Voila, enjoy
Paniqué, je rassemblais toutes les affaires de Stéphanie, et les jetais dans le feu. Je n’avais pas envie de passer pour un criminel.
Tout a coup, une idée me vient a l’esprit. J’allais dans le placard, et trouvai ce que je voulais. Une hache.
Je me rendis dans la chambre, et fixa la penderie. Ma penderie d’enfance. Petit, j’ai toujours eu peur de cette penderie. Il était temps d’en finir.
Je levai la hache au dessus de ma tête, et l’abattit d’un coup puissant sur le flanc de la penderie. Le choc fut violent, et je lâchai la hache, secoués par les vibrations douloureuses.
La penderie était intacte. Elle n’avait même pas une éraflure. J’entendis un bruit étrange, et je regardai le mur.
Dessus était écrit en lettres de sang: HOPELESS
« Ta gueule!!! » criai-je, au bord des larmes.
La penderie s’entrouvrit.
« Je n’entrerai pas, connard! »
Je quittai ma chambre, et m’écroulai sur le canapé, la tête dans les mains. Je passais le reste de la nuit comme ça.
Finalement, je m’endormis. Je fus réveillé par la télé. Elle s’était allumée, et était sur les infos nationales.
« Mesdames et messieurs, bonjour. De terribles drames ont ensanglanté la nuit d’hier soir. Trois jeunes hommes ont été sauvagement tués dans leurs lits. La police pense a un seul et même tueur, hypothèse nié par les scientifiques qui estiment que les trois jeunes hommes ont été tous tués a la même heure. »
Je me penchai sur l’écran et regardai les visages. Mes amis de Fac. Je fondis en larmes.
« POURQUOI TU FAIS CA? »
« Vengeance » déclara la présentatrice d’une voix sombre.
« Hein? » Je me retournai vers la télévision.
« L’hypothèse de la vengeance n’est pas écartée par les policiers, les trois jeunes hommes étant en effet de proches amis. Tout de suite, la météo… » continua la présentatrice, impassible.
Je mit mon manteau, et sortit. Je devais trouver un moyen de le vaincre.
On veut du se...
Enfin j'veux dire on veut du gore,de la peur pour pas dormir
Suite
Y'aura du sexe
Merci bien ! Mais toujours la meme demande: la suite ! ^^
Et un conseil, decris plus... maintient le lecteur en suspens...
Sweet
Du sexe à la SH
Pyramid Head i love you
Quoi,plus le droit de flirter les monstres maintenant
J'ai plus de chapitres en réserve
Voila la suite!
En réalité, je ne fis qu’arpenter la ville, dans un état mental proche d’un zombie sortant tout juste de son tombeau. J’avais horriblement peur de rentrer chez moi, mais quand la nuit vint, je me résolus a retourner dans mon appartement.
Au lieu d’aller me coucher, je décidai de prendre un bain. Avec tout ça, je ne m’étais pas lavé depuis presque une semaine. Je me fis couler de l’eau brûlante, me déshabilla et me plongeai dans l’eau. Je me sentai plus en sécurité, loin de ma penderie.
Après tout, pourquoi n’irais je pas encore plus loin de cette maudite penderie? Je ferais ma valise en emportant le strict nécessaire, je sortirai de l’appartement, verrouillerai la porte et casserai la serrure derrière moi. Je prendrai le bus jusqu’à l’aéroport, et me tirerai loin de cette foutue ville. Ensuite, je vivrai une existence modeste, mais au moins je ne ferais pas éventrer toutes les nuits par une chose sortie toute droit des enfers…
L’idée me parut séduisante. Je sortis de mon bain, me séchai et me rhabillai. J’ouvrai doucement la porte; aucun bruit suspect.
Je marchais a pas feutrés dans le couloir, et regardai la simple porte qui allait me libérer de tous mes cauchemars.
La porte était enchaînée. De l’intérieur.
Des chaînes, des cadenas empêchaient toute sortie. Sur la porte était écrit en lettres de sang: TOO LATE suivit d’un immonde petit simley souriant.
Je me précipitai sur la porte et martelai dessus.
« A L AIDE! AIDEZ MOI, PITIE! » je criai de toutes mes forces, griffant la porte et donnant des coups d’épaule. Je restai un long moment comme ça, si proche de la sortie et pourtant si loin.
Puis je m’appuyai de mes bras sur la porte, haletant et sanglotant.
Tout a coup, je sentis un poids sur mon épaule. Il me serra l‘épaule, et je compris. C’était une main qui m’aggripait.
Je criai a nouveau, et la main me fit tomber en arrière, m’envoyant brutalement sur l’épaisse moquette.
Je tentai de me relever, mais le croque-mitaine me rabattit sur le sol et se mit a me traîner a travers tout l’appartement, en me cognant contre les meubles. Puis, arrivé a la chambre, la chose me lança de toutes ses forces contre le mur. Je grognai de douleur et le gout du sang remplit ma bouche.
