je pense que tu pars trop loin aston
Dat theorie Aston
C'est comme si je disait Zimo=khajiit=Helzmar peint en marron
Zimo n'est pas marron je crois.
Mais c'est pas si con que ça comme théorie ! Et si Zimo était en réalité une espèce de Doppelganger de Helzmar venant de la 18ème ère et ayant été envoyé à cette époque par la force du saint-esprit qui a brouillé les ondes métalsensorique électrostatiques de la soixante-douzième cacahuète du néant, entraînant la chute d'une biscotte, entraînant elle-même l'ouverture d'un portail temporel pouvant s'agrandir, pouvant entraîner l'inversion des flux matérialo-transmissibles entourant le monde, pouvant entraîner un conflit de dédoublements de réalité, pouvant causer... STOP, je vais m'arrêter là, c'est beaucoup trop flippant rien que d'y penser.
Un Impérial se détacha du rang. Il était maigre et avait le crâne rasé deux des côtés. Une fine crête de cheveux noirs semblait séparer sa tête en deux. Elle descendait jusqu’au bas de sa nuque, et partait de son front, presque d’entre ses deux yeux.
Un bouc de poils noirs se dressait au milieu de son menton.
Il était le seul qui n’avait pas dégainé son glaive, regardant le combat de loin. C’était également lui qui portait l’armure la plus rutilante, sous sa cape, et le plus de médailles. Il se mit lentement à applaudir, cognant ses gants l’un contre l’autre à un rythme mécanique.
-Bravo, déclara-t-il sans un sourire. Très belle démonstration de force, Sandre.
-Comment nous avez-vous retrouvés ? gronda le père de l’enfant en veillant à ce qu’aucun de ses adversaire ne passe discrètement dans son dos.
-Nous avons des moyens, pour cela, répondit l’Impérial à la crête, visiblement le commandant de l’unité. Nous sommes formés pour cela aussi, il faut le dire.
-Ma femme était innocente. Elle ne savait rien. Vous n’aviez pas à… à la tuer.
-Tout être t’ayant fréquenté de près ou de loin doit périr. Tu n’as pas l’air de bien saisir la situation, Sandre. Tes amis, ta famille, tes connaissances lointaines, nous les effacerons tous de ce monde. Un monde qui doit t’oublier, toi et ta lignée maudite. Le nom de ton ancêtre doit disparaître à jamais. C’est tout. N’y vois rien de personnel.
-Le Rôdeur s’est sacrifié pour l’Empire ! hurla l’homme. Il a donné sa vie pour lui !
-Il n’était qu’une arme. Un animal. Un chien fou dont nous devions nous débarrasser. De lui, comme de ses frères.
-Alors qu’est-ce que tu attends ! Dégaine-donc cette épée qui pend à ta ceinture, et viens me tuer !
-Mais j’ai des hommes, pour ça.
L’Impérial à la crête, en gardant sa mine impassible et froide, frappa de nouveau ses mains l’une contre l’autre. Les soldats qui entouraient le père de Sandre bondirent avec une synchronisation parfaite, leurs lames pointées vers l’avant.
Dans le creux du tronc d’arbre, Sandre avait les yeux fermés et les oreilles bouchées. Il serrait les dents et priait pour que tout cela s’arrête.
Il avait beau essayer de visualiser le gros gâteau au chocolat et la cerise dont lui avait parlé son père, tout ce qu’il voyait, c’était sa maison en flamme, sa mère étendue au sol, un filet de sang coulant de ses lèvres, son père le prenant par la main et le tirant pour qu’ils s’enfuient, et les soldats Impériaux les poursuivant en tirant des flèches dans leur direction.
Pourquoi est-ce qu’ils devaient subir ça ? Qu’avaient-ils donc fait au monde ? Ils vivaient paisiblement, sans faire de mal à personne… Simplement parce qu’ils avaient le malheur d’avoir des yeux gris ? Et d’être les descendants d’un homme qui avait commis des erreurs ?
Si c’était pour vivre une telle existence, Sandre aurait préféré ne jamais naître. Que sa fameuse lignée s’éteigne à jamais.
Malgré le fait qu’il plaquait ses petites mains contre ses oreilles, il parvenait à entendre le tintement métallique des épées, dans la clairière.
N’y tenant plus, il désobéit et jeta un coup d’œil au combat.
Tous les Impériaux s’étaient jetés sur son père et l’encerclaient.
La mêlée était incroyablement confuse et chaotique. Les épées se levaient et s’abattaient frénétiquement sur leur cible, coincée au milieu des six soldats, virevoltant et répliquant du mieux qu’il pouvait.
