voilà, encore une fic, mais cette fois-ci qui concerne Soul Edge et SC à notre époque!! dc ben... bonne lecture
Chapitre 1 : Le retour du fléau
Le vent partait ici et là, parcourant les rues de Paris dans un souffle froid, empli de paillettes glacées. Il parcourait généralement les quartiers les plus démunis de Paris, dont les rues étaient totalement démunies de chauffage.
C’étaient la plupart du temps le refuge de squatters de tout poil, sans domicile fixe ou clandestins sans papiers, qui logeaient dans ces quartiers. Le vent d’hiver s’infiltrait partout, franchissant les portes et les fenêtres, caressant de ses doigts longs et froids le corps frissonnant de ceux-ci. Quelques fois, l’un d’entre eux succombait à ses froides caresses. Le vent en était désolé, il n’aimait pas tuer, mais ainsi l’équilibre des âmes était maintenu.
Il cheminait donc comme d’habitude dans les rues mal famées et déshéritées de la capitale française, quand une odeur impromptue, porteuse de mort, le détourna de son parcours habituel. Piqué par la curiosité, le vent s’en alla voir quelle était la cause de cette odeur.
Un blizzard glacé laissait à peine entrevoir plusieurs lumières bleues, qui clignotaient de façon spasmodique, telles des lumières d’un autre monde. Le vent perça l’épais blizzard pour constater ce qui avait attiré son attention.
Les sources des lumières bleues n’étaient en fait que des voitures de polices, cinq environ, plus deux berlines noires et bleue, toutes portes ouvertes. Elles bouchaient l’entrée d’une ruelle sombre et enneigée.
Leurs occupants étaient à environ une quinzaine rassemblés au milieu de la rue. Une dizaine portait un uniforme aux couleurs de la police nationale, tandis que trois hommes, en civil, s’affairaient sur le sol, sous l’œil attentif de deux hommes en manteau noir. Le sol était recouvert de neige rougie par du sang.
Un corps se tenait sur le sol. Le défunt avait été coupé en deux à partir du bassin, et la partie supérieure était marquée par une plaie béante qui partait du bas ventre jusqu’à la gorge, et ses intestins, geyser de chair sanglant surgissant de son ventre ouvert, traînaient sur le sol sur une longueur de deux mètres. Sa tête gisait quelques mètres plus loin, et un air de profonde terreur était marqué comme au fer rouge sur son visage tâché de sang
L’un des hommes en manteau noir s’adressa à l’un des hommes en civil :
-Alors, des indices les experts ?
-Hé bien, inspecteur Sorel, les meurtriers d’aujourd’hui ont tendance à se servir d’armes à feu. C’est plus pratique, plus facile à dissimuler, rapide à tuer, et surtout, c’est une arme assez facile à tracer : vous savez vous-même que chaque balle tirée est unique, ainsi il aurait été facile de retrouver l’arme du crime, et ainsi le criminel. Mais il semble que sur cette affaire on ne se soit pas servi d’une arme à feu
-Je vous écoute.
-Donc nous avons ici des plaies relativement larges, de deux à trois centimètres, probablement faîtes par une arme blanche, car les bords des blessures sont lisses. L’arme du crime devait sûrement faire entre deux et trois centimètres d’épaisseur au niveau de la lame, qui elle même, si on suppose que la plaie a été causée par la lame alors que la victime était allongée sur le sol, doit faire entre 1m30 et 1m40 à elle seule.
