car manque de données donc pas d'idée
Désolé pour le double post
4ème chapitre
Marche d'un mort
Je me réveilla quelque heures après, mon crâne me faisait une douleur atroce, je regardais tout autour de moi et je reconnus la cachette, puis je vis Susan mais Jack n'était pas avec elle, je me leva et regarda partout à la recherche de Jack, tout a coup, je me rappelais de tout, l'attaque des chimères, ces hommes et ces femmes qui appelait à l'aide et Jack trainé par les chimères, des larmes me montèrent aux yeux et roulèrent sur mes joues...
Cela fait dix jours que nous sommes partit de Monterray, nous n'avons trouvé aucun survivants ayant échappés aux massacres, de plus la température ne cessent de chuter et la nourriture commence a manquer , nous nous sommes arrêtés à Mexico mais nous avons trouvé que des cadavres froid, Susan ne parle plus depuis la disparition de Jack. Nous passâmes la nuit dans une maison abandonnée mais alors que nous nous apprêtions a dormir, j'entendis un bruit des plus effrayant qui fit battre la chamade à mon cœur, alors que j'allais sortir pour trouver la source de ce bruit, j'entendis Susan :
-" Nathan, ne me laisse pas seule "
Ces yeux brillaient et me regardaient fixement, c'était la première fois qu'elle parlais en dix jours, je lui promit que je n'allais pas l'abandonner et que je reviendrai vite mais la tristesse se lisait sur son visage.
Je descendis les escaliers et allais vérifier dans la cuisine, je ne remarqua rien de particulier, c'est alors que je les vis, des trace de pieds mais ceux-ci ne ressemblait en aucune façon a des pieds humain, mon cœur tambouriner, mes doigts suaient, je suivis alors les traces, d'abord celle-ci avançait vers le mur, puis disparurent, je cherchais partout mais ne vis rien, je leva ma lampe a la hauteur de mon visage et je vis les traces de pas sur le mur... encore fraiches... La créature devait être là, quand je suis rentré dans la cuisine, ce qui me fis trembler de tout mon être, les traces de pas étaient sur le plafond et sortaient de la cuisine, je levais la lampe le plus haut possible pour voir où elle allait, alors que je sortais de la cuisine, je vis les traces de pas sur le mur des escaliers et soudain un cris déchirant la nuit retentit a mes oreilles.
"Susan..." murmurais-je
Je courus de toute mes forces à l'étage, je vis Susan effondrée sur le sol des traces de griffures sur sa robe et ses bras, je regardais partout mais ne vit rien, tout à coup, quelque chose de gluant tomba sur mon visage, je leva les yeux au plafond et je la vis, ses yeux étaient exorbités et elle n'avait pas de paupière, sa peau était blanche comme la craie et ses mains était pourvus de griffes. Elle me sauta dessus, j'eus a peine le temps d'esquiver que la créature m'attaqua à nouveau me faisant ainsi trébucher, c'est alors qu'elle disparut de mon champs de vision, je me leva avec difficulté et alla chercher la lampe qui était tomber quelques mètres plus loin, alors que j'attrapais la lampe, la créature me sauta dessus et me griffa sur toute la longueur du dos, la douleur était tellement intense que je crût que j'allais mourir mais j'abattit ma lampe sur la créature, mais je ne touchais que du vents pourtant la créature cria de douleur et je remarquais que des cloques s'étaient formées sur son visage, je compris alors que la créature détestait la lumière, j'attaquais alors à nouveau et la lampe s'éclata sur la tête de la créature enflammant son corps de la tête aux pieds, la créature mourut dans un tas de cendre. Je courus voir Susan et pris la seconde lampe et la posa à côté d'elle, des litres de sang coulait de son corps, je pris ma veste et lui mis comme oreiller :
" - Nathan... " murmura t-elle
" - Pardonne moi, j'aurais dus veiller sur toi " lui dis-je
" - Écoute moi, Nathan...mon fils...trouve le...je t'en pris " me dit-elle avec effort
" - Je te le promet "
Des larmes me montèrent aux yeux, Susan mourrait est je ne pouvais rien pour la sauver
" - Nathan...Jack est...est...la......" dit-elle dans un derniers souffle
" - Susan ?! Susan ?! Non !!! "
A l'aube, je ramassais du bois mort et je transportais Susan, sur un bûcher que je venais de construire et mis ses mains en croix. Je pris le médaillon qu'elle m'avait donnée et l'entrelaça dans ses mains, j'enflammais la torche et mis feu au bûcher, je sortis la photo d'elle avec Jack qu'elle m'avait donnée et la jeta dans le feu avec tristesse, lorsque le feu fut finit je m'en alla, décidée à venger la mort de Susan...
