Ouais toujours aussi bien
ce week end je vous promets deux ou trois chapitre du "retour de soul edge"
dont un ce matin
très très bonnne fic qui se passe à notre époque, voici les quelques éloges que j´aimerais faire:
-primo m^me si c´etsà la m^me époque que ma secodne fic, ce n´est pas un plagiat et cela se passe ailleurs avec d´autres persos
-secundo, le contexte est aussi sombre et m^me plus gore que la mienne
-les persos très attachants, il nous faudra plus de détails sur l´inspecteur cluzet, euh rousseau pardon!!!!
On attend la suite avec impatience !! !
Tu travailles sur la suite ?
ben euh là...pas encore, mais normalement la suite devrait arriver dans la semaine, je dis bien normalement, sinon au pire, ça viendra la semaine prochaine
Je ne suis pas seul à l´attendre, je crois...! Bref, prend ton temps, mec...!
alor la suite?
bientot bientot!! je l´écris ce soir et je vs la met demain
Je l´entend avec impatience!
Voila c juste pour dire que la fic et super et coincidence ou hasard, mon perso préféré dans SC 3 ( que j´ai créer) s´appelle Requiem ^^
ben c peut-être un hasard vu que l´épée de Siegfried s´appelle Requiem. en tt cas la suite est en cours, je suis à la moitié du prochain chapitre, mais avec les exams qui arrivent à grande vitesse je sais pas quand je pourrais poster la suite
Oh...don´t talk me about that! FUCKING SCHOOL!!! W
Who think like me?
me la suite devrait arriver dans moins de deux semaines, en attendant faudra attendre un pti peu :désolé:
C´est pas grave! On va patienter. De toute façon, on ne peut rien faire de plus, lol. Après tout, c´est compréhensible que ça prenne un peu de temps: deux fics, étude pour les examens ***FINALES***, devoirs et tu sors peut-être...tout dépendant de ton mode de vie...
ta fic pas mal,mais franchement, j´avait l´idée de faire une fic exactement comme ça bizarre
la suite devrait arriver aujourd´hui, mais j´ai eu bcp de mal à la faire c un chapitre assez long a vrai dire, en tt cas j´espère que vs serez pas déçu
Chapitre 5 : Le gladiateur
Hijiri quitta l’arène, les cris des parieurs et la terre poussiéreuse mêlée de sang par la grille où ils étaient entrés à deux il y avait à peine quelques minutes. Il se dirigea vers les vestiaires, et entreprit au milieu du cliquetis des armes des autres gladiateurs de nettoyer consciencieusement la lame tâchée de sang, en vue du prochain combat.
Hijiri, 25 ans, régnait sans partage sur l’arène depuis près de quatre ans. Il était craint par tous les gladiateurs, notamment à cause de sa technique au katana qui lui permettait même de parer les balles, le Tenpu-Kosai-Ryu-Kaï.
Avant de rencontrer l’homme qui lui avait enseigné cette technique, Hijiri avait fait partie jusqu’à ses 16 ans d’une petite bande de voleurs. Ses parents étant morts dans un accident de voiture, ils étaient sa seule famille. Ils s’introduisaient dans les quartiers chics de Tokyo sans se faire repérer, et volaient divers objets d’art. Ils cherchaient ensuite à écouler la marchandise volée le plus vite possible. Pour cela, les Yakusas, l’une des organisations criminelles les plus puissantes du Japon, leur étaient d’une précieuse aide. Cependant, ils leur achetaient les objets d’art pour un prix dérisoire alors qu’ils les revendaient des millions, ce qui maintenait Hijiri et ses compagnons d’infortune dans la plus grande pauvreté.
Un jour, lui et ses camarades étaient entrés dans une maison réputée pour être richement dotée en objets anciens. Les Yakusas leur avaient indiqué où ils devaient aller, non sans leur dire qu’un échec aurait des conséquences fâcheuses pour Hijiri et ses compagnons.