-Donc, résumons : nous avons un boucher qui se balade dans les rues de Paris avec un couteau géant, dont la lame fait entre 1m30 et 1m40, c’est ça ? Hé bien, ça ne devrait pas être trop difficile à trouver, n’est-ce pas ? fit l’inspecteur Sorel avec une pointe d’ironie
-Sinon, vous n’avez rien d’autre ? demanda l’autre homme au manteau noir
-Hé bien, inspecteur Rousseau, déclara l’un des experts, il semblerait vu la proportion des plaies que la victime aie succombé non à des coups de couteaux géants, mais aussi incroyable que cela puisse paraître, il a sûrement été tué par une épée, plus précisément une épée de style Zweihander du 16ème siècle. Elle était très peu utilisée malgré sa puissance incroyable, car il fallait beaucoup de force pour la manier, à cause de ça son utilisation s’est faîte de plus en plus rare, pour disparaître vers la fin du 18ème siècle, quand les fusils et autres armes à feu ont commencé à prendre plus d’essor. Si vous voulez mon avis, votre suspect doit être vraiment très costaud pour pouvoir manier une arme pareille !!
-Et-ce qu’on a des témoins ? demanda l’inspecteur Sorel
-Rien de sérieux vous savez, répondit l’un des hommes en uniforme. Nous avons un témoin de seize ans environ, mais il dit avoir vu un homme armé d’une épée avec un œil au milieu.
-Bah, on peut peut-être en tirer quelque chose. Je veux voir ce gamin demain à la première heure, compris ? exigea l’inspecteur Rousseau. Et toi, qu’est ce que tu en penses, Edward ?
-Hé bien je pense que c’est que des conneries, il a peut-être fumé trop de hash ,qui sait ? répondit l’inspecteur Sorel. Mais c’est notre seul témoin, alors on va essayer d’en faire quelque chose. Mais c’est curieux, j’ai déjà entendu parler de cette histoire d’épée avec un oeil quelque part…
-Allez va, ça vaut pas la peine de te torturer les méninges! plaisanta l’inspecteur Rousseau. Pour l’instant, on va retourner chacun chez nous, et puis demain on verra ça de plus près, d’accord ?
-Ouais, t’as peut-être raison Philippe…
Les deux hommes se séparèrent, et prenant chacun leur voiture, ils rentrèrent chez eux.
Le vent d’hiver, quant à lui, se hâta de communiquer ces funestes nouvelles aux vents d’Est, qui traversaient l’Asie. Ceux-ci connaissaient une personne qui serait en mesure de les aider, peut-être…s’il n’était pas trop tard… Ce meurtre portait la marque de Soul Edge, qui après des siècles d’absence avait finalement réapparue, et la pauvre âme de la victime, non confiée aux bercements du vent, avalée par l’abysse de l’épée maléfique, ne trouverait plus jamais le repos. L’équilibre du monde était menacé, et seule une personne pouvait aider les vents à le rétablir…
Chapitre 2 : L’héritier des Schtauffen
Elric Von Schtauffen, 26 ans, se présenta devant le portail colossal qui l’avait vu partir il y a de cela sept ans. Le portier ouvrit le portail, et laissa entrer le nouveau maître du manoir des Schtauffen, en Allemagne
Elric poussa la grande porte blanche qui faisait office d’entrée du manoir, puis déposa son gilet sur le porte-manteau. Il monta ensuite directement au bureau de son défunt père, gravissant une à une les marches de marbre blanc.
Il poussa la porte du bureau de son père et entra. Rien n’avait changé dans le bureau de son père : son imposant bureau en acajou trônait toujours au milieu du lieu de travail de son père, et à gauche de la pièce, et l’odeur de livres poussiéreux dégagée par la bibliothèque composée de livres datant du 16ème siècle à droite du bureau était toujours présente.
A gauche du bureau, à une distance d’environ deux mètres, on pouvait voir une cheminée, dont les cendres froides gisaient en un tas informe. En haut de la cheminée, une épée imposante était suspendue. Sa lame faisait près d’1m60, et se composait de deux partie : la partie centrale, toute de noir, et la partie périphérique, qui formait en fait le tranchant de la lame elle-même, et qui dégageait un éclat métallique sous les rayons de l’aube de printemps qui se levait. Juste sous sa poignée, ce qui semblait être le nom de l’épée était écrit : Requiem.
Elric regarda autour de lui, étranglé par l’émotion. Il s’assit sur le siège de cuir du bureau, et plaça ses coudes sur celui-ci, pour finalement enfouir son visage dans ses mains pour pleurer.
