Yolin et Gus sont mort de la même façon,on s'attend à ce que les arrivants les sauvent mais ils les tues à chaque fois (désolé pour les fautes ;) )
désolé double post mais "C'est sûr que si Jenna croise Ephron ou Lilianne, ça va faire quelques étincelles" Jenna ne sait pas que c'est Ephron et Lilianne qui ont tué sa famille et puis elle ne sait pas tout court que Yolin est morte à moins que tu n'écrive au futur,c'est à dire quand elle comprendra tout ça...
Bref continue d'écrire t'est génial Peil
salut, [jv]HawKZz n 'oubli pas le pirates mandater parla sœur d' Armand dans le combat, gnyark gnyark gnyark (rire sadique et ridicule) sa va etre un beau merdier tout ça!! il me tarde!! ;)
oups désolé du double post je n' avis pas vue son nom je te fait mes plus plates excuses!!
excuses acceptées
Une sweer bientôt ?
Sweet*
Dddp
Je crois avoir compris pourquoi Ephron a tué Yolin par contre.
Ça m'est revenu quand je me suis souvenue que tous les proches de Sandre (pas Sandre hein, le père de Sandre) avaient été tués. Et si quelqu'un d'autre que Roderick savait pour Sandre et qu'il avait engagé Ephron pour effacer toute trace de son passage sur Terre (et donc aussi tout ceux qui le connaissaient) ?
M'enfin, si c'est ça je comprends pas trop, il aurait tout aussi bien pu la laisser se faire tuer par le nécrophile de service, le résultat aurait été le même...
Enfin après tout je dis peut-être de la merde.
Désolé pour l'attente, mais je crois qu'on va reprendre le rythme de un chapitre par semaine, déjà parce que j'ai pas mal de travail, et ensuite parce que j'écris autre chose à côté de la Grande Marche
Chapitre 64 :
-Lâche-le, Jenna.
-Non !
-C’est finis. Il ne reviendra pas.
-Dégage ! C’est mon père !
La jeune femme repoussa violemment Roderick qui avait posé une main sur son épaule et serra le cadavre de Gus dans ses bras, le visage baigné de larme. Sandre, immobile, la regarda enfouir sa tête dans la tunique en lambeaux de son père et sangloter.
Roderick recula et baissa les yeux. Zimo, lui, s’approcha de Jenna et s’agenouilla à ses côtés. Il affichait un air désolé.
-Jenna, je…
-Mais laissez-moi ! Je veux être seule ! C’est clair ?! Je veux rester avec lui !
Zimo voulut à son tour toucher son épaule mais cette fois, elle serra les dents, pivota vers lui et lui balança son poing dans le visage. La tête du Khajiit partit en arrière et il s’écroula, un filet de sang coulant déjà de sa narine.
Jenna, fulminant, essuya ses larmes d’un revers de la main et entreprit de défaire les liens qui retenaient le cadavre à l’arbre. Zimo se releva lentement en se frottant la joue.
La jeune femme prit le corps ensanglanté dans ses bras et se remit à pleurer. Tous se regardèrent en silence.
C’est alors qu’Edwin, à la surprise de ses compagnons se plaça aux côtés de Jenna. La Nordique leva des yeux humides vers lui et une lueur de haine y apparut. Elle ouvrit la bouche, comme pour parler, mais Edwin la stoppa.
-Tu veux le faire revenir ? demanda-t-il d’une voix sombre.
-Qu… Quoi ?
-Tu veux le faire revenir ? répéta le mage. Moi, je le peux.
-Arrête !
Roderick s’était précipité dans leur direction. Il saisit Edwin par la manche.
-Qu’est-ce que tu es en train de lui mettre dans la tête ?
-Je m’enquiers simplement de son souhait, fit Edwin avec un calme impressionnant.
-Je sais ce que tu comptes faire !
-Et que compte-je faire ?
-User de la nécromancie !
-Pourquoi ce dégoût dans votre voix lorsque vous prononcez ce mot ?
Roderick écarquilla les yeux et pâlit.
-Mais enfin… Est-ce que tu t’entends, Edwin ? Tu lui proposes d’utiliser un sort de nécromancie sur le corps de son père ! Mais nous savons très bien, toi comme moi, que ce ne serait pas son père qui reviendrait ! Ce serait un cadavre sans âme, manipulée par de la magie noire, tout juste capable de grogner et d’attaquer quiconque s’approcherait de lui ! Ce serait un monstre ! Elle ne connait rien en sorcellerie, et tu veux lui infliger ça ?
