CONNEXION
  • RetourJeux
    • Tests
    • Soluces
    • Previews
    • Sorties
    • Hit Parade
    • Les + populaires
    • Les + attendus
    • Tous les Jeux
  • RetourActu
    • Culture Geek
    • Astuces
    • Réalité Virtuelle
    • Rétrogaming
    • Toutes les actus
  • Black Friday
  • RetourHigh-Tech
    • Actus JVTECH
    • Bons plans
    • Smartphones
    • Mobilité urbaine
    • Hardware
    • Image et son
    • Tutoriels
    • Tests produits High-Tech
    • Guides d'achat High-Tech
    • JVTECH
  • RetourVidéos
    • A la une
    • Gaming Live
    • Vidéos Tests
    • Vidéos Previews
    • Gameplay
    • Trailers
    • Chroniques
    • Replay Web TV
    • Toutes les vidéos
  • RetourForums
    • Hardware PC
    • PS5
    • Switch
    • Xbox Series
    • Overwatch 2
    • FUT 23
    • League of Legends
    • Genshin Impact
    • Tous les Forums
  • PC
  • PS5
  • Xbox Series
  • PS4
  • One
  • Switch
  • Wii U
  • iOS
  • Android
  • MMO
  • RPG
  • FPS
En ce moment Genshin Impact Valhalla Breath of the wild Animal Crossing GTA 5 Red dead 2
Etoile Abonnement RSS
Forum
  • Accueil
  • Actus
  • Tests
  • Vidéos
  • Images
  • Soluces
  • Forum

Sujet : ***Mission Top Secrete***

DébutPage précedente
«1  ... 14321433143414351436143714381439144014411442  ... 1453»
Page suivanteFin
x-Sawyer-x x-Sawyer-x
MP
Niveau 10
07 mai 2010 à 23:34:44

Y'a un "soit que" en trop, j'avais une autre idée mais elle est bidon en fait. :noel:

Non, mais oublie, écris précisément ce que tu veux Saladin, je vois ce que je vais faire, et ça colle avec ce que tu veux faire. :)

Ultimate_gamer0 Ultimate_gamer0
MP
Niveau 11
08 mai 2010 à 14:45:29

Sinon t'as pas répondu à ma proposition de t'aider sur ta saga !

PS : Mon texte est fini, je le posterais après avoir posté toutes les critiques qui me manquent (les textes de thundy)

x-Sawyer-x x-Sawyer-x
MP
Niveau 10
08 mai 2010 à 18:30:02

Disons qu'elle est presque finie, et que... :-d
Enfin tu verras, si ça se fait toujours. :fou:

Tarask001 Tarask001
MP
Niveau 10
11 mai 2010 à 03:02:26

MDR !!!
Alors que j'écume un peu notre beau forum (au passage j'ai relu quelques textes emblématiques/y'a aussi le fait qu'au début c'était quand même très moche les missions), je suis tombé, exactement page 1310.
Un petit nouveau du nom de Seireitei s'inscrit à l'ancienne avec nom de code, arme, accesoire et camouflage, et demande un peu plus tard ce qu'il faut faire.
Sur ce snake-hkljdfqml lui répond:

Un test:
Quelle est la marque préférée des chaussures de Kojima ?

MDR !! ><

Ultimate_gamer0 Ultimate_gamer0
MP
Niveau 11
11 mai 2010 à 16:49:31

Lol, le bon vieux temps ! :coeur:

Sinon Thunder, j'ai lu tes dernières "Interférences", comme d'hab, du bon discours, le dialogue avec Falcon a une sacré profondeur, vivement que Locke explose quoi !^^

Bon, pour Wiles, faudra faire un texte qui excuse sa présence une bonne fois pour toute, il me soule, cet Anthony Hopkins ! xD

Sinon, je finirais ta Tale III par la suite, en attendant voici mon texte ! Mon 60e au passage !! :)
Je n'ai aps fait de précédemment cette fois, un peu chiant à faire et à vous de faire marcher votre mémoire, non mais !^^
Comme promis il n'est pas très long, il faut surtout se souvenir du chapitre sur Melissa Harrison (celle que Ripple a assassiné froidement dans un Flash-Forward). Parce que mon texte parle de ça ! Gogo !

Ultimate_gamer0 Ultimate_gamer0
MP
Niveau 11
11 mai 2010 à 16:50:45

Ripple Effect - « Subsistance » - 2e Partie

60. ‘Déchéance’

2. Name : Melissa Gillian Harrison
Birth Day : March 3rd, 1991
Citizenship : Indian / American
Location : Los Angeles (CA), U.S.A
Statute : Student

- 11 juin 2035, dans un café prêt de Los Angeles, Californie -

- Et pourquoi tu me racontes tout cela maintenant ? Avait enfin eu la force de me demander Lila, des larmes naissantes aux yeux.
- Peut-être parce que je suis devenu un vieux radoteur, avec le temps ! Je me rapproche de mes 50 ans, tu sais, ne l’oublie pas.
J’avais terminé ma phrase sur un sourire. Sourire qui ne se fondait pas avec l’état d’esprit de la jeune femme en face de moi. J’écrasai ma cigarette sur le cendrier posé à notre table - j’avais repris depuis peu - et adopta une mine plus déconfite, montrant un semblant de compassion. Un semblant seulement… Mais qu’étais-je devenu ?
- Tout de même, reprit-elle, les expériences, les tortures, et ceci à un âge si jeune… Puis tout qui recommence ensuite… Cet Evans est un monstre !
- Un des points noirs des Patriotes, répliquai-je en soufflant ma dernière bouffée. Au moins maintenant, tu sais pourquoi je tire cette gueule à longueur de journée…
Lila sortit un léger grelottement, et me regarda droit dans les pupilles :
- Et cette fille que tu m’as fait retrouver… Elle a un rapport avec tout cela ? Avec ta vengeance ?
- … Plus ou moins, oui.
Je regrettai déjà d’avoir utilisé un ton si grave, elle s’inquiéta :
- Tu… Tu vas lui faire, quoi ?
Elle doutait de ce que j’avais fait à Coati. Les deux personnalités en moi se mêlaient un peu trop ces derniers jours, et elle les comprenait de plus en plus… Probablement car je n’en avais qu’une, de personnalité.
- Là ? Rien de grave. Tout au plus, je vais la draguer un peu, terminai-je d’un rire rassurant.
Son inquiétude semblait devenir jalousie :
- Ah bon ?
Je me levai enfin, refusant de lui répondre à nouveau :
- On se retrouve au point d’extraction prévu, je serais de retour demain, si tout va bien.
Je fis un pas, mais elle me retint la manche d’un agrippement un peu trop familier. Un peu trop intime.
- Tu me jure que tu ne vas rien lui faire ?
Je souris une dernière fois :
- Je te le jure, Lila.
Et elle me vit quitter le bistro, planque dans laquelle nous étions en poste depuis une bonne demi-heure, en direction de la bibliothèque où Melissa Harrison venait de rentrer depuis une dizaine de minutes. Lila l’avait également repéré rapidement. Son travail était admirable et j’avais encore besoin d’elle. Je ne pouvais en aucun lui avouer que je souhaitais tuer une seconde fois, tout mercenaire avisée qu’elle était.
___
¤¤¤