Seul un homme, qui avait l’allure du chef, restait en dehors de l’affrontement et observait la tournure des évènements d’un air glacial, les bras croisés dans le dos, le regard vide.
Puis, un premier Impérial sortit de la mêlée en tournant sur lui-même, la gorge ouverte et un flot de sang bouillonnant dégoulinant sur son plastron. Il tomba à genoux, s’agrippant toujours à son glaive, et bascula en avant, les yeux écarquillés.
Un deuxième tituba en arrière, plié en deux. Il lâcha son épée et porta les mains à son ventre ouvert duquel s’échappaient ses tripes. Un troisième Impérial fut violemment projeté hors de la mêlée, le visage barré d’une hideuse ligne sanglante et le percuta dans un fracas métallique.
Les deux hommes s’effondrèrent au sol.
Le père de Sandre feinta vers le haut, abattit sa faucille, recula pour éviter un coup, exécuta une pirouette, retomba au sol, fit un demi-tour et frappa de tailles, avant de reculer de nouveau.
Un quatrième Impérial tournoya à trois-cent-quatre-vingt degrés avant de s’affaisser et de s’étaler dans la neige, face contre terre, encore secoué de spasmes.
Cette fois, l’homme à la crête abandonna son expression neutre et fronça les sourcils.
Son père ressemblait à un fauve affamé. Il affichait un air de sauvagerie inhumaine. Il était autant recouvert du sang de ses adversaires que du siens. Le tout lui donnait une allure absolument terrifiante. Celle d’un véritable prédateur.
Le dernier Impérial prit un peu de distance et tenta de se mettre en garde.
Mais son père fondit sur lui et lui asséna un coup de biais avec toute la force dont il était capable. Le soldat para habilement mais la puissance de l’attaque fit littéralement éclater son épée. Des éclats d’acier volèrent dans tous les sens.
L’Impérial contempla les morceaux de son glaive retomber un à un à ses pieds.
« Vas-y, papa, pensa le garçonnet. Tue-les tous ! Montre-leur ! »
Le père de Sandre pivota sur lui-même et exécuta une botte éblouissante. La lame recourbée de sa faucille disparut du champ de vision de son adversaire à une vitesse incroyable, puis remonta brutalement et lui trancha le visage en deux, de la mâchoire jusqu’au front.
Le soldat du Penitus Occulatus s’écroula, mou comme une poupée de chiffon. Il était mort avant même d’avoir touché le sol.
Il voulut alors se retourner pour faire face au chef du groupe mais il se figea et hoqueta. Une lame ensanglantée pointait devant lui et saillait de sa poitrine. Derrière lui, l’Impérial à la crête renifla sèchement.
-Encore bravo, dit-il d’une voix tranchante. Pendant un instant, j’ai bien cru que tu y arriverais. Le sang du Rôdeur coule bel et bien dans tes veines.
D’un coup sec, il ôta son sabre du corps du père de Sandre. La lame sembla rentrer à l’intérieur de sa poitrine, puis ressortir complètement de son dos. Il tomba à genoux et fut pris d’une violente quinte de toux.
Une impressionnante quantité de sang jaillit de sa bouche. Il se mit à quatre pattes et vomit dans la neige, les yeux hagards. Il avait lâché sa chaîne et celle-ci ressemblait à un serpent mort, argenté. L’Impérial secoua négligemment son épée pour en ôter le sang poisseux.
Puis, dans l’intention d’achever sa cible, il recula légèrement et leva son épée, prêt à frapper directement à la gorge.
Sa lame ne s’abattit jamais.
Un petit être hurlant de rage fondit sur lui, jaillissant d’il-ne-savait-où, et le percuta directement dans les côtes. Il eut l’impression qu’un mammouth venait de lui rentrer dedans. Ou qu’un boulet de canon l’avait percuté.
Il en lâcha son glaive, sous le choc, et celui-ci tourbillonna pendant un instant dans l’air avant de se ficher, droit, dans le sol.
L’Impérial s’effondra dans la neige et se mordit la langue dans sa chute. Le goût amer du sang envahit sa bouche.
Assis à califourchon sur sa poitrine se dressait un gamin d’à peine six ans, le visage baigné de larmes, les traits déformés par la colère, les mâchoires contractées. Un véritable petit démon à l’apparence humaine.
C’est alors qu’il remarqua la couleur de ses yeux. Gris.
-Toi… commença l’Impérial.
-Tu as tué mon papa ! hurla l’enfant.
-Attend, je…
Le poing du garçon se leva et retomba. Sa puissance fut telle que le nez de l’Impérial éclata littéralement sous le coup et que sa tête s’enfonça dans la neige. Le sol en trembla même légèrement.