Lorsqu’ils étaient arrivés devant la maison, Hijiri avait été pris soudain d’un mauvais pressentiment. La grille noire, sinistre, se dressait devant eux
-Hé, les gars…je le sens mal, ce coup là…Vaut mieux pas qu’on y aille…
-Mais t’es fou ou quoi ? lui avait répondu un de ses camarades. C’est la plus grosse commande qu’on ait jamais eu, et toi tu veux déjà abandonner ?! ! Et puis avec l’argent qu’on va avoir sur ce coup, on aura plus besoin de voler !! On va vivre riche, mec !! Et de toute façon, t’as le flingue au cas où ça tourne mal.
-Mais laisse-le, c’est juste qu’il a la trouille, avait ricané un autre de ses compagnons.
-N’importe quoi !! avait répondu Hijiri.
-Bon, alors t’es avec nous ou pas ?
-…D’accord, avait répondu Hijiri après quelques instants d’hésitation.
Ils avaient escaladé la grande grille et s’étaient faufilé sans bruit jusqu’à la porte d’entrée de la maison.
Avant d’ouvrir la porte, Hijiri avait regardé autour de lui : à l’heure où le Japon moderne s’occidentalisait de plus en plus, cette villa typiquement japonaise avait gardé tout ce qui faisait le charme culturel du Japon. Les cerisiers en fleur diffusaient leur parfum à travers le grand jardin, et les pétales roses des cerisiers voltigeaient au gré du vent. Hijiri, tout en aspirant cet air embaumé, avait pensé qu’il aurait bien aimé habiter dans un endroit tel que celui-ci.
Ils avaient fait coulissé le panneau de bois qui faisait office de porte et qui, curieusement, n’était pas fermé à clé, puis ils étaient discrètement entrés dans la maison. Au fur et à mesure de leur progression dans la demeure, ils avaient mis à sac des trésors inestimables : un grand éventail japonais qui, si on s’appuyait sur le petit texte écrit juste en dessous de celui-ci, datait de l’époque du Japon féodal, des vêtements authentiques de geisha, une ombrelle appartenant sûrement à une kunoichi, une femme guerrière, puisqu’elle dissimulait une épée, et aussi une armure de samouraï
Hijiri, qui était assez musclé pour ses 16 ans, avait été chargé de porter le butin, tandis que les autres exploraient la maison.
Le jeune voleur était perdu dans ses pensées quand un de ses compagnons était passé devant lui comme une flèche, en hurlant : « Cassez-vous les mecs, on s’est fait repérés !! »
Il avait trébuché, laissant tomber le katana qu’il portait. Il n’avait même pas pris la peine de le ramasser et était parti en courant.
Hijiri, prenant conscience de la situation, et avait couru aussi vite que lui permettaient ses jambes, mais le poids du butin sur ses épaules rendait sa course moins rapide. Quelques secondes après, il avait entendu des grognements derrière lui. Il s’était retourné et avait vu avec frayeur deux énormes bouledogues sur ses traces. Leurs regards s’étaient croisés, puis les deux molosses avaient foncé sur lui. Hijiri avait pris le pistolet qu’il gardait dans son dos et avait tiré à six reprises. Il les avaient raté aux deux premiers tirs, puis avait aligné l’un des deux bouledogues au troisième tir en lui logeant une balle en pleine tête. Il avait tué le deuxième chien au dernier tir, alors qu’il s’apprêtait à lui sauter à la gorge, en lui explosant la mâchoire d’une balle de pistolet.
Alors qu’il s’apprêtait à reprendre le sac qui contenait le butin, un homme d’âge mûr était apparu de là où avaient déboulé les deux bouledogues. Ses longs cheveux blancs étaient attachés en un chignon serré, mais quelques mèches lui cachaient en partie le front, et son visage anguleux s’étirait en un sourire réjoui. Ses yeux couleur noisette brillaient d’une lueur surnaturelle dans la nuit noire de la maison.
-C’est sûrement le propriétaire de cette maison, avait pensé Hijiri.
Il avait lentement marché vers Hijiri, et avait ramassé le katana, taché du sang d’un des chiens, avant que Hijiri ne l’arrête d’un ordre.
-Ne bougez plus, ou je vous tire dessus !! lui avait crié Hijiri, braquant le pistolet sur le maître de la demeure.
