- Vous êtes malade !
- Malade...J’étais malade, j’étais envahis d’un tas de pensé qui n’était pas les miennes... Wake up man ! It’s time ! Des gens avait commencé la lutte avant moi mais il non pas fait ce que j’ai fait, même si The Death à fait de grande chose et que Naked Snake devient enfin indépendant...La liberté Owen, sais tu ce sa fait d’être libre ? C’est grisant ! C’est une nouvelle façon de respirer. Donc Owen, où sont les bandes que je sache qui son les pièces dormantes au USA, la vidéo montre des belligérants du conflit, des grandes pontes, si je savais qui ils étaient, je les éliminerais et retarderais le conflit final, je veux éviter une nouvelle guerre mondial....
- Mais ça n’a aucun sens ! Qui peuvent bien être ses hommes !
- Ils font partie de la plus importante organisation que la terre n’est jamais porter, mais ils ont tellement de pouvoir qu’ils ont besoin d’encore plus de pouvoir ! Un cycle infernal, le serpent mordant sa queue, j’ai besoin de cette vidéo pour les détruire. Help me... Help me please.
- Cette vidéo est chez moi, mais attendez, vous avez réellement tué le président des Etat Unis ? C’est un crime fédéral et vous aurez la peine de mort !
- Tu es comique et innocent, les gens comme moi sont au dessus des lois, elle n’existe pas, car nous le savons, les lois sont des moyens de vous parquet dans une direction, vous montrez le bien du mal, c’est un moyen de faire du mindcontrole, et ils, nous avons réussis à la perfection : Nous vous avons dicté votre histoire, vos peur, vos bien fondé, tout ce que tu crois juste, tout ce que tu penses horribles et affreux... NOUS l’avons crée de toute pièce, le 11 septembre et l’assassinat de JFK furent quelque une de nos plus grande réussite, avec le voyage sur la Lune, enfin les leurs, je ne fait plus partit de leur sordide histoire...
- Who the hell are you !
-Je m’appel Sonia, j’étais un membre des Patriot, nous avons eu plusieurs nom mais seules celui là a une consonance dans l’éternité... Nous sommes les seul à avoir totalement asservie un peuple, sans que le peuple ne le sache, nous ne sommes rien mais nous sommes tout...
- Je comprends rien à tes histoire...
- Je m’en fous que tu comprennes ou pas, dehors c’est la guerre, tu entends, la guerre, des gens comme moi peuvent la stopper, anéantir le conseil, toute les cellules dormante, et détruire U-155 par la même occasion.
- C’est dingue.
- Donne-moi les bandes.
- Non.
- J’ai tué vingt cinq soldats aujourd’hui, tu crois que j’hésiterais à te tuer ?
- Tu n’aurais pas les bandes...
- Je peux me passer de toi....
- Et bien laisse moi !
-Ils savent que tu as les bandes, ta famille, tes amis et ta femme sont déjà morts, ce n’est qu’une question de temps.»

