Tiens donc. Je savais bien que tu pouvais pas faire tout simplement une croix dessus.
Pas évident, hein, de laisser tomber un personnage qui a grandi et évolué, presque vécu, au rythme de notre plume ?
Sinon, chapitre génial, intro magnifique, dans la neige, toussa.
perso, je reprends souvent mes mes mêmes persos, si l'univers ou l'histoire changent, eux non
puis c'est vrai qu'on si attache, on les connait mieux que personne ^^
Je ne vois pas de quoi vous parlez...
Merci pour les commentaires
de rien, tu les mérites
ça vient de moi, ou y a de l'activité ce soir
juste pour savoir, comment vous vient vos persos, comment vous en venait à les imaginer ?
moi, quand je me repose le soir ou en pleine écriture
C'est une question fort intéressante.
Et je suis tout à fait incapable d'y répondre.
Ah, toi aussi, Vik' ?
Franchement, aucune idée...Ca me vient comme ça, c'est tout. Je décide tout le temps au pif si je fais un style plutôt héros où démoniaque, etc...parfois, je change entre deux, ce qui donne des choses assez bizarres, comme dans Mugill n°1...
Moui Le lien fraternel explique les bases en archerie de cyrus .
J'avais bien aimé Cyrus,du fait que ça change beaucoup de ce qu'on voit d'habitude ( orphelin, ancien soldat/mercenaire, jeune noble... )
Vous en êtes où dans vos missions, j'ai bientôt terminé la mienne mais j'ai du mal avec certains passages
J'compte écrire ce soir, perso. :oui;
J'viens d'avoir un flash, parmis les fautes que j'ai, y en a t'il beaucoup sur le passé simple ?
Je sais pas si t'es au courant, mais j'viens de la poster, ma mission
Et perso, je fais pas trop trop attention aux fautes, tant qu'elles me font pas Cgné D ie, si tu voa se ke je ve 10r
Ah bah nan finalement.
Dl je parlais de ta bonus
Je la commence ce WE
Avec un max de motivation je la posterais peut être ce week
Et notre Vik il au moins écrit un mot ?
J'ai écrit un début de mission, il y a un bail.
bizarement ça ne m'étonne pas
C'est surprenant.
En effet
Un petite critique s'il te plaît dl
Une mission que j'aime bien, mais je pense avoir fais un anachronisme avec le lieu > <
Bonne lecture !
Un noble peu scrupuleux, habitant à Sienne, cherche à nuire à la compagnie. Ses plans prévoient d'engager ses propres mercenaires pour semer le trouble en notre nom. Il est dangereux, et nous ne pouvons donc pas le laisser agir. Même si nous n'aimons pas ça, il faut l'éliminer.
Récompense : 90 écus.
Taux de réussite : 10%
Mission bonus assassinat : Fausse note à l'opéra
La chaleur du sous continent était totalement inverse à la froideur d'en haut. Quartal avait abandonné son manteau de fourure, au placard, elle espérait ne jamais devoir le ressortir.
Elle était assise en face de la plaine, Fantôme somnolait, couchée en rond autour de se cavalière. Mirliton jouait avec le sac de la chevalière, il rentrait par une poche pour en sortir par une autre et il donnait quelques coups de becs dès qu'il tombait sur un carnet. Quartal posait de temps à autre son livre pour réfléchir et profiter du paysage. La stratége adorait la lecture, elle aimait découvrir ces nouveau mondes, ces aventures, l'envie de tourner les pages pour connaître la suite.
C'est pour quoi, quand Shopo ferma son livre d'un coup sec, Quartal manqua lâcher un cri. Le laguz était penché au dessus d'elle, un sourire amusé aux lèvres.
-Excuse moi de te couper dans ta distraction ...
-Comme si ça ne t'amusait pas.
-Vue que t'as fini ta mission, ça t'intéresserait peut être de jeter une oeil au panneau de la taverne.
-Tu me coupe en pleine lecture, pour ça !
Il acquiesça d'un air goguenard.
-Même un mage lit pas autant que toi... Faut dire que tu as beaucoup de temps libre.
-C'est peut être que je finis mes missions rapidement !
Il se recula toujours en souriant, Quartal fulminait.
-Tu viens juste me voir pour ça ?
-Laisse moi réfléchir... oui.
La stratége se leva en gardant son livre en main, l'envie de le lui balancer en pleine figure lui vint, mais au risque de récupérer son ouvrage taché de sang.