Toute son enfance lui revint soudainement en mémoire, ce qui fit redoubler ses pleurs d’intensité. Chaque mur, chaque tapisserie, chaque fibre de cette pièce le ramenait à son enfance, qu’il avait tant détesté et tant aimé à la fois.
Il avait dû apprendre à lire dès l’âge de quatre ans, sous la direction de son père, et les premiers mots qu’il appris à lire furent « Soul Edge ». Puis, à l’âge de six ans, il lui fallut apprendre l’histoire de ses ancêtres, et plus particulièrement l’un d’eux, Siegfried Schtauffen. Celui-ci fut pendant la quasi-totalité de l’enfance d’Elric l’objet de sa haine la plus profonde : pendant toute son enfance, il avait dû accepter le fait que l’un de ses ancêtres compte plus pour son père que son propre enfant. De plus, il avait souvent été puni à cause de son incrédulité et de son cynisme sur les exploits de son lointain parent, les qualifiant de balivernes.
A douze ans, il avait commencé, toujours sous la direction de son père, à faire de la musculation. A quatorze ans, après que son père eût jugé le développement de sa musculature suffisant, il l’avait initié au maniement de Requiem. Elric se souvenait avoir toujours voulu manier cette épée, afin de prouver sa valeur à son père, et lui montrer de la même façon qu’il existait. Mais manier une épée de plus de quarante kilos aussi aisément que s’il s’agissait d’un simple cutter n’était pas chose facile, et il n’avait même pas réussi à soulever ne serait-ce que la poignée de l’épée. Il avait regardé son père, incrédule quant à l’exploit qu’il lui demandait. Son père l’avait encouragé encore et encore, jusqu’à ce qu’Elric, sentant que s’il continuait, il laisserait ses deux bras sur la poignée de l’épée, abandonne. A ce moment, son père l’avait fixé d’un regard qui mêlait colère et déception, puis il était sorti de la pièce en claquant la porte.
Jamais Elric n’avait connu la tendresse d’une mère : la sienne était décédée d’un accident de la route, et le coupable, ayant pris la fuite, n’avait jamais été retrouvé. Les seules personnes dont il croyait que le soin qu’il prenait de lui était sans retour étaient en fait des domestiques payés pour veiller sur lui, dernier héritier vivant des Schtauffen avec son père. Alors, à défaut de l’amour d’une mère, il aurait au moins voulu faire la fierté de son père. Malheureusement, quoi qu’il fasse, il n’arrivait jamais à conquérir la lueur de fierté qui brillait dans les yeux de son père lorsqu’il parlait de Siegfried Schtauffen.
Quant à sa vie à l’extérieur du manoir, elle n’était pas mieux : Elric avait toujours été un enfant solitaire, incompris. A cause de son mutisme, il était automatiquement mis à l’écart, et n’avait aucun ami. Adolescent, il avait essayé de s’intégrer, mais ses camarades de classe partageaient un obscur langage parlant de Game boy, de Playstation et de PC, qui dressait un mur entre Elric et ses camarades : consoles de jeux et télévision étaient bannis du domaine Schtauffen.
Avec les filles non plus il n’avait pas eu de francs succès durant son adolescence. Il était bien bâti, beau garçon, avec ses longs cheveux, lisses et bruns, descendant en cascade sur sa nuque, et ses yeux bleus perçants. Mais son approche gauche, maladroite, faisait souvent rire de mépris les filles qui l’attiraient.
Voyant que ses efforts pour s’intégrer à un autre monde que celui des Schtauffen s’étaient soldés par un lamentable échec, il avait décidé coûte que coûte de gagner l’admiration de son père, et s’était entraîné sans relâche à manier Requiem. A dix-neuf ans, après cinq ans d’entraînement, il avait appris à manier convenablement Requiem, et se présenta devant son père.
-Père, je réclame cette épée.