- Le même jour, Miami, Floride -

- Debout, Capitaine ! Il est temps d’aller bosser.
Sirius Powell se força à s’asseoir sur le confortable lit du Major Valentine. Il n’était pas très fier de ce qu’il s’était contraint à faire. Se laisser séduire par sa supérieure uniquement pour mieux faciliter son travail n’était pas ce qui se faisait de plus noble dans l’univers de la lutte anti-terroristes. Mais ce crétin de Lieutenant Kurt Levinson doutait trop de la bonne foi de Marcus, et était persuadé que le frère du Ripple Effect était celui qui l’avait assommé lors de l’opération de l’aéroport de San Diego. Powell ne voulant en aucun cas se voir priver de l’aide - sous toutes ses formes - de Marcus O’hara et de ses sources, il s’était retrouvé dans l’obligation d’agir. Et si cet acte de corruption charnelle s’associait au plaisir personnel, ce n’en était que tant mieux. Aussi, il se leva du lit après avoir remis ses idées en place ainsi que son pantalon.
- Que va-t-on faire pour Kurt ? Demanda-t-il malgré tout, pour se rassurer une dernière fois. Il n’arrête de rabâcher contre la meilleure source que nous avions jamais eue !
- Qu’il rabâche ! Cria Valentine depuis la salle de bain où elle se recoiffait. Le frère O’hara a prouvé son utilité et je veux que vous continuiez à l’exploiter. Je m’arrangerai avec mes supérieurs pour faire face à toute plainte que Levinson pourrait poser.
Powell, satisfait, entra à son tour dans la salle de bain, et saisit les épaules du Major qui se regardait dans le miroir, avant de les embrasser tendrement.
- Merci, Karen.
Elle se retourna, le sourire d’une adolescente aux lèvres :
- Mais tu n’as pas à le faire. Je crois vraiment à l’aboutissement de cette enquête grâce à toi, avec ce type là, ce Marcus. Quand tout sera fini grâce à lui, le fait de voir ce maudit Ripple Effect troué de balles suffira à rassurer la Division face à mes exigences, et me satisfera encore plus que ce que tu m’as fait cette nuit.
Elle prit Powell dans ses bras juste après avoir terminé de parler, et tout en l’enserrant, elle l’embrassa tendrement dans le cou. Sirius, lui, souriait de côté, et admirait son visage dans le miroir de la salle de bain. Il ne voulait pas me voir mort. Plus maintenant. Il voulait juste en savoir plus sur les Patriotes, et si nécessaire, lutter contre eux un jour. Ceci pour cette justice dans laquelle il croyait tant.
En s’habillant, la discussion sur leur travail fut poursuivie par le Major :
- Où en est-on d’ailleurs ? On l’a localisé ?
- Oui, fit Powell, Marcus m’a donné le nom d’une femme que Ripple chercherait à trouver. La deuxième sur sa fameuse liste. On l’a mise sous surveillance et si O’hara la contacte, on tentera de savoir ce qu’il lui veut, pour l’interpeller ensuite… En espérant qu’il ne passe pas entre les mailles du filet, comme à San Diego.
- Je vois… Et qui est cette femme ?
- Une étudiante quarantenaire du nom de Melissa Harrison… Je dois dire que suis curieux de savoir ce que O’hara lui veut, car elle n’a absolument aucun lien avec le monde terroriste, c’est… Juste une personne normale, en fait.
- Très bien, acquiesça Karen en terminant de boutonner sa chemise. J’imagine que le frère de O’hara ne sait rien non plus sur elle ?
- Non, il n’a pu me donner que son nom…
Mais Powell, au fond de lui, avait sa petite idée sur la raison qui expliquait mon intérêt pour Melissa. Il savait que la surveillance de cette femme allait peut-être se changer en protection rapprochée, le moment venu, et cela n’enchantait guerre le Capitaine, qui souhaitait m’arrêter dans ma folie tout autant que mon frère.