Elle le laissa s'éloigner tout en posant une main sur l'encolure de Fantôme.
La jeune fille se dirigea tout de suite à la taverne, c'était le lieu le plus visité et le plus chalereux du camp, tout le monde s'y retrouvait. Elle salua les buveurs puis s'avança jusqu'au tableau. Plusieurs ordres de mission y était accroché, visiblement aucuns n'avait été regardé ou fait.
Cyrus aussi se tenait devant, semblant hésiter. Elle ébouriffa les cheveux de Maxime tout en lisant.
-Vol, combat, et assassinat...
Le jeune garçon arrivait à peine à la taille de Quartal, il tira doucement sur un pan de sa cape. Elle se pencha sur lui tout sourire.
-Que veux tu ?
-Toi aussi tu vas partir ?
La chevalière remarqua que Cyrus baissa les yeux sur l'enfant. Elle jugea bon d'arranger un peu les choses. Elle s'accroupit pour se trouver à sa hauteur.
-Oui, mais ce n'est jamais bien long, on finit toujours par revenir...Puis faut bien quelqu'un pour surveiller la compagnie en notre absence hein.
Elle lui avait encore passé la main dans les cheveux, "il ressemble tellement à Armin " finalement elle se redressa. Le petit continuait de fixer les ordres de missions, il jetait de temps à autre un regard sur Cyrus, se demandant s'il allait encore partir. Après avoir porté son attention sur un assassinat, elle revint sur le petit.
-Si tu veux, quand je reviendrais, tu pourra jouer avec Fantôme.
Ses yeux s'élargirent.
-Vrai de vrai ?!
-Oui.
-Mais elle mordra pas ?
-Pas plus que Shopo. Et si tu as de la chance, nous pourrons peut être voler.
Il souriait, Cyrus aussi, le mercenaire posa une main sur l'épaule de Maxime, désormais celui ci avait des yeux rêveurs. Après avoir hésité une énième fois la stratége arracha un ordre de mission puis le fourra dans sa poche.
-Tu es sûr, elle n'est pas des plus facile ?
Tout trois se retournèrent, faisant face à Fredrik, elle fut contrainte de lever la tête, le mercenaire était bien plus grand qu'elle.
-J'ai déjà fait des asassinats plus compliqué que celui ci...
-Je n'en doute pas mais fais quand même attention. ( il se tourna vers l'explorateur ) ça compte pour toi aussi.
-Ne vous en faites pas, nous serons aussi rapide qu'un céor.
Un mince sourire étira son visage, il tourna les talons pour partir vers son bureau. Une fois qu'il fut hors de vue, elle souhaita bonne chance à Cyrus puis sortit.
Quartal se tenait devant le manoir des Dern, une veille bâtisse un peu délabrée mais qui gardait une certaine splendeur. Le bâtiment était en pierre grise, une allée de graviers menait à le porte. Quartal y donna une série de coup, elle entendit quelqu'un dévaler les escaliers puis venir lui ouvrir. Le noble se tenait dans l'embrasure, en voyant la chevalière sur le seuil, son visage s'illumina.
-Vous ici ! Qu'elle bon vent vous amène ?
Elle se mordit la lèvre inférieur, sa visite n'était pas complètement amical.
-Lohart, vous vous souvenez de ce que vous m'aviez promis ?
-Oui, demandez moi ce que vous voulez.
-Une entrée pour l'opéra de ce soir.
-Je comprends mieux le pourquoi de votre visite.
Il sourit, dévoilant une rangée de dents blanches.
-Je vais voir ce que je peux faire...
Il s'effaça lui permettant d'entrer. L'intérieur de la maison recelait bon nombre de tapis verts, de tapisseries représentant des scènes de chasse, de meubles en bois sombres et de nombreux serviteurs qui allaient et venaient. De grandes poutres apparentes maintenaient quelques banières en hauteur.
Quartal était penché sur le symbole des Dern, un chêne d'or sur un fond vert. Le noble posa une main sur son épaule.
-Montons au deuxième étage, mes deux soeurs vous attendent.
-Vos deux soeurs ?
Il acquiesça en souriant, ils montèrent un escalier qui montait en coilimaçon pour arriver devant une porte. Le Dern se contenta de donner un léger coup.
-Entrez !
Il échangea un regard avec Quartal puis tourna le poignée. C'était une chambre, un lit à baldaquin, un bureau et encore un tapis, le tout évidemment vert. Une jeune fille était assise à même le sol en face d'un veille cheminée en pierre, le feu faisait danser des reflets dorés dans ses cheveux blonds, elle était vêtue d'une robe bleue, ses yeux verts se posèrent sur la nouvelle venue. Son visage s'illumina.
