Chapitre 124 : Voyage temporel-dimensionnel

Cela fait déjà plusieurs chapitres que Min Rar cherche son frère, Min rar, enlevé par Stéréo. Et bien il semblerait que ça y est, il l'a enfin retrouvé !

Stéréo : Attends quoi ? Comment ça il m'a retrouvé ?

Et bien ton vaisseau qui n'est absolument pas plagié de celui du Dr. Robotnik est tombé en panne et tu es obligé de le réparer tout en maintenant Min Car au bout d'une corde... Chose qui ne sert à rien, vu qu'il est incapable de se déplacer sans voiture.

Stéréo : Ah bon ? Mais c'est que j'ai plus d'un tour dans ma valise, moi !

Alors que Min Rar s'approchait de Stéréo, ce dernier appuya sur un bouton... (Raaaah ! Fait chier ces pubs qui déplacent toutes les 30 secondes mon texte) Pardon ! Je disais, ce dernier appuya sur un bouton, faisant apparaître un portail spatio-temporel-dimensionnel. Vous vous demandez ce que ça veut dire ? Tout simplement que si vous franchissiez ce portail, vous vous retrouvez dans un monde parallèle au notre à une autre époque, tout simplement. Et il semblerait bien que Min Rar se soit fait aspirer dedans.

Min Rar : NOOOOOOOOOOOOOOoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooon...

Ce qui énerva Daniel.

Daniel : C'est pas vrai ! Qu'est-ce que vous avez fait ?

Stéréo : Qui ? Moi ?

Daniel : Oui ! J'étais à sa poursuite ! Il a volé mon aspirateur.

Stéréo : Ah... Ben RIP alors.

Pendant ce temps, Min Rar fut renvoyé à une autre époque, en 1950 où Nazis ont réussi à conquérir le monde en 1827 où Napoléon a réussi à conquérir le monde. D'ailleurs, qu'est-il arrivé à ce cher Napoléon ? Et bien, il est assis sur son trône, et il ne semble pas très heureux.

Napoléon : °Baille longuement°

Conseiller : Tout va bien, Noble Empereur ?

Napoléon : Je m'ennuie... Je m'ennuie tellement...

Conseiller : Vous vous ennuyez ? Cela tombe bien, ce soir, il y a un énorme festin spécial pour célébrer le jour où vous avez réussi à conquérir tous les pays du monde

Napoléon : Encore un festin ? Il y a toujours des festins ! J'en ai plus qu'assez, c'est toujours la même chose.

Conseiller : Que se passe-t'il ? On dirait que vous faites une nouvelle déprime.

Napoléon : Je suis tout le temps en déprime depuis que j'ai conquis le monde, il n'y a plus à surveiller la carte stratégique, il n'y plus de combats à mener, il n'y a plus de joie à écraser ses ennemis et étendre mes terres... Ouah ! °s'étire° Bon sang, qu'est-ce qu'on peut s'ennuyer ici

Conseiller : Votre Empereur, cette paix est-ce pourquoi ont lutés vos vrais guerriers. Si vous voulez mon avis, vous avez besoin d'un nouvel hobby, il n'y a pas que les conquêtes dans la vie.Si vous voulez, nous pouvons organiser un tournoi. Que diriez-vous d'une course à cheval ?

Napoléon : Un tournoi à cheval ? Où est-ce que vous vous croyez ? Vous ne pensez tout de même pas...

??? : VOTRE EMPEREUR !!

Un soldat entra dans la salle du trône avec Min Rar au bout d'une corde.

Napoléon : Allons, bon, quoi encore ?

Soldat : Nous avons capturé ce bouffon obèse. Il était équipé d'un étrange outil infernal capable d'aspirer tout ce qui est à sa portée.

Napoléon : Un bouffon ? Mais enfin ! Nous ne sommes plus à l'époque médiévale ! Et quel est cet outil infernal dont vous parlez ?

Conseiller : Ah ben voilà la solution contre vos ennuis, Votre Empereur !

Napoléon : La solution ?