Chronique de Guerre, Sonia/Jericho/Frost.
Back to home.
Owen allais surement mourir, d’une affreuse crise cardiaque de suite de ses blessures, on donnera un drapeau américain à sa femme et ils pourront enfin oublier cette histoire de bande, fallait-il être posséder a ce point pour ne pas voir la vérité que l’on nous donne ? Les Hommes ne se rendent compte qu’ils ont tout à gagner, que lorsqu’ils pensent avoir tout perdu... Alors je leur ferais tout perdre ! Je pris mon véhicule que j’avais laissez au milieu de la chaussé, une foule d’individu, a la mine sombre et sévère observer mon véhicule d’un sale œil, je devais surement gêner leur paisible routine, la mort est si lente pour les fous.... Je m’assoie avec hâte dans l’habitacle de la porche que j’avais volé sous peux, à l’arrière, mes armes et une combinaison de combat toute que j’avais enlever à un soldat femme des patriotes. C’est la guerre ce soir... Direction l’aéroport, New York, pas question de prendre les vols internationaux, j’arrive à l’aéroport et je vole un avion, un jet privé, malgré les réticences des contrôleurs aérien, je prends mon envole dans la nuit noir de l’Ohio, direction la grosse pomme, je passe en pilote automatique, je me déshabille et rentre dans la combinaison, j’appuie sur les boutons du coup pour faire remonter le casque tactique devant moi, je connais tout sur moi à présent, pression artériel, rythme cardiaque, je remarque que la présence de mon enfant se fait sentir dans mon organisme et que j’aurais de nouvelle règle bientôt, je sais tout sur mes yeux également, dingue comment cette machine peut cerner un individus : en gros dans le coin gauche de l’écran : SONIA N°4517A-7e.
Mon numéro de code, de fabrication, de procréation. Le numéro est aussi écrit sur mon poignet, sur ce tatouage en forme de code barre, des objets guerrier a usage unique....Des soldats a usage unique, une vie a usage unique. Je prépare l’affrontement, eux sont ils près à recevoir le fléau qu’ils ont lâché sur la Terre, l’arroseur arrosé, je les arroserais du sang qu’ils m’ont forcé à faire couler... Ce n’est pas une vengeance c’est une véritable quête de la vérité. Je ne comprenais pas pourquoi ils décidaient pour nous à l’époque mais j’obéissais, maintenant j’obéis de mon propre chef et c’est dramatiquement superbe de pouvoir choisir de changer les choses et d’imaginer leur tête à recalculer la vie des autres en fonction de mes actions car ils n’ont pas prévue les miennes...Magistral....

La nuit est courte alors que je file vers New York.

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* Kinroi Voir le profil de Kinroi
* Posté le 30 mars 2008 à 15:26:44 Avertir un modérateur
* Cette histoire se passe 6 ans avaant le moment actuel

J'ai oublié de préciser ( On m'as pas dit qu'il fallait mettres les Dates aussi )

Ben les dates c'est surtout pour nous localiser, si l'histoire n'a pas d'impact sur les autres par la suite, c'est pas indispensable de préciser.

La comme on est dans les chroniques, chacun est dans une période différente, entre le 1er septembre 2028 et le 1er septembre 2034. Libre à chacun de préciser quand. Il n'y a actuellement pas vraiment de "moment actuel".

Arf ça va m'en faire de la lecture.XD

N'arrive pas à dormir.

Donc pour votre grand plaisir, le retour de notre grand soldat français, clone de Big Beauf :

Soldat Michel

L'opération Renard-Down s'était déroulé à merveille, j'avais assité le colonel Nu comme il se doit. Et la mort de chat-amérindien et du terrible Aimé avait marqué un coup fatal aux Patriotes.
Avant mon départ, je conversais avec le Capitaine Airbus (oui j'ai changé XD) :
- Capitaine, la route m'appelle, je vais rejoindre mon vieil ami Taugau dans le sud... A côté de Nice.
- Avant cela, me répondit-il, il faut que tu nous connaisse un peu mieux, voici le rapport de mission de Barcelone Onde, pour que tu en apprenne plus sur U-155.
- Merci bien.
- Aussi, laisse moi te présenter mon équipe : le cor des litres numéro 82.
- Mmm ?
- Voici Boulet, Faucon, Fragment, et bien sur... Frelon ! (Hibou et Silex sont morts)

Devant ces noms très bien choisi, je ne pouvait que faire le salut militaire et patriotique face à cette fine équipe, même si je n'aimais pas le regard de Fragment.
- En attendant de reprendre la route, ajouta AirBus, moi et la recrue Corneliousse allont assistés à un match PSG-Equipe Terroriste, nous accompagnerais-tu. Les billets sont financés par la base du Renard.
- Ca aurait été avec plaisir, mais Taugau m'attends.
- Dommage, nous soupçonnons entre autre l'équipe de France d'être de mèche avec les Patriotes.
- Pourquoi donc ? L'interogeais-je en rangeant mon Canon Gaulosophe 3000, tout en grattant mon poireau.
- Eh bien, à la coupe du monde en '98, ils chantaient tous Laaa-li-lu-le-loooo, La-la-la-la-laa-li-lu-le-looooo.
- Hahahaha, t'es trop con Airbus !
- Une vieille blague du colonel Nu ! Aller j'viens jtoffre une seize-cent pour la route !

