c´est pas lui qui l´as mit
salut je doit arrété l´ordi à demain Arkanteas
ça arrive à tout le monde de prendre des buts gags
c´est lui qui a fait toute l´action avec ce superbe "laché de ballon"
à demain fan-de_lens @+
ça va ça va ça arrive à tout les goals
ben ouais qui n´a pas fait d´erreurs dan les buts
a non ! coupet ca lui arrive moins souvent quand meme ! lui quand il lache le ballon c´est pour faire de belles relances !
et samedi alors
C´est vrai seulement Coupet il vient de s´en prendre 4 et tout le monde s´en fout ...
desolé mais sur les 4 buts coupet n´y peut rien !
ah ouais il bouge même pas il touche pas une balle du match desole mais ya des limites quand même
et alors les rennais ont 4 occaz´s franches et 4 buts coupet ne peut rien y faire si tu vois les buts !
Le 3e but il peut rien faire, le 4e il est pris à contre pied, à moins d´avoir des chevilles en caoutchouc il peut pas plonger dans le sens inverse, les deux premiers je ne m´en souviens plus
il peut au moins plonger
Essaye de plonger à gauche quand tu es prêt à plonger à droite, à moins de t´exploser la chevilkle c´est pas possible, il peut bouger le bassin pour voir le ballon passer, il croit qu´Utaka va croiser sa frappe mais c´est pas le cas.
28/02/2006
Foot - Bleus : Domenech : «Ce que j´attends...»
Malgré les pressions du président lyonnais Jean-Michel Aulas, Raymond Domenech a prétendu mardi à Clairefontaine qu´il allait aligner le défenseur Eric Abidal contre la Slovaquie, mercredi soir au Stade de France. Le sélectionneur des Bleus espère surtout que ce match sera le point de départ d´un état d´esprit, qui doit mener l´équipe de France au succès lors de la prochaine Coupe du monde.
« Raymond Domenech, avez-vous été sensible aux pressions de Lyon concernant Eric Abidal ?
Après avoir vu le certificat médical, nous lui avons fait passer un scanner pour avoir toutes les certitudes. Je vous l´assure, il est en parfait état. Lui-même l´a dit. Le président (Jean-Pierre Escalettes), qui était le seul habilité à m´empêcher à prendre un joueur, ne l´a pas fait. Il m´a laissé libre de mes choix sportifs. Je suis libre de choisir et je n´ai jamais subi de pressions de qui que se soit pour sélectionner un joueur ou pas. Je ne fais pas du cas d´Eric (Abidal) un cas particulier. C´est un joueur comme les autres.
Comment en est-on arrivé là ?
Je ne sais pas. J´ai pris mes précautions. J´ai pris la peine d´appeler Monsieur Houllier pour lui en parler, contrairement à ce qui a été sous-entendu. Nous nous sommes expliqués et il en a fait part à la presse. Ca m´a déçu. J´aurais aimé que cette conversation reste privée. Je lui ai dit que je gèrerai le temps de jeu d´Eric. Je ne pouvais pas ne pas le prendre et ne pas le faire jouer. J´étais même prêt à le faire jouer une mi-temps dans l´axe pour qu´il ait moins à courir. Le lendemain, cela a pris des proportions que je n´attendais pas alors que nous avions un accord de principe.
Vous avez été entraîneur de Lyon. Cela a-t-il une incidence sur la gestion de cette affaire ?
Oui, dans la mesure où je connais bien Monsieur Aulas. Je sais qu´il défend bien son club. Pour ma part, je ne suis plus l´entraîneur de Lyon mais bien celui de l´équipe de France. Je raisonne donc un peu plus large que sur les intérêts locaux. Si j´étais à la place de Monsieur Aulas, je comprendrai. Ce match est vraiment une hérésie. Il est placé entre deux journées de Championnat et deux matches de Ligue des champions. Je comprends que les clubs puissent se poser des questions. Mais c´est le lot de toutes les grandes équipes. Lyon, qui est dans la même position que Chelsea, le Bayern où la Juve, ne peut pas avoir que des avantages. Tout le monde est dans la même situation. Il faut que la FIFA et les grands clubs trouvent un équilibre pour ne pas se marcher dessus à ces périodes là, qui sont décisives pour tout le monde.
Est-ce que les tous les joueurs retenu dans le groupe vont jouer ?
Non, parce que cette rencontre n´est pas une expérimentation. Après, il y a les circonstances du jeu. Mais, ce n´est pas dans mon idée de départ.
Qu´attendez-vous vraiment de ce match ?
Le départ d´un état d´esprit. Quels que soient les joueurs qui composent l´équipe, ils doivent me montrer une vraie envie et une vraie conviction. Nous allons à la Coupe du monde pour effacer les deux précédentes compétitions (Mondial 2002 et Euro 2004). Les joueurs ont cette envie là. On y va pour se battre et montrer quelques chose, pas pour y faire de la figuration. En clair, pour aller au bout.
