Le 26 août 2024 à 19:34:34 :
Les Beorning qui ont été oubliés du récap des dynasties, c'est honteux
bon après vu les quelques images des iles britanniques ça avait pas l'air d'etre la grande forme pour le pays de Galle

Sinon assez beau de voir que les Aztèques ont finis par se prendre une branlée ! Ça change de l'ambiance de mon dernier tour (même si sur la fin ils avaient déjà beaucoup moins de troupes)
A voir si la chrétienté va continuer sur ce parcours ou si ça va a nouveau partir en couille

La dernière fois que j'ai regardé ils étaient rois mais de plus grand chose leur restait l'île au nord du pays de galles je crois

Le 27 août 2024 à 10:28:58 :

Le 26 août 2024 à 19:34:34 :
Les Beorning qui ont été oubliés du récap des dynasties, c'est honteux
bon après vu les quelques images des iles britanniques ça avait pas l'air d'etre la grande forme pour le pays de Galle

Sinon assez beau de voir que les Aztèques ont finis par se prendre une branlée ! Ça change de l'ambiance de mon dernier tour (même si sur la fin ils avaient déjà beaucoup moins de troupes)
A voir si la chrétienté va continuer sur ce parcours ou si ça va a nouveau partir en couille

La dernière fois que j'ai regardé ils étaient rois mais de plus grand chose leur restait l'île au nord du pays de galles je crois

Bon au moins on est toujours vivant

Le 26 août 2024 à 20:26:50 :
Je comprends pas pourquoi tout le monde crache sur Sunset Invasion, ça donne des histoires assez cools. Rien que le chef aztèque indépendant, s'il arrive à rester sur place même après une victoire finale contre les Aztèques je trouverais ça sympa.

J'aime bien aussi.

Ozomatli Cacamatzin (934 - 995)

La dynastie Cacamatzin est ainsi nommée de par son plus lointain ancêtre connu par les sources historiques, un dénommé Cacamatzin (874 - 926). Celui-ci, d’origine inconnue mais vraisemblablement issu d’une vieille famille de l’aristocratie aztèque, était né sur le continent américain et avait émigré jeune en Europe, suivant les vagues de guerriers aztèques qui, sous les ordres de l’Empereur, avaient reçu la mission de coloniser ce nouveau continent étrange. Mais Cacamatzin n’était pas un guerrier, mais un fonctionnaire et un administrateur, qui n’avait pas pour vocation à gouverner son propre royaume, tout au plus servir sous les ordres d’hommes plus influents que lui.

Il faut dire que, lorsqu’il eut l’occasion de gérer lui-même des territoires, cela ne se passa pas bien. À l’âge de 27 ans, l’Empereur aztèque confia à Cacamatzin le comté de Vérone, qu’il avait confisqué au Lombard Audoin Ademingi quatre ans plus tôt ; il ne fallut à Cacamatzin que dix-neuf jours pour être chassé du comté par son ancien propriétaire.

Tombé en disgrâce auprès du pouvoir impérial qui l’accusait d’incompétence, Cacamatzin se réfugia en Espagne, auprès de Tzompantzin le Malavisé, le duc aztèque des Asturies qui s’était converti à l’islam et avait aidé Hilal Nefudid à consolider son pouvoir sur le sultanat de Castille - qui fut éphémère. Après deux années de bons et loyaux services, Tzompantzin offrit à Cacamatzin le comté des Asturies, sur lequel notre homme régna pendant vingt-deux ans. Puis, parce qu’il refusait de se convertir à l’islam et souhaitait demeurer fidèle aux dieux d’outre-Atlantique, Cacamatzin tomba à nouveau en disgrâce et vit une nouvelle fois ses terres confisquées, par celui-là même qui les lui avait accordées. Las, il quitta les terres des Aztèques et, désireux de se venger, rejoignit la cour de Kunibert Teodingi, duc de Modène et roi consort d’Italie, où il trahit sa patrie en servant de renégat au service des Italiens et des chrétiens. Il s’éteignit deux ans plus tard, dans la misère et l’indifférence générale.

