Le 15 août 2024 à 21:18:13 :
Le 14 août 2024 à 16:38:53 :
Le 14 août 2024 à 16:31:57 :
Le 14 août 2024 à 16:24:04 :
Le 14 août 2024 à 15:43:32 :
Je viens de voir le topic de Papyruso sur le forum de CK3. Je me souviens bien de la dynastie commune qu'on avait faite sur au lancement de l'opus, j'avais beaucoup aimé faire ma partie
(https://www.jeuxvideo.com/forums/42-3017934-64056638-1-0-1-0-dc-dynastie-commune-pour-le-lancement-de-ck3.htm)
Bref, pour celle ci, il faut vraiment avoir tous les DLC ? Parce qu'il m'en manque pas mal quand même, notamment dans les petits.Si tu ne les as pas tous la sauvegarde ne sera pas compatible (sauf les cosmétiques)
Entendu, je me contenterai de vous lire alors
edit : Au passage, pourquoi rester sur CK2 ? Le 3 offre pas mal de possibilités quand même désormais, et les parties sont assez dynamiques.
Tu peux toujours "trouver" les dlcs
La Modération du forum devant ce sous-entendu :
Tu peux les trouver sur steam de manière légale et à des prix raisonnables qui récompensent le travail des développeurs
J'arrive un peu tard mais j'ai hurlé de rire à plusieurs moments face au récit de Papy
Par contre gros changement d'ambiance avec Rosamund ! Premier perso qui accompli quelques choses sur la durée, et bravo mamy d'avoir survécu a trois cancer
A voir si la maisonnée va se maintenir en Italie (et rip les Da Silva)
J'ai fini ! Résumé demain.
Enfin un personnage un peu stylé, c'était bien écrit en plus !
Dommage qu'une reine aussi sage parte autant en cacahuètes à la fin. Soit on meurt en héros, soit on vit assez longtemps pour devenir le vilain.
J'aurais trouvé ça trop cool l'invasion par Ragnarr en mode boss final, un peu deg que ça se soit pas fait mais bon.
Hâte de voir ce que Bigrat va nous pondre.
Tiens j'ai pas vu ça dans le résumé de Reginwald mais apparemment Seljuk a foiré son invasion, s'est converti au manichéisme, et a fini sa vie comme esclave en Chine.
I. Albrade Australding
Les origines les plus lointaines de la famille Australding remontent à son fondateur éponyme, Australdis, un Franc dont les origines sont inconnues. Vraisemblablement noble, probablement né au sein de l’aristocratie du palais, il est cité comme comte d’Évreux en 750, lors de la fin du règne des Mérovingiens, probablement nommé par Childéric II dans la dernière année de son règne.
Cette probable proximité avec le pouvoir mérovingien à l’époque de la transition vers la monarchie carolingienne, et la perte en influence des proches de l’ancienne dynastie, expliquent sans doute pourquoi Australdis demeura toute sa vie comte d’Évreux, sans jamais accéder à d’autres titres ni d’autres honneurs. Les chartes médiévales semblent mentionner qu’après une trentaine d’années de règne, à Australdis succéda son fils Childéric : ce prénom, typiquement mérovingien, a longtemps posé question aux historiens. Australdis était-il lui-même un membre de la famille royale mérovingienne ? Sans doute que non, car sinon les Carolingiens auraient sans doute cherché à écarter sa famille de toute forme de pouvoir politique plutôt que de tolérer de potentiels prétendants. Avait-il épousé une Mérovingienne ? Ou était-ce simplement une manière peu intelligente de signifier sa loyauté à la première dynastie franque, quitte à s’attirer l’ire des nouveaux monarques ? Nous l’ignorerons sans doute toujours.
Après une vingtaine d’années de règne, à Childéric Ier d’Évreux succéda son fils Pépin. Là encore, le prénom, typiquement carolingien, posa question aux historiens : la théorie la plus couramment admise aujourd’hui est que Childéric, voulant réparer l’erreur de son père, donna à son héritier le prénom de Pépin le Bref, en hommage à la dynastie carolingienne. La théorie qui faisait de l’épouse de Childéric une Carolingienne est désormais abandonnée, depuis la redécouverte d’une donation faite à l’abbaye de Saint-André par le comte Jacobus II de Dalhem, qui mentionne comme témoins du document « Childericus comes Ebrocum » et son épouse « Maria consanguinea mea », ce qui prouve que l’épouse de Childéric n’était pas une Carolingienne, mais une descendante de la famille des comtes de Dalhem.
