Chaud il parle même anglais
Need la suite
____________________
T'as l'cerveau qui baigne dans l'soda ou quoi ?
http://EdgeofPlagues.skyblog.com

il est anglai le monstre?

Même chose, peu de description, on ne sait pas ce que la fête entre pote vient faire là. Si c'était pour allourdir le texte, c'est manqué. Toujours les mêmes fautes avec le passé simple à la première personne et les mêmes fautes de conjugaisons.

Chose à éviter aussi, c'est la deuxième fois que tu t'en sers: les onomatopées. "Ploc ploc", "taptaptap", ça rend le texte très enfantin et peu accrocheur. Ca "casse" l'ambiance.

Bon, je t'avoue que ce chapitre est meilleur que le dernier, mais tu fais encore pas mal d'erreurs d'écriture. Tu pourrais aussi t'attarder sur la typographie, la ponctuation.
Par exemple, avec tes répétitions stylistiques:
"Mais je ne pouvais pas. Je ne pouvais pas entrer. Je ne pouvais même pas bouger, paralysé par la peur qui me serrait le ventre. ".
Les points cassent l'effet et tu te retrouves avec de bêtes répétitions.
"Mais je ne pouvais pas. Je ne pouvais pas entrer, pas même bouger. J'étais paralysée. Paralysé par la peur qui me serait AU ventre".
L'utilisation de phrases courtes te permet de rendre l'atmosphère plus stressante, tout comme la reprise des mots permet d'insister dessus.

Fais aussi attention aux fautes dans les expressions françaises. C'est "serrer AU ventre" et non "serrer le ventre". C'est "de secousseS en secousseS" et non au singulier.

Voilà, j'ai hâte de voir la suite !

Et comment j'dors moi maintenant

J'vais prendre un couteau au cas ou

Allez la suite,mais pas trop gore demain c'est une journée importante

Dommage, le chapitre suivant est le plus flippant

Pas mal pas mal
Tiend , un pendrier qui bouge

Aïe ... Tiens*

Argh putin No L, comment je vais dormir moi... :s bon ok, je met une chaise contre mon placard

Oui , en effet quelque fautes d'accord , cependant ,tu devrais un peu plus t'attarder sur les différents figures de style que tu pourrais utiliser , comme tu le fait notamment avec l'anaphore comme le souligne Tchonn . Ensuite , l'idée , tu étais apparemment parti sur le concept de la penderie , tu pourrais peut-être développé dessus , penderie familiale ou autre... Une autre remarque que j'ai à faire porte sur le personnage lui-même , il a apparemment réellement peur de cette penderie , OK , il ne rentre pas chez lui et préfère aller se bourrer , mais tu pourrais montrer jusqu'où le poursuit cette sensation , en développant par exemple ce qu'il pourrait ressentir au lycée , l'appréhension de rentrer chez lui le soir à cause de cette penderie , ce serait intéressant . Sur ce , bonne continuation.

Je poste le chapitre 4 J'ai essayé de prendre en compte vos critiques et je l'ai fait assez long
Bonne lecture!

« C’est…c’est ma faute? » La pensée de Bobby me traversa l’esprit. « Non, c’est faux! » criai-je.
J’allais remplir un seau d’eau, et je le jetai contre le mur d’un mouvement rageur. « Ce n’est pas ma faute! » Les lettres de sang ne s’effaçait pas. Je tremblais, pourtant je n’étais pas vraiment surpris. Je décidai de mettre un cadre sur le mur, pour la cacher.

Il me fallait quelque un pour m’aider. J’étais trop seul. Mais je ne pouvais pas raconter ça a un flic, on me prendrait pour un fou…Passer le reste de ses jours a l’hôpital psychiatrique n’était pas un destin très envié.
Tout a coup, j’eus une idée. Elle.
Je décidai de passer un coup de fil a Stéphanie ,une amie d’enfance. Je l’ai connu a 5 ans, on était dans la même école. Elle, elle me croirait. Je décrochai le téléphone et composai son numéro.

« Allo? » me répondit la voix familière.