Cacamatzin avait eu trois fils. Le dernier, Tlaloc, fut le plus insignifiant : converti à l’islam, il servit comme commandant dans les armées de l’émir de Galice, vassal du roi des Asturies, lui-même vassal de l’Empereur ; les sources lui donnent un rôle mineur, et on ne lui connait aucune descendance. Le second, Cuixtli, reçut du roi des Asturies le comté de Lugo, mais son unique fils n’eut pas lui-même d’enfants mâles et la lignée s’éteignit. Enfin, l’aîné de ses fils, Matlalihuitl, servit dans les armées du duc de Navarre - un Basque converti à la foi des Aztèques - et trouva la mort bravement en combattant les armées du roi de France.

Matlalihuitl avait cependant eu un beau mariage, puisqu’il avait épousé une fille de Cuetzpalli Cuetzpalli, l’homme qui, par décision de l’Empereur, avait été fait duc de Lisbonne puis de Sicile. À la mort de Cuetzpalli, l’un de ses fils devint duc de Lisbonne, sous autorité de l’Empire, tandis qu’un autre devint duc de Sicile et s’émancipa de l’autorité impériale, ce que l’Empereur aztèque ne put empêcher, devant la débâcle qu’il subissait en Italie. Plusieurs années passant, le petit-fils de Cuetzpalli régnant en Sicile devint méprisé par l’aristocratie sicilienne, et il fut bientôt remplacé par Ozomatli Cacamatzin, fils de Matlalihuitl et petit-fils par sa mère de Cuetzpalli. Mais ces dissensions entre Aztèques profitèrent aux Grecs de Sicile, qui purent bientôt reprendre le pouvoir, lors d’une révolte menée par un marchand de Messine, Tryphon Iagaris, qui devint duc à la place d’Ozomatli - qui conserva malgré tout le comté d’Agrigente.
(J’ai merdé le screen, l’historique du titre concerne le comté de Messine et pas le duché de Sicile)
(là c’est bon pour le duché)
Le premier fait d’armes d’Ozomatli fut de chasser son cousin de Malte, après l’avoir autrefois chassé du trône de Sicile. Récupérant ainsi l’île du sud, il se trouvait en meilleure posture pour espérer regagner son titre passé.

Il s’empara ensuite de Palerme, suivant le même schéma, la tentative du duc Tryphon d’appeler à la paix dans le pays n’arrivant que trop tard et empêchant la reconquête aztèque de la côte nord de l’île. En huit ans, Ozomatli s’était emparé de la moitié du duché de Sicile.

Ce fut peu après la conquête de Palerme que, loin à l’est, l’on entendit pour la première fois les rumeurs d’une grande maladie venue des confins de l’Empire chinois. A cette époque, rares étaient ceux qui prenaient au sérieux cette catastrophe qui ne tarderait cependant pas à arriver à leur imposer un confinement et des réglementations déraisonnables des autorités pour gérer cette catastrophe sanitaire.

Photo d’archive : un citoyen sicilien présente aux gardes de Palerme son laisser-passer pour échapper au confinement

Mais pour l’heure, Ozomatli était davantage préoccupé par la récupération de ses terres familiales perdues, ce qu’il fit en confisquant d’abord les baronnies grecques sous son influence afin d’obtenir une armée dépassant celle du duc grec. Ceci fait, la guerre pour déposer Tryphon et s’emparer de la Sicile fut simple.

Par le sacrifice de Tryphon, privé de tous ses titres, aux dieux aztèques, Ozomatli débuta la grande purge de l’aristocratie grecque de Sicile : les Grecs devaient être retirés de toute forme d’administration, et ne purent conserver que les rôles subalternes dans l’armée. La population grecque de l’île, elle, fut cependant épargnée, car la politique d’Ozomatli avait besoin de main-d’œuvre et de taxes ; mais les Grecs ne voulurent pas se laisser faire, et une nouvelle guerre civile sicilienne éclata. Cette guerre fut facilitée par l’arrivée de la peste, qui décima les rebelles ; cependant la grande maladie venue d’Orient était désormais ancrée en Europe, et ravageait le monde entier sans faire de quelconque distinction d’ethnie ou de foi.