Ce dernier, quelques heures plus tard, était en train de se régaler dans le petit fast-food juxtaposé à la division anti-terroristes de Miami. Il terminait de se lécher puérilement les doigts quand il vit Powell débarquer face à lui, retirant son long manteau aussi lourd que tous ces soucis qui animaient tant le Capitaine.
- Comment ça va aujourd’hui, Sirius ? Demanda jovialement Marcus.
- Ca va. J’ai… Parlé au Major, le Lieutenant Levinson ne devrait pas trop causer d’ennuis.
- Mais pour éviter tout autre problème, vous préférez me retrouver dans ce Wendy’s plutôt que dans votre bureau, c’est ça ?
- C’est ça, affirma Powell en s’asseyant face à sa source… Au passage, vous n’avez pas peur qu’on puisse entendre notre conversation ici ?
- Non, je ne pense pas… Les Patriotes sont presque omniscients, certes, mais pas à ce point. Du moins, je l’espère.
Powell acquiesça, et prit à Marcus une des dernières frites restantes sur son plateau.
- Parfait… J’ai eu des échos, sinon : votre frère à contacter Melissa.
Marcus se ressaisit, s’attendant au pire.
- Vraiment ? Que s’est-il passé ?
Le Capitaine baissa les yeux :
- Eh bien… Rien. Ils ont juste parlé, il est même allé chez elle, et en est reparti. Melissa n’a rien. Elle va bien.
Marcus secoua la tête.
- Je ne comprends plus rien… Que lui veut-il alors ?
- Je suis comme vous, je l’ignore, mais votre théorie s’effondre, pour sûr. Il ne veut pas la tuer. Pour tout dire, ils…
Sirius s’arrêta un instant, mais fut poussé par Marc :
- Quoi ?
- … Ils ont même couché ensemble !
Marcus laissa apparaître un bout de salade sur ses dents au moment où il ouvrit grand sa bouche de stupéfaction.
- Vous déconnez ?
- Non, je vous le jure. Je ne pense pas que c’était le but premier de Stanley bien sûr, mais ils n’ont en aucun cas l’air d’être en mauvais termes tous les deux, ça c’est sûr. De mon avis, il a plus besoin d’aide pour atteindre son but.
- Mais quel peut bien être ce foutu but alors ? Quel lien peut avoir cette fille avec Evans ou le monde terroriste ?
- C’est ce que j’ai bien l’intention de découvrir, et j’ai bien l’intention de consulter J.D là-dessus, cette fois !
Mon frère s’indigna :
- Ca pourrait attirer l’attention des Patriotes, voire d’Evans, sur mon frère !
- Aussi rapidement ? J’en doute vous savez. Dès que l’on saura ce qu’il lui veut, je lancerai l’opération d’interpellation immédiatement après, et de là, on se débrouillera pour innocenter votre frère pour qu’il ne fasse pas trop de prison. C’est toujours le plan, non ?
- Il se fera kidnapper voire tuer avant même qu’il entre dans votre fichu building, Powell ! Réveillez-vous, enfin ! J.D est un système de diffusion on ne peut plus rapide, un satellite à ondes cryptés directement connecté aux glandes de nanomachines implantées dans le crâne de tous les dirigeants, exécutants, contacts ou cobayes des Patriotes ! Interpellez-le, soit ! Mais si on veut assurer sa protection, il faut que le public sache en même temps que les Patriotes ce que l’on compte faire de lui. Sinon c’en sera fini de son innocence prouvée ! C’est en voulant court-circuiter le comité via CNN que les Patriotes ont pu bien avant lui le faire passer pour un terroriste via les médias, n’oubliez pas ! On ne peut PAS utiliser les armes des Patriotes pour les vaincre. Stan a déjà assez souffert comme ça par les tortures d’Evans !
Sirius, déçu par ce discours, englouti la dernière frite, et consentit :
- Soit, je chercherais ailleurs… Quelle déchéance ! Nous sommes si petit face à ce… cet…
- Cet empire, si l’on peut dire…
- Moui… En attendant, j’atténue la surveillance rapprochée de votre frère pour pas qu’il ne nous repère. Après tout, il n’y a aucune personne en danger immédiat à présent que l’on sait qu’il ne veut pas faire de mal à Melissa…
Il remit son lourd manteau, et ajouta :
- On se retrouve donc dans trois jours, comme prévu. D’ici là, on se tient au courant de l’évolution des choses.
- Très bien, soyez prudent surtout ! dit mon frère avec compassion. Je sais que votre situation est délicate, et je vous remercie encore pour votre… Dévouement.
- Celui que j’ai fait à la vérité ? Sourit-il en se levant. Mais il n‘y vraiment pas de quoi !
Et il sortit du restaurant.
___
¤¤¤

Ultimate_gamer0 Ultimate_gamer0
MP
Niveau 11
11 mai 2010 à 16:51:14

- Nuit du 13 au 14 juin 2035, dans une usine désaffectée de Phoenix, Arizona -

Dans toutes les situations compliquées, tous les dilemmes que j’ai eus à affronter dans ma vie, je suis toujours parvenu à conclure à la solution la plus logique, la plus concise et la plus radicale qui soit. C’était mon « côté scientifique » d’après Franck, mon tuteur. Ou mon « talent à analyser les choses rapidement » d’après Marcus.
Je monte les marches vers mon bureau.
Cette… Capacité, je ne lui trouve pas d’autre terme adéquat, s’est évidemment souvent avérée utile pour moi. Elle m‘a permis d’avoir mon Doctorat de physique avant l’âge moyen, elle m’a permis de sortir vivant d’affrontements aux issues les plus incertaines, aux caractères les plus violents.
Je regarde à travers la fenêtre le quartier désert et nocturne.
Et là, je me trouve seulement avec une conclusion possible à ma situation. Je suis devenu un monstre, et rien d’autre. Certes, un être différent d’un Evans, ou d’un Emmet, mes ennemis les plus sadiques, les plus cruels que je n’ai jamais eu à affronter, mais là n’était pas la question. Ca n’excusait en rien le fait que j’avais assassiné froidement Melissa, après avoir analysé son crâne à coups de capteur d’ondes à nanomachines, et après avoir ramené la preuve pour Jebediah que j’avais sauté son amour de toujours… Je suis aller trop loin, beaucoup trop loin.
Je tends mes bras face au balcon, respirant l’air frais de la nuit. L’odeur de l’après-pluie est agréable, envoûtant.
Il faut que je profite de ce court moment de lucidité pour trouver la solution la plus logique à mes actions, pour m’arrêter dans ma folie, dans mon plan meurtrier et sournois. Quelle importance y a-t-il à continuer à vivre si je ne peux plus me contrôler, si le dernier acte de ma vie sera d’arrêter un meurtrier fou, ce n’en sera que mieux… Et je serais mieux placé que tout le monde pour voir tout le bien que cette action apporterait.
Je fais un pas vers l’avant, un de mes pieds flirte avec le vide, hésitant.
J’ai souvent pensé à mettre fin à mes jours dans les pires situations de ma vie… J’ai toujours assumé ce tempérament et j’ai souvent été prêt de le faire… Quand mon père battait ma mère ou Marcus toute la nuit durant, quand Samaëlle est morte devant mes yeux, quand je me suis réveillé du coma après avoir tout perdu, tout…
Je sais que je ne pourrais jamais m’arrêter dans ma vengeance si puérile, mais si vrai. Je sais que j’en voudrais toujours à Evans au point de faire ce que je fais… Tu as donc encore gagné Jebediah, je ne peux aller plus loin, je ne peux plus t’imiter plus longtemps. Il faut que tout cesse parce que je deviens fou, mais aussi parce que je ne peux plus me regarder en face à présent, je le sais… Maudit sois-tu.
Je laisse tomber mon corps, ma vision du trottoir en bas de l’immeuble tangue d’un angle droit… Et puis tout s’arrête.