5ème chapitre
Ville fantôme
Cela fais déjà 15 jours que Susan est morte, à cause de moi... depuis, la solitude est devenue ma seule amie. J'ai traversé la frontière brésilienne malgré le froid et le manque de nourriture et je n'ai vu aucun signe de vie dans les environs. Hier soir, je suis arrivée au Brésil, a la recherche d'un bateau qui pourrait me faire quitter cette nation en feu et en sang.
La nuit commençais à tomber, je m'arrêtais donc à Caracas mais alors que je m'approchais de la ville, une odeur de putréfaction me monta aux nez. Je marchais encore quelques minute puis arrivé au carrefour, je remarquais des traces de sang sur le sol comme si on avait tiré quelqu'un, je suivis la trainée de sang et c'est à ce moment là que je les vis, des cadavres sans chairs étaient suspendus a des crochets, des litres de sang recouvraient le sol, des organes étaient disséminés partout, on pouvait même apercevoir de la peau humaine, alors que je me détournais de ce paysage écœurant, j'entendis un gargouillement provenir de derrière moi, je me stoppa net, l'oreille aux aguets, mais le bruit s'était arrêté, croyant que je rêvais, je repris ma marche, mais le bruit recommença une nouvelle fois, je me retournais alors très lentement, je alors vis les cadavres remuaient leurs lèvres, je m'avançais vers eux, ils semblait vouloir me parler mais aucun d'eux n'avaient de lèvres, je tentais de lire sur leurs lèvres et réussit a extraire quelques mots : "-Tuez...moi", comment ces hommes pouvaient-ils être encore en vie après tout ce qu'ils avaient subis, je leur demandais alors qui leurs avaient fait ça mais je connaissait déjà la réponse, l'homme sur le crochet me dit alors : "- Les autres... ", incompréhensif face à sa réponse, je demandais qui était "les autres" mais l'homme commençait à suffoquer, s'étouffant avec son sang, alors que j'entrepris de le sauver, je vis qu'il était déjà mort. Je détachais les autres de leurs entrave et accepta leur requête, je partit alors à la recherche d'un abris laissant derrière moi ces cadavres, chacun avec une balle dans la tête...
Quelques heures après, j'avais trouvé assez de nourriture et même un abris pour me protéger. Je fis à manger puis j'allais me coucher, je réussissait à m'endormir mais depuis la mort de Susan des cauchemars abominables avaient commencés : j'étais à la campagne, dans l'ancienne maison de ma mère avec Susan, Jack, Joseph et ma famille, nous rigolions comme des fous, mangeant à notre guise mais très vite le décor laissais place à une vision d'horreur, ma famille gisait à terre, les boyaux hors de leur corps, puis je vis Jack, mort lui aussi mais sa tête avais été coupée et soudain elle se tourna vers moi et me dit :"- C'est de ta faute, tout est de ta faute si nous somme tous mort, il faudrait que tu meurs pour arranger les choses !" puis les décors changeait de nouveaux, j'étais dans la maison à Mexico, je marchais dans la cuisine et je vis des traces de pieds sur les murs et le sol... Mes traces de pieds ! J'entendis alors un cris déchirant la nuit, je courus à l'étage pour sauver Susan mais lorsque j'ouvrit la porte, du sang tapissait les murs, des organes déchiquetés recouvrait le plafond mais le pire, c'était mes traces de pas partout sur les murs. Je courus alors vers Susan, mais elle respirait très lentement, puis me dit alors : "- Je t'avais dis de rester, c'est de ta faute si je suis morte", ne sachant que dire, je baissais les yeux puis Capelli arriva, armé de son nettoyeur, et me parla : "-Tu m'avais promis que tu protègerais ma famille, je te faisais confiance, tu m'a trahis !" soudain toute les voix se mélangèrent à celle de Capelli et celui-ci leva son arme et la pointa sur ma tête puis alors que je tentais de me justifier, celui-ci tira...