On sait en revanche que le calcul de Childéric Ier d’Évreux était bon, puisque ce rapprochement avec le pouvoir carolingien lui permet d’épouser Gaudilde, arrière-petite-fille de Charles Martel. Cependant, Pépin ne poursuivit pas dans sa lancée et donna à son propre fils le nom de Childéric, celui de son père, et après une quinzaine d’années de règne ce dernier devint le comte Childéric II d’Évreux.
Le règne de Childéric II est mal connu, mais sa fin l’est particulièrement bien, puisqu’il fut au centre d’un scandale qui ébranla le royaume carolingien lorsqu’il fut assassiné par son beau-frère, le comte Nicolas Binciola de Thouars, époux de sa sœur Leutberge. La raison de l’assassinat aurait été le revenu de biens qui devaient revenir en dot à Leutberge, mais dont celle-ci avait été spoliée par son frère ; les frères de Childéric II, Gonthar et Marcomer, eurent beau en appeler à la justice royale, le roi des Francs, Ariulf le Confesseur, n’était encore qu’un jeune enfant à cette époque, et le Conseil de Régence, en proie à l’instabilité politique, refusa à la famille Australding la justice à laquelle elle avait pourtant droit.
Le comté d’Évreux passa alors entre les mains de la fille aînée de Childéric II, car celui-ci n’avait eu que des enfants femelles : Albrade, alors fiancée à Ruprecht, fils aîné et héritier de Ferdinand Babenberger, duc du Rhin et lui-même héritier du duché de Trèves. Les années passant, Ruprecht hérita des deux duchés, devenant un important membre de l’aristocratie franque, et comptant bien ajouter le comté d’Évreux à la liste des biens entre les mains de sa famille, par le droit de sa femme.
Les sources mentionnant Albrade avant ses quarante ans sont peu nombreuses, et surtout peu élogieuses. On sait qu’elle vivait une vie dissolue, faite de plaisirs charnels avec d’autres hommes que son mari. Sa relation avec le bourgmestre d’Alençon, duquel elle eut d’ailleurs une bâtarde alors que son mari administrait ses possessions le long du Rhin, fit d’ailleurs grand bruit.
Mais là où ses contemporains ont jugé sans doute sévèrement Albrade d’Évreux, les historiens modernes sont bien plus nuancés. Nous savons désormais que son mari, le duc Ruprecht, était un homme brutal et de bien peu de valeurs morales : il est aujourd’hui établi qu’il est plus que probablement l’assassin de l’évêque Hesso de Metz, son propre frère, sans que les motifs n’en soient établis. La responsabilité de Ruprecht devait sans doute être déjà certaine à son époque, car dans les années suivantes on le retrouve en révolte ouverte contre le pouvoir carolingien au sujet de la suzeraineté du comté de Metz. Sans doute l’affaire était-elle liée au conflit qui l’avait opposé à son frère et avait mené à la mort de Hesso.
Bordel JVC qui me casse les couilles et m'empêche de poster la suite parce que "Votre texte contient des caractères ne permettant pas la lisibilité par tous, veuillez les retirer."
Plan B :
Sans doute grâce à de l’argent obtenu via d’obscurs moyens, Albrade fut également la fondatrice du château d’Australdville, à Évreux ; une ville se bâtit rapidement autour de la forteresse. Il s’agit encore aujourd’hui d’un important centre urbain du pays.
Les années passant, mais surtout le pèlerinage à Jérusalem, avaient profondément transformé Albrade. De vile pécheresse, la comtesse d’Évreux était devenue une catholique exemplaire.
Ce qui ne l’empêcha pas de voir Évreux totalement mise à sac par les troupes du duc d’Aragon lors de la guerre de succession brabançonne, qui aboutit à une paix blanche forcée lors de la Catastrophe de 872.
Ladite Catastrophe, comme les historiens l’appellent, fut la scission du royaume franc à la mort du roi Ariulf, qui n’avait eu que des filles : les nobles de Francie occidentale, d’Aquitaine et de Francie médiane reconnurent le droit à régner des femmes, et permirent à la princesse Geila, pourtant épouse d’un petit-fils du terrible Genghis Khan, d’accéder au trône ; les nobles de Bourgogne et de Francie orientale, eux, refusèrent d’être gouvernés par une femme et confièrent leur royaume aux mains d’un autre Carolingien, Grifo IV de Franche-Comté, descendant du roi Grifo de Bavière, lui-même frère de Pépin le Bref.