Que pensez-vous du discours « positif » de Zinédine Zidane ?
Je suis content des propos des uns et des autres. Ceux de Thierry Henry vont également dans ce sens. Ils savent ce qui s´est passé à la dernière Coupe du monde et à l´Euro. Ils n´ont pas envie de revivre les mêmes choses. Ils veulent vibrer et savent ce qui est important. Dans le groupe des 23, tout le monde doit être concerné. A tout moment, les remplaçants doivent être prêts à pallier une incertitude, une faiblesse ou une blessure. Tous les joueurs doivent être déterminés.
Le groupe des 23 sera-t-il une addition pure et simple des meilleurs joueurs du moment ?
Je vois plutôt ça comme un assemblage. On ne peut pas prendre les meilleurs s´ils ne peuvent pas vivre ensemble. A un moment, il faut de l´affectif pour que les joueurs aient envie d´aller au bout de cette aventure. Ils ont quand même six semaines à passer ensemble...Pour qu´il n´y ait pas de démobilisation, les liens qui les unissent doivent être forts. On ne peut pas dire : « Je prends les meilleurs joueurs ». Parfois, ce n´est pas vrai. D´autres éléments entrent en ligne de compte.
A quoi correspond la sélection de Jérémy Toulalan ?
A l´idée qu´il y a des bons et jeunes joueurs qui peuvent se hisser au plus haut niveau. L´équipe de France, ce n´est jamais figé. La porte est encore ouverte pour deux mois et demi.
Vous n´avez pas souhaité donner sa chance à Franck Ribéry. Pour quelles raisons ?
Ce qu´il fait avec Marseille ne me laisse pas indifférent. Il continue de montrer des choses intéressantes. Comme pour d´autres, la porte lui reste ouverte. Il y a des possibilités.
Que pensez-vous du cas Vikash Dhorasoo, mis sur la touche par son entraîneur ?
J´ai discuté avec lui de sa situation. Il sait qu´il n´est pas au mieux et a l´intention de montrer au PSG qu´il veut revenir. Vikash a envie d´être efficace avec son club pour pouvoir être performant en équipe de France. Les deux sont liés et il se rend bien compte de la situation. Maintenant, il faut des actes.»
Propos recueillis par David MICHEL, à Clairefontaine.
source: l´équipe.fr
Raymond a raison, Abidal doit jouer, Aulas veut des avantages qu´il aille se faire cuire des oeufs
Dans ce cas Mourinho, Capello et compagnie devrait protester aussi car ils ont des rencontres importantes et risquent de voir leurs joueurs se blesser.
ÉQUIPE DE FRANCE / ZINÉDINE ZIDANE :
« Je ne suis pas sélectionneur »
A cent jours du Mondial, Zinédine Zidane est venu faire le point sur l’objectif des Bleus et sur la manière d’y arriver. Ce rassemblement à Clairefontaine sert à régler les derniers détails extra-sportifs pour être concentré à 100% en mai.
A Clairefontaine (Yvelines)
Zinédine Zidane, vous prenez les choses en main en fixant publiquement l’objectif des Bleus au Mondial…
C’est l’objectif. Si on est tous là aujourd’hui, c’est pour aller vers ce même objectif : aller le plus loin possible et gagner. Et je ne dis pas ça pour dire des belles paroles. Quand on regarde l’équipe et les individualités, vous pouvez faire votre analyse : on a les meilleurs. Tout simplement. Après, il y a des petits réglages à faire. Pendant le mois et demi qu’on va avoir à cette Coupe du Monde, j’espère que les états d’âmes des uns et des autres resteront à la maison. Il faut tous se concentrer vers un objectif. Les titulaires, les remplaçants, le staff… Ça passe par là, par le groupe. Je dis ça parce que quand on me demande ce qui n’a pas marché en 2002 et en 2004 et ce qui a marché en 1998 et en 2000, si j’ai une petite certitude, c’est bien celle-là. Le groupe était solidaire et tendu vers un seul objectif. Titulaires et remplaçants, il n’y avait pas de différence. En 2002, il y avait d’autres choses qui entraient en compte mais en 2004, c’était peut-être un peu ça.
En quoi ce match face à la Slovaquie est-il important en vue de la Coupe du Monde ?
On joue chez nous et ce n’est pas forcément un match qui va nous rassurer. Mais c’est un match qu’il faut gagner. C’est un match de préparation à la Coupe du Monde où il ne faudra plus se poser ce genre de questions. C’est pour ça que nous sommes là, pour avoir des réunions où l’on parle de tout.