Je me réveilla en sursaut, transpirant, mes draps me collant à la peau. Ne pouvant me rendormir, je préparais mon sac remplis de provision pour quelques semaines, j'entendis alors des bruit, ressemblant à des grognements, dans la rue, je regardais par la fenêtre et je vis des hommes mais leurs manière de se déplacer étaient étranges, soudain un des leurs me vit et cria, mais un cris plutôt bestiale qu'humain et une dizaine de ces bêtes courus en direction de la maison, étant en infériorité, je décidais de me cacher dans le placard, j'entendais les créatures défoncer les portes en fouillant chaque recoins, je vis une de ces créature rentrer, leur tête était difforme et boursoufflée, et leurs jambes étaient semblables à celle des chimères, je compris alors ce qu'ils étaient, avant ils furent humain mais au fil du temps depuis que la nourriture ce fait rare, ils commencèrent à manger des macabres ou des sauteurs, et maintenant ils sont devenues ces abominations. La bête cherchait dans tous les coins puis commencer à s'approcher du placard, je sortis mon flingue prêt à tirer si elle ouvrait la porte, je vis la créature tendre sa main vers la porte du placard mais tout à coup, elle enleva sa main du placard et alla vers le lit, je l'entendis renifler comme un chien, je la vis en train de tirer quelque chose et alla le placer au milieux de la chambre, la bête tournait autour, après des efforts pour voir ce qu'était l'objet, je pus discerner mon sac de provision, la créature s'accroupit alors, dos à moi, je sortis donc du placard, je rangeais alors mon arme et sortit mon couteau, je tentais de faire le moins de bruit possible, je m'approchais assez de la créature et parvint à lui trancher la tête qui tomba dans un bruit sourd sur le sol, j'entendis alors une dizaine de cris provenir du rez de chaussée, je pris mon nettoyeur et je visais l'entrée de la chambre, les cris s'intensifièrent et la première créature n'eut aucune chance et tomba sur le sol, une balle dans la tête, puis deux autres arrivèrent armée de couteau, je parvînt à esquiver le deuxième, puis je trancha la gorge du troisième. Je chargea mon arme et repartit à l'attaque, bien décidé à vivre, les huit autres arrivèrent tous à la fois, mais aucun d'eux n'avaient réussit a dépasser le seuil de la porte, je m'approchais de l'un deux et je vis des lambeaux de chair humaine pendre sur eux : " les autres..." murmurais-je. Alors que j'allais prendre mon sac, j'entendis un bruit de succion me parvenir aux oreilles, je me retourna pour découvrir la source de ce bruit, je crus que j'allais vomir, les bêtes se reformais, je vis la tête décapitée rouler sur le sol pour revenir à sa place, je pris mon sac et tenta de sortir par la porte mais ils s'étaient tous levés et bloqués le passage, je tenta de tirer mais mon arme n'avait plus de balle, c'est alors qu'une des créature m'attrapa à la gorge et me projeta à travers la fenêtre, je chuta sur plusieurs mètres et m'écrasa sur une voiture, je me releva avec difficulté et glissa au sol, je courus, malgré ma jambe qui me faisait atrocement mal, vers un ponton et la chance me sourit enfin, je vis un bateau, je courus de toute mes forces vers lui, je l'atteignis et je me cachais à l'intérieur, j'entendis les créature passait devant le bateau, les entendant renifler, priant pour qu'il me trouve pas, lorsqu'ils furent enfin partit, je démarrais le bateau et quitta la terre ferme, le voyage serait long mais j'espérait bien retrouver Jack et peut être des survivants...
