Euh j'ai un problème. J'ai écris mon texte mais je ne peut pas le valider... Ca m'écrit ça :
Le message et / ou le sujet comportent des mots interdits.
Ne vous imaginez pas que j'ai écris quelque chose d'horrible hein mais je comprends pas pourquoi ça mets ça car j'ai rien mis de choquant.
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L'Allemagne reste la meilleure !
T'as du mettre des mots insultant, tient mon msn si tu veux que je regarde
michamas@hotmail.fr
Bizarre j'ai jamais entendu ça. Tu penses avoir mis quoi "d'interdit" ?
j'ai déjà eu ça quand je mettais des marques ou des mots d'informatiques comme clé cd ou des trucs comme ça
Sigmin était fébrile à l'idée de ne pas voir ses ennemis, cachés par les grands mantelets, mais il se dit qu'il les verrait bientôt de très près, et ne s'inquiéta donc pas plus. Le commandant Munok était derrière lui, et lui avait laissé l'honneur de mener la première ligne. Il voyait devant lui les rohirrims chargés de porter les mantelets, et à ses côtés, l'élite des guerriers nains, huit gardes Khazad en armure dorée comme lui, équipés eux aussi d'une hache à deux mains. Mais un son de cors et une terrible clameur l'interrompirent dans ses pensées. Il se décala pour voir la charge de l'armée ennemie: deux-cent orques et haradrims dévalant la colline. Arrivée en bas, il y eut le deuxième signal, lancé par Munok, qui indiquait que les troupes de Phoenixios pouvaient commencer à faire chanter leurs arcs. Ce qu'ils firent magnifiquement bien, puiqu'une volée s'abbatit sur les lignes ennemis (Je ne pourrais pas vous dire combien d'ennemis furent tués, car la confusion était trop grande dans cette bataille. Et il sera ainsi jusqu'à la fin des combats). Cela ne découragea pas les ennemis qui continuèrent leur charge, s'approchant des lignes du Bien. Les rohirrims dégainèrent leur épée, les nains sortirent leur haches, les elfes préparèrent leur lame, et les piquiers mirent en place le mur de boucliers et de piques, conjointement avec les guerriers nains. Les volées des archers dans le bois continuaient, toujours aussi efficace. Les tireurs ennemis, une fois arrivés en bas de la colline, purent aussi décocher des traits, avant de se faire prendre à parti par leurs homologues nains, elfes et humains. C'était magnifique de voir cet échange de traits, certains se percutant en plein vol et annulant les trajectoires. Par contre, les guerriers ennemis étaient tout proche des lignes du Bien maintenant, presque à portée d'armes de jets. Portée que ne manqua pas de vérifier quelques rohirrims qui lancèrent leurs haches de jets, faisant quelques victimes. Puis ce fût le choc: l'armée du Mal s'écrasant sur la ligne du Bien. Nombreux furent les orques et les haradrims à s'empaler sur les piques et à frapper vainement sur les boucliers nains avant de se faire tuer. Mais ce n'était pas une simple boucherie. Bien sûr, les combats étaient sanglants, et les guerriers tombaient des deux côtés. Mais il y avait un but à cela: les orques devaient repousser la ligne de bataille ennemie afin de permettre aux haradrims de s'en prendre aux rohirrims porteurs des mantelets. Ce qu'ils firent brillamment, car presque tous moururent, le reste combattant durement pour sa vie. C'est là que les torches étaient utiles: elles furent utilisées pour brûler les mantelets, qui se désagrégèrent rapidement. Une fois que toutes ces protections furent détruites, Praxis, qui avait tout observé, fit sonner la retraite. Le reste des archers changea alors de cible, et pendant que les guerriers de l'Ennemi revenaient au pied de la colline, ils tirèrent sur la ligne de bataille du Bien, qui sans protections, subit de nombreuses pertes, surtout parmi les elfes sylvestres et les rohirrims, n'ayant pas ou peu de pièces d'armures. Ce furent les nains et les piquiers gondoriens qui s'en tirèrent le mieux, à l'abri dans leur armure lourde et se protégeant avec leur bouclier. Les flèches continuaient de pleuvoir, faisant toujours plus de morts, malgré la diminution du nombre d'archers ennemis par les tireurs postés dans les bois, qui continuaient leur travail de soutien. Mais il fallait avancer et Munok, légèrement blessé au poignet, fit lancer le troisièmre signal, celui pour la cavalerie, puis fit sonner la charge de l'infanterie.
