Arbre Ayazambë était plutôt lent à se déplacer, normalement, mais cette-fois, c’était carrément l’herbe et les feuilles sur le sol qui se mouvaient pour le porter et le faire avancer rapidement.
-Il nous rattrape ! Accélérez le rythme !
-Je fais… ce que… je peux… répondit Edwin.
Le mage était à bout de souffle. L’usage régulier de magie usait aussi bien moralement que physiquement. Edwin avait beau être un mage d’exception, il n’en restait pas moins humain. Sandre pouvait presque entendre son cœur battre dans sa poitrine.
Mais le fait était que si les trois hommes continuaient à cette vitesse, l’Arbre Ayazambë arriverait bientôt à leur niveau. Et ils n’avaient aucun moyen de lutter.
Zimo lança un regard sombre au mage, comme hésitant, avant de sortir de sa tunique les fioles contenant la sève. Il garda la sienne dans sa poche et tendit les autres à Sandre. Le jeune homme le regarda faire avec des yeux ronds, sans comprendre. Puis, tout en bondissant par-dessus un rocher, il secoua vivement la tête.
-Oh non Zimo, je sais ce que tu veux faire ! C’est hors-de-question !
-Prend-les, Sandre.
-Non, je refuse de faire ça ! Tu vas continuer avec nous, que tu le veuilles ou non !
-On sait tous les deux qu’il faut quelqu’un pour le retenir. Sinon, on est mort.
Edwin, la main crispée sur sa poitrine, soufflait comme une forge, le front luisant de sueur. Mais il reporta son attention sur le Khajiit et grimaça.
-Ne joue… pas à ça… Tu n’es pas… un héros !
-Je sais. Sandre, prend.
-Non.
-Prend !
-Non !
-Tout ce qu’on a fait n’aura donc servi à rien ?
-Non… c’est…
Zimo soupira.
-Dans dix secondes, je vais m’arrêter et je vais essayer d’occuper l’Arbre Ayazambë. N’essaie pas de m’aider, tu me gênerais. Tout seul j’ai… une chance de m’en sortir. Cet environnement, c’est le miens. Toi, dans la nuit, avec tes yeux d’humains, qu’est-ce que tu pourrais faire ? Je suis un Khajiit. J’ai l’agilité et l’endurance.
-Ça ne servira à rien face à ce monstre !
-On ne peut pas savoir tant qu’on n’a pas essayé. Dans tous les cas, je vais m’arrêter. Si je garde les fioles sur moi, il ne fait aucun doute que je vais les perdre ou les renverser. Dans ce cas, vous aurez tous perdus la course. La Grande Marche s’arrêtera, pour vous. C’est ce que tu veux ? On a risqué nos vies, là-bas, et nous étions prêts à mourir.
-Je…
-Prend-les, Sandre.
C’était Edwin qui avait parlé. Il fixa Zimo un instant.
-J’espère que… tu sais ce que tu fais.
Zimo sourit d’un air cynique.
-Si je te dis que non ?
-Je m’en… doutais.
Sandre les regarda tour à tour, sans cesser de courir, d’un air effaré.
-Edwin, tu… tu ne vas pas le laisser faire ça, bordel ?
-Il faut que quelqu’un se sacrifie… pour que les autres puissent continuer. Je ne… suis pas en état. Et toi… tes compétences ne te permettent pas… de retenir l’Arbre.
-Non ! Je ne veux pas entendre ça !
-Désolé… Sandre, fit Edwin en souriant à son tour. Je suis quelqu’un… de très pragmatique.
Sur ces paroles, alors que Sandre ouvrait déjà la bouche pour répliquer, Edwin passa rapidement sa main devant son visage. Une brève lumière l’illumina, avec un choc sourd, et Sandre s’effondra sur lui-même, les yeux fermés.
Edwin le rattrapa rapidement et, avec un halètement d’effort, le jucha sur son épaule.
Zimo fronça les sourcils.
-Une simple… Onde Mentale, dit le mage. Il dormira quelques heures.
-Merci.
-Bah… Quoiqu’on aurait pu lui dire… il se serait arrêté pour… te prêter main forte. Une mort… inutile.
-Je sais.
Zimo tendit les fioles à Edwin. Le mage les prit et les fourra dans sa tunique. Zimo hocha la tête.
-Ne m’attendez pas pour continuer.
-C’est-à-dire ?
-Ne m’attendez pas, c’est tout.
-Très bien. Tu as ta fiole sur toi. Tu nous rattraperas. On se revoit plus tard.
-C’est ça. Bonne chance pour la suite.
Derrière eux, l’Arbre se rapprochait de plus en plus. Il fouettait furieusement l’air de ses branches. Zimo ralentit, puis s’arrêta totalement, alors qu’Edwin continuait sa course et disparaissait dans l’obscurité de la jungle.