Une paire de bras fins enserre ma taille de toutes ses forces. Lila a vu et était là pour m’arrêter juste à temps.
- Ne fais pas ça ! Crie-t-elle.
Je n’avais même pas vu que j’étais en train de pleurer.
- Il le faut Lila…
Je fais semblant de forcer vers le vide, mais elle me secoue fortement, et nous tombons tous les deux en arrière, sur le ciment mal traité. Je gis au sol comme une loque, comme un déchet dans sa déchéance, frottant de ma main la pierre, ayant perdu une partie de mon être. Pleurant encore comme un gamin honteux.
Lila, toujours au sol, est essoufflée.
- Je craignais qu’on n’en arrive là… Tu l’as tuée aussi n’est-ce pas ? Tu l’as battu à mort elle aussi ? Tu l’as fait souffrir ?
- Non pas elle, je réponds, elle était innocente, contrairement aux autres. Elle était parfaite même… Elle devait juste mourir.
- « Juste » mourir…
J’entends Lila renifler, elle pleure, elle aussi.
- Ne mets pas fin à ta vie, tu vas t’en sortir. Il suffit juste que tu arrête cette escalade.
- Le meilleur moyen de mettre fin à une escalade, c’est de se laisser tomber dans le vide, Lila.
- Pas pour toi, Ripple, tu vaux plus que ça.
Allongée derrière moi. Elle me prend le corps. Me serre fort. Me caresse. Puis me chuchote à nouveau à l’oreille.
- … Tu vaux plus que ça.
Je me retourne, je la regarde dans ces beaux yeux gris pour la première fois :
- Il est trop tard Lila, je suis aller trop loin avec elle, c’est fini. Je ne suis plus moi à présent, juste quelque chose que je déteste…
- On a tous un côté de soi qu’on déteste, il faut le surmonter… Et rien n’est perdu pour toi… J’ai vu les infos, Ripple, elle… elle s’en est sortie, elle n’est pas morte. Tu n’as pas assassiné d’innocent, et tu ne le feras jamais, tu n’essayeras plus jamais… Promets-le-moi.
Je lui caresse le visage.
- D’accord…
Elle colle son visage contre le mien, frotte sa joue contre la mienne… Me l’embrasse, puis m’embrasse moi. Je me laisse faire… Tout comme je la laisse retirer mon maillot de corps, avant de l’imiter, sans trop savoir pourquoi… Probablement un besoin vital de m’évader un instant de tous mes démons, si puissants soit-ils.
___
¤¤¤

- Soir du 14 juin 2035, dans un hôpital de Los Angeles -

Sirius avait pris l’avion vers la Californie « pour le bien de l’enquête », il n’avait pu qu’acquiescer en cachant son écœurement quand on lui a annoncé que j’avais tiré sur Melissa Harisson. Assis à son chevet dans sa chambre d’hôpital, il admirait la jeune femme, toujours dans le coma, avec un mince espoir de se réveiller un jour. Powell était tiraillé entre le souhait de la voir se réveiller, et celui de voir son secret tue à jamais, car son secret pouvait m’incriminer à vie. Certes, le Capitaine avait le sens de la justice, mais il voulait également tenir sa promesse à Marcus : M’extirper de ma folie… Mais en regardant à nouveau les tubes enfoncés dans le nez de Melissa, il se demandait si cela était encore possible… Jusqu’à qu’il se rendit compte que son portable vibrait depuis déjà un moment.
- Hum… Ici Powell.
- Comment va-t-elle ?
Toujours la même surprise l’envahit en entendant cette voix.
- Son était est stable Stanley, mais elle risque de rester endormie pour le restant de ses jours…
Quelques secondes passèrent consistant à laisser Powell entendre ma forte respiration.
- … Je regrette, vous savez.
Ce fut à mon tour d’entendre les soupirs du Capitaine.
- … Vous m’avez déçu Stanley, je ne pensais pas que votre projet consistait à s’abaisser à ce point dans la truanderie.
- Je sais… Mais il le faut, vous savez.
- Non il ne le faut pas ! Il est encore temps de tout arrêter, de revenir en arrière ! Rendez-vous, je ferais tout mon possible pour…
- Non ! Je vais continuer. J’avais pensé à mettre fin à… A ce projet. Mais j’ai réalisé les bonnes choses qui pouvaient en découler. C’est un mal pour un bien…
- Alors quoi ? S’énerva Sirius, vous aller encore tuer des innocents à la pelle pour le « bien » du monde ?
- Non. Plus d’innocents. C’était la seule… Les prochains sur ma liste seront les pires espèces que le monde ait jamais connu, c’est aussi ça qui me pousse à continuer. C’est aussi pour cela que Melissa était en tête de liste…
- … Le plus dur d’abord, conclut le Capitaine, davantage écœuré.
- En quelque sorte, oui…
- C’est pour cela que vous m’appelez ? Pour me dire que vous aller continuer cette affreuse entreprise que vous vous êtes mis en tête ? Pour me dire que les tortures d’Evans valent toutes les horreurs du monde ?
Il sentit ma surprise au son de mon souffle. Il reprit.
- Eh Oui, Stan, je sais tout sur vous. Votre frère m’a tout raconté, et il est autant abasourdi que moi par ce que vous avez fait. Et il hésite de plus en plus à vous arrêter par la manière douce.
- Justement. C’est pour ça que je vous appelle…
- Comment cela ?
- Je veux être le seul coupable de mes crimes, je ne veux pas qu’on me couvre, ni une personne aussi noble que vous, ni mon frère. Promettez-moi de Lutter contre la société, les Patriotes et U-155 de la même manière que vous combattrez le crime. Mes crimes.
- Je… Vous me dites que…
- Oui, Capitaine. La prochaine fois que vous m’avez dans la ligne de mire, tuez-moi. Le sort et la hargne m’empêchent de le faire moi-même, ce sera donc votre boulot. Désolé si cela peut vous paraître lâche.
Powell se passa la main sur sa chevelure rousse.
- Vous êtes fou, O’hara !
- Fou et dangereux, ne l’oubliez pas. Et ne dites rien de tout cela à Marcus. Je compte sur vous : soyez un adversaire à ma hauteur. A très bientôt, Capitaine.
Et je raccrochai. Au grand malheur de Sirius Powell qui avait à présent un nouveau dilemme sur les bras. Ce que j’ignorais à ce moment, c’est qu’il pouvait accéder à ma recommandation plus efficacement que prévue… Mais heureusement pour moi, il voulait jouer ce duel dans les règles.