L’année 982 fut marquée par le déclenchement d’une nouvelle croisade, à nouveau dirigée vers le cœur de l’Europe : la Sicile, le dernier bastion aztèque et païen dans la péninsule italienne. Alors que le pape, Martin II, réunissait une coalition croisée regroupant la plupart des monarques européens, du côté aztèque, l’Empereur refusa d’intervenir et laissa Ozomatli se débrouiller, seul, accompagné des seuls volontaires qui voulaient bien l’aider. Ceci poussa Ozomatli à faire preuve d’habileté politique en envoyant une missive au pape, dont le texte intégral nous est parvenu, et que nous recopions ci-dessous :
- On peut négocier ?

La négociation fut rapide, et la croisade prit fin rapidement lorsqu’Ozomatli reçut le baptême, devenant le premier duc aztèque catholique de Sicile. En contrepartie de sa conversion, cependant, Ozomatli avait demandé une compensation, ce que le pape lui accorda en lui donnant le droit d’envahir le duché indépendant d’Ancône, détenu par une insignifiante personne d’une dynastie qui l’était tout autant.

Ce fut à cette époque que, attirés par le duché indépendant de Sicile et voulant s’éloigner de la tyrannie de l’Empereur, de plus en plus d’Aztèques arrivèrent à Palerme. La démographie de la Sicile s’en fit rapidement ressentir.

Sicile qui, d’ailleurs, suite à la conversion d’Ozomatli, put enfin se hisser au rang de royaume en recevant une couronne de la part du pape. Premier royaume aztèque indépendant de l’Empire méso-américain, et premier royaume aztèque chrétien, la Sicile servait également une ambition du pape : servir de repart contre les ambitions que l’Empire d’Orient nourrissait sur l’Italie.

Le plan du pape ne se déroula pas comme prévu, cependant, car les Aztèques préférèrent continuer leur conquête de l’Italie en mettant fin au royaume de Romagne (en principe, car le royaume subsista encore quelques années en exil dans ses possessions écossaises) plutôt que de s’en prendre aux Byzantins.

Tous les chrétiens, cependant, ne croyaient pas en la sincérité de la conversion d’Ozomatli, et certains le prenaient pour un agent double au service de l’empereur aztèque. Devant les difficultés qu’il avait de se faire des alliés dans les royaumes catholiques, à l’exception notable du royaume de France avec lequel il avait même pu organiser des fiançailles d’État en offrant au jeune monarque français l’une de ses filles, Ozomatli décida de montrer sa fidélité au Dieu d’Abraham en attaquant l’Empire aztèque dans le dos, pendant qu’il était occupé à affronter les Abbassides. Il permit ainsi à la Chrétienté de reconquérir la Tripolitaine.

Ozomatli ne profita cependant pas bien longtemps de son triomphe en Afrique, car il mourut accidentellement sur le chemin du retour de son navire. L’aîné de ses fils survivants lui succéda sur tous ses titres, conformément à ses dispositions testamentaires.

Ozomatli à sa mort :
L’héritier :

Les dynasties des autres joueurs :
- Les Divinsky de Cody : éteints
- Les Nefudid de Papyruso : vassaux des Aztèques, ils règnent sur Séville depuis 50 ans et se complaisent dans la débauche, la luxure et la décadence. Ils sont fortement menacés par la Reconquista menée par l’Italie.
- Les Teodini de Reginwald : règnent toujours sur l’Italie, et mènent la Reconquista en Espagne contre les Aztèques.
- Les Australding de Bigrat : la famille subsiste dans la petite noblesse, ils ont la baronnie d’Australdville et l’évêché de Lisieux mais sont proches de l’extinction.
- Les Beorning de Deathlawli : la famille a reculé devant l’avancée des anglo-saxons ; le royaume semble condamné, car même s’il n’est pas annexé par les Saxons, à la mort de la reine actuelle (si elle n’a pas très vite un héritier avant sa ménopause) il passera à sa sœur, mariée en classique avec le roi de Romagne (qui n’a plus de terres qu’en Ecosse).
- Les Stephanid de SKY : la famille subsiste sans rien faire.
- Les Babenberger de Cody : la branche du Rhin subsiste toujours, mais la branche de Saumur est éteinte : Dame Grégorine Babenberger avait contracté un mariage classique, et le comté de Saumur est désormais propriété de l’empereur britannique, petit-fils de Grégorine.
- Les Bernhard-Karling de Reginwald : Saco l’Usurpateur n’a gardé le royaume d’Austrasie que 9 ans avant que ce dernier ne soit reconquis par la France, il a ensuite fini sa vie en cellule. La descendance du roi Robert a été décimée par la peste, mais son dernier petit-fils encore en vie, Robert, règne encore sur le fief historique de la famille... mais tous ses enfants sont otages du roi de France.