L’Arbre, presque intrigué, se stoppa net lui-aussi. Une racine fusa vers Zimo. Le Khajiit tourna sur lui-même et la trancha d’un coup de poignard. Il gémit de douleur. Son articulation déboitée lui faisait toujours aussi mal.
Ça s’annonçait risqué.
L’Arbre vibra de colère et s’abaissa. Toutes ses branches s’abattirent à l’endroit où se trouvait Zimo. Non… Où Zimo ne se trouvait plus.
Le Khajiit avait roulé sur le côté et s’élançait déjà dans la jungle, dans la direction opposée de celle d’Edwin et du reste du groupe. L’Arbre pivota vers lui, ayant complètement oublié ses autres proies.
Alors que Zimo se frayait tant bien que mal un chemin dans la végétation, assaillie de toute part par les lianes et les ronces, l’Arbre se lança à sa poursuite.
Le couloir était humide et froid. Une brume opaque y flottait. Les torches, accrochées aux murs, y étaient toutes éteintes et glacées. Aucune fenêtre ne permettait de voir quelle heure il était, à l’extérieur.
Shuzug frémit et se frictionna les bras. Sa musculature lourde et puissante s’activa et il se mit en marche. De la vapeur sortait de sa bouche et de ses narines à intervalles réguliers.
Le couloir était long et droit. Pourtant, l’Orque s’arrêtait souvent, hésitant à avancer, comme s’il ne savait pas quel chemin à prendre. Mais il fallait se rendre à l’évidence. Il n’y en avait qu’un. Seulement, l’endroit où l’amenait le couloir… ne lui plaisait pas.
Des murmures résonnaient, tout au bout, provenant de l’autre côté d’une petite porte rouge. Une toute petite porte rouge insignifiante, incrustée dans la paroi de pierre sombre. Elle était entrouverte. C’était comme… une invitation à l’emprunter.
Shuzug avança.
Les murmures qui venaient de la porte glissaient sur le sol, se répercutaient sur les murs avant de parvenir, amplifiés et déformés, aux oreilles de l’Orque, incompréhensibles. Mais ils étaient clairement hostiles.
Shuzug continua. Lentement. Sûrement.
Et la porte rouge se rapprochait. La toute petite porte rouge.
Il s’arrêta à quelques mètres d’elle et regarda en arrière.
Le couloir s’étendait sur une centaine de mètre avant de disparaître dans l’ombre, telle une route infinie. La brume opaque s’était intensifiée. Une goutte de sueur perla le long de la tempe de Shuzug. Etrange de transpirer, alors qu’il faisait aussi froid.
L’Orque reporta son attention sur la porte.
A sa grande surprise, elle s’était refermée. Mais… avait-elle seulement été entrouverte ? N’était-ce pas un tour de son imagination ?
Les murmures s’étaient tus également.
La porte se mit alors à trembler sous des impacts sourds, comme si quelqu’un, ou quelque chose, la frappait de l’autre côté afin de sortir. Shuzug déglutit. La porte était là, juste devant lui. Il n’avait qu’à tendre le bras et la pousser pour voir ce qui se trouvait de l’autre côté.
La porte rouge. La toute petite porte rouge.
Doucement, avec des gestes prudents, Shuzug posa ses doigts sur le bois de la porte. Un frisson parcourut sa nuque. Elle était chaude. Bouillante, même. Elle irradiait d’une chaleur extrême, qui contrastait avec le couloir glacial.
Shuzug ferma les yeux et inspira profondément.
Alors, il poussa la porte.
Il rouvrit brusquement les yeux.
-Non !
Deux mains le saisirent par les épaules et le maintinrent immobile. Une de ces mains avait un aspect grisâtre, comme si elle était faites de pierre.
Shuzug secoua la tête violemment.
-Non ! Non ! Ne me forcez pas à faire ça !
-Shuzug, reste lucide ! Concentre-toi sur moi !
L’Orque reporta son attention sur son interlocuteur. Assis en tailleur à même le sol, face à lui, Jayën le fixa et plongea ses yeux jaunes hypnotisant dans les siens. Shuzug déglutit bruyamment et tenta de calmer sa respiration paniquée. Jayën rapprocha son visage du sien.
-Tu es avec moi ?
-O… Oui.
-Ça va aller. Tu as bien progressé.
-Je n’y arriverais pas, Jayën… Je ne peux pas…
-Tout va bien. Tu es ici, tu n’es plus là-bas. Tu n’as rien à craindre.
-Mais…
-Hier encore, tu étais incapable d’aller jusqu’à la porte. Aujourd’hui, tu es parvenu à la toucher et à la pousser. Ton esprit bloque encore au moment de voir ce qui se trouve derrière mais ce n’est pas grave. Nous recommencerons autant de fois que cela sera nécessaire et tu y arriveras.