Le gamin frappa une seconde fois avec la force d’un troll des montagnes. L’Impérial, dès le premier coup, avait faillis s’évanouir. Cette fois il sentit les os de son visage exploser comme du verre et son crâne s’ouvrir en s’écrasant contre le sol.
L’enfant frappa, encore et encore. Chaque coup semblait plus violent que le précédent.
La tête de l’Impérial n’était plus qu’une sorte de bouillie sanguinolente informe, ayant vaguement été humaine jadis, et ce, dès le troisième coup. Elle ressemblait à une orange sanguine qu’on aurait martelé sans s’arrêter, avec une matraque, pendant des heures et des heures. Mais les coups continuèrent à pleuvoir, à un rythme frénétique. Et l’enfant criait de rage, comme s’il était possédé.
Ses petits poings se levaient et s’abattaient à une cadence insoutenable. Ils atteignirent une telle vitesse qu’ils en devinrent flous.
La tête de l’Impérial, en-dessous, n’en était plus une. Elle n’était plus qu’une flaque de cervelle, d’esquilles d’os et de sang, le tout broyé en un tas aplatit de chaire écarlate.
Et le gamin aurait continué à s’acharner dessus des jours entiers si deux bras ne s’étaient pas refermés sur sa poitrine, au bout de quelques minutes, et ne l’avaient tiré en arrière.
Il voulut se débattre et mordre le bras le plus proche de sa bouche, mais une voix le calma instantanément.
-Sandre, murmura son père. Arrête.
-P… Papa ? T’es… T’es pas mort ?
Son père le relâcha et Sandre se tourna vers lui. Il se remit à pleurer abondamment en hoquetant. Il serra son père dans ses bras. Celui-ci avait le visage dégoulinant de sang. En vérité, tout son corps en était recouvert.
Il avait défait à lui seul quinze agents d’élite du Penitus Occulatus, l’une des unités les plus craintes de l’Empire, mais il en avait payé le prix.
Sa joue était entièrement ouverte et laissait même entrevoir ses dents, sous sa chaire. Sa poitrine, ses épaules et ses jambes étaient tailladées de toutes parts, laissant s’échapper des flots de sang fumant. Et son torse était perforé. La lame de l’Impérial avait même due déchirer un poumon puisqu’il respirait avec peine et parlait d’une voix particulièrement rauque et sourde.
Pour tout dire, il n’avait même plus la force de lever un seul doigt. Ses forces et sa vie s’écoulaient de lui à un rythme alarmant. Il luttait désormais pour garder les paupières ouvertes, à chaque seconde. Profiter le plus possible de ses derniers instants. Résister aussi longtemps qu’il le pouvait.
Il sourit faiblement à son fils.
-Sandre, dit-il à voix basse, n’ayant plus assez d’énergie pour parler plus fort. Sèche tes larmes. Je te l’ai dit, tu es un homme maintenant.
-Oui, répondit l’enfant en essuyant ses yeux. Je suis un homme. Je suis grand.
-Je suis très fier de toi.
-On… On doit aller voir un médecin. Il faut que tu te relèves, papa !
-Non, Sandre. C’est terminé.
-Qu’est-ce qui est terminé ?
-Je vais mourir. Non, ne dis rien. Il est possible qu’après ça, je n’aurais plus la force de te dire quoique ce soit, alors écoute-moi très attentivement, et grave chacun de mes mots dans ton esprit. Les temps qui vont suivre vont être difficiles, pour toi. Ta vie va te sembler absurde, horrible. Tu auras sans doute des pensées effrayantes. Tu voudras… mourir. Mettre fin à tes jours. Mais tu n’en feras rien. Peut-être que les gens te chasseront, se moqueront de toi, te violenteront. Mais toi, tu resteras impassible. Tu seras fort, pour moi et pour ta mère, et tu continueras à vivre coûte que coûte. Cette vie que nous t’avons donné, et que nous avons tous deux payés si cher, tu t’y accrocheras de toutes tes forces, et tu ne laisseras jamais personne te la prendre. Il faut aussi que tu saches que, dans peu de temps, tu risques de revoir des hommes comme ceux qui nous ont attaqués. Ils seront beaucoup plus nombreux. Mais ils ne connaissent pas ton visage. Ils sauront que tu existes, mais ils ne sauront pas exactement qui tu es. Toi, tu resteras discret, silencieux, et tu ne les regarderas jamais en face. Tu joueras à l’enfant ordinaire et muet. Même si l’un d’eux s’approche de toi, te parle, voire te touche ou te fais peur, tu ne laisserais jamais la colère t’emporter. Jamais. Tu te forceras à rester docile et à ne pas attirer l’attention sur toi. Malgré le fait que tu auras envie de… tous les tuer. C’est eux qui te tueront si tu fais la moindre erreur. Tu vas jouer à un jeu très dangereux. Mais ne t’inquiètes pas, tu seras aidé. Fouille dans ma poche gauche. Dépêche-toi.