Les dynasties des Kheys :
- Les da Silva : éteints
- Les de Gorbelloun : éteints
- Les de Codille : éteints
- Les Blanc : Frotberge, la dernière comtesse de Turenne, a mal négocié son mariage et ses enfants sont de la dynastie Roding ; la dynastie Blanc est sur le point de s’éteindre, ses derniers membres étant une vieille femme et sa jeune sœur bâtarde.
- Les de Médoc : la famille subsiste et est titrée, mais le comte croupit dans les geôles du royaume de France et, pire encore, il est devenu breton.
- Les de Poucet : la famille a perdu tous ses titres en Europe de l’ouest, mais le dernier de ses membres mâles est parti chercher gloire et fortune à Constantinople, où il est devenu commandant impérial puis, en profitant de l’assassinat de l’Empereur Pamphilios Exarchos par le doge d’Achaïe, il s’est fait couronner empereur. Le Basileus Teotbert a régné quinze ans, repoussant les chiites à l’est et les Slaves à l’ouest et récupérant une partie des Balkans et de l’Anatolie. Cependant, il n’eut qu’un seul fils, qui fut écarté du pouvoir après sa mort et envoyé croupir dans les Balkans, où on lui confia le gouvernement d’une république paysanne sans grand intérêt. La survie de la dynastie est compromise et tient à ce seul mâle, puisque toutes ses sœurs, princesses impériales, ne sont pas mariées.

"Insignifiante personne d'une dynastie qui l'est tout autant" je t'invite à déguster tes ancêtres

Triste sort pour mes Berhnard-Karling,j'aurai du voir que saco était qu'une sombre merde

Belle game sinon

Un empereur byzantin de poucet rien que ça

Rien que le résumé de la dynastie Cacamatzin c'est du caviar, avec un ancetre aussi poissard la dynastie partait mal

Mais bon tu t'es bien débrouillé maintenant on a le premier royaume aztèque indépendant, et chrétiens. A voir si ils vont réussir à survivre, entre byzantins, aztèques, et abassides

Par contre incroyable les De Poucet qui ont finis empereur byzantins

Le 27 août 2024 à 12:29:46 :
"Insignifiante personne d'une dynastie qui l'est tout autant" je t'invite à déguster tes ancêtres

Ah ben pour une fois tu relèves la crotte de nez que je te lance

Ouah Bigrat chope pile poil le personnage super intéressant dont on avait parlé, et en plus sa dynastie custom finit sur le trône d'Orient. Le hasard fait vraiment bien les choses.

Le 27 août 2024 à 19:51:35 :
Ouah Bigrat chope pile poil le personnage super intéressant dont on avait parlé, et en plus sa dynastie custom finit sur le trône d'Orient. Le hasard fait vraiment bien les choses.

C'est pas lui dont on avait parlé, c'était son oncle maternel, de la dynastie qui s'est réfugiée à Malte et que j'ai dégagée

Ioulianos Papia : (5 décembre 995 - 5 aout 1012)

L'Histoire de Ioualianos Papia commença de façon bien humble, le jeune homme naquit dans un simple famille d'éleveurs de canard, dans la Thrace Impériale, on dit que la famille avait le privilège de vendre ses meilleures bêtes à la famille des ducs d'Adrianopolis.

Mais tout changea pour Ioulianos lors des campagnes militaires militaires de l'Empire pour reprendre le les rives du Danubes aux païens bulgares. Ioulianos, qui était alors adolescent, décida de s'engager dans l'armée impériale. Il commença au plus bas de l'échelle, son pied-bot ne lui permettant pas de grandement s'illustrer dans les batailles.