Je tombai sur le dos, et gémit. Quand je réussis a me remettre dans le bon sens, le croque mitaine n’était plus la. Et la porte de la penderie était comme d’habitude entrouverte.
J’essuyai le sang de ma bouche, saisit la hache qui reposait non loin de la, et entrai dans la penderie.
Ouais, cool, c'est de mieux en mieux, et les chaines sur la porte, sa serait pas un ptit clin d'oeil a... hum... silent hill ?
Oui,silent hill 4
Ouais, je devais trouver un moyen pour qu'il reste chez lui, alors j'ai pensé a la situation d'Henry Townshend
Comme c'est du lourd !!!
Franchement, ne t'arrêtes pas
J'en ai pas l'attention
Attention, voila la suite! Elle est bien sanglante
Je m’avançai dans l’étroite penderie. Il y faisait complètement noir. Au moment ou je m’attendais a buter contre le fond, je m’aperçus qu’en fait le fond n’existait pas. J’avançais, droit devant moi, sans jamais en voir le bout. Il n’y avait pas de vent, pas de vie.
Une minuscule fenêtre lumineuse apparut au loin. Je courrai dans cette direction, et traversa le passage.
Le vide et la sérénité de la penderie laissa place a un endroit tout droit sorti des enfers, a l’odeur pestilentielle. L’antre du croquemitaine n’ était pas loin de ce qu’on pouvait imaginer.
Les murs suintaient le sang et des morceaux organiques le tapissaient. Ces tissus avaient presque l’air vivant. Le sol était composé de chair, et quelques morceaux humains y était incorporé.
Des visages gémissant ressortaient de certains murs. Je vis aussi un tas d’organes…c’était donc ça qui puait tant. Lorsque je me rapprochai, je remarquai que la plupart des organes étaient plus petits que la moyenne…des morceaux d’enfants…
Je sentis mon petit déjeuner se frayer un chemin vers le haut.
Je cramponnai ma hache de plus belle, et avançai. Tout a coup, une chose m’interpella.
Une boîte. J’avais un mauvais pressentiment.
J’avançais en tremblant, me mit face à elle. Je donnai un petit coup de pied dedans.
La boîte s’ouvrit brusquement, et la tête de Stéphanie bondit devant mes yeux.
« AAAAAAAAAAH! » Je criai et tombai sur le cul.
La tête de Stéphanie, sans visage, me regardai de ses yeux vides. Elle était attachée a un ressort et bondissait joyeusement.
Ce coup ci, je ne pus résister, et me vidait l’estomac sur mes propres vêtements.
« Oh, Stéphanie…je suis désolé… »
Je me relevai, fit tomber le vomi de mes habits, et continua ma route en sanglotant.
Après une autre galerie d’horreurs, une porte attira mon attention. La porte était blanche, parfaitement propre.
Je l’ouvris, et entra dans une pièce blanche, toute vide. Seule une table trônait en plein milieu. Je me rapprochai de l’objet, et reconnut la table de ma maison d’enfance.
Bobby me revint a l’esprit. Je l’avais complètement oublié…
Quelque chose attira mon attention. D’un coin de la table coulait un mince filet de sang.
Je m’approchai, intrigué. Comment une table pouvait saigner?
Le filet de sang se transforma en jet. Il coulait de plus en plus fort.
Je sentis mes pieds devenir humide. A ma grande horreur, le sang commençait a remplir la pièce.
« Merde! » Je pataugeai vers la porte, mais elle disparut devant moi. Le sang m’arriva bientôt aux genous, puis aux parties génitales. Puis a la taille.
« Non! » La table continuait de saigner, a une vitesse incroyable. Je me retrouvai maintenant avec du sang jusqu’au cou. Je nageai vers le plafond, et me heurta a lui. J’inclinai la tête pour pouvoir encore respirer. Puis le sang arriva au plafond.
J’avais la tête sous le sang, je ne pouvais plus respirer. Je tins le plus longtemps possible, puis une énorme bulle d’air me sortit de la bouche.
Je coulai.
Tout a coup, je repris conscience. Je ne pouvais toujours plus respirer. Je levais la tête, et inspira une profonde goulée d’air. J’étais dans mon bain. Mais l’eau était rouge.
Ouai des masses d'hémoglobines,c'est cool
Bien crade le bain de sang,faut qui regarde si il a pas un membre en moins
bo***l je vais pas dormir heuresement j'ai pas de penderie dans ma chambre
Moi non plus, sinon j'aurais jamais osé écrire cette fic
No-L continue comme ca c'est vraiment une suprbe Fic pas trés Palpitant mais superbe quand même !
Ooooooh...
beaucoup!
De rien ... Je t'aime