___
¤¤¤

- Au même moment, dans un immeuble désaffecté à Phoenix, Arizona -

Je rangeai mon téléphone, m’apprêtant à retourner dans mon lit, où m’attendait la tendre Lila. J’avais désormais une alliée solide pour la suite des évènements, et cela m‘emplissait d‘assurance. Étonné de la croiser dans les escaliers, elle m’informa :
- J’ai du mal à dormir, je vais cherche un verre de lait dans la cuisine.
Je lui souris :
- Très bien. A tout de suite. Je t’attends.
Elle sourit à son tour, et descendit les escaliers… Elle préféra cependant aller dans mon bureau plutôt qu’à la cuisine, prêt de la fenêtre où j’avais pris habitude d’admirer la ville, et sortit à son tour son téléphone, après avoir veillé à ce que je n’entende pas la conversation. On décrocha. Elle prit la parole immédiatement :
- Capitaine Powell ? Ici le Lieutenant Hume... Je crois qu’on a un problème.
Une alliée solide que j’attendais patiemment sous les draps, presque à nouveau heureux de m’endormir dedans.

***

Prochain épisode : "Créance" ! :)

Tarask001 Tarask001
MP
Niveau 10
12 mai 2010 à 00:02:06

Chroniques II: Une semaine à Venise

Première partie: L’enlèvement II

Je me réveillais enfin, j’avais fait plein de rêves, j’ai même rêvé de Sonali…défunte depuis si longtemps, pas ma faute ! Non, ce n’était pas le moment de s’apitoyer sur mon sort, il faisait sombre dans la pièce, et ce matelas sur le sol était vraiment inconfortable. Je me sentais alors particulièrement vaseux, quelques heures de sommeil ne me ferait pas de mal, je me tournais sur le coté, et comme si quelqu’un avait exaucé ma prière je me rendormais aussitôt.

***

- C’est bien lui, demanda Pietro qui s’était écarté après avoir enlevé le sac.
- Oui, fit Maximilien, ravi de vous rencontrer.
- J’aimerais vous rendre la pareille, mais je cause pas aux inconnus.
Maximilien trembla légèrement, il s’essuya encore le front avec son mouchoir. Son apparence si joyeuse avait disparue désormais, il ne tremblait pas, mais il ne cachait pas son stress et sa peur. Tout pouvait bien se passer, mais tout pouvait dégénéré d’une seconde à l’autre. Il regarda le détenu droit dans les yeux, ce n’était qu’un soldat après tout, mais cet homme semblait…inhumain, son regard vous analysait de part en part, des yeux reflétant une bien trop grande intelligence à son avis. Maximilien Maurasi, professeur en biotechnologie, en cybernétique, et chirurgien plastique, comptait parmi les plus grands esprits de ce monde. Mais là, devant cet homme, il avait l’impression de s’enfoncer petit à petit plus bas que terre. Il voyait son propre visage sur la peau du détenu, il voyait son visage essayant de cacher sa peur, il voyait sa peur face à Saladin.