-Tirez les épées, abandonnez piques et arcs, c'est notre dernière chance, cria-t-il aux piquiers et aux archers derrière lui . Ce qu'ils firent, bien entendu. Sigmin lança la charge, menant ses gardes Khazad vers l'ennemi. Les guerriers nains suivirent, puis Munok, ses piquiers et ses archers. On pouvait ainsi voir des nains, des elfes et des hommes courirent vers l'armée en face d'eux, pendant qu'au loin se profilaient les silhouettes des cavaliers du Rohan menés par Fean, et qui revenaient vers la colline par le sud. Les archers dans les bois, n'ayant plus de flèches, prirent eux aussi leur épée, leur hache et leur lame, et chargèrent le flanc droit de l'ennemi, emmené par un Phoenixios avide de corps-à-corps.
Quand les deux armées se rencontrèrent, les troupes du Bien combattirent avec l'énergie du désespoir, car la moitié d'entre eux était déjà tombé, alors que les guerriers ennemis étaient étonnement encore plus nombreux. Lors de ce combat, les faits d'armes et les actions héroiques furent trop nombreuses pour que je vous les décrivent toutes, cependant je vous vais vous raconter les plus importantes.
Quand Sigmin et ses gardes arrivèrent sur les lignes ennemies, ils se taillèrent un chemin à travers les lanciers haradrims qui tentaient de les arrêter, jusqu'à à arriver au groupe d'oriental qui protégeait le commandant ennemi, Praxis. A ce moment-là, Sigmin et ses gardes n'étaient que neuf -les autres guerriers nains n'étaient pas arrivés aussi loin dans les lignes ennemies- et en face il y avait treize gardes orientaux, ce qui ne les empêcha pas de les charger. Les soldats ennemis furent pris au dépourvus de voir arriver des petits guerriers, et n'eurent pas le temps de réagir que cinq d'entre-eux étaient déjà morts. Ceux restants contre-attaquèrent, et eurent du mal à frapper les nains, car ils durent se pencher pour les frapper, néanmoins ils réussirent à en tuer trois, avant de finir eux-même avec un membre tranché par une hache naine. Sigmin finissait de décapiter un lancier , après être monter sur un des ses compagnons pour pouvoir atteindre son cou et sa tête, il se trouva brusquement face à Praxis l'Oriental, qui dégaina son épée recourbée et abandonna son arc pour s'alléger. Il sortit aussi une dague de jet, qu'il lança sur Sigmin, mais celui-ci l'évita d'un revers de sa hache (façon Nadal). Sigmin se jeta sur lui, et les lames s'entrechoquèrent, le nain faisant de grands mouvements avec son arme, mais l'homme parvenait à les éviter habilement avec son sabre. Puis d'un mouvement astucieux, Sigmin abaissa l'arme de l'ennemi jusqu'au sol, le forçant à lâcher prise. Mais Praxis ne s'avoua pas vaincu, car il tira de son brassard un long poignard à la lame effilée. Le sergent nain fut surpris de cette manoeuvre, n'eut pas le temps d'esquiver l'attaque rapide de l'oriental, et la dague lui entailla profondemment le bras, lui obligeant à laisser sa hache à deux mains. Mais le nains non plus ne se laissa pas faire, puiqu'il sortit à son tour sa deuxième arme, une hache à une main, beaucoup plus petite que la précédente, et il surprit à son tour son adversaire en l'attaquant au cou, ce qui força l'oriental à reculer et à tenter de parer la puissante attaque avec son poignard, qui se brisa sur le coup. Désemparé, Praxis sortit sa botte secrète, de la poudre aveuglante, et la lança dans le casque de Sigmin. Celui-ci, rendu céciteux sur le coup, lâcha sa hache et retira son casque rapidement. Il se frotta les yeux pour recouvrer la vue, mais son ennemi en avait profité pour récupérer son sabre. Instinctivement, Sigmin ramassa sa hache à deux mains et ferma les