Pourtant, le sort lui réserva un autre destin. Lors d'une attaque surprise des cavaliers bulgares sur le camp militaire de l'armée, Ioulianos creusait les tranchées autour des tentes des généraux, il sauva in extremis le Basileus Teotbert d'un guerrier bulgare qui s’apprêtait à le tuer en profitant du chaos

Pour le récompenser de sa bravoure, l'empereur lui offrit un titre de noblesse, ainsi qu'un poste dans la garde impériale. Enfin monté en grade, il put prouver sa valeur en tant que commandant militaire, et il devint bien vite un important tacticien à la cour de Constantinople.

Après la mort de Teotbert, Ioulianos resta fidèle à ses mécènes de la maison de Poucet, et rejoignit le Doge Raphail de Bononia, fils du défunt Basileus et dernier héritier de la lignée de Poucet. Pour ses services, il lui fut remit un poste de gouverneur local à Philippopolis, repris quelques années auparavant aux bulgares. Il profita de cette période de répit pour devenir poète, et ce fit de nombreux soutiens dans la noblesse locale

C'est aussi durant cette période qu'il épousa la jeune Pavlina Kolovos, sœur jumelle de la duchesse de Dyrrachium. Si la jeune noble fut initialement déçu d'épouser un paysan parvenu, les années les rapprochèrent et leurs mariage fut plutôt cordial et ils eurent quatre enfants

Extraits de la « Chronique de la maison Papia », par Meiletios, théologien et ami proche de Ioulianos

Débarquer un jours en terre d'Irlande pour trouver la gloire
Abdul-Hamid Salahaddin y trouva une nouvelle famille
Le peuple Irlandais accueilli a bras ouvert ce conquérant
Qui venait libérer les celtes de siècles d'oppressions

Stèle de Belfast, qui commémore l'unification de l'Irlande par Abdul-Hamid le Grand, lorsqu'il chassa les anglais de l'ile en 997

Alors que le prince Raphail se préparait à lancer une campagne au delà du Danube contre l'empereur de Bulgarie, Ioulianos reçu une missive de Constantinople.

Il dut s'excuser auprès du prince de ne pouvoir l'accompagner, qui lui permit de partir suivre son destin.

Arrivé à Constantinople, il fut reçu par l'Empereur Sabas le Pieux, un dur mais pieux Empereur que Ioulianos respectait grandement. Voici ce qu'il lui confia :

« Ioulianos, fidèle soldat de notre armée, ton Empire a à nouveau besoin de toi. Aux portes de l'Italie, les royaumes francs sont en chaos. Bourgogne et Austrasie ont trahis le trône de Saint-Pierre et ont proclamés leurs propres papes, et maintenant ces barbares s'entre-déchirent.
Le Pape nous a confié la mission de ramener l'ordre dans cette région, et c'est à toi que je confie cette tache, je t'en sais capable.
Monte une armée, et part reprendre Masallia des mains des traîtres ! »

Ioulianos promit de revenir victorieux, et c'est ainsi que commença la longue campagne de Bourgogne. En plus des mercenaires et des ambitieux vénitiens, plusieurs gouverneurs locaux cherchant à gagner de l'influence dans les intrigues byzantines, se joignit à cette expédition.

Lorsque la nouvelle de l'expédition se répandit, certains intriguant de cours cherchèrent à trainer Ioulianos dans la boue, pensant que de tels privilèges pour une personne de si basse extractions ne pouvait venir que de relations licencieuses avec des Haut-Placé à Constantinople.

En réalité, c'est surtout que Ioulianos présentait l'avantage de n'avoir aucune attache, aucune grande maison qu'il ferait passer avant le bien de l'Empire, comme il l'avait prouvé pendant de nombreuses années. Et si sa loyauté allait d'abord à l'Empire, il était préférable pour la nouvelle maison impériale d'envoyer un potentiel soutien des De Poucet loin de l'Empire.
S'il mourrait dans une campagne périlleuse au-delà des Alpes, aucun gouverneur n'en tiendrait rigueur au Basileus...