***

Je me réveillais à nouveau, mais je n’étais pas couché…mais assis. Je m’étais assis dans mon sommeil, non j’étais sur une chaise, j’ouvris les yeux, pas la moindre lumière filtra. Okay j’étais tout juste réveillé, mais quand même mes photorécepteurs devaient normalement être capables de capter un minimum de lumière. Non, en fait c’était éclairé autour de moi, j’avais juste un truc sur la tête. Et j’étais enchainé à une putain de chaise. Qui avait fait ça, où est-ce que j’étais.
- Bande d’enfoirés, vous êtes qui, ou je suis ?!!
Peu importe où je me trouvais, peu importe qui m’avait emmené ici, dans un endroit que je ne connaissais pas, mais j’allais faire un massacre. Tirant sur mes chaines j’espérais les briser, besogne simple en général, ça avait du bon d’être une arme humaine…mais ces saletés de chaine ne cédèrent pas, j’eu beau y mettre toute ma force et au passage toute ma patience, elle ne se brisèrent pas.
- Qui êtes vous, le Comité, U-155 ?!!!
J’essayais encore une fois, rien à faire, ces putains de chaine me résistaient. Puis je me calmais, après tout quelqu’un viendrait bien me voir, me parler, on allait pas me laisser moisir ici…si j’étais un simple soldat peut-être que oui, mais là mon nom était assez suffisant pour que mon « hôte » vienne m’accorder une entrevue. Je me résolus donc à attendre…et l’attente ne fut pas si longue que je le croyais. Dix petites minutes après m’être résigné, une porte s’ouvrit, j’écoutais. Trois pas différents, un type assez gros sûrement vu la lourdeur du son, l’autre plus svelte, et le troisième…non il n’y en avait pas trois, mais bien quatre, mais ces deux derniers pas étaient si distincts que c’était difficile à entendre. Je sentis alors une main agripper le sac et le retirer…je fusillais aussitôt du regard les malheureux qui venaient d’entrer.
- C’est bien lui, fit le gars svelte.
Apparemment un soldat, quoiqu’il avait pas la gueule du soldat, un mercenaire plutôt.
- Oui, fit le gros, ravi de vous rencontrer.
- J’aimerais vous rendre la pareille mais je cause pas aux inconnus.
Je venais de balancer ça du tac au tac, histoire de montrer à ce graisseux que j’étais pas commode, même enchainé, au moins il y avait un truc qui me faisait plaisir, les deux types là crevaient de trouille. Seules les jumelles ne mouftaient pas, imperturbable, des jumelles donc, sûrement les pas distincts…mais même pour des jumelles, une telle concordance était effrayant.
- In caso di problemi ho chiesto ai miei uomini di agire subito ! ( En cas de problèmes j’ai demandé à mes hommes d’agir aussitôt !)
Le mercenaire venait de parler en italien, j’étais en Italie, ces gens étaient italiens…qu’est-ce que je pouvais bien foutre là moi.
- Non penso che ci saranno di problemi. (Je ne pense pas qu’il y aura de problèmes.)
- Ed io penso che fareste meglio di smettere di prendermi per un rimasto, parlo italiano tanto bene che se fossi... (Et moi je pense que vous feriez mieux d’arrêter de me prendre pour un demeuré, je parle italien aussi bien que si je l’étais…)
Le gros et le mercenaire en restèrent stupéfaits, ben quoi, il n’y avait rien d’anormal, je connaissais pas mal de langues, merci U-155 pour ma programmation.
- Veuillez nous excuser général, fit le gros apparemment confus, je me présente, Maximilien Maurasi, je suis professeur en…
- Ton titre je m’en balance, ce qui m’importe c’est de savoir qui vous êtes, pourquoi je suis ici, ou je suis…tu piges ?!
- Oui très bien, je vais tout vous expliquer.
- T’as intérêt à être convaincant Maxou, autrement quand je t’assures que je te tuerais, ainsi que les autres dans cette salle, sûrement les gus qui m’observent derrière le miroir, et peut-être même tout le complexe.
- Je je…
- Et magnes-toi…
Je ne pouvais pas m’en empêcher, c’était jouissif, j’étais le captif, c’est eux qu ise chiaient dessus.
- Tu veux que je te dise Maxou, quand tu crèveras, ta grosse carcasse en tombant sur le sol risque de faire un bordel pas possible.

x-Sawyer-x x-Sawyer-x
MP
Niveau 10
17 mai 2010 à 15:12:59

Critique du texte de Lockheed - 6.Dans la gueule du chien

D'abord, j'aime beaucoup l'ambiance. Je veux dire : les sentiments de Locke ainsi que les échanges entre les deux personnages font globalement très vrais, et ça rend le texte vraiment immersif. T'as réussi à rendre le personnage de Doberman instable à souhait sans que ça en soit caricatural, bien joué ! Le passage où il ne lâche pas Locke, qu'il tient dans les airs, en est presque dérangeant. Quant au « tu veux dire: ce couteau ? » en entaillant sa joue, puis le remerciement de Locke, ça montre bien le fossé d'expérience entre les deux.
« t’aurais transformé en distributeur de bonbons Pez »

J'adore cette réplique, mais elle me dit quelque chose. Déjà utilisée dans un de tes textes, ou tu l'as prise d'un film ? :)

« Komodo se mit à genoux, alluma son codec. »

Petite erreur, tu voulais dire Doberman non ?

« Je dus m’écarter, m’appuyai contre un mur et vomis contre celui-ci. Mes barres chocolatées de merde. Sale graisse lyophilisée. »

Le passage est bien écrit, mais tu sembles obsédé par le vomi, ces temps-ci... :D

Même si la réaction de Locke est compréhensible !
« Et, alors qu’il partait en direction d’une salle et se humait le bout des doigts :
-Mh. Vodka. »

J'ai pas compris. XD

Franchement, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce texte, l'ambiance y est balèze et depuis que tous nos personnages sont plus ou moins devenus des leaders de leur camp respectif, ça change de voir des « bleus » ( gros, les guillemets, Locke est loin d'être un bleu quand même!)

Critique du texte de Locke : -Interférences-

Pas grand chose à dire. Ca donne un peu l'impression d'une réflexion de Locke où il essaye de faire le point et de se donner bonne conscience sur certaines choses. Par contre, ça renseigne pas mal sur l'identité du groupe auquel appartiennent maintenant Naked et Locke, et franchement j'avais pas vu ça comme ça ( l'aspect mercenaires venant de Dieu seul sait où ).
Un truc qui me surprend avec ce genre de textes, c'est que je n'ai plus l'impression d'être dans la même fic'. On est passé d'un monde polarisé, où tous les groupes semblaient être d'immenses machines à tuer ( Foxhound, U-155, Patriotes, Terroristes... ) avec des moyens énormes, où l'on assistait à la destruction de serveurs... à un monde où chacun semble partir de son côté, où les soldats semblent tous venir d'une guerre civile éprouvante mais surtout archaïque, comme si soudainement, le monde avait été le théâtre d'une guerre « everyman for himself ».
Le deuxième est plus profond et beau à raconter, mais j'avoue préférer le type d'ambiances et d'enjeux du premier.

Critique du texte de Locke : Ryan Locke: Post Red-Shell Disorder

« En fait, une partie de moi me dit que le faux est faux, tout comme le vrai, et que la vérité n'est probablement pas celle que je désire comprendre. Et une partie de moi ne comprend plus rien. »

Ah ah, j'ai rien compris à la première phrase donc la seconde m'a bien fait marrer.