yeux, attendant son ennemi. Celui-ci se précipita sur le nain, ne remarquant pas son attitude, et il le paya cher. Sigmin avait entendu arriver Praxis, et s'était baissé quand celui-ci avait tenté de lui trancher la tête. Il avait alors frappé de toutes ses forces devant lui, sentant qu'il taillader quelquechose. Puis il entendit des personnes arriver, derrière et devant lui: devant ils parlaient un dialecte que le sergent nain ne comprenait pas, sûrement de l'oriental, et derrière il reconnut la langue de son peuple, et comprit que les gardes Khazad restants avaient accourus à son secours quan ils l'avaient vu tomber par terre. On aspergea ses yeux d'eau et il recouvra progressivement la vue. Les hommes arrivés devant lui étaient les sept derniers gardes de Praxis, des archers qui étaient venu puis étaient reparti, portant un corps. Sigmin reconnut son adversaire, et vit qu'il avait la jambe droite tranchée: c'était le coup que le nain avait donné à l'aveuglette. Puis le nain resombra, et sentit qu'on le portait, tout en entendant la clameur des combats s'éloignaient.
Pendant ce temps-là, Munok avait mené ses guerriers au coeur de la bataille, et avait fait des merveilles avec ses couteaux dans les rangs des orques. Il s'était retrouvé face-à-face avec le chef de ces guerriers pitoyables, un grand gabarit en armure avec une grande épée dans les mains. Munok avait préféré ramasser une épée pour l'affronter, sachant que ses couteaux n'auraient pas tenu le choc. L'orque n'attendit pas qu'il soit prêt pour l'attaquer et lui portea beaucoup de coups de taille. Et à vrai dire, que des coups de taille, ce que le commandant remarqua. Son épée était trop grosse pour en faire un usage correct, et il avait vu que le chef ennemi portait de gros coups très puissants, ce qui lui donna une idée. Munok attendit une attaque, feignant d'être fatigué. L'orque tomba dans le piège et mit toute sa force dans ce coup. L'homme évita facilement, et l'épée alla se planter dans la souche d'arbre où il s'était tenu précedemment. Le chef ennemi ne parvenait pas à retirer l'arme, et Munok en profita, il fit un revers de son épée et décapita l'orque, qui continua à s'accrocher à son épée une fois mort.
Fean avait quant à lui, menait ses cavaliers en haut de la colline tant bien que mal, et avait saccagé le modeste camp ennemi. Puis il avait reformé sa ligne de bataille, et avait descendu la colline à toute vitesse. Il arriva de plein fouet dans les archers ennemis, qui formaient la derrière ligne. Ceux-ci s'étaient retournés trop tard pour les éviter et ils furent balayés comme de vulgaire feuilles d'arbres. Le sergent monté fut exemplaire pour ses cavaliers ce jour-là, car il abbatit à lui seul près de quinze orques, et tout autant d'haradrims. Cela revigora ses hommes, qui massacrèrent eux aussi beaucoup d'ennemis.
Le dernier sergent, Phoenixios, avait mené ses troupes légères sur le flanc droit ennemi, là où il n'y avait que des orques. Les rangers nains firent usage de leur haches de jet, puis le sergent et ses rôdeurs se jetèrent dans la bataille, suivis de près par les elfes et les nains, eux aussi excités par les combats (bien que les elfes le montraient moins que les nains). Ce fut magnifique à voir, car les elfes semblaient être invincible, évitant les lames orques avec une telle aisance, et abbattant les leur avec une précision mortelle. Les rôdeurs ne se débrouillaient pas plus mal, car leur talent était tout aussi grand à l'arc qu'à l'épée, et ils firent littéralement des ravages dans les rangs ennemis, accompagnés par les rangers nains qui ne savaient plus où donner de la hache.