III. Les dynasties des anciens joueurs
Les Divinsky (Cody) : la famille a perdu toutes ses terres, et seule une ultime vieille veuve exilée en Bohème se souvient de la gloire passée de ses ancêtres.
Les Nefudid (Papyruso) : la famille se maintient, et a rejoint avec joie la révolte des Wisigoths contre le pouvoir omeyyade pour se venger du barbecue auquel le père de l’actuel émir a été invité contre son gré une dizaine d’années plus tôt.
Les Teodini (Reginwald) : après avoir maté les diverses révoltes, Taino le Pieux a consolidé son royaume. Malgré son excommunication ironique, il tente d’étendre l’Italie sur les terres des infidèles en se frottant aux Bulgares païens par la voie des armes.
IV. Les dynasties bonus
Les de Poucet : Lantsinde, la meneuse de la guerre civile qui a abouti à la chute du pouvoir carolingien en France, est toujours duchesse de Paris, mais mariée en classique : la famille risque de perdre son duché à la prochaine génération, mais pourrait se maintenir sur son comté historique de Dalhem si sa sœur, la jeune comtesse Ermengildis, a l’intelligence d’organiser un bon mariage.
Les de Gorbelloun : le comte Munichis est trop occupé à s’enfermer dans son palais pour compter son or et enculer ses servantes que pour faire quoi que ce soit.
Les de Médoc : après avoir réuni quatre comtés, ce qui faisait de lui un noble important, Ubald Ier de Médoc a partagé ses terres entre sa descendance. La famille contrôle toujours le Médoc, le Lusignan, la Toxandrie et Penthièvre, mais les possessions familiales sont maintenant éclatées.
Les de Codille : les héritiers directs des comtes de Rethel vivent toujours en exil en Italie ; d’autres branches cadettes ont retrouvé un peu de pouvoir avec un évêché en Corse et une cité à Mantoue.
Les Grugsson : après avoir régné une soixantaine d’années sur un comté en Finlande, les derniers membres mâles de la famille ont tous connu une fin violente ; il ne reste plus qu’une femme, dernière descendante directe en ligne masculine de la fille de l’empereur Auguste, qui semble vouée à finir sa vie comme simple petite concubine d’un roitelet finnois.
Les Blanc : la famille se maintient toujours dans son comté, qui est le plus pauvre et le moins intéressant du royaume de France, comme en témoigne l’armurerie des comtes de Turenne, qui exhibe fièrement une épée en bouse séchée comme épée de cérémonie comtale.
Les da Silva : éteints.
JVC qui essaie de détruire le récit, pour changer
Sinon punaise la France qui a failli se retrouvé avec des héritiers de Genghis sur le trône, c'est pas mal ! A voir si ses princes mongoles vont revenir pour se venger plus tard
Pas mal aussi le Pape Baloutche
Et pour la suite j'ai un weekend pas mal chargé, mais je vais essayer de jouer et sortir la suite d'ici lundi au plus tard
Il m'a canonisé. M'a excommunié 6 ou 7 fois pour me canoniser des que je crève
Bon petit tour tranquille sinon
Le 16 août 2024 à 12:24:39 :
Il m'a canonisé. M'a excommunié 6 ou 7 fois pour me canoniser des que je crève
Bon petit tour tranquille sinon
M'enfin, ça vaut bien la peine que je t'insulte dans le récit si tu ne le relèves même pas.
Le 16 août 2024 à 12:34:02 :
Le 16 août 2024 à 12:24:39 :
Il m'a canonisé. M'a excommunié 6 ou 7 fois pour me canoniser des que je crève
Bon petit tour tranquille sinonM'enfin, ça vaut bien la peine que je t'insulte dans le récit si tu ne le relèves même pas.
J'ai remarqué mais j'ai préféré ne pas noter
Pas mal le fait que ta dynastie custom joue un rôle aussi important dans l'histoire au moment où c'est ton tour. Déjà le fait que tu tires un personnage qui descend des de Poucet c'est stylax !
A l'inverse, les de Codille de Rethel qui finissent à Mantoue c'est pas mal. On fait un RP Maison de Gonzague, ça me va bien.
Les évènements que tu rapportes sur ce qu'il se passe en Inde à la fin de ton récit sont passionnant aussi !