Conseiller : Je suis persuadé que ce bouffon saura vous divertir. Après tout, cela fait bien longtemps que vous ne vous êtes pas diverti par le comique. Qu'en dites-vous ?

Napoléon : Si ça vous amuse. Laissez-moi seul avec ce bouffon et mes gardes du corps.

Conseiller : Comme vous le souhaitez, votre majesté.

Napoléon : Pardon ?

Conseil : Je... Je voulais dire, Votre Empereur.

Le conseiller sorti de la salle. Min Rar commença à faire le pitre devant Napoléon. Il roula sur le sol, péta un coup, joua avec son nez...

Napoléon : Que c'est puéril... Mais que c'est puéril...

L'Empereur se leva de son trône.

Napoléon : Messieurs, je pense que j'ai déjà suffisamment vu cet homme faire le pitre devant moi. Veuillez le faire sortir de cette salle tout de suite.

Les gardes du corps de Napoléon obéirent sans dire le moindre mot et expulsèrent Min Rar hors de la salle du trône, mais c'était sans compter sur la bombe qui tomba de Min Rar, celle-ci ayant été cachée dans sa culotte par Stéréo juste avant qu'il ne tombe dans le portail. La bombe roula jusqu'aux pieds de l'Empereur.

Napoléon : UNE BOMBE !! C'EST UN ATTENTAT !!

BOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUM !!

L'explosion fut tellement intense que Napoléon fut propulsé à travers le plafond de son palais, puis jusque dans le ciel.

Napoléon : Comment est-ce possible ? Moi, Napoléon Bonaparte s'envole vers d'autres cieeeeeeeeeeeeeeeeeeeux...

Il s'envola au loin, laissant une petite étoile derrière lui. Plus tard, Napoléon atterrit à plusieurs années lumières d'ici, sur une autre planète semblable à la notre. Il atterrit au beau milieu d'un champ de bataille.

Napoléon : Où suis-je ?

Il se releva, un soldat le pointa de sa baillonette.

Soldat : Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ?

Napoléon : Je suis Napoléon Bonaparte, Empereur de France et Nouvel Empereur du Monde.

Soldat : La France ? Connait pas ! Du monde ? Mon cul ! Tu vas abattre ces ennemis et t'expliquer auprès de notre chef plus tard.

Quelle galère ! Napoléon, réduit à l'état de simple soldat... Mais tout de même, cette nouvelle planète semble être en guerre, le monde est divisé, il y a à conquérir, d'ailleurs, connaissant les champs de bataille, ce ne sera pas dur pour lui de vite monter en grade, prendre le commandement des armées puis conquérir de nouveaux territoires... Conquérir de nouveaux territoires ! Mais bien sûr ! Enfin il allait pouvoir se remettre à son activité préféré ! Napoléon pu remporter la bataille, devenir progressivement un héros et se faire de nouvelles conquêtes. Peu à peu, sa déprime pût disparaître. En revanche, pour Min Rar, la déprime n'était pas prête de le quitter.

Min Rar : Sortez-moi de làààààààààààà !!

Le malheureux, il a été enfermé dans un cachot pour attentat contre l'Empereur et il attendait son bourreau.

À suivre...

Chapitre 125 : Est-ce que c'est la plus longue pause que j'ai eu entre deux chapitres ? Je ne sais pas.

Voulant sortir de sa cellule avant que le bourreau n'arrive, Min Rar n'avait d'autre choix que de demander aux deux gardes de le faire sortir de là.

Min Rar : Sortez-moi de làààààààààààà !!

Garde 1 : Arrête cette phrase, cela ne fait que 5 minutes que tu la répètes en boucle, j'ai l'impression que ça fait presque 3 ans !

Min Rar : Sortez-moi de làààààààààààà !!

Garde 1 : Bon, bon ! D'accord ! Je te laisse sortir, mais à une seule condition : que tu me rendes un service

Min Rar : C'est quoi un service ???