-Tiens donc, rien que ça !! avait ironisé son père. Mais…la mérites-tu vraiment ?
-Père, vous savez que j’ai passé cinq ans à m’entraîner avec cette épée ! Je réclame donc le droit de la posséder !
-Très bien…avait répondu son père. Dans ce cas, nous allons nous battre.
-Quoi ?! ! fit Elric
-Oui, tu as bien entendu…
Le père d’Elric s’était dirigé vers un coffret derrière le siège de son bureau. Son père s’était penché sur le coffret, puis en avait ressorti une gigantesque épée à deux mains, recouverte d’or sur la poignée
-Tu vois, cette épée…c’était celle que Siegfried utilisait avant de tomber sur Soul Edge. Elle s’appelle Faust. Elle a été brisée dans son combat contre Soul Edge, mais j’ai réussi à rassembler les différents morceaux qui la composaient et à la reforger.
-Dans ce cas, pourquoi se battre ? avait demandé Elric, étonné. Si Requiem est tellement importante pour vous, je peux prendre Faust…
-Imbécile, tu ne comprends rien !! avait grondé son père. Requiem est le pilier et l’honneur de notre maison !! Faust, quant à elle, malgré sa beauté, est une épée à la sombre histoire…C’est avec celle-ci que Siegfried a tué son père dans sa jeunesse…Elle a jeté le déshonneur sur lui !! C’est en quelque sorte le symbole de la déchéance de notre maison, si elle venait à perdre sa grandeur.
-Veuillez m’excuser, je ne connaissais pas l’importance de Requiem à vos yeux…
-Viens avec moi, avait dit son père.
Elric était venu avec lui dans les jardins du manoir. Des feuilles mortes virevoltaient dans les airs, et les arbres dénudés de leurs feuilles, ressemblant à des squelettes aux articulations noueuses, étaient secoués par le vent d’automne. Le crépuscule d’automne, allongeant les ombres des arbres, les rendaient effrayants.
Elric avait regardé fixement son père, cet homme qu’il avait tant aimé et tant haï à la fois, attendant ce qu’il allait dire
-Bien…avait commencé son père. Ce combat tranchera en ce qui concerne ta demande de posséder Requiem. Si tu gagnes ce combat, Requiem te reviendra de droit, ainsi que le manoir et tout l’argent que nous avons accumulé au cours de notre histoire.
-Et si je perds ? avait demandé Elric
-Tu devras partir immédiatement, sans argent, avec pour seul bien Faust, l’épée qui symbolise le déshonneur de notre famille.
Elric se souvenait encore de cet échec cuisant qu’il avait subi, face à son père, six ans plus tôt. En à peine trois coups, il l’avait mis à terre, et avait pointé son épée sous sa gorge
-Pars…maintenant !! lui avait-il dit. Tu n’es plus digne d’être mon fils, ni même l’héritier des Schtauffen !! Va-t-en, et emmène Faust avec toi !!
Sept ans plus tard, il revenait dans cette demeure, venant d’enterrer son père. Celui-ci avait été assassiné, et son testament l’avait désigné comme unique successeur du domaine des Schtauffen et de Requiem. Le père d’Elric avait également joint une petite note à l’adresse de son fils, qui disait ceci :
Au terme de notre combat, lors de tes dix-neuf ans, je t’ai fait croire que tu serais dépossédé de tous tes biens .Il n’en est rien, tu es toujours mon héritier. J’ai fait cela dans le but de te faire comprendre quelel était ton arrogance quand tu as réclamé Requiem, avant même d’en être digne. Cependant, je t’ai laissé Faust afin que tu puisse continuer à t’entraîner, et quelques années de réflexion sur ton geste. Maintenant, je pense que tu dois être assez mûr pour posséder l’épée de notre illustre aïeul. J’espère, au jour où j’écris ce testament, pouvoir te revoir à nouveau, pour te dire à quel point j’étais fier des efforts que tu as fais pour gagner mon respect. Mais si tu lis cette lettre, c’est que mon âme a quitté cette terre, et que tous mes biens te reviennent.