C'est sur ces quatres évènements décisifs, la blessure grave du général ennemi, la mort du chef orque, la prise en tenaille des cavaliers et la prise de flancs des archers, que la bataille s'acheva. Il ne restait que très peu d'ennemis, une vingtaine de haradrims tout au plus, et les orientaux, mais qui étaient déjà poursuivis par les cavaliers rohirrims. Tout les orques avaient été tué, on empila leur cadavres et on les brûla tous, ainsi que ceux des haradrims. Dans le camp du Bien aussi les pertes avaient été nombreuses: plus de cent-cinquante hommes, elfes et nains réunis étaient morts, et on rassemblait déjà leur corps pour les honorer et les enterrer. Les deux sergents Fean et Phoenixios avaient rejoint le commandant Munok, déjà au chevet de son ami Sigmin le nain. Celui-ci avait une profonde entaille au bras, mais bien sûr les elfes s'occupaient de lui. Munok avait une entaille au torse, faite par le chef orque, Fean était blessé au mollet, un haradrim avait tenté de le désarçonner, et Phoenixios avait reçu un coup à la tête, mais il tenait debout tout seul.
-Eh bien, dit Munok en se relevant. On peut dire que mon plan a plutôt bien marcher vous ne trouvez pas ?
Il éclata de rire, et les autres le rejoignirent dans son hilarité, même Sigmin le nain rit, heureux de finir vivant une bataille de plus.
Bilan: Succès de la mission. Environ 150 morts dans nos rangs et presque 200 parmi ceux des ennemis. Seul le général avec sa jambe en moins, et cinq des ses hommes en ont réchappé, et nous les avons laissé partir, pour qu'ils apprennent à leur maître qu'il y a encore de la résistance des les Contrées Libres de l'Ouest.
bin voila ça c'est fait, je veux bien reprendre ma carrière là ou je l'avais laisser et enchainer avec ma 3e mission qui est censée être une mission libre, sûrement aux halls de Thranduil. J'attends la mission de gauthier555 please !!
Jolie histoire CC
Tu es toujours sergent ou tu es déjà monté sergent-en-chef?
je passais sergent-chef a la fin de ma deuxime mission sur les disparitions, quoi qu'il advienne dans la grande bataille, donc maintenant pour ma 3e mission, j'suis sergent-chef oui !
Ben tu peux faire une mission libre dans la ville où tu es (Thranduil je pense) pour gagner arme ou équipements...
Le problème, c'est que tu as fait passer mon général pour un stratège aussi compétent qu'un orc bourré et que tu l'as laissé filer avec 5 soldats et une jambe en moins, ça va être pratique pour la suite...
bin je sais pas si t'est au courant mais cette mission peut être considérée comme à part, ainsi, il n'y aucune conséquence sur ta carrière prometteuse d'officier oriental. Pour la suite, t'as tes vingt soldats, et ta jambe aussi.
Enfin moi c'est comme ça que je vois les choses, je me trompe peut-être.
Le problème comme je te l'ais dit sur msn, il n'y a pas de gagnant, enfin pas tant que nico en ai désigné 1, on peut faire une sorte de trêve a la fin par manque d'homme ou un truc dans le genre, a vous devoir.
Mais c'est vrai que ce serait mieux si tu faisais une fin ou histoire car la comme le dit si bien Akeros son perso et nul.
La mission n'a aucune conséquence car c'est une histoire à part. (Sauf peut-être pour moi où la bataille se situe sur mon chemin).
Je suis d'accord avec Akeros pour dire que son perso est nul dans l'histoire mais c'est la façon de CC de voir les choses et je peux te dire que fasse à un nain équipé d'une armure de mithril tu te fais exploser la tête !!!
Ouais enfin faut être idiot quand même pour aller ce jeter sur un nain aveugle qui balance des coups de hache n'importe où.
pas n'importe où d'abord, il a sentit la présence de l'ennemi dans la Force, eu pardon je me suis trompé de fofo, il a entendu Praxis arriver, et puis de toute facon l'oriental n'avait pas d'autre facon de le tuer.
Voilà j'ai enfin finit ma version de l'histoire, elle concorde avec celle de CC mais la fin est un peu différente.