Edwin tourna la tête vers Jenna qui le fixait toujours. Il montra Roderick du doigt.
-Tu l’as entendu ? Il a tout dit. Peu de choses sont impossibles, en ce monde, avec la magie. Ressusciter fait partis du domaine du possible. Seulement, est-ce que tu es prête à en payer le prix ? Tu pourras rester avec lui toute ta vie. Il ne vieillira plus. Mais ce ne sera qu’une créature grotesque et sans vie. Il n’y aura rien à l’intérieur. Juste des vers et de la chair pourrie. C’est ce que tu veux ? Rester avec ça ?
Il y eut un silence. Finalement, Edwin écarta les doigts et s’avança.
-Attend, dit-il. Je vais te montrer.
-Non !
C’était Jenna qui avait crié. Elle avait bondit et s’était interposée entre le corps de Gus et Edwin. Le mage la toisa.
-Non quoi ?
-Je ne veux pas de ça ! Je ne veux pas qu’il revienne comme ça !
-Alors qu’est-ce que tu vas faire ? T’apitoyer devant son corps jusqu’à la fin de ta vie ou te relever et continuer la course ? Parce que si tu ne veux pas le ressusciter, il n’y a que ces deux solutions possibles. Nous pouvons partir sans toi et te laisser ici, si tu le désires. A toi de voir. Mais nous n’attendrons pas éternellement devant ce cadavre que tu acceptes la mort de ton père.
-Edwin, fit Sandre. Ne parle pas comme ç…
Adam le retint en l’attrapant par le col. Sandre tourna la tête vers lui et le vieillard secoua doucement la tête et fit signe au jeune homme de se taire. Heureusement, Jenna ne l’avait pas entendue et fixait toujours Edwin.
Celui-ci continua, impitoyable.
-C’est la Grande Marche. Tu viens de comprendre pourquoi un enfant ne peut pas prendre part à cette course. C’est une boucherie. A partir du moment où l’on s’inscrit, on est destiné à gagner ou mourir. Pour quelqu’un comme lui, abandonner n’était pas une possibilité envisageable. Ce sont les règles du jeu. Quand vous êtes entré dans la course, vous saviez quels risques vous preniez, non ? Vous y étiez préparés ? Si tu ralentis, tu meurs. Il y a d’autres participants derrière nous. Des participants comme ceux qui ont commis ce carnage. Si tu veux rester ici, très bien. Mais lorsqu’ils t’attraperont, ils te feront la même chose qu’à ton père. Je ne vais pas essayer de te consoler ou quoique ce soit. Je vais te parler crûment mais de façon réaliste. Tu as bien deux options : Continuer ou rester. Si tu choisis la première, tu auras une chance de gagner et de venger ton père. De retrouver celui, ou ceux qui lui ont fait ça. Si tu choisis l’autre, tu connaîtras le même sort que lui à coup sûr. C’est quelque chose que je peux t’assurer. Je ne compte pas non plus m’éterniser en attendant ta réponse. Qu’est-ce que tu choisis ?
Jenna ferma les yeux pendant quelques secondes et finit par les essuyer une nouvelle fois. Elle se redressa, les jambes tremblantes.
-J… Je continue.
-J’espère que tu ne regretteras pas ta décision. Si c’est le cas, tu rebrousseras chemin toute seule. Maintenant, c’est avancer ou crever. Garde-ça en tête. Et garde aussi l’image du cadavre de ton père en tête. Au cas où, pour quand on tombera sur celui qui l’as mis dans cet état.
-Je… Je la hais… Cette personne. Je la hais, tu ne peux même pas imaginer…
-Je crois que je peux imaginer, répondit Edwin en se détournant. J’en connais un rayon, question haine. J’y ai goûté.
Enterrer Gus ne leur prit guère longtemps. Jenna insista pour creuser sa tombe aux côtés de ses compagnons. Roderick lâcha une brève prière face au trou avant de le recouvrir de terre. Enfin, ils purent repartir.
Atteindre le lieu de la cinquième épreuve ne leur prit ensuite qu’une demi-journée.
L’île de Balfiera était assez étendue et en son centre, plutôt accidentée. Ils croisèrent un petit hameau perdu dans la forêt devant lequel trois participants mangeaient autour d’un feu de camp. En voyant approcher le groupe, ils se levèrent et tirèrent leurs armes mais la vue d’Edwin Kingsming les calma immédiatement et ils se remirent à dîner en silence.