A suivre

Ulti Pas mal

Kinroi: Pas mal du tout! Bonne ambiance, les sentiments délavés du soldat qu'on essaie de faire ressortir dans MTS (surtout dans mes textes et ceux de Kenneth je trouve... (halala ces Alexs XD)) sont bien mis en oeuvre, la lassitude s'installe aussi bien que la fluidité.

Mais y'a quelques détails qui me gênent quand même, même si rien de grave. Certains temps mal accordé, des majuscules à certains mots qui apparaissent je sais pas trop pourquoi!^^

Et fais attention à ne pas instaurer une ambiance peut-être un tantinet TROP détendue... y'a une différence entre lassitude du soldat et professionalisme flegmatique. Bond n'est pas dans MTS.

Mais t'inquiète, si tu continues sur cette lancée tu t'intégreras très, très vite!

Stone: C'est long (y'a deux ans j'aurais jamais pensé dire ça d'un de tes textes XD), j'imprime et je lis après!^^ (il est tard^^) Mais d'après un coup d'oeil global ça semble très bien.

Ripple: Capitaine Airbus! XD Me vengerai!^^

Lockheed Tale# 2: Sept Minutes

4.Minuit Deux

Caporal Lockheed

00:06:01
Six minutes.
Fraîcheur.
Ici, dehors, à monter cette échelle. Dans la fraîcheur de janvier, qui semblait se montrer de plus en plus agressive à chaque échelon monté. Plus agressive sur ma peau, comme pour me faire souvenir que je transpirais comme un boeuf, que je suais de peur et que j'étais à deux doigts de mouiller mon pantalon. Mes bras étaient frémissants, les muscles de mes bras étaient frémissants. Mes mains étaient frémissantes, et aggripaient les barreaux avec une étrange fébrilité. Mes doigts se serraient autour un peu plus à chaque fois, comme pour vouloir les tordre, en faire pression comme un un puissant étau.
Je finis de monter ces deux étages -encore cinq- me laissai tomber contre la porte-fenêtre du balcon où j'avais débarqué, et observai ma montre.
00:05:29.
Mon coeur battait à tout rompre, voulant briser mes côtes. Pour lui, des barreaux. Ma respiration était rapide, saccadée.
L'explosion.
La bombe.
Putain.