Voila la suite sortira prochainement et l'histoire de Capelli aussi ;)
Super bien
Merci beaucoup
Super condenser !
(en m'inspirant de toi, ma plus pitcher aussi mes paragraphe)
3
11 Février 2008
Mort-Vivant
Il tenta de tirer, tirer mais rien à faire, la plaque ne bougea pas d’un millimètre, et les poursuivants arriverai d’une minute à l’autre. Il décida qu’il sera mieux de rebrousser chemin et trouver plutôt une sortie à ce purgatoire.
-Désolé les copains, mais je n’ai pas grande viande sur moi; je suis au régime.
Sur cela il partit telle une flèche. Pauvre de lui, lors de son deuxième virage, il rencontrât une seconde plaque, mais celle-ci en plomb, à ce qui parait, et les assaillants à quelles mètres. Il n’avait plus le choix : vivre ou mourir. Quoique mourir, il sera délivrer de toute les souffrances qu’une personne peut vivre dans une vie comme celle-ci. Mais il ne le pouvait pas se le permettre, il devait empêcher Nathan de commettre son erreur fatale. Il prit donc son arme à poing et tira dans le tas. Quelques-uns tombèrent, mais la majorité a pu se rendre à proximité de Kyle. Il du donc opté pour le combat rapproché avec son sabre antique, volé à un ancien propriétaire riche, qui en fessait une collection.
Il le retira de son fourreau arrière et défia les mort-vivants. Son premier coup atteignit sa cible, droit dans le ventre, la seconde dans le cou. Il restait encore une dizaine de revenant.
Il s’en pris directement au plus gros, croyant c’était le chef, et qu’ainsi il sèmerait confusion et panique dans le camp adverse. Le sois disant chef esquiva le coup qui aurai été mortelle, et plaqua Kyle sur la plaque de plombs avec violence.
C’est la fin, se dit-il
Et c’est là qu’un tremblement de terre, pour ce que pensait Kyle, et le chef perdit sa prise. Celui-ci remercie le ciel, et se rua sur son opposant. Son sabre fendit la créature en deux partis.
Notre adjuvant avait raison, la confusion régnait dans le camp des mort-vivants, et il en profita pour décapiter une demi-douzaine. Il n’en restait que quelques-uns de vivants. Les créatures tenta de se venger de la perte de leurs défunts, mais ceux-ci fut trop lent à réagir, et ils vécurent leurs dernières secondes.
Kyle avait donc le chemin libre devant lui. Il tournis à gauche, et enfin une sortis.
Kyle était à quelques pas de la maison effondré. Il vit Lauria étendu sur le sol, entouré de deux ennemies. Le troisième était sur le dessus de la pauvre dame et il semblait faire une sorte de rituel. Kyle lança son sabre et la lame atteignit la créature dans la nuque et sa tête planta dans le ciment avec une forte violence; la tête ne résista pas à l’impact et éclata.
Il se penchait pour voir l’état de Lauria; elle sembla dans un état plutôt stable. Il la souleva pour la transporter dans un endroit plus sécuritaire, quoique nulle part n’est sûr. Il trouva un commerce-bien sûr désert- et la mit dans l’arrière-boutique, sur le canapé poussiéreux.
Pour sa part, il devait trouver un moyen d’aidé Nathan avec son « Gros » problème. Alors qu’il traversait la route, il vu une masse sortir du monstre format géant. Après quelques clignements de yeux surpris, il crut voir la silhouette de Hale en ressortir. Il vit soudain et grand trou béant dans sa gorge et la créature tentait de respirer tant bien que mal; sans succès. Nathan semblait jubiler en secret de sa victoire sur le colosse, et l’acheva au couteau.