Shuzug se dégagea de la prise de Jayën et se releva. Il mit ses mains sur ses hanches et baissa la tête. Au-dessus de lui, la Lune était haute dans le ciel. Au moment où il était entré dans ce couloir… Il était à peine midi.
Il y était resté plus de dix heures.
Chaque immersion dans son subconscient était de plus en plus longue et de plus en plus difficile. Shuzug craignait de ne plus pouvoir en sortir, un jour. Le jour où… il verrait ce qui se cache derrière la porte rouge.
Jayën se redressa et épousseta ses vêtements.
Shuzug posa les yeux sur son bras noir et décharné, sec comme un morceau de charbon. La malédiction n’avait pas progressé, c’était déjà ça.
Il remarqua qu’il tremblait, fébrile. Les méditations et les exercices mentaux de Jayën le laissaient épuisés à chaque fois. Il sentait la faim le ronger de l’intérieur. Pas une faim ordinaire. La faim du démon qui logeait dans ses entrailles.
Depuis qu’il avait rencontré Jayën, au moins, le démon ne s’adressait plus à lui et ne le harcelait plus. Mais il était toujours présent. Et Shuzug sentait qu’il attendait le premier instant de relâchement pour sortir et libérer sa fureur.
Il savait que Jayën possédait aussi un démon du même type, au fond de lui, mais il ne l’avait jamais vu se transformer. Il ignorait s’il était assez fort pour le contenir, dans son état bestial. Shuzug l’espérait sincèrement.
Jayën était le seul qui pouvait l’aider.
-Qu’est-ce qui… Qu’est-ce qu’il se passera si je pousse la porte complètement ? s’enquit Shuzug.
Sa voix était redevenue normale. Il avait repris son calme et son air grave. Jayën resta silencieux un moment.
-Tu rencontreras le mal qui te ronge. Tu l’affronteras. Ce sera la première étape pour apprendre à le dompter, mais aussi la plus ardue. Je ne te cache pas que… tu y risqueras ta vie.
-Mais ce couloir, c’est mon esprit qui le crée de toute pièce, non ?
-Certes, mais ton esprit et celui du démon sont liés. Il est autant chez-lui là-bas que toi. Tu vis dans le couloir. Son territoire à lui se trouve derrière la porte. Chaque fois que la malédiction gagne du terrain sur ton corps, c’est comme si les gonds de la porte s’affaiblissaient un peu plus. Le jour où le mal te recouvrira, alors la porte explosera, et tu seras à la merci du démon. Tu deviendras lui, et il deviendra toi.
-Non. Ça n’arrivera pas.
-C’est pour ça que tu dois prendre l’ascendant et pénétrer son territoire avant qu’il ne pénètre le tien. Fais lui face. Bat le à son propre jeu. Et repousse-le. C’est seulement à partir de ce moment-là que je pourrais t’enseigner à le maîtriser, à le canaliser, et à l’utiliser.
Shuzug secoua la tête.
-Je ne veux pas l’utiliser. Je veux m’en débarrasser.
-C’est impossible, je te l’ai dit. Tu ne peux le faire disparaître, mais tu peux t’en servir. Comme d’une arme, ou d’un outil bénéfique. Dans ton état, c’est une malédiction, mais il peut devenir une bénédiction.
-Et toi, comment l’utilises-tu ?
Jayën regarda sa main.
-Chaque démon à ses capacités propres. Le tien est sauvage. Il n’est bon qu’à tuer et à ravager. C’est un diamant brut. L’entraînement que je compte te faire suivre visera à le tailler, à le polir, à lui donner une forme, afin qu’il révèle ses véritables pouvoirs.
Il releva la manche de sa bure mauve et révéla son bras dans son intégralité, rocailleux et craquelé.
-Le miens me permet de voir l’avenir des autres. Ainsi que le miens. Des bribes, seulement, mais avec le temps et l’expérience, j’ai appris à les lire avec précision, et à m’en servir pour mon compte. C’est comme ça que je t’ai trouvé, Shuzug. Je t’ai aussi dit que j’étais un guérisseur, dans le passé. Depuis que j’ai le contrôle sur mon démon, mes capacités magiques ont augmentées drastiquement, sans même que je ne m’exerce.
-Quel pouvoir pourrait avoir le miens ?
-Je n’en ai aucune idée.
-En fait, je ne veux pas le savoir. Je veux juste faire reculer la malédiction et ne plus jamais entendre sa voix sous mon crâne.
-Cela est possible. Je n’étais pas aussi doué que toi, alors le temps que je parvienne ne serait-ce qu’à faire face à mon démon, la malédiction avait déjà presque envahie tout mon organisme. Mais toi… Tu progresses à une vitesse effrayante. En seulement quelques jours, tu es arrivé à toucher la porte. Honnêtement, je pensais que tu mettrais plusieurs mois, voire plusieurs années pour en arriver là.