-Simia ! Vient vite, c'est l'amie de Lohart qui vient d'arriver !
La dénommée Simia sortit d'une porte dans le fond de la pièce, ses cheveux verts claires encadraient son visage anguleux et sa robe elle aussi verte mettait en valeur un corps de femme. Sa soeur serrait déjà vigoureusement la main de la stratége.
-Ravie de vous rencontrer Quartal, Lohart nous a parlé de vous dès son retour.
-Calme toi un peu Sif, la pauvre ne doit plus sentir sa main.
La plus jeune lâcha finalement la main de Quartal, cette dernière lança un regard reconnaissant à l'aîné, tout en se massant le poignet. Sif se montra confuse.
-Excusez moi, j'ai une poigne un peu...
-Puissante, finit Lohart.
Sif s'avança vers la stratége, lui saisissant les mains.
-Vous êtes mon héroïne Quartal ! Monter une wywerne, combattre des bandits, voyager à travers Tellius, découvrir le nouveau monde ! J'ai l'impression de vivre un conte !
-Heu, merci.
Lohart commença à se reculer.
-Si nous voulons des places, il faut que je les achètent de suite...D'ailleurs Quartal, mes soeurs vont s'occuper de vous pour, excusez moi du therme, apprendre les politesses de bases.
-Je vous demande pardon ?!
-Simia, Sif, elle est à vous. Bon courage Quartal.
À peine la porte fut elle fermée que la plus jeune poussait Quartal vers un hauvent. La stratége eut beau riposter, l'autre tenait bon.
-Pour commencer nous allons vous faire belle, je m'occupe de vos cheveux, il vous faudra une robe aussi, et aussi prendre un bain, et revoir comment marcher, parler et...
-C'est gentil de votre part Sif mais je ne pense pas que...
-Mais si ! Ça me fait plaisir !
-Sif, voyons, elle n'est pas une poupée !
Le soir commencait à tomber, les fenêtres de la demeure s'allumaient les une après les autres. Lohart montaient doucement les escaliers, en quittant la maison il avait entendu des cris suivit d'un grand "plouf". Arrivé derrière la porte il entendu une discussion, il finit par entrer. Il tomba sur une scène pour le moins inhabituel : Quartal était cachée derrière le hauvent, en entendant la porte elle laissa voir juste son visage.
-Pitié Lohart, j'accepte de porter une robe mais dites à votre soeur que je préfère affronter trois wywernes que d'enfiler cette chose !
Simia essayait de retenir Sif qui se débattait, en voyant la robe qu'elle tenait entre les mains, il comprit ce qui effrayait la chevalière.
-Sif, peut être une robe un peu moins "fille"lui conviendrait mieux.
-Comment ça un peu moins "fille" ? c'est la plus sobre que j'ai pu trouver.
-Je ne pense pas que le rose, des petits noeuds et un décolté de cette ampleur sied à Quartal.
-Faudrait qu'elle l'essait avant de dire.
Simia finit par lâcher sa soeur qui vint s'affaler par terre, l'ainé se dirigea vers une armoire.
-Il y a mon ancienne robe que j'ai gardé, elle doit être à sa taille.... là je l'ai.
Elle marcha vers la hauvent puis tendit le vêtement.
-Cela vous ira mieux. Et toi Lohart quitte cet chambre, il y a une femme qui se change je te rappelle.
À la frontière de Sienne lorsque le soir venait, les lumières déclinaient et les rues se vidaient, le théâtre et les grandes places donnaient lieu à de nouvelles activités. La nuit, et en particulier les plus belles rues, étaient le terrain de jeu des gens aisés, le grand théâtre était surtout leur lieu de détente. Il était l'un des derniers bâtiments éclairé, mettant en avant une architecture travaillée, sur le toit on pouvait apercevoir des statues de pierres blanches, des escaliers en marbre montaient jusqu'à l'entrée, une porte immense qui engloutissait une foule de gens.
Quartal fut ébranlée par une secousse, elle chuta lourdement sur Lohart qui la rattrapa avant de l'aider à s'asseoir sur la banquette à côté de lui.
-Qu'elle idée de se lever lorsque la route est aussi mauvaise.