Savez-vous qui sera le gardien de but contre la Slovaquie ?
Non parce que je ne suis pas le sélectionneur. Ça, c’est une question… Vous posez toujours les mêmes questions : qui va jouer dans le but ? Mais il n’y a qu’un seul sélectionneur et c’est lui qui décide qui va jouer. Donc, il ne faut poser la question qu’à lui. Si vous voulez aider les joueurs et l’équipe, il faut un jour qu’on n’ait plus ce genre de débat. Il y a un seul entraîneur.
« Pour beaucoup de joueurs, c’est la der »
Vous n’avez pas votre mot à dire en tant que capitaine ?
Non, surtout pas sur ça. Si j’en ai un, je le garde pour moi. Ce n’est pas ici que je vais en parler. Je n’ai pas à le faire car je ne suis pas sélectionneur. Si j’étais sélectionneur, je le dirai, clair et net. Mais ce n’est pas le cas.
Votre message s’adresse à l’équipe mais aussi à tout l’environnement de l’équipe, médias compris ?
Bien sûr. De toute façon, on n’avait pas les médias en 1998, je ne sais pas si vous vous en souvenez (sourire)… Après, on avait tout le monde derrière nous. C’est un classique, c’est comme ça. Nous, au moins entre nous, on doit se dire qu’il faut mettre tout en œuvre pour essayer de faire quelque chose de bien. Pour beaucoup après, c’est fini. C’est celle-là et après ciao. Pour beaucoup de joueurs, c’est la der.
En tant que capitaine, que pensez-vous du cas Abidal et de la difficulté des clubs à lâcher leurs joueurs ?
On s’en fout. J’ai tellement de choses à penser dans ma tête. Ce n’est pas mon problème aujourd’hui.
« Florentino Perez a mûrement réfléchi »
Dans vos réunions, vous parlez des primes ?
Nous sommes en discussion sur tout, pas que sur les primes. Et je ne vais pas vous dire le montant de celles-ci. C’est quelque chose de personnel.
La Coupe du Monde est dans cent jours. Que va-t-il se passer jusque là ?
Pas grand-chose car on ne se reverra pas. Chacun a ses objectifs de clubs. Là, on passe trois jours ensemble pour tout régler pour qu’au mois de mai, on n’ait pas à penser à tout ça. Pendant ces trois mois malheureusement, on ne va pas se revoir.
Pour finir, vous n’avez plus de président depuis lundi soir au Real Madrid. Quelle est votre réaction au départ de Florentino Perez ?
C’est surprenant. Peut-être que certains attendaient sa démission en fin de saison mais pas comme ça en milieu de saison. Mais en même temps, je pense que c’est une décision assez mûrement réfléchie.
« Il y a des tensions »
Vous aviez une relation assez étroite avec lui ?
J’avais des bonnes relations joueur-président avec lui. C’est le président qui m’a fait venir à Madrid. Sans lui, je n’aurai pas eu la possibilité de le faire. D’une certaine façon, je suis extrêmement reconnaissant de ça. Il le sait.
Sa démission vous inquiète-t-elle pour la suite de la saison du club ?
Non, ça ne m’inquiète pas. C’est un club qui a traversé beaucoup de choses. Des bonnes, d’autres moins. Ça fait partie de la vie du Real Madrid.
Il dit qu’il n’y avait pas d’autre solution pour sauver cette saison. Etes-vous d’accord ?
Je ne pense pas que cela soit la bonne solution mais s’il l’a fait, il a mûrement réfléchi à ça. Ça ne peut pas être quelque chose de positif.
Sergio Ramos a dit que l’ambiance au sein du vestiaire n’était pas très bonne. Confirmez-vous qu’il y a des tensions ?
Ce n’est pas qu’elle n’est pas très bonne. Quand un club n’a pas les résultats qu’il veut, il y a des tensions. C’est tout. Il n’y a que les résultats qui peuvent amener la bonne ambiance. D’ailleurs depuis un mois et demi, ça allait beaucoup mieux. Le seul truc, c’est qu’on a raté le match contre Arsenal à la maison et dimanche, on doit gagner 3-0 à la mi-temps mais on n’est qu’à 1-0. Quand on rentre, on perd le match, chose qui ne doit jamais arriver. Mais depuis un mois et demi, ça allait mieux car les résultats allaient mieux.
Un sondage publié sur L´équipe et effectué parmi 197 joueurs de Ligue 1 montre que Grégory Coupet est largement préféré à Fabien Barthez pour être titulaire en équipe de France. A la question "Qui est le meilleur gardien de but entre Barthez et Coupet ?" , 69% des sondés ont répondu le gardien lyonnais. Après les supporters, c´est donc au tour des joueurs de voter Coupet. Qu´en pensera Raymond Domenech ? Réponse pour mai probablement...