Kyle, arriva à la maison ou il trouvât Laurianne, et trouva Nathan agenouillé, avec une mèche de la belle chevelure de Laurianne. Aveuglé par la colère, il se retourna pour frapper du revers du couteau le pauvre Kyle qui ne s’attendait aucunement à une réaction aussi spontanée de sa part. Résultat : il aura un gros bleu à la joue gauche.
Nathan ne se résolu à penser au pire. Il s’agenouilla pour ramasser la mèche appartenant à la sublime chevelure châtaine de Laurianne, telle du miel fraichement cultivé.
Il sentit soudainement une présence ennemi dans son dos, et ne tarda pas à la mettre K.O. avec une droite à l’aide de son couteau de guerre. Il comprit quelque secondes plus tard, lorsque le corps s’affaissait sur le sol que c’était son ami Kyle. Par chance, il n’aurait pas plus qu’un vilain bleu. Une chance. Il s’en voulut encore une fois. Tout était contre lui. Normal; le monde conspirait secrètement contre lui. Il tendit sa main pour que ce dernier puisse se hisser à son ami.
-Où est Jill?, dit Nathan avec un ton mi stresser, mi angoisser. D’habitude, vous êtes de sacrer inséparables vous deux.
- Elle est restée en arrière, pour couvrir les survivants.
C’est là qu’ils entendirent un grand ‘bang’, comme un coup de marteau sur une enclume. Ils virent un vaisseau chasseur arrivé. Les compagnons savaient à quel point ces vaisseaux sont mortels, avec leur bombe à rayon gammas. Ces rayons à haute concentration vous rentre à l’intérieur de vous pour vous dévorer toute cellule vivante et vous font agoniser lentement avec une mort assurer, de la torture quoi.
Nathan sut par réflexe que la population restante devait être au ‘St-Louis Arena’, aussi bien connue sous le nom de The Checkerdome; Aréna des ancien Blues de St-Louis, équipe de hockey de la ligue nationale. C’est la place pour tenir contre les aliens, pour les ultimes fois. De là, il verra les derniers survivant, pour ensuite prendre la direction des tunnels souterrain jusqu’en dehors de la ville, pour aller vers l’ouest, en direction de l’Utah, capitale de la résistance humaine. Ils le savaient grâce au rapport reçu dernièrement. Leurs seules initiatives de rester à St-Louis est simple; ne pas mettre toute les œufs dans le même panier. Or donc ils se sont établis dans la magnifique ville qu’étant St-Louis, avec son arche resplendissant.
encore bon
mais pas assez de dialogue par contre
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Bref, j'ai mangé une pomme
Salut tout le monde, merci pour les bons commentaires n'hésitez pas a me demander des données sur l'histoire, voulez-vous que je vous mette aujourd'hui la suite de l'histoire ou voulez-vous attendre plus tard ?
maintenant
mais les "autres"
se sont des especes de fourchu.
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Bref, j'ai mangé une pomme
Les "autres" sont des humains qui se sont transformés en sortes de monstre ayant un grand pouvoir régénérant et pratiquement impossible a tuer car ils ont mangés des sauteurs ou des macabres car ils sont devenus sauvages :D d'accord je vais la poster dans 5 min
8ème Chapitre
Les Toeh
Je me releva avec difficulté, ma tête me faisait affreusement mal, l'explosion avait été d'une très grande puissance et m'avait propulsée sur le mur, m'écrasant avec force sur celui-ci, je m'étonnais d'être encore en vie, je regardais partout et vit Adriano allongée sur le sol, inconscient, je m'avança vers lui et tâtonna son cou a la recherche d'un pouls, je le sentis mais celui-ci battait faiblement, Adriano s'était ouvert le front et une longue coulée de sang coula sur son visage, tout a coup, j'entendis une voix provenir de derrière moi, mais cette voix était étrange comme un murmure et n'étais pas humaine, je me retournais, l'arme au poing et c'est alors que je vis neuf créatures volées au dessus de l'arme, elles ressemblaient très fortement au chimères mais leurs têtes étaient très proche des extraterrestres que l'on voyait dans les journaux d'avant la guerre, elles portaient de longues bures blanche, des sortes de hiéroglyphes parcourait tout le long du manteau et brillaient de toute leurs splendeurs. Je m'approchais délicatement vers elles, l'arme tenu fortement dans ma main, soudain une des chimères s'adressa à moi :
-"Humain, nous sommes les Toeh, dirigeants Chirds de Tsugtiop, nous sommes ici pour finir une guerre qui dure depuis trop longtemps"
-"Je ne comprend pas, qui êtes vous, comment faite vous pour parler notre langue, êtes vous des chimères ?"