C'était moi qui était dans l'étau.
-Au-dessus, il est monté, je vous dis...
Je sifflai un petit juron, ouvris la porte, et arrivai rapidement dans un vaste bureau, puis dans le couloir. Au-dehors, au-dessus de moi, j'avais entendu les pales de l'hélicoptère se mettre en mouvement. Owl m'attendait, il me suffisait d'arriver sur le toit, de plonger dans l'appareil et de foutre le camp d'ici. Mais il me restait quelques minutes à peine.
Je ne savais pas exactement à quoi ressemblait la bombe, mais la seule idée de tout un étage soufflé par une explosion me remplissait d'effroi. Les images de la Freedom Tower se mêlaient à celles des Twins, et à tous ces immeubles en train de sauter que j'avais vu durant cette guerre, ou avant. À San Francisco, alors que j'étais encore dans une équipe du Swat, un homme avait pris en otage un groupe de personnes, dans l'immeuble de sa société, et avait placé une ceinture d'explosifs autour de chacun. Huit personnes. Le négociateur de l'unité avait bien vite remarqué qu'en plus de ne pas être dans son état normal, il présentait des symptomes de manque et de stress énorme. C'était trop dangereux. Le chef n'avait pas hésité, il nous restait peu de temps, on était entré.
Une équipe a fait diversion, l'autre a réussi à secourir six des otages et à laisser leurs ceintures sur le lieu. Je soutenais un homme, dans la trentaine. Une bonne gueule et de l'eau de cologne bon marché. "J'ai une putain d'envie de revoir mes gosses". Je le sentais faire dans son froc. Et en fait, en y repensant, c'est vrai qu'il avait vraiment laissé une traînée derrière, quand je le soutenais vers la cage d'escalier. Heureusement (ou pas, en fait), on l'a atteinte. En volant. Le mec s'était fait sauter au moment où on passait la porte, et si on avait pris dix secondes de plus à évacuer, on aurait été propulsés à travers une fenêtre au lieu de quelques marches. L'explosion fut d'une puissance gigantesque. Je m'étais réveillé quatre jours plus tard à l'hosto, avec l'une des plus étonnantes collections de fractures de ma vie. Le gars que je soutenais était mort avant l'arrivé des secours. Bilan: la moitié des otages y étaient resté. Mais l'explosion continuait de résonner dans ma tête, comme un coup de tonnerre, avec un opéra d'échos qui suivait. Et je revoyais ces ceintures d'explosifs. Des jouets. Quelques petits pains d'explosifs reliés avec du fil, un ridicule petit fil de métal. Dans mon esprit, ils se superposaient à la multitude de fils qui entouraient la bombe. Ces bombonnes, cet arsenal d'enfer et tout ce merdier. Si dans...
00:05:23 minutes, je ne sortais pas d'ici, je volerais au plafond avant que celui-ci ne s'effondre avec le reste de l'immeuble. Et mon cerveau pouvait tenter de me rassurer autant qu'il voulait, je savais que le peu d'espoir de survie qu'il me restait se trouvaient dans les deux chargeurs que j'avais dans mes poches, et à mes sueurs froides.
Ca rafraîchit.
-ICI!
Je n'avais vraiment étudié le russe, à l'université, mais les rudiments de la conversations que m'avais appris Flint se révélaient d'une incroyable utilité. Je bondis au sol comme un fauve sur sa proie, roulant derrière une plante verte alors que les premiers tirs d'Ak fusaient déjà sur la moquette. Un seul type, sortant des escalier en dégainant comme un cow-boy. Une aubaine.
Je dégainai mon pistolet, roulai dans la direction opposée pour faire face à mon adversaire et tirai trois balles pour me couvrir, pensant rouler à nouveau pour me réfugier dans la salle d'où je venais; je fus incroyablement surpris de voir que l'une d'elles venait de toucher mon ennemi et le plaquer au mur. Sans perdre un instant de plus, je me levai, courus dans sa direction. Il matait son bras ensanglanté avec étonnement, et lorsqu'il tourna la tête vers moi et leva son Ak à une main, il était déjà trop tard. La culasse de mon arme vola en arrière, et sa tête se cogna brutalement contre le mur en une gros éclatement sanguin, un petit trou net quelques part au-dessus de l'oeil droit. Son oeil droit.
Je rangeai rapidement mon pistolet, et pris son fusil de ses mains alors que le reste de son corps tombait dans le couloir en un bruit mat, peignant un arc-en-ciel pourpre sur le mur. Je jetai un rapide coup d'oeil dans la cage en entendant les autres unités remonter vers moi. J'avais été surpris de les voir descendre les escaliers auparavant. Ils avaient dû investir tout l'immeuble, et j'allais peut-être retomber sur d'autres plus haut. Tant pis, mieux valait prendre le risque. En fait, c'était ça ou... un frisson me parcourut l'échine, long et cisaillant. La mort ne m'attendait pas aujourd'hui.
00:05:11.
Je tirai la culasse de l'arme en arrière et vérifiai que la cartouche était dans la chambre. Elle y était. Je courus un peu plus vite vers les hauteurs. Un étage. Un autre. Plus que deux.
La porte s'ouvrit brutalement, et cogna contre mon épaule déjà douloureuse. Je hurlai, pointai l'Ak en direction de l'impromptu ennemi, mais celui-ci le saisit de sa main gauche et pressa sur ma nuque de la droite. Un mec sans armes... ici. Un vétéran.
Il me força à me mettre à genoux, alors que j'entendais le reste de la compagnie monter les escaliers à grandes enjambées. Sa main droite serrait de plus en plus sur ma nuque qui commençait également à me lancer des éclairs de douleurs se répandant le long de mon dos, et ma dans ma tête. Il attendait que le lâche l'arme pour s'en saisir et pouvoir me mettre un coup de crosse. Mais je réussis à lever ma tête vers lui, et laisser mes yeux se faire assassiner par son regard gris, froid. Une tête allongée, avec une légère barbe et une calvitie maîtrisée, une cicatrice sur la joue droite. Et ces yeux de slave, aussi froid et sombres qu'une solitude sibérienne. Sur son avant-bras, sa montre était tourné à l'intérieur du poignet:
00:03:04.
00:04:54.
Quatre minutes.