De l'intérieur du carosse ils pouvaient entendre les sabots des chevaux resonner sur les pavés gris de la rue. L'intérieur du carosse était aussi simple que l'extérieur, en bois, une banquette face à l'autre et une fenêtre qui donnaient sur le paysage défilant. Quartal tira un peu sur sa robe, mal à l'aise, elle portait un corset bleu foncé, les jupons, savament disposés, mêlaient tissus et couleurs, offrant une grande déclinaison de bleus. Sa coiffure aussi avait été changé pour l'occasion, quelques perles étaient glissés dans sa chevelure, ramenée en une tresse qui revenait sur le haut de sa tête à la manière d'un diadème, elle était aussi maquillée, ayant un tin plus blanc que d'habitude.
-Nous sommes bientôt arrivé, commenta le noble.
Elle hocha la tête sans quitter la rue des yeux, la jeune fille était arrivée dans la matinée, Lohart lui étant redevable, elle lui avait demandé de la faire entrer à l'opéra de ce soir, le bourgeois s'y rendant aussi. Il avait accepté trouvant aussitôt des places, mais pour éviter de ce faire remarquer il avait tenue à ce que Quartal se déguise, la stratége avait passé la journée en compagnie des deux soeurs du noble. Elle avait du revoir les manières de se tenir, de parler, de s'habiller, une chose bien compliqué quand on l'avait abondonné à l'âge de treize ans.
-Vous savez que les bourgeois ne sont pas toujours très bien vue par les nobles. Ils considèrent qu'ils gagnent trop d'argent en ne payant pas les mêmes impôts qu'eux, être noble ne signifie pas toujours la richesse.
-Je me souviens bien que c'était un sujet de discorde, ma famille n'était souvent pas très bien vue.
-Donc vous savez que, certains n'hésitent pas à faire des remarques.
-C'est même pour cela que votre soeur a insisté pour que je mette une robe moins "simple". Elle pense qu'ils le remarqueront.
-Ils le verront.
-Puis même si je ne fait plus partie du beau monde, je reste une Hémis, mon nom n'est donc plus très connue mais pas oublié pour autant.
Il hocha la tête, compréhensif, Quartal lui avait expliqué la situation de sa famille, assez riche, elle s'était attirée les foudres des nobles, jaloux tout simplement. Puis à la mort de son père, elle ne voulait plus être mêler à des histoires d'argents, elle avait fermé les portes de la bourgeoisie. La fortune des Hémis fut fragmentée, des amis ou des connaissances avaient hérité de l'argent, le reste fut offert de manière anonyme au roi de Criméa.
Le carosse fut de nouveau prit d'une secousse, projetant Lohart sur Quartal.
-Cocher ! Déposez nous ici, il sera moins dangereux de continuer à pied.
Le progression se stoppa et la porte s'ouvrit, laissant voir un jeune homme dans la fleur de l'âge, alors que Quartal allait repousser la main qu'il lui tendait, elle l'accepta, soulevant sa robe pour descendre. Lohart manqua glisser du marche pied, elle le rattrapa de peu.
-Vous êtes maladroit...
-Pas du tout, il était gelé.
Il fit mine de s'épouseter, ses étoffes d'un vert émeraude mettaient en avant son regard, un fil d'or remontait le long de ses manches et de son col et une couteuse broche en or maintenait sa cape. Il se pencha dans le carosse pour lui tendre un long manteau de fourrure blanche.
-Couvrez vous, je ne pense pas qu'attrapez une gripe vous soi des plus utile.
Quelques réverbères étaient allumés, donnant une lumière dansante sur les murs et projetant un balet d' ombres. Certaines partis du sol étaient totalement ensevelis sous la neige, quelques flocons volaient et tournoyaient. Les grands bâtiments de la capitale se détachaient dans la nuit tombante.
Au pied de l'opéra, des groupes de gens patientaient, on discutait, se retrouvait. La façade étaient éclairée, les lumières faisaient parti du décor, comme les robes qui donnaient un grand nombre de couleurs, les hommes portaient à leur ceinture des épées, magnifiquement décorées mais pas faites pour le combat.
Quartal et Lohart gravirent les marches, ils entrèrent par la grand porte, puis tout deux furent ébahit par la beauté qui se dégageait.
L'opéra était richement décoré par des tapisseries et des tableaux, des peintures ornaient le plafond, de hauts chandeliers éclairaient les lieux. Il y avait de grandes colonnes de pierre et des escaliers en marbre qui montaient vers la salle de spectacle. Les deux invités se tenaient dans le couloir attendant que ce dernier commence.