Jenna, elle, resta silencieuse tout du long. Zimo lui lançait des regards peinés mais Sandre l’avait convaincu de la laisser seule pour le moment. Elle aurait besoin de temps avant de pouvoir leur parler normalement de nouveau.
En tout cas, ils s’étaient promis de retrouver le participant qui avait fait ça.
Ce qui surprenait Sandre était la réaction qu’avait eu Edwin face à la mort de Gus, et le fait que s’était lui qui avait en quelque sorte encouragé Jenna à se reprendre. Pour lui qui n’avait manifesté jusque-là que de l’animosité envers la jeune femme, pour une raison inexplicable, c’était étonnant.
Ils virent les premières tentes du camp de l’organisation de la Grande Marche alors que le ciel se teintait de rose et d’orange et que débutait une fraîche soirée.
Il y avait peu de monde. Tout au plus une dizaine de participants déambulant entre les tentes et les étals, discutant entre eux et s’échangeant du matériel. A ce stade de la course, il n’était guère surprenant de voir les lieux d’épreuves de moins en moins peuplés. De tous les coureurs qui avaient commencés à Daggerfall, il ne devait plus en rester que la moitié, à l’heure qu’il était, voire encore moins.
Mais quelque chose qui intrigua fortement la petite équipe fut l’absence de panneau dans le camp. Il y en avait normalement toujours un pour expliquer les règles de l’épreuve et pour donner des conseils aux candidats.
Roderick attira l’attention d’un participant qui était assis sur un tas de pierre et jouait avec une pièce, qu’il lançait en l’air et qu’il rattrapait. C’était un Dunmer au visage avenant et portant une armure légère de chitine. Il affichait une expression ennuyée et préoccupée.
-Excusez-moi, monsieur, fit Roderick en s’approchant de lui.
-Oui ? répondit le Dunmer d’une voix douce.
-Il n’y a pas de panneau, ici, pour détailler l’épreuve ?
-Non.
-Pourquoi ?
-Aucune idée. Les organisateurs ne veulent pas répondre à nos questions. Apparemment, il n’y a pas de règle. Juste celle de traverser le pont. Aucune difficulté apparente, mais c’est louche, à mon avis.
-Un pont ?
-Ben ouais, le pont du Vieux-Marcheur. C’est comme ça que s’appelle l’épreuve. C’est une vieille construction branlante qui date de la première ère. C’est un lieu « sacré », comme qui dirait, et les habitants du coin voient d’un mauvais œil que le trajet de la Grande Marche y passe, mais bon…
-Donc il faut simplement traverser le pont et continuer sa route ?
-Oui. C’est l’objectif.
-Qu’est-ce que vous faites encore là, alors ?
-Je réfléchis à ce qui peut bien clocher avec ce foutu pont. Aller comme ça à l’inconnu, ça ne me plait pas.
-Je vois. Eh bien, merci encore.
-Mais de rien. Bonne chance.
Ils s’éloignèrent. Adam fronça les sourcils.
-Un simple pont ? Ce n’est pas possible. Il doit y avoir quelque chose qui nous attend là-bas.
-Forcément, répondit Edwin. La question est : quoi ?
Il y eut un silence.
-Adam, dit Roderick, tu n’es pas obligé de passer l’épreuve aussi. Officiellement, tu ne participes pas à la course. Tu n’es qu’un voyageur qui nous suit. Tu peux très bien emprunter le même chemin que prennent ceux qui payent une perle pour ne pas avoir à se soumettre à l’épreuve, et nous attendre de l’autre côté du pont.
-Si vous y allez tous, alors j’y vais aussi.
-Tu es sûr ? On ignore tout de ce qui nous attend là-bas.
-C’est bon, Roderick, j’en suis sûr. Je viens avec vous.
-Bon, très bien.
Ils se dirigèrent vers un portail, à l’extrémité du camp, au-dessus duquel était accrochée une large pancarte sur laquelle était inscrit : « Pont du Vieux-Marcheur. Continuez par ici. »
Un petit sentier s’enfonçait dans la forêt. Ils s’y engagèrent silencieusement.
De l’autre côté du portail, l’ambiance était très différente. Ce n’étaient plus des chênes et des bouleaux, comme dans le reste de l’île, qui poussaient, mais de hauts et imposants sapins. L’air, lui, était beaucoup plus froid qu’avant.