Shuzug fixa le sol, songeur.
Jayën s’approcha de lui.
-Shuzug… Ce couloir que tu arpentes, psychiquement… Il a été créé de toutes pièces par ton subconscient mais… C’est un endroit réel dans lequel tu es déjà allé, n’est-ce pas ?
L’Orque releva la tête, sombre.
-Oui.
-Quel est ce lieu ? Que représente-t-il pour toi ?
-L’horreur.
Shuzug détourna les yeux.
-C’est l’orphelinat dans lequel j’ai grandi. En Hauteroche.
-Tu ne viens pas… enfin… d’une colonie Orque ?
-Non. Mes parents ont été bannis de leur clan avant ma naissance.
-Pourquoi ?
Shuzug grimaça.
-Désolé, fit Jayën. Je ne veux pas le savoir. Continue.
-La seule chose que tu as besoin de savoir c’est qu’ils sont morts tous les deux, et que j’ai été placé dans cet orphelinat. Cet endroit maudit. Un gîte sordide au fin fond de la campagne Brétonne, réservé aux gosses sans avenir dont personne ne voulait. Où l’on pouvait user d’eux comme l’on voulait. Où personne ne les entendait pleurer, ou crier. Je n’avais que cinq ans.
-Que se passait-il, là-bas ?
-Tu ne sais pas ? Tu n’as pas une petite idée de ce qu’on fait aux enfants dans ce genre d’endroit ?
Shuzug fixa Jayën longtemps. Il vit une lueur dans les yeux jaunes de félins de Jayën. Le vent souffla, étonnamment froid pour une région comme Lenclume, et agita les pans de sa bure mauve, d’un air sinistre. Shuzug ignorait si ce qui était passé dans les yeux de son interlocuteur était de la terreur ou de la peine.
-Si, répondit Jayën au bout de quelques secondes. J’en ai une idée.
-Eh bien voilà, tu sais tout.
Shuzug allait faire volte-face et s’éloigner, mais la main de Jayën le retint.
-Non, tu ne m’as pas tout dit.
-Lâche-moi.
-Ce n’est pas le démon derrière la porte qui t’effraie. Tu le crains, mais tu ne rêves que d’une chose : Le vaincre. Pour cela, tu serais prêt à tout. Même à t’enfoncer dans les enfers de l’Oblivion. Pourtant, tu ne parviens pas à pousser cette porte.
-Lâche-moi, je t’ai dit.
-Parce qu’il y a quelque chose derrière cette porte rouge, continua Jayën, imperturbable. Quelque chose qui te fais peur, bien plus peur que ta malédiction. Tu n’as pas envie de la pousser parce que tu as déjà vu ce qu’il y avait derrière. Lorsque tu étais enfant.
-Jayën, dernier avertissement…
La voix de Shuzug, basse et sourde, était comme une lame de guillotine. Jayën le lâcha, mais il ne cessa de le fixer.
-J’imagine qu’il se passait des choses horribles dans cet orphelinat. Mais elles étaient sans commune mesure avec ce qu’il se passait derrière la petite porte rouge. Dis le moi, Shuzug.
Il y eut un silence.
-Dis-moi ce qu’il y avait, derrière cette porte rouge.
Tu ne te serais pas trompé en appelant l'orc Shuzug
Sinon, je sens qu'on va bientôt dire nos adieux à Zimo
Jerry, j'ai appelé Barahk Shuzug tout le long du chap (je devais l'avoir en tête en écrivant)
C'est bien Barahk avec Jayën, désolé de l'erreur grossière
Putain ça fait tâche dans le chapitre quand même
Tu m'as mit le doute aussi x) J'ai cru que j'avais raté quelque chose
Ah ouais, j'me disais aussi
Sinon mais ouah, ce chapitre. Zimo va-t-il mourir ? Va-t-on apprendre ce qu'il y a derrière la porte rouge ? Est-ce que l'Arbre Ayazambë va enfin pouvoir faire un free hug à quelqu'un ? Trop d'interrogations d'un seul coup mon djeu
"Est-ce que l'Arbre Ayazambë va enfin pouvoir faire un free hug à quelqu'un ?"
Vous vous êtes peut-être tous mépris sur son compte, au fond
Les arbres c'est pas méchant. Moi aussi j'aurais la haine si on venait me taillader pour récupérer mon sang
L'arbre Ayazambë aurait du foncer et tout détruire sur son passage avec sa grande taille.
Bon chapitre merci. Malgré l'erreur de nom, une fois qu'on la comprise, on ce mes bien dans l'histoire quand même.
Très bon chap.