-Gryam est ici, il faut ouvrir l'oeil.
-Et tendre l'oreille.
En effet ils n'eurent pas beaucoup à attendre. Un homme dans la trentaine, à la barbe et aux cheveux blonds, écarta Lohart d'un coup d'épaule pour se diriger vers un servant, jusqu'ici adossé à un angle de la salle.
-Comment se fait il que ma place ne soit pas celle que j'ai reservé, mon balcon est le deuxième et pas le trois, c'est scandaleux.
Quartal sourit elle savait désormais où se trouvait sa cible.
-Messieur pour si peu , je ne peux rien faire.
-Je vais me plaindre à la direction, vous allez vous retrouver à la rue !
-Mais faites donc.
Il sembla complètement outré par cette réponse.
Enfin quelqu'un entra dans la salle, expliqua que le spectacle allait commencer et que tout le monde devait rejoindre ses places. Les portes s'ouvrirent et la foule s'y engoufra. Alors que Quartal et Lohart attendaient patiemment que le plus gros soit passé pour éviter les bousculades, une voix de femme, criarde, fendit le brouhaha.
-Mais ne serais ce pas une Hémis !?
La chevalière se retourna pour se retrouver face à une grosse femme, au visage tombant de rides et aux cheveux blonds presque blancs. Elle renifla avec dédain.
-Vous revenez donc maintenant, on vous disez morte.
-Vos sources ne sont pas les meilleurs.
Le mari de la femme, semblable à celle ci, lui donna un petit coup de coude.
-Tu t'es trompé ma chérie, toute la famille est morte sauf elle.
-Malheureusement ... toutes mes peines pour vos cher parents.
Elle avait crié la phrase comme une insulte, la voix hautes de la femme avait attiré l'attention, Quartal se répétait de rester calme.
-Ça fait tout de même un moment qu'on a pas entendu parler de vous.
-En effet j'ai quitté les affaires depuis longtemps, madame.
-J'aimerais bien savoir comment vous êtes entrée ?
Lohart s'avança d'un pas se tenant à la gauche de Quartal.
-Elle n'a pas eu besoin, elle est mon invitée.
-Un Dern et une Hémis, vous faites la paire. Comme vos parents, Nayil qui était pourtant si parfaite, a quitté la noblesse pour se retrouver avec ce chien qui vous sert de père !
-Ne vous avisez pas d'insulter une seconde fois mes parents.
-Vous êtes bien comme votre mère, trop modeste, trop gentille...
-La gentillesse est une qualité qui semble vous faire défaut, sachez que si je l'ai, le mienne a une limite que vous n'allez pas tarder d'atteindre.
-Ha ! J'avais oublié, vous êtes aussi impétieuse que ces batards, mais contrairement à votre père, vous ne semblez pas lâche.
Désormais Quartal grincait des dents.
-Retiens moi ou je vais lui en coller une ! Mes parents, lâche ?! Des batards ?! Pour une veille sénile vous feriez mieux de tenir votre langue !
-Comment ?!
La femme se recula de quelques pas, Lohart avait saisi la stratége par le bras, craignant qu'un coup parte.
-Quartal, laisse tomber, on va y aller.
La jeune fille avait un bras de levé, le poing était fermé mais il ne tomba pas.
-Temps que je vous tiens, poursuivit la noble, vous êtes dans la compagnie de Mugill à ce que j'ai compris.
Quartal jeta un regard à la dérobé sur l'endroit où se tenait Gryam, ce dernier n'était plus dans la salle, la stratége soupira, il n'avait rien entendu.
-Cette compagnie, a fait apparaître les ombres, ce Kratos, nous a ruiné !
Quartal s'était avancé d'un pas, s'arrachant à la prise de Lohart. Elle avait colleté la vieille, son regard se fit perçant.
-Écoutez moi bien, vous pouvez me rabaisser, m'insulter, dire ce que vous voulez je m'en contre fou. Mais dire quoi que ce soit sur la compagnie, vous n'en avez pas le droit ! Quand les ombres sont apparut, ils se sont battus, ont sauvé des vies, ils pouvaient mourir à chaque combat, certains ont perdu leurs amis, ont périt. Et vous qu'est que vous avez fait, vous, les nobles, rien ! Vous êtes restez cloitré sans même daigner à lever le petit doigt, regarder, c'est tout ce que vous avez était capable de faire ! Alors, dire qu'ils n'ont attiré que des problèmes, c'est faux !