Zimo fronça les sourcils.
-C’est normal, ça ?
-Quoi donc ? s’enquit Sandre.
-Ben, je ne sais pas… L’atmosphère a considérablement changée.
-J’ai remarqué aussi, observa Adam.
Ils tournèrent la tête vers le portail et se rendirent alors compte… qu’il avait disparu. Il n’y avait plus de camp, derrière eux. Simplement un sentier qui continuait et s’enfonçait dans une forêt de conifères.
Zimo écarquilla les yeux.
-Putain, c’est quoi ce délire ?!
-De la magie, dit sombrement Edwin. Nous avons été touchés par un sortilège. J’ignore si c’est une illusion ou si nous avons été téléportés quelque part, mais… impossible de rebrousser chemin.
-C’est voulu ? Je veux dire… ça fait partie de l’épreuve ?
-Je ne sais pas. Continuons, et nous verrons.
-Restez sur vos gardes, les avertit Roderick.
Tous portèrent la main à leur arme. Zimo à son poignard, Sandre à sa chaîne, Roderick à son arc… Ils se remirent lentement en marche, et cette fois, tous lançaient des regards méfiants autour d’eux, prêts à bondir au moindre danger, s’attendant à tout moment à être attaqués.
La forêt changea de nouveau.
Les sapins se firent de plus en plus rares et laissèrent place à d’immenses arbres aux feuilles rouges et brunes, et à un sol jonché de boue et de branches sèches. On aurait dit qu’ils étaient subitement passés d’une saison à une autre et étaient maintenant en automne.
Cette fois, conscients d’être victimes d’un charme, personne ne fit de remarque.
Puis, les arbres s’écartèrent et Sandre arriva dans un champ enneigé au sol d’un blanc immaculé. La neige se mit à tomber doucement.
Il se rendit compte qu’autour de lui s’étaient tus les bruits de pas de ses compagnons et qu’il était seul. Il fit un tour complet sur lui-même en scrutant nerveusement les alentours. Depuis combien de temps les autres s’étaient-ils volatilisés ?
Lorsqu’il se retourna enfin, il tressaillit. Une rivière venait d’apparaître et traversait le champ enneigé. L’eau s’écoulait paisiblement. Un pont en pierre reliait les deux rives, long d’une trentaine de mètres environs.
Et un individu était assis en tailleurs sur uns des rebords du pont. Le cœur de Sandre manqua un battement.
L’individu descendit lentement de son perchoir et s’étira. Puis, il se tourna vers Sandre et sourit. Le jeune homme déglutit. Car la personne qui le fixait depuis le pont… était lui-même.
...c'est louche
J'aime bien Edwin, on aura beau dire mais c'est un bon personnage
Je veux lire l'autre chose que tu ecris :c
Intriguant ce Chap
Ah et je prend le 1000e posts au passage
A tous les coups Edwin a "réconforté" Jenna pour pas qu'elle pète un plomb et déclenche un second cataclysme
Ou alors il est pas aussi froid qu'il le laisse paraître...
Arf Peil. plus qu'un chap par semaine, ça vas être dur
Sinon toujours aussi mauvais, arrête d'écrire^^ Et tu parlais de quelque chose d'autre que tu écris....ou cela se trouve, c'est publique?
Perso je trouve pas Edwin froid mais hautin et très introverti
sandre va se battre contre son clone
Vont peut-être pas se battre aussi, juste se trouver face à soi-même peux être une épreuve en soit.
Je suis profondément dégouté en lisant cette fic et pas qu'un peu. J'étais juste totalement fan des sœurs Jadmär et qu'est ce que je vois... ? Elles se font tuer d'une façon misérable par Roderick que je n'ai jamais vraiment aimé en plus !
Mais ce n'était pas le pire... La mort de Yolin m'a totalement achevé parce qu'en plus, elle, je l'avais adorée, dès qu'elle avait tué cet misérable orc lorsqu'elle escaladait pour la première épreuve.
Elles n'ont absolument rien pu faire et sont morts beaucoup trop rapidement et d'une façon lâche.
Je m'attendais à ce que Zimo meurt tôt dans la fic par contre, parce qu'entre Jenna, Roderick, Sandre et Adam, il ne semble vraiment avoir rien pour lui et c'est d'ailleurs un peu dommage.