J'ai pas grand chose à dire sur la première partie du texte : elle est fluide et agréable à lire.
« -Et toi, avec tes borborygmes psychologiques de la Red Shell, ça joue? »

Tes personnages utilisent tes propres expressions maintenant ? XD

La conversation entre les deux personnages est très belle. On sait que les deux ont réellement un lourd passé, en particulier Locke bien sûr. La longue réplique de Falcon achève super bien le truc, ainsi que la réaction finale de Locke.
Non, franchement, pour moi jusqu'ici Ulti était le maître es-sentiments dans les textes, mais là je trouve ceux-là très profonds. Vraiment très beaux à lire.
C'est pas une réplique très constructive, certes, mais... y'a pas grand chose à en dire. On sent que tu t'axes sur la psychologie des personnages – Locke en particulier – et le contrat est pleinement rempli. :)

Critique du texte de Ripple - 60. ‘Déchéance’

D'abord... Melissa est étudiante ? A 44 balais ? Etrange. Je lis, je comprendrais peut-être le fin mot de l'histoire après. ^^
Ah bah non, c'est normal, ok.
Les rapports homme/femme sont légion, ces derniers temps. Falcon/Locke, Sirius/Valentine, Ripple/Lila. J'aime bien ce dernier d'ailleurs, j'ai envie de savoir où est-ce qu'il mène. Et la personnalité qui se noircit de plus en plus de Ripple est plaisante à découvrir.
Quant au personnage de Sirius, il me plait beaucoup. Il semble être le perso le plus clean et le plus juste qu'on ait vu dans MGHS depuis un paquet de temps !
Le paragraphe de réflexion de Ripple est, franchement, sublime. Je ne m'attendais pas du tout à son dénouement, d'ailleurs, et voir un personnage avec une telle importance que Ripple tenter le suicide renforce encore – si tant est que ce soit possible – l'enjeu de ce bout de texte. Il est vraiment... perdu. Et nous avec lui.
« - Le meilleur moyen de mettre fin à une escalade, c’est de se laisser tomber dans le vide, Lila. »

Oh, c'est beau. Un peu facile à sortir, mais beau. =P

« Elle colle son visage contre le mien, frotte sa joue contre la mienne… Me l’embrasse, puis m’embrasse moi. Je me laisse faire… Tout comme je la laisse retirer mon maillot de corps, avant de l’imiter, sans trop savoir pourquoi… Probablement un besoin vital de m’évader un instant de tous mes démons, si puissants soit-ils. »

Ah, bah voilà, j'aurai pas eu à attendre longtemps pour savoir où allait cette relation. ^^

Tu la décris souvent comme une jeune femme, elle a combien de dizaines d'années de moins que Ripple ? :noel:
Puis vient la scène du coup de fil entre Sirius et Ripple. Et waw. Elle est très réussie. Beaucoup plus de panache, mais les mêmes enjeux, de la part de Stan, que de dire à Powell de ne pas hésiter à le tuer. J'aime beaucoup ce Ripple là, très profond ! Et ça promets pour la suite, ça ne fait que renforcer l'importance des choix qu'aura à faire Sirius.

Et enfin. « Aaaargh » semble être le bon mot. Très, très – très – bon cliffhanger, je ne m'y attendais pas du tout ! ( Et j'aime bien le nom du lieutenant, mouahaha. )

Très bon texte, vivement le prochain !

Critique du texte de Saladin : Chroniques II: Une semaine à Venise

Note : je vois que tu dates le texte du 20 Février, donc juste pour prévenir, le « meurtre » de Saladin est censé avoir lieu aux alentours du 20 Mars. Comme je t'ai dit, du moment que tu évoques la tentative d'assassinat, t'en fais pas pour le reste, j'adapterai, pas besoin de faire faire au Général une semaine de coma ou autre. ^^

Pas grand chose à dire sur les deux premiers paragraphes, ça me fait bizarre de lire certains noms que je n'arrive plus à associer à un personnage.
Je ne sais pas si la répétition de la structure de présentation des deux personnages ( Maximilien et Pietro ) est voulue, mais le fait que la dernière phrase de chacune soit précisément identique fait un peu étrange, je trouve !
« Au loin un homme se mit à chanter « O Sole Mio » » > Euh... Ok. :fou:
Le délire des jumelles... Un fantasme à toi ? =P
En tout cas, on sent bien le contraste entre les personnages qui semblent particulièrement flippés d'être confrontés à l'homme ( avec tes descriptions, il semble que ce soit Saladin... mais à ce moment, je suis pas sûr que ce soit aussi simple ! ) et les jumelles, stoïques et froides.
Ah bah si, c'est Saladin, autant pour moi ! Et d'ailleurs, ça me fait douter, cet enlèvement est-il ce dont tu parlais quand tu disais que Saladin devait disparaître de la base ? Parce que dans ce cas, niveau timing, c'est un peu juste. Dans le cas inverse, le Général devrait être revenu à la maison sous un mois. :p)
Le petit dialogue en Italien pour indiquer à Saladin où il est et par là même lui permettre de gagner un point par rapport à ses ravisseurs, joli !
Les répliques finales m'ont d'ailleurs bien fait marrer... Gros sadique, ce Saladin, mais ça a un bon style. Il est prisonnier, et il s'éclate. :-d

Bon texte de retour en tout cas, ça fait plaisir de te compter à nouveau parmi nous !

( 1h30 pour rédiger ces critiques... la prochaine fois je les lirai un par un :fou: )

x-Sawyer-x x-Sawyer-x
MP
Niveau 10
17 mai 2010 à 15:17:04

Mmmh, quelques erreurs :

"C'est pas une réplique très constructive"
:d) C'est pas une CRITIQUE très constructive. :fou:

"Beaucoup plus de panache, mais les mêmes enjeux, de la part de Stan, que de dire à Powell de ne pas hésiter à le tuer."
:d) Le "que" est en trop. :p)

Thunder-S Thunder-S
MP
Niveau 10
17 mai 2010 à 23:19:01

Alors Alex ouais je voulais parler de Doberman et pas Komodo. :) Sinon content que la relation entre les deux persos te plaise, je compte faire de Doberman un mix entre Snake, Vamp et Mantis en fait, pour le vétéran bienveillant, le combattant sanguinaire et le fou victime. :) Tu verras. :-d

Pour la Vodka c'est pour montrer le paradoxe entre le respect dont il prétend faire preuve et une odieuse référence au fait que tous les russes sont des saoulons, et que même leur sang a le goût de vodka.