Je t’ai toujours aimé, même si je ne le montrais jamais, sache-le. Peut-être que la mort de ta mère m’a rendu plus aigri…en tout cas, je suis sincèrement désolé de t’avoir tant fait souffrir lors de ta jeunesse. Adieu mon cher fils
PS :S i mon corps porte des blessures dues à une épée, tu sais ce qu’il te reste à faire : tu es le dernier Schtauffen encore vivant, et sur toi repose la tâche de détruire Soul Edge, si elle refaisait surface. Je compte sur toi, mon fils…
Elric avait lu des faits divers de plus en plus horribles dans la presse, concernant un tueur en série qui tuait ses victimes à l’aide d’une gigantesque épée. Il n’avait pas tout de suite fait le lien avec Soul Edge, pensant qu’il s’agissait de l’acte isolé d’un fou dangereux. Mais maintenant que son père était mort, il le savait….Soul Edge était de retour…
Ouais : bon début ! original, l´idée de faire apparaitre les épées à notre époque ^^
en fait je compte faire intervenir les descendants de plusieurs des persos, et puis également de faire intervenir des persos inédits
Ta fic est superbe, continues man :o:
C´est foutement original!!! Ça me motive à continuer ma fic qui plus est.
Chapeau mon vieux ^^
rahhhhh!!!!!! quelqu´un qui a pris mon idée je suis très vexé, je reviendrais et on verrra la quelle de nosz fics récente dsera la mieux
nonb je déconne mais je continuerais la mienne, promis...
super la fic mais du coup, va falloir que tu t´organise car t´as 2 fics maintenant. mais c´est quand même super.
Bravo vraiment elle est super bien ! Ton style est agréable à lire !
Courage pour la suite
je viens de terminer le 3ème chapitre et je trouve c´est tout à fait ce qu´aurait fait des gothiques et surtout l´idée de mettre Villepin avec le CPE et l´affaire clearstream (j´ai d´allieurs beaucoup ri ) et en tout cas bonne continuation.
aïe aïe aïe, il va y avoir du sport.Très bonne idée le tueur à gages et le nom est très asiatique, je n´ai aucun commentaire à faire sur ce 4ème chapitre sinon que c´est parfait continue surtout.
ha si j´ai une remarque à faire, (c´est pour le 1er chapitre ) tu écris que le meutrier a une arme qui fait ~1m60 ok mais après l´autre inspecteur dit tout de suite zweheinder (excuse s´il y a des erreures) comment peut il savoir ça? à moins qu´il soit pro en la matière mais ça tu ne le dis pas, bon c´est pas bien grave mais ça casse un peu le plaisir et ça ralentit l´immersion mais le reste est très bien.
gamma : N´importe qui a droit à des connaissances générales de son choix... Sûrement que le policier aime bien les épées et qu´il en fait une collection, j´sais pas...
lexaeus : sublimes chapitres, continu ainsi ^^
J´aime cette fic tout autant que l´autre et elle n´a que deux chapitres! L´ambiance est comme je l´aime! En tout cas, j´ai bien hâte de savoir ce qui se passera avec Camille...
on va la retrouver décapitée et empalée sur le toit d´une église .
bon en tout cas j´attends impatiement la suite de cette fic ou de l´autre.
Lol...moi j´ai bien des idées pour faire une fic, mais je me demande comment ils font pour toutes mettre les leurs aux bon endroits... Il faut être bon pour faire des fics comme celle-là... Kain_Reaver fait également partie de ceux que je préfère pour les fics... Bref, moi aussi j´attend la suite d´une des deux fics...
ouais c´est super
ouais ouais, la suite arrive mais c assez dur de gérer deux fics je reconnais. néanmoins, je vais continuer les deux dès que je peux et essayer de pas vs laisser sur votre faim
Courage, moi j´aimerais bien mais j´ai pas le temps et il est toujours trop tard.
Continue c super !! !