Extraits de la « Chronique de la Maison Papia », rédigé en l'an 999

Le début du nouveau millénaire fut marqué par une nouvelle grande guerre sainte
Le Calife de Damas, Khudayar, pour faire oublier ses excès de débauche, appela au Jihad
Le royaume Aztèque de Sicile s'était beaucoup étendu, et les shiites espéraient lui reprendre la Tripolitaine, et ainsi bouter les catholiques hors de Lybie

Malgré une résistance farouche des Cacamatzin et de leurs nombreux alliés voulant repousser l'invasion du Califat, le royaume de Sicile dut se retirer d'Afrique après deux ans d’âpres conflits

Extraits du journal du voyageur Alexios d'Adony, qui relata une des grandes guerres de l'an 1000

La guerre de Bourgogne fut rude pour le comte Ioulianos, la régence de la jeune reine carolingienne avaient rassemblés de nombreux soutiens, et ils évitaient bien souvent le conflit direct. Lorsque les troupes du comte prenaient un château, les troupes bourguignone le reprenaient quelques mois plus tard.

Et c'était sans parler des nombreux seigneurs de guerres qui guerroyaient sur ce territoire dans leurs propre guerres. C'est d'ailleurs en venant en aide à un seigneur franc, près de Valence, que les troupes byzantine purent enfin attraper les troupes de la reine au printemps 1002. Mais la guerre continua pendant encore trois ans, jusqu'en novembre 1005, ou les seigneurs francs finirent par ployés le genou devant l'expédition byzantine

C'est durant ces années de campagne, ou la maison Papia s'installa à Marseille, que naquirent trois des fils de Ioulianos. D'abord le jeune Theobertos, nommé en hommage à l'empereur Teotbert a qui Ioulianos devait tout, puis les jumeaux Sabas et Theophilos, en hommage à l'Empereur qui avait donné une nouvelle occasion à Ioulianos de montrer sa bravoure, et un ancien empereur sanctifié.

Extraits de la "Chronique de la Maison Papia", sur l'expédition en Bourgogne mené par le Despote Ioulianos

Ioulianos fut prit de stupeur lorsqu'il découvrit le sort qui lui était réservé après avoir mené à bien son expédition, il avait été déclaré comme un rebelle contre la couronne impériale.

En effet, pendant l'année 1004, alors Ioulianos était encore aux prises contre les guerriers francs, une faction s'était soulevée dans l'Empire, menée par la duchesse Nikoletta Neapolites, pour mettre Raphail de Poucet sur le trône de Byzance. Les fidèles de Ioulianos restés à Phillipopolis pour assurer la régence s'étant ralliés à Raphail, la Maison Papia fut inscrite sur la liste des traîtres

Ne pouvant alors qu'assister au désastre, Ioulianos se nomma despote de Bourgogne, et envoya des messagers aux différentes factions pour tenter de les raisonner, notamment l'Empereur a qui il assura que sa loyauté a la stabilité de l'Empire primait sur tout.

A l'été de l'an 1009, les efforts de Ioulianos portèrent leurs fruits, et une paix blanche fut conclue entre les révoltés et les loyalistes, le Despote fut confirmé dans son titre pour son service rendus, et l'Empereur lui offrit meme le poste de chancelier au sein du conseil de la cour impériale.

Mais ce fut le dernier haut-fait de Ioulianos, le poids des années commença a le rattraper, la campagne de Bourgogne et le poids de la guerre civile avait été durs, et sa santé déclina rapidement.

Après la mort de l'empereur Sabas, qui fut succédé par sa fille Eusebia (mariée au roi allemand d'Aquitaine), Ioulianos se retira pour préserver sa santé.