-Tu veux m’abattre avec ce jouet ? Hé bien, voyons si tu pourras, répondit l’homme en souriant
Il avait recommencé à avancer, et seulement un mètre environ le séparait de Hijiri quand celui-ci avait tiré.
L’homme avait tiré le katana du fourreau avec une rapidité étonnante, et geste plus étonnant encore, il avait coupé la balle en deux. Puis il avait franchi en une foulée la distance qui le séparait de Hijiri avant de lui asséner du fourreau un coup violent au ventre qui lui avait coupé le souffle. Le pistolet lui en était tombé des mains.
-Alors, petit !! Qu’est-ce qui se passe, tu as perdu ta langue ? avait ironisé l’homme.
Hijiri avait rapidement récupéré du coup qu’il avait reçu, et s’était précipité sur l’arme la plus proche, qui était en l’occurrence la lame cachée dans une ombrelle. Il l’avait rapidement sortit de son fourreau et avait fait face à l’homme en pointant la lame vers lui
-Ah, voilà une vrai arme !! s’était exclamé l’homme. On va voir ce que tu vaux…
Malgré sa terreur, Hijiri s’était précipité vers l’homme, poussé par un instinct combatif qu’il n’avait jamais connu avant. Il avait couru vers l’homme et lui avait assené un coup d’épée horizontal, que l’homme avait facilement paré. Celui-ci avait enchaîné par une contre-attaque rapide, que Hijiri eut juste le temps d’éviter en se baissant.
-Tu es meilleur que ce que je pensais, petit !! s’était exclamé l’homme. Mais à ce niveau, tu n’as aucune chance, abandonne maintenant.
-Pour que vous me livriez à la police après ? Pas question !! avait répondu Hijiri en fonçant vers l’homme.
Il avait alors abattu l’épée du plus vite qu’il pouvait, mais sa lame n’avait rencontré que le vide. Ensuite, un voile noir s’était abattu sur ses yeux, et il était tombé, inanimé, sur le parquet de bois.
Il s’était réveillé quelques heure plus tard, le regard bienveillant de l’homme fixé sur lui. Il s’était levé brusquement pour s’enfuir, mais une blessure à la tempe lui avait fait tourner la tête et l’avait empêché de prendre la clef des champs.
-Désolé pour ça, s’était excusé l’homme, je ne voulais pas frapper aussi fort, mais il fallait bien que je le fasse pour t’empêcher de t’enfuir. Je me présente, Heishiro Kojima.
-Pourquoi vous ne m’avez pas dénoncé à la police ? avait demandé Hijiri, interloqué.
-Justement, je me demandais si je devais le faire ou non. Est-ce que tu as déjà étudié l’art du samouraï ? avait-il demandé à Hijiri
-Ben euh…j’en ai jamais eu l’occasion…
-L’art du samouraï, c’est de manier une épée de telle sorte qu’elle puisse couper un cheveux en deux dans le sens de la longueur. Voudrais-tu maîtriser un tel art ?
-Et y a quoi derrière tout ça ? avait demandé Hijiri, suspicieux
-Ah, tu as deviné, avait dit l’homme en riant. Si tu ne veux pas, je vais t’emmener au poste de police, où d’ailleurs tes camarades doivent y être. Alors, tu acceptes ?
-Comme si j’avais le choix, avait maugrée Hijiri.
Le lendemain, il avait appris la mort de ses compagnons, tués par les Yakusas. Il avait alors décidé de rester chez Kojima, de peur de se faire tuer à son tour, et également pour se venger de ceux-ci
Pendant cinq ans, il avait appris la maîtrise du Tenpu-Kosai-Ryu-Kai, armé de Shishi-Oh, une épée venue d’un des lointains ancêtres de son maître Kojima et précisément celle qu’il avait essayé de voler.
Lorsqu’il s’était décidé à partir, lors de ses 21 ans, son maître lui avait donné Shishi-Oh.
-Mais…c’est un de vos objets les plus précieux !! avait dit Hijiri lorsque son maître lui avait demander d’accepter l’épée. Je ne peux pas l’accepter !!
-Tu sais, avait répondu calmement Kojima, même si cette épée a une grande valeur en argent, elle a avant tout pour moi une valeur sentimentale…C’est pourquoi je te la donne.