Sandre se pencha en avant et enfonça sa main dans la poche que son père lui indiquait. Il en sortit une petite fiole et un bout de papier. Le père sourit.
-Bien, dit-il d’une voix de plus en plus faible, tu l’as trouvé. Chaque semaine, tu t’en mettras une goutte dans chaque œil. Tu ne laisseras personne voir que tu as les yeux gris. Jamais. Il faudra toujours t’en remettre avant qu’on ne voies ta vrai couleur d’yeux. Tu ne le diras jamais à personne, même à ceux en qui tu penses avoir confiance. Ni à tes amis, ni à tes proches, ni à ceux qui te menaceront, à personne ! Tu as entendu ?
-Oui, sanglota l’enfant.
-Promet-moi que tu le feras !
-Je le jure.
-Bien. Il ne t’en restera bientôt plus, alors tu en fabriqueras de nouveau. La recette est notée sur le bout de papier. Apprend-le par cœur, puis brûle-le.
Le père prit une profonde inspiration. C’était la fin. Il la sentait approcher. Il voulait simplement avoir le temps de finir ce qu’il avait à dire avant qu’elle ne l’emporte.
-Sandre, reprit-il doucement, ce monde est horrible. Tu vas vite t’en rendre compte. Je ne veux pas te mentir, ni chercher à te cajoler inutilement. Il ne t’épargnera pas, mais toi tu ne l’épargneras pas non plus. Tu seras fort. Tu encaisseras ce qu’il t’enverra, puis tu attendras patiemment, et un jour, l’occasion pour toi de le frapper plus fort qu’il ne l’aura fait se présentera, et tu la saisiras. C’est comme ça que moi et tes ancêtres avons toujours vécus. Mais nous avons toujours été à part. Nous n’avons jamais vraiment réussis à nous intégrer. Toi, j’espère que tu feras mieux que nous. Qu’un jour, tu trouveras ta place… Je vais mourir. Toi, tu vas me laisser-là. Ne cherche pas à revenir ici, même pour m’enterrer, ou quoique ce soit. Il y a un petit village de bûcheron, à quelques kilomètres au nord. C’est là-bas que tu vas te rendre. Tu ne vas pas pleurer, ni gémir, ni rechigner. Tu vas simplement te lever et avancer, sans regarder en arrière. Je te souhaite bonne chance, mon fils. Et, Sandre…
-Oui ?
-Je t’aime.
-Moi-aussi, papa.
Il mourut ainsi. Il avait résisté jusqu’à la dernière seconde, même si cela était douloureux et que la seule chose qu’il voulait était de partir, mais il avait résisté. Cette fois, il s’éteignit.
Ses yeux se fermèrent et sa tête retomba lourdement sur sa poitrine. Il vacilla et bascula sur le côté.
L’enfant resta silencieux un moment. Il faillit pleurer. Faillit. Mais il se retint. Il voulait respecter les dernières volontés de son père, l’homme qui avait été tout pour lui. Ne pas pleurer, ne pas gémir, ne pas rechigner.
Il se leva simplement, la fiole de sérum et la recette dans la poche. Il se pencha, ramassa la chaîne de son père, une arme qui se transmettait dans sa famille depuis des décennies, et l’enroula sur elle-même avant de l’accrocher à sa ceinture, comme il l’avait déjà vu faire.
Elle était lourde et encombrante, et il était trop petit pour qu’elle ne traîne pas au sol, mais il n’en avait que faire. Même si, aujourd’hui, il était incapable de la manier, un jour il le pourrait.
Il s’éloigna lentement du corps de son père, le regard braqué devant lui.
Droit vers le nord.
Il lui fallut plusieurs heures pour arriver au village. Il toqua à la porte de la première maison qu’il trouva. Celle-ci s’ouvrit sur un couple de jeunes gens. Ils baissèrent les yeux sur le gamin crasseux qui leur faisait face.
-Je m’appelle Sandre Hearthsley, dit l’enfant d’une voix douce mais déterminé. Mes parents sont morts. J’ai faim, j’ai soif et j’ai froid. Est-ce que vous ne voudriez pas m’adopter ?
Et, aussi surprenant que cela puisse être, le jeune couple en fit son fils.