Il accueilli avec joie l'appel à la croisade contre la Pannonie shiite, en juillet 1012, mais savait d'avance qu'il ne vivrait pas assez longtemps pour la voir
Il s'éteignit dans son lit à l'age de 53 ans, le 5 août de la même année

Extraits de la "Chronique de la Maison Papia", sur les dernières années de règne de Ioulianos Papia

Les dynasties du Mad World:
Divinsky: mort
Nefudid: la maison est toujours prolifique, le duché de séville est toujours entre les mains de la famille, tout comme Boukhara, et un diplomate catholique d'une branche cadette de la famille a meme obtenu une baronnie a proximité de marseilles

Teodini: la famille est réduite au roi d'Italie, son fils et deux jeunes fille nordique. Les deux filles sont les enfants du frère du roi, qui était devenu un shaman paien, converti à la culture saxonne, à la cour du roi de Saxonie (il est mort dans les geoles d'un pillard viking)
Australding: la famille possède toujours la petite baronnie de Australdville, mais le baron Gautmar a 50 ans et une seulle fille Euphrosine
Beorning: La famille est au bord de l'extinction, il ne reste que Clarisant, comtesse de Gwent pour représenter la famille. Mais avant de disparaitre la famille a été pendant près de 30 ans à la tete des chevaliers de Santiago ( )
Stephanid: la famille se porte étonnamment très bien, grace à un bon mariage Avremar Stephanid, un débile profond, a hérité du duché de normandie. Evreux est revenue à son frère plus beau et plus malin. Et la maison possède toujours le comté de Genevois en Suisse romande.
Babenberger: la maison est très prolifique, une duchesse et plusieurs comtés. La dynastie a meme un batard occitan a la tete des Hospitaliers
Bernhard-Karling: la maison possède toujours le duché de Modène en Italie, ainsi que le comté de Ferrare, et comté de Hamaland au Pays-Bas, tenu par Robert le boucher (nommé d'après son grand-père le roi d'Austrasie)

Les Dynasties des Kheys:
Da Silva: dead
De Gorbelloun: dead
De Codille: dead
Blanc: la dernière survivante de la dynastie Leubovera Blanc, une batarde de feu le comte Bernard le Chaud-Lapin de Turenne, vit a Marseille et est mariée matrilinéairement à un officier de la garde de la maison Papia
De Médoc: la maison survit toujours, ils possèdent le comté de Rennes, tenu par le comte frison Cadaouen, et le comté de Toxandrie entre les mains du jeune breton Tiernuallon
De Poucet: Raphail (qui est devenu féodal après ce que j'imagine etre un bug d'héritage d'un de ses vassaux féodal), a eu un fils avec une princesse de la maison Cacamatzin. La dynastie est fragile mais ils sont bien partis pour reprendre le trone byzantin après la mort de l'impératrice Eusebia, car ses enfants sont des allemands d'Aquitaine
Cacamatzin: la famille a subit quelques revers en Tripolitaine ainsi que dans le nord de la Romagne, mais ils survivent malgré les attaques

Pour le reste du monde:
y'a surtout un enfant du destin en Inde, Nuraddin, qui a conquit le Bengale et le Tibet. Et son homologue de l'autre coté du monde, Abdul Hamid, a prit le controle de l'Angleterre et de l'Irlande

et voilà la save:
https://www.mediafire.com/file/xn4x76j63boe7a7/mwc+DeathLawlie+Tour+02.ck2/file

Quand j'ai vu djihad sur les Cacamatzin j'ai vu flou, mais ça va c'était juste pour les comtés nuls

Le 29 août 2024 à 14:44:47 :
Quand j'ai vu djihad sur les Cacamatzin j'ai vu flou, mais ça va c'était juste pour les comtés nuls

Ouais j'ai cru que t'étais foutu mais finalement ils ont été sympa
par contre les catholiques t'ont trahis et ont essayés de te piquer des bouts de Romagne

Le 29 août 2024 à 14:46:33 :

Le 29 août 2024 à 14:44:47 :
Quand j'ai vu djihad sur les Cacamatzin j'ai vu flou, mais ça va c'était juste pour les comtés nuls

Ouais j'ai cru que t'étais foutu mais finalement ils ont été sympa
par contre les catholiques t'ont trahis et ont essayés de te piquer des bouts de Romagne

Les Teodini ?
Normal, c'est la famille de Reginwald, donc des fourbes, comme leur petite taille le laissait supposer.

Bordel le blason canard !
Sympa le tour, par contre je pense avoir rarement vu la France dans un tel état de bordergore, c'est vraiment atroce.
C'est cool, on arrive à un stade avancé où la partie a commencé depuis assez longtemps et on a joué assez de familles différentes pour que ce soit bien fun de voir leurs interactions.