-"Chacun de nous sommes accordé à un élément, je suis Vizop, Seigneur de la Flamme Ardente, il y a des millions d'années une guerre a été déclarée entre les Chirds et les Xyus que vous appelez la troisième race, la guerre fut terrible, des millions de Chirds mourraient sous le feu des Xyus, nous fûmes nous même contraint de fuir notre monde alors que celui-ci se déchirait en deux, suite a cela, nos scientifiques créèrent un virus contenant nos gènes et l'entreposèrent dans des astéroïdes qui nous fîmes dériver dans l'espace, notre monde s'est alors reconstruit sur votre monde, vivant en harmonie avec la Nature, érigeant des bâtiments et des monuments qui sont maintenant les vestiges de votre société, mais entre temps les Xyus avec eux aussi crée un virus contenant leurs gènes et l'ont envoyée en direction de la planète. L'astéroïde a détruit pratiquement la totalité des espèces chimèrienne et le virus s'est mélangée a vos ancêtres, vous permettant ainsi d'évoluer"
Je n'en croyais pas mes oreilles, tout les fondements de notre monde, les dires des scientifiques, tout n'avait plus de sens, nous étions la troisième race, une espèce créait grâce à un virus, tout s'expliquait enfin, cette question que beaucoup se posée, pourquoi les chimères étaient si destructrice envers les humains et vouaient corps et arme à nous détruire.
-"Alors tout ce que nous croyons connaitre, nos croyances, nos cultures viennent de votre peuple"
-"Oui... Mais vous êtes différent, nous vous avons observée pendant de nombreuses lunes, l'homme n'est pas un ennemie, ce n'est pas lui le responsable de la destruction de notre planète, c'est pourquoi vous devez empêcher ma race de vous détruire."
-"Comment faire ? Les chimères sont trop nombreuses, nos pertes se compte par milliers."
Les Toeh fermèrent les yeux et je me doutais qu'ils parlaient par lien télépathique puis ils se mirent en cercle, autour de moi et commencèrent a parler dans un langage qui m'était inconnu, leurs corps flottant dans l'air, tout a coup, leurs yeux s'ouvrirent et s'illuminèrent de mille feux et de la brume commença a s'échapper, les brumes se mélangèrent en une seule, tournoyant autour de moi, je ne voyais plus rien, les Toeh avait disparus de mon champs de vision, le monde semblait tourner autour de moi, puis tout a coup la brume pénétra dans chaque pores de ma peau, je sentais une vague de chaleur déferler dans tout mon corps, puis les Toeh s'arrêtèrent de parler, la chaleur disparut. Je m'effondrais sur le sol et respirais a grand poumons.
-"Qu'est-ce que c'était ?" dis-je dans un souffle
Les Toeh parlèrent à l'unissons
-"Nous vous avons donné le Mundi, depuis des millénaire seul un Toeh possédait ce don, faites en bon usage."
-"Comment cela va m'aider a repousser les chimères ?"
-"Vous le saurez en temps voulu, desormais votre unique but et de rassembler les composants de l'arme, il en existe trois. La première est entre vos main, la deuxième est un Maafj, ceci est la partie principale du canon, c'est un immense objet brillant qui décuple la puissance du tir"
Je me rappela de l'arme que les chimères avaient sortie des décombres a Monterray.