Comme l’avait prédit son père, des hommes vinrent leur rendre visite, une semaine plus tard. Des soldats Impériaux. Ils inspectèrent tout le village et firent sortir tous les habitants dehors. Ils étaient à la rechercher d’un enfant aux yeux gris.
Mais personne n’en avait vu. Tous les enfants du village, et ils étaient très peu, avaient les yeux marrons. Un seul, un petit orphelin, avait les yeux verts. Mais un gamin aux yeux gris ? Non, ils n’en avaient jamais croisés.
Sandre se tut. Il baissait la tête quand un Impérial passait devant lui. Il répondait poliment quand on lui posait une question. Il encaissait les claques qu’on lui mettait pour qu’il se dépêche de parler ou de faire quelque chose.
Il serra les dents et encaissa, impassible.
Puis les hommes s’en allèrent.
Jamais il ne retourna à l’endroit où son père était mort. En revanche, il garda sa chaîne. Et il continua de se mettre du sérum dans les yeux et d’en fabriquer régulièrement, en secret.
Et puis, il essaya d’oublier. D’enfouir tous ses souvenirs et ses sentiments au plus profond de lui. De vivre une vie ordinaire et heureuse, comme le lui avait demandé son père. De ne plus regarder le passé mais de se tourner vers l’avenir. Il grandit et devint un homme.
Et enfin, un jour, il entendit parler de la Grande Marche.
bande de laches ses impériaux quand même il crée des être surpuissant puis s'en plaignent et veulent les faire dis^paraître et maintenant il voudrait en créer d'autre ? faudrait qu'ils se décide une fois pour toutes.
en tout cas je plains sandre il n'as pas eu une enfance facile
Pourquoi le père de Sandre est-il mort ? Il avait l'air trop sympa ce type !
Enfoiré d'auteur cruel et malsain qui tue tous les personnages que j'apprécie !
... Mais tout n'est pas perdu.
Le père de Sandre va ressusciter miraculeusement... n'est-ce paaaaaaaas ?
...
...
pauvre sandre
Mon dieu quelle puissance ! Il était incroyablement fort le père de Sandre dis donc Je me demande qui serait le vainqueur dans un duel entre lui et Roderick étant donné la rapidité et l'agilité des deux hommes
Vous êtes sympa à dire "pauvre Sandre" mais perso je comprends parfaitement les impériaux. Vous imaginez si une puissance ennemi de l'Empire style Thalmor ou une autre organisation/personne/entité entend parler des descendants du Rôdeur? Qu'il les capturent et forment leurs propres "Quatre"?
Ils représentent un danger trop grand, pour l'Empire d'un côté c'est normal qu'il soient pourchassés.
Sinon le chapitre m'a un peu fait penser à DBZ
(avec Sangohan )
Un bon petit chapitre avec juste ce qu'il faut d'émotions et de combat. Respect mon cher Peil
AstonVillaPark
Posté le 30 avril 2014 à 21:50:52
Vous êtes sympa à dire "pauvre Sandre" mais perso je comprends parfaitement les impériaux. Vous imaginez si une puissance ennemi de l'Empire style Thalmor ou une autre organisation/personne/entité entend parler des descendants du Rôdeur? Qu'il les capturent et forment leurs propres "Quatre"?
Ils représentent un danger trop grand, pour l'Empire d'un côté c'est normal qu'il soient pourchassés.
Sinon le chapitre m'a un peu fait penser à DBZ
(avec Sangohan )
Une seule réponse : et si tu était dans le même cas que Sandre ?
Que tu devait mourir pour ce qu'était ton ancêtre ?
Si c'est pas l'Empire ce serait quelqu'un d'autre de toute façon. Comme je l'ai dit avant.
Superbe chapitre ! Remarque le seul chapitre où tu nous parles vraiment du passé d'un personnage (descendance,lieu de vie)
Je trouve que à la fin de la Grande Marche faudrait que tu nous fasses de petits "flashback" sur certains personnages (bataille de Shuzug,vole de Fenrir...)
Il est cool le père de Sandre
J'imagine si Sandre parvient à maitrisé ses "pouvoirs"
Sandre est trop puissant,je parle du père du fils du fils du fils du fils du père de Sandre bien entendu
Et pourquoi pas une fic carrément centré sur Fenrir?
mais lui dites pas ça,sinon on aura jamais la fin de l'Académie des Tueurs-Nés (même si on l'aura jamais ) sinon dans la famille c'est tous des cadors j'ai l'impression, et je pensais à un truc Peil : le masque du Rôdeur ne serait pas un des masques de prêtres-dragons qu'on peut récupérer dans Skyrim ? la description me fait penser à ça
Moi aussi j'imagine un masque comme Vokun