Ripple j'ai lu aussi! Tout d'abord j'aimerais dire que lu avec ça http://www.youtube.com/watch?v=cVn7LMAyht8&amp;feature=related , notamment la deuxième partie où Ripple veut mettre fin à ses jours, on sent bien le dilemme de Ripple qui semble au fond plus perdu encore que sous les tortures d'Evans: parce qu'ici il a le choix de ses actes, et pourtant décide de soigner sa blessure par la vengeance. Bon, c'est dur de définir les derniers sentiments de quelqu'un juste avant de se suicider, j'y ai pensé quelquefois, je ne sais pas quoi dire à propos de ça avec Ripple, il paraît un peu absent... Mais en tout cas la manière dont la relation Ripple/Powell/Marcus/Lila évolue est top: qui est du côté de qui, qui risque de retourner sa veste?... On sent que chacun est sur une position qui risque de changer et la situation peut évoluer avec un évènement isolé... j'aime! Les personnages deviennent vraiment de plus en plus intéressants!
Bonne idée de faire venir JD (OURS A LA VANILLE XD) dans le scénario aussi, ça renforce le truc. Pis comme Alex l'a aussi très bien souligné super perso en tant que Sirius Powell, en plus qu'il a un nom de fou et que lui aussi est roux sur les bords, il est top droit et tout. Faudra qu'on te l'emprunte. Mouhaha!

JOKE:

Une alliée solide que j’attendais patiemment sous les draps, presque à nouveau heureux de m’endormir dedans.

S'endormir... dans les draps, ou l'alliée? MOUHAHAHAHA

JOKE - OFF

Ultimate_gamer0 Ultimate_gamer0
MP
Niveau 11
17 mai 2010 à 23:27:57

Hihi merci Alexou pour ta critique !
Pour corriger ton amnésie, sache que Melissa disait déjà à Ripple qu'elle était étudiante dans le texte où Ripple lui tire dessus page 1427 ! :)
Et merci pour la fameuse scène, sache que j'ai écris à partir de ce moment dans le texte deux mois après le moment précédent, le sryle à changé un peu du coup.^^ (Et tant mieux)

Et aaaahhh quel plaisir de surprendre avec un cliff une nouvelle fois ! :-p

Dès le prochain épisode les relations entre les persos vont quelque peu s'enflammer, et le rythme sera bien plus effrené !

Thunder : Merci également ! Pour ta joke j'ai fais semblant d'être trop mur pour pas rire mais jerry quand même :noel:
une fois de plus, tu es insurprenable ! :) snif je comptais sur ce cliff pourtant.

Thunder-S Thunder-S
MP
Niveau 10
17 mai 2010 à 23:55:05

Ah oui aussi... Mellissa Harisson est née à un jour près de mon meilleur pote. :-p Ca donne une idée différente de quand on bute quelqu'un!...

Thunder-S Thunder-S
MP
Niveau 10
18 mai 2010 à 00:45:33

(Pis le coup du mentor c'est une référence à Dexter, right? T'avais prévenu l'influence du truc.^^)

Sinon pour le cliff, disons que mon kiff, c'est pas les cliffs. :-d Je trouve toujours facile de faire un rebondissement, après faut savoir faire un rebondissement qui claque.

Style vous m'avez l'air d'être encore à fond dans Lost... mais les gars quand je regarde Lost je me marre. xD Autant jusqu'à la troisième saison j'ai fait l'effort d'adhérer et de regarder ça comme un truc sérieux, autant ça part tellement violemment en couille avec des cliffs partout, ça veut plus rien dire. :) Un peu comme le Caméléon, mais cette série-là s'est arrêtée avant... (ouais juste on attend encore la fin.^^)

Donc réponse: le genre de cliff "t'étais avec lui en fait" ou "tu couchais avec ma mère, salaud" c'est pas mon kiff. :) Le genre de cliff "merde le facteur était le meurtrier parce que [...]" à la Sherlock Holmes par exemple j'aime beaucoup plus. Ca dépend. :)

Tarask001 Tarask001
MP
Niveau 10
18 mai 2010 à 21:38:45

Mais quand faudrait-il que je date le texte alors ?! ><
Quoiqu'il en soit, oui, le fait de conclure les présentations des personnages par la même phrase est tout à fait voulu et réfléchi !
Quant aux jumelles, disons que ça ne me déplairait pas !

Thunder-S Thunder-S
MP
Niveau 10
23 mai 2010 à 23:26:10

PUTAIN le trailer de Call of Duty Black Ops! :bave: GAAAAAHHH

Ultimate_gamer0 Ultimate_gamer0
MP
Niveau 11
25 mai 2010 à 10:30:33

PUTAIN la fin de Lost ! :bave: GAAAAAHHH

akuma-chan77 akuma-chan77
MP
Niveau 3
25 mai 2010 à 18:01:14

Nom : AKUMA
Arme préféré : sniper,scorpion,couteau de survie
Accesoire : lampe torche pansment jumelle
Camouflage : noir,masque,scientifique

akuma-chan77 akuma-chan77
MP
Niveau 3
25 mai 2010 à 18:03:24

pret a faire ma misson seur

Ultimate_gamer0 Ultimate_gamer0
MP
Niveau 11
25 mai 2010 à 18:46:05

fake ? :noel:

DébutPage précedente
Page suivanteFin
Répondre
Prévisu
?
Victime de harcèlement en ligne : comment réagir ?
Infos 0 connecté(s)

Gestion du forum

Modérateurs : Evilash08, Vortex646, Tomy-Fett, Leirok, ]Faustine[, Latios[JV], Remysangfamy
Contacter les modérateurs - Règles du forum

Sujets à ne pas manquer

  • Aucun sujet à ne pas manquer
La vidéo du moment