-"Celui-ci se trouve dans une immense chaînes de montagnes. Le troisième est la clé permettant d'activer l'arme."
Ne voyant pas de quoi il voulait parler, je prit la parole mais il me coupa net
-" Il y a encore une chose, Humain, au commencement de la guerre un des Toeh s'est fait tuer par un Xyus... Son fils, Nazara, est sur Terre et a juré de se venger de chaque Xyus, faites attention, le pouvoir de la vengeance dans notre peuple est très dangereux."
-"Attendez ! Et si j'échoue ?"
-"Nous veillerons a ce que cela n'arrive pas... Nous devons désormais partir, Aritopk clavd Taloak"
Les Toeh disparurent, l'arme s'arreta de briller, je restais debout, plein de question. Je vis alors Adriano tentant de se relever, je courus a ses côtés et l'aidais a se relever, tout a coup une alarme retenti, une dizaine des gardes arrivèrent, l'arme au poing, ils examinèrent d'un coup d'oeil rapide la salle et pointèrent leurs arme sur moi.
-"Ne tirez pas !" cria Adriano, tout en se relevant
Les gardes baissèrent leurs armes et l'aidèrent a se relever.
-"Comment vas-tu, tu es tout pâle" dit-il en me regardant
-"Je vais très bien, partons d'ici" dis-je avec rapidité
Adriano congédia les gardes, nous laissant seul. Il me regarda avec inquiétude, voulant savoir ce qu'il s'était réellement passé. Cette homme m'avait sauvé la vie, je lui devait bien la vérité.
-" Très bien, je vais te dire ce qui s'est passé, mais avant je dois aller a l'infirmerie"
Je sortis de la salle, accompagné d'Adriano, en direction de l'infirmerie, tout en pensant a ce que les Toeh m'avais dit..
Pein de rebondissement mais qui est adriano et que c est il passe?
Regarde les messages d'avant le 7eme chapitre, lui c'est le 8eme
Omg, nice !
Si vous avez bien regardé, il y a quelques clins d'oeil a mes autres histoires pour que tout est une cohérence voila c'etais pour vous dire sa :D
Vous faites vraiment du bon travail
Vous êtes spécialement littéraires ou c'est une première pour vous ce genre d'histoires ? Juste pour savoir.
C'est ma première histoire/roman que j'écris .....
17 ans... pas pire du tout
Mais ma prendre plus d'expérience dans mes futurs oeuvre (trilogie )
Moi sa doit faire depuis que j'ai fini Resistance 3, j'ai 16 ans, je suis en seconde et sans mentir je suis pas très bon en français sauf pour l'orthographe et j'ai une assez grande imagination. Mais ce qu'il y a d'excellent quand on écrit des histoires comme cela, c'est que c'est vous qui contrôlez TOUT, pour moi l'imagination est quelque chose d'incroyable, par exemple quand j'écrit un chapitre, je le modifie sans cesse, je change les tournures de phrases, je rajoute de la description, je m'imagine dans la scène et transcrit tout ce que je verrais :D
Si j'ai un conseil a vous donner c'est de prendre un stylo, ou de le faire sur ordi - moi même je le fais sur mon ipod - et d'écrire, cela permet de s'imaginer dans un autre monde, franchement j'adore et si vous adorez mes histoires je continuerais pendant des années et des années :D
Pour moi, c'était la première fois que j'écrivais une histoire, donc tout le monde a la possibilité de le faire aussi :D
J'ai aussi une question pour vous, voila, il y a deux - trois mois mon frère à lut une de mes histoires et m'a dit que mon style d'écriture, mes tournures de phrases étaient très mal faite, donc je demande a vous si cela est vrai ou pas, s'il vous plait soyez franc, sa me permettra de m'améliorer :D
Merci
D'accord Merci pour les réponses