Bon hum vous vous en douterez un peu, tout bon gars qui assure en littérature est une merde en maths. La preuve avec ce calcul final à la fin du texte qui fait 7mn58 et non pas 7mn! XD

Pourquoi pas 7mn? Simplement parce que le copier-coller de la fin du texte que j'ai fait était du deuxième texte et non pas du troisième! Ce qui veut dire que tous les 00:05:XX que vous avez vus, remplacez-les par 00:04:XX.

Ensuite, me direz-vous, pourquoi 00:04:54 et pas 00:04:56, pour au moins faire coincider l'heure du gars avec le compte à rebours? Bah, dites-vous que sa montre retarde de deux secondes. Ou simplement que je suis une nullité en calcul... XD Seeya!

Thunder pour l'avis... Ton texte n''st pas trop mal non plus ...

Quant aux erreurs d'accordage des temps, j'en ai toujours fait, mais comme je l'avais expliqué a Stone, j'avais d'abord écrit le texte au présetn et je me suis rendu compte de mon erreur avant de le poster

Et les majuscules sur les noms, je les ai toujours mise pour les souligner... C'est la seule chose que je retiens de l'Allemand . Regarde ma Fic et tu verras que c'est pareil ... Mais c'est une erreur de Francais, je m'en excuse ..

La suite durant les vacs car j'ai un Bac Blanc a réviser ( Francais SVT )

C'est ce que les majuscules m'avaient évoqué en lisant le texte...

Oui oui, je connais l'allemand!^^ Seulement, chez moi c'est plutôt les inversions dans les phrases et le datif-accusatif qui me posent problème (comme 98% des étudiants, les 2% restants étant billingues). Mais c'est étrange que tu les mettes à certains mots et pas d'autres...

Stone, je lis ça bientôt!^^

Tant que j'y suis... allons narrer les aventures du Capitaine Airbus dans ses Alpes natales...

Dans un beau matin ensoleillé sur les monts, où le soleil verdoyait et faisait fondre la neige comme une bonne fondue, le Cor des Litres n°82 prenait la route...
Boulet: Adjudant, dites-moi, pourquoi ne nous appelons-nous pas Cor des Alpes, ce serait plus...
Airbus: Hé, je suis capitaine! Du respect, soldat!
Boulet: Désolé, Capitaine. Alors, pourquoi?
Airbus: Hum... la question mérite une profonde méditation... Effet Secondaire a décidé de nous nommer ainsi.
Boulet: Hum, ce... toxicomane?
Fragment: Tu peux dire shooté, ouais!
Boulet: Quelle arrogance...
Faucon: Là-bas, sur le versant sud de la montage à six kilomètres en amont... un chamois!
Frelon: Sacrebleu... quel danger cela pourrait-il représenter pour la population! Il faut immédiatement allerter les gardes-chasses...
Airbus *Prend sa radio* : Oui, oui... Bien, Colonel Nu, j'ai compris où vous voulez appuyer votre... opinion. Bien, oui, j'ai cerné sur quoi vous voulez mettre le doigt, bien.
Fragment: Wesh mec, keski spass?
Airbus: Un peu de tenue. Le Colonel Nu nous informe qu'il a pénétré profondément un an...cien réseau de gardes-chasses suisses-allemands. Il dit qu'ils sont à la solde des... Germanotes!
Faucon, Boulet, Frelon: SACREBLEU!
Fragement: 'Chier.
Airbus: Nous allons donc devoir nous occuper de ce bouquetin...
Faucon: Chamois, adjudant. Le bouquetin est...
Airbus: Capitaine.
Faucon: N'avez-vous pas dit chamois?
Airbus: Ou bouquetin, c'est un détail...
Faucon: Bien, adjuvant. C'est donc un bouque...
Airbus: Capitaine.
Faucon: Mais ne venez-vous pas de dire...
Airbus: Que j'étais capitaine.
Faucon: Vous avez dit bouquetin!
Airbus: Ai-je l'air d'un bouquetin?!
Faucon: Vous l'avez dit, adjuvant, vous ressemblez à un bouque...
Airbus: CAPITAINE! ET C'EST UN CHAMOIS!
Faucon: Mais, vous dites que...
Airbus: JE SUIS UN CAPITAINE, ESPECE DE CHEVRE! ET LE CHAMOIS EST...