« Salut. C’est moi »

« Ah, salut! Comment tu vas? » me répondit -elle d’une voix enjouée.

« Mal. Je fais d’affreux cauchemars, je crois que je deviens dingue. »

« Oh…il y a quelque chose qui te préoccupe? »

« Eh bien…y’a pas longtemps, c’était l’anniversaire de la mort de Bobby… peut être que… »

« Oh, mon Dieu. Je suis vraiment désolé pour toi. Tu veux que je viennes a la maison? »

« Je vais pas te faire déplacer de si loin… »

« Oh, ne t’inquiète pas. Je dois rendre visite a mes parents, c’est qu’a dix kilomètres de chez toi. Je te rappelle ce soir . »

« Au revoir. »

Je raccrochai le téléphone. Autant lui préparer a manger.

Il était environ 10 heures du soir quand le téléphone sonna. Je le décrochai avec hâte.

« Stéphanie? »

D’abord, il n’y eut rien.

« Stéphanie? »

Pour toute réponse, un ricanement atroce sortis du combiné. Je poussai un cri d’horreur, et lâchai le téléphone. La voix cruelle se répandait a travers la maison. Je sautai sur la prise téléphonique et tira dessus violemment.

A ce moment, la porte s’ouvrit et je reconnus Stéphanie. Je sautai sur elle et la prit dans mes bras. Je commençai a sangloter.

« Mon dieu, qu’Est-ce qu’il s’est passé? »

Je lui racontai tout…mes cauchemars, mes peurs, Bobby… Je pensais qu’elle allait me prendre pour un dingue, mais non.

« Ecoute, si tu veux, je vais dormir dans ta chambre. On verra bien, c’est peut être juste un moment de stress…a cause de Bobby. »

« D’accord » je me repris « J’ai un matelas. »

J’installais le matelas gonflable a côté de mon lit. Je tentai de m’endormir, pas rassuré.
Au milieu de la nuit, les craquement me réveillèrent.
Je basculai du côté de Stéphanie.

« Stéphanie! Putain, réveille toi, s’il te plait! »

Stéphanie se retourna de mon côté, et me fixa. Mais ce n’était pas Stéphanie.
Le croque-mitaine tenait encore dans ses mains le masque de Stéphanie.

« Eh oui. » dit il.

Je reculai, horrifié, incapable de respirer.

« Eh oui » ricana-t-il .

La, il bondit hors du matelas, et sauta dans la penderie. Il me fit un signe de la main, m’invitant a le suivre. Puis il referma la porte.
Je m’éveillai en sursaut, et regardai a côté de mon lit. Le matelas était toujours la, pas Stéphanie. Seule la peau de son visage était sur sa couverture, tel un vulgaire chiffon ensanglanté. Je vomis. Du sang.

Toujours la même chose. Peu de descriptions, la typographie des dialogues est incorrecte, des fautes au niveau de la conjugaison, des incohérences: c'était pas censé être l'anniversaire de mort de Bobby, et non pas son anniversare tout court ?

Bref, relis toi avant de poster.

A, et, surtout, décris le croque-mitaine. Tu n'as pas la même vision que tout le monde, on ne sait donc pas à qui il ressemble pour toi.

Tchonn -> Pour l'anniversaire de Bobby, c'est bien ce que j'ai écris
Et le croque mitaine, j'ai choisi de ne pas le décrire.

"La, il bondit hors du matelas, et sauta dans la penderie. Il me fit un signe de la main, m’invitant a le suivre."

ça mec, c'est du lourd c'est génial et ça fait vraiment peur, c'est tellement glauque, tu sais quoi ? j'irais même jusqu'à dire que ça me fait penser au clown dans "It" du majestueux Stephen King... Moi en tous cas d'imaginer ça ça me donne des frissons...

Cool,et pis décris le pas,dans un cauchemar normalement tu 'oublie' la 'chose' , donc resté dans le vide comme ça c'est parfait
SUITE

Merci les gars

Super continue , mais si je dors mal, je porte plainte !

Le corps le Stéphanie devient quoi ?
Sinon j'aime bien

La suite prevu pour quand ?

Bah, je vais la mettre maintenant