Garde 1 : Je voudrais que tu passes tes mains à travers les barreaux de ta cellule pour tu enlèves mon pantalon ainsi que ce qu'il y a en-dessous, et que tu mettes ta langue entre mes jambes.

Garde 2 : STOOOOOPP !!!

Garde 1 : Quoi ?

Garde 2 : Que tu proposes des avances pareilles envers une femme, pourquoi pas, nous sommes à une époque où elle n'ont aucun droit sur nous, mais sur un homme, sérieusement ??

Garde 1 : C'est que les femmes ne m'ont jamais autant intéressés que les hommes.

Garde 2 : QUOI ??????

Il tira sur une sonnette d'alarme qui pendait au plafond, tous pleins de gardes armés de baïonnettes.

Garde 2 : Gardes 3 à 253.763 ! Enfermez garde 1 dans la cellule pour homosexualité !

Garde 1 : Mais... Mais... Mais...

Garde 2 : Dude! Nous sommes dans les années 1810 ! L'homosexualité est reconnu comme un crime au même niveau que la pédophilie ! Attends les années 1990, au moins !

Garde 1 : Hé ! J'ai pas envie d'attendre presque 200 ans pour assouvir mes fantasmes en toute légalité ! C'est trop long ! .. Euh... Unee minute ! Tu ne viens pas de dire "Dude" sans aucun motif valable ?

Garde 2 : Euuuuuh...

Garde 1 : Il est interdit de parler la langue des pays que l'Empereur a réussi à éradiquer de la carte ! Et tu le sais très bien !

Les 253.761 gardes qui venaient d'entrer, ayant tout entendu, enfermèrent les deux gardes de la cellule de Min Rar dans celle où il étaient puis repartirent aussitôt sur le champ de bataille pour arrêter quelques rebelles ayant profité que Napoléon soit parti sur une autre planète pour acquérir leur indépendance.

Garde 1 : Super, on est tous les deux coincés !

Garde 2 : C'est pas juste ! J'ai juste dit un mot de travers ! On est sous la France de Napoléon ou encore Corée du Nord, là ?

Garde 1 : Corée du Nord ?

Garde 2 : OK ! OK ! J'admets ! Je suis en réalité un voyageur temporel, c'est pour ça que je n'arrête pas de sortir tout plein d'anachronismes, seulement, depuis que j'ai perdu ma télécommande à voyager dans le temps, je ne peux plus voyager dans le temps.

Min Rar : J'ai rien compris !

Garde 2 : Oh tiens ! On t'avait oublié, toi ! Bah, maintenant que nous sommes enfermés avec toi, nous ne sommes plus chargés de te surveiller. Tu sais ce que ça veut dire ?

Min Rar

Garde 2 : Que tu peux tranquillement sortir de ta cellule, on ne dira rien. La porte de la cellule n'est même pas fermée à clé de toutes façons. Si tu pouvais sortir de cette cellule et aller chercher ma télécomande qui permet de voyager de le temps afin que nous puissons voyager dans le temps à notre époque, s'il te plait ?

Min Rar : OK ! :clown:

Min Rar sorti de la cellule et quitta les cachots qui étaient vides de gardes car tout le monde était sur le champ de bataille.

Garde 1 : Hé ! Pourquoi tu ne sors pas avec lui ? Pourquoi tu ne vas pas chercher ta machine à voyager dans le temps avec que tu puisses voyager dans le temps avec lui ?

Garde 2 : Parce que je ne suis qu'un NPC qui donne des quêtes et c'est lui le personnage principal.

Garde 1 : Lui ? Le personnage principal ? Mais on parle plus que lui ?

Garde 2 : Tu connais Link, Gordon Freeman... Ah ben non, c'est vrai, tu es de cette époque.

Garde 1 : Quand il aura retrouvé ton machin qui permet de voyager dans le temps, est-ce que je pourrais voyager dans le temps avec vous pour vivre après 1990 ?

Garde 2 : Pourquoi pas, maintenant que je suis prisonnier, je n'ai plus besoin de me soumettre à la loi de ton époque.

Garde 1 :

À suivre...