Merci au soutient de CC qui m'a pas mal aidé
Munok se réveillait à peine d’un sommeil d’à peine quelques heures quand un messager d’Edoras arrivât à son campement. Il avait quitté la cité depuis seulement deux jours et n’était pas aller très vite, apprenant avec peine à monter son nouveau cheval, un jeune noir qui était aussi fougueux que lui. Une très bonne relation commençait à se nouer entre eux mais il faudrait du temps pour qu’elle grandisse. Munok se leva donc et allât saluer le nouveau venu.
-Ta cité m’aimes-t-elle tant qu’elle me réclame après seulement deux jours ?
Puis il vit que le messager paraissait presser et lui demandât des nouvelles.
-Des orcs et des haradrims ont pénétré le territoire du Rohan en grand nombre et le roi demande à ce que vous meniez l’assaut qui les jettera en dehors de nos contrées.
-Mais je n’ai que cinquante hommes, certes de valeureux guerriers, mais nous serons en infériorité !
-Le roi a dépêché des émissaires, pour aller prévenir les elfes et les nains. Trois sergents sont cependant déjà arrivé et attendent vos ordres !
Munok mit du temps avant de répondre… Il n’avait jamais commandé de vraie bataille ! Il acceptât tout de même car son mentor en avait connues plusieurs et lui avait transmis une bonne partie de son savoir !
-Qu’ils me rejoignent le plus vite possible ! Savons-nous où l’ennemis a construit son camps ?
-Dans l'Estemnet, près des bouches de…
-L'Entalluve. Oui, j’y ai déjà combattu étant jeune ! Vous pouvez retourner dire au roi que j’accepte mes nouvelles fonctions et que je mènerais nos troupes à la victoire ou mourrait !
Munok attendit donc les généraux et fit connaissance.
Il y avait Fean, un homme qui menait son cheval aussi bien qu’un elfe grimpait aux arbres. Il amenait avec lui des cavaliers et des guerriers qui n’en était pas à leur première bataille.
Le second, plus discret était un homme, rôdeur vu sa cape et accompagnés d’une vingtaine d’hommes habillés de la même manière. Il s’appelait Phoenixios.
Le troisième intriguât Munok. Il d’agissait d’un nain, plutôt grand pour sa race, qui savait manier la hache comme peux d’autres, d’après ce que disait ses compatriotes. C’est à la notion de son nom que Munok frémit.
Il s’agissait de Sigmin, fils de Hirin. Le mentor de Munok avait souvent commercé avec son père, réputé pour être l’un des meilleurs forgerons nains de toute la terre du Milieu. Munok l’avait même rencontré dans les plaines aux Iris, alors qu’il se dirigeait en direction des mines de la Moria. Il les avait accueillit chaleureusement et Munok gardait de lui un très bon souvenir.
Il était mort peu de temps après, en attaquant Khazad-Dûm.
Munok se rappelait que son mentor en avait été profondément attristé et il se demandât quel âge pouvait bien avoir Sigmin à cette époque. Sa mère avait sûrement subit le même sort que son père ce qui faisait de lui un orphelin comme Munok. Certes un peu plus tard, mais la tristesse n’en pouvait qu’être plus grande et Munok en fût désolé pour le nain.
Les quatre hommes se mirent aussitôt en route avec Munok, le plus haut gradé et fait commandant, menant la marche. Il connaissait bien ces contrées pour y avoir été plusieurs fois avec son mentor. Il avait déjà un plan qui germait dans son esprit mais, découvrant le terrain du combat, l’abandonnât rapidement.
Il se trouvait dans une plaine, assez vaste avec au bout de celle-ci une colline. Un des elfes de Munok, Aldaron qui avait une bien meilleure vision que les trois hommes et le nain, prévint son chef que les ennemis y avait dressé leur camps, profitant qu’il ai plut le jour avant, et que la pente soit très glissante. Munok convint d’un endroit où monter le bivouac et ils s’arrêtèrent peu avant la nuit, les renforts étant arrivés.
Munok invitât les généraux dans sa tente personnelle. Il leur exposa son plan de bataille.