• PAN*

Fragment: Mort. À terre... en plein dans la tête.
Faucon: Quelle ignominie! Il ne représentait aucun danger pour la population!
Fragment: Les chamoins sont dangereux. Ils sont alliés à ces merdeux de Germanotes.
Faucon: Mais l'adjuvant a dit que c'était un bouquetin...
Airbus: CAPITAINE!
Faucon: Fragment... tu viens donc d'abattre un officier!
Airbus sort son Swiss Sauer, et se tire une balle.

Pendant ce temps-là:

Colonel Nu: Haha, Airbus est mort! Mon pacte avec les Germanotes va enfin arriver à son échéance totale! Mouhahaha... Houla, doucement, Pliskin...

Excellent la fin.

Et le dialogue, on se croirait dans le diner de con.

Et en exclu... la suite des aventures du Captain Airbus!

Faucon: Bon Dieu, mon bouquetin, ça va?
Airbus: SACREBLEU, CA-PI-TAINE!
Fragment: Wesh mec t'as la tête solide... t'es Robocop ou quoi? La balle t'as rien éclaté?
Airbus: Bah non... j'ai pas enlevé la sécurité.
Fragment: Tain y'a la sécu sur ton Souisse Soheure?
Airbus: Bah ouais, le code à chiffre avec ID card et lecture rétinienne. Bah, le modèle de base UBS, quoi...
Faucon: En attendant... nous sommes dans une situation délicate.
Frelon: Comment ça? Le bouquetin est mort.
Faucon: Bah non vu que y'avait la sécurité sur le Swiss Sauer...
Airbus, Fragment, Frelon, Boulet: ...
Faucon: ... par contre avec la mort d'un capitaine des gardes suisse-allemands sur le dos, nous sommes dans la mouise!
Airbus, Fragment, Frelon, Boulet: ...
Marmottes: ...
Vaches: ...
Airbus: . . .
Sauterelles des alpes: ...
Bond en skis: ...
Airbus: Tain ce silence, on est bien dans les alpes!
Boulet: Je sens l'esprit des montagnes remonter en moi... cette odeur spirituelle...
Fragment: Bah ça sent le chamois crevé quoi...
Airbus: Bref... il nous faut retrouver notre route, nous sommes perdus sinon! En route!

Vous en avez une patience pour écrire...

Easy pourtant, very easy man

Caporal Airbus, stop Canadrochit, c'est bon ni pour toi, ni pour ton Swiss Sawyer.

Salut à tous ! Jviens juste de finir mon anniv et jvais me taper un repos bien mérité.
Une main sur l'épaule de Stone, il saura pourquoi.
Une plume sur MGHS, elle saura pourquoi.

Ulti... pfff, on te voit pas sur le topic BSG... je parie que t'as même pas encore vu Razor
Pfff...
Tu sais au moins que la saison 4 a commencé hein ? xD

Et Thunder... je me vengerai Grrr enfoiré

Si je l'ai vu le début de la 4 (surement avant toi d'ailleurs^^), y avait pas non plus grand chose à dire, c'était bien c'est tout.

Et puis merde aussi si t'as quelque chose à me dire, vient me le dire sur la Radio TV, viens pas encore faire du HS ici.

Ouais, c'est vrai, pardon. Je voulais répondre à Thunder, mais je pouvais pas dire "Enfoiré !" avec un smiley et me tirer... J'en ai profité pour parler de BSG.

"(surement avant toi d'ailleurs^^)"
Je pense pas, je les ai vu le jour même. J'en pouvais plus, j'étais en manque (ça me fait chier d'attendre une semaine entre chaque épisode là, je suis pas habitué vu que j'avais tout rattrapé en un bloc, les vendredi je pète un câble).

Sur ce, excusez moi du HS, et je vous dis à dans... quelques mois ou semaines ^^
+

Chuis en train de continuer mon Texte, z'aurez de quoi lire ... D'ici la fin de la semaine sans doute.