-Bienvenue à tous, et merci d’avoir répondu à l’appel de détresse du Rohan ! Je sais que certain d’entre vous se demandent pourquoi suis-je le chef de cette bataille ! Juste pour un grade de différence. C’est pour cela que je vous demande de me traiter d’égal à égal car je ne suis sûrement pas le plus compétent de nous quatre. Aussi toutes vos propositions sont les bienvenues même si j’ai déjà quelques idées.
Le nain fût le premier à parler.
-Quelle est votre tactique ?
Munok voulût parler mais Fean lui posât une autre question.
-Et à quoi serviront tous ce bois et ces branches ?
-Nous construirons des pieux pour endiguer l’assaut de l’infanterie. Le reste servira à la construction de mantelets.
-Qu’est ce donc qu’un mantelet ?lui demanda Phoenixios.
A la grande stupéfaction des autres ce fût Sigmin qui répondit.
- Ce sont de grands boucliers de branches, assez haut pour protéger des plus hautes volées, mais peu résistant aux attaques de près. Nous avions pareils équipements, mais les boucliers étaient en bois et en fer, comme des pavois standard, mais légèrement plus grand, et derrière un nain tenait une pique et repoussait les attaques, protégé par le bouclier de fer. Ces équipes étaient appelées « Gardiens des portes » ou « Combattants des tunnels » car ils combattaient exclusivement sous terre dans les tunnels. Mais malheureusement, seuls les forgerons nains de Khazad-Dum savaient comment réaliser ces boucliers et ces piques, et leur savoir a été perdu lors de la chute du Royaume de Cavenain.
Un éclair de tristesse passât dans les yeux du nain. Munok comprit vite pourquoi. Son père avait été l’un des derniers forgerons dont il parlait et c’est grâce à lui que Munok connaissait cette technique.
« N’ayez crainte maître nain il est mort en paix » chuchotât-il pour lui-même.
-Merci mon ami. J’espère que votre peuple se souviendra toujours de ces héros !
Pour ne pas enfoncer le couteau dans la plaie, Munok continuât.
-Les archers tirent sur l'ennemi, à l'abri des mantelets, les autres fantassins à l'abri eux aussi, et la cavalerie en dehors du camp prêt à la contre attaque quand l'ennemi battra en retraite, ou s'enfuira. J’ai aussi besoin d’un cavalier pour commander les cavaliers. Maître Fean, j’ai bien vu que vous ne faisiez qu’un avec votre monture aussi je vous désigne pour cette tâche. Phoenixios vous serez avec les archers qui passeront par le petit bois, sur le flanc gauche. Les cavaliers seront disposés sur notre flanc droit, pour nous couvrir et attaquer les ennemis à revers. Maître nain j’aurai besoin de vos hommes en première ligne pour aider mes épéistes qui porteront les mantelets ainsi que de vos gardes Khazad pour coordonner leurs efforts. Les piquiers seront justes derrière pour pouvoir attaquer par-dessus. Nous serons accompagnés de quelques épéistes elfes pour former la troisième ligne. Je veux aussi vingt archers en armure lourde derrière pour couvrir notre avancée.
C'est sur qu'elle finis mieux pour Akeros^^
Le problème c'est que nico nous avez demander de ne pas faire de fin enfin de ne pas dire qui était le gagnant
Mais bon la c'est mal barré lol
sympa l'histoire j'aime bien, en plus tu fais le rapprochement avec nos "carrières", dont la mienne aux halls de Thranduil, alors je pense qu'après ma mission libre, mon équipement supplémentaire sera celui que Munok a offert a Sigmin avant la bataille.
€ncor€ br@vo pour ton r€cit !
Nico a dit qu'il voterait pour le meilleur, alors toute façon si je perds, ce sera pas cette fin là
Je voulais aussi dire merci à CC, et lui souhaiter un joyeux anniversaire !!!
Je pensais te donner l'armure pour ton annif mais tu l'auras après la mission libre...
Tu reçois donc un arc "nain" assortit à l'armure, très résistant.
J'espère que tu voulais pas autres chose mais là, tu va ressembler à l'homme d'or