Moulin je me suis posé la même question a propos de Barahk

Vous verrez bien

C'est sa main qui était avec lui, elle a prit forme humaine ;-)

Ephron et Barahk ferais un beau couple:
B:- on le fais ensemble
E:-....
-bon on dira que c'est oui
-...
-on passes par où?
-...

Décidément ai pas le talent de Peil

Par contre me demande qui vas être le pauvre bougre qui vas devoir être lié aux 3 tarés de services...puis c'était précisé qu'il fallait descendre avec un compagnon vivant?

Barahk c'est surement mi avec un du group des trois

Style Faen + Ombre et Armand + Barahk ou dans un autre ordre peu importe

Remarque ils peuvent aussi payer une perle...

C'est normal le Fenrir quand le présentateur énumère le petit groupe ?

Pixi : Ben oui, c'est le nom qu'à pris Roderick pour s'inscrire à la course. Il allait pas participer sous le nom de Roderick Lustwick, la Flèche Blanche

Je sais pas si t'as lu ma précédente fic, mais si tu te le demandes, Fenrir c'était un ami de Roderick dans ma fic "La Flèche Blanche". Il a pris ce nom pour lui rendre hommage

Il le dit dans un chapitre, mais je me souviens plus lequel. Celui ou ils rencontrent Don Leo, dans la plaine

Peil : Oui oui j'ai lu "La Flèche Blanche" (que j'ai adorée), et désolé j'avais totalement zapé qu'il utilisait un pseudo)

Ps: Je parle à l'auteur de ma fic préférée

Peil, meilleur Ficteur du forum

Tiens en parlant de Don Leo ( ) on le reverra?

VDD : C'est obligé

Ephron, c'est le Chevalier Muet que Sandre et Zimo ont rencontrés dans les tous premiers chapitres, à Daggerfall. Le mec qui n'enlève jamais son armure

Chapitre 47 :

Le petit groupe parvint à quitter discrètement le camp sans avoir à faire à la foule qui les attendait. Ils s’en éloignèrent considérablement avant de faire halte dans le creux formé par deux collines, où se trouvait un rocher plat sur lequel ils purent s’asseoir et déposer leurs affaires.
Le soir commençant à tomber, ils décidèrent de s’arrêter pour la journée, et de ne reprendre leur route que le lendemain.
Un étang se trouvait non loin. Sandre alla s’y baigner, accompagné d’Edwin. Roderick resta au camp pour préparer de la soupe, tandis que Zimo se chargeait d’aller ramasser du petit bois pour le feu.
Sandre se dévêtit sur la rive de l’étang et jeta négligemment ses vêtements au sol. Edwin fit de même, ce qui étonna Sandre qui le croyait soigné avec ses affaires. Mais le mage fit un geste du doigt et ses habits, roulés en boule, se déplièrent d’eux-mêmes, se mirent à léviter, et se rangèrent correctement en une pile soigneuse, avant de se déposer sur le sol.
Sandre siffla, impressionné, puis plongea. Edwin rentra tranquillement, en se mouillant d’abord les épaules et la nuque.
L’eau était glacée, mais revigorante. Tout ce dont avait besoin Sandre.
Le jeune homme sortit brusquement la tête de l’eau et la secoua dans tous les sens, en éclaboussant Edwin qui passait à côté. Le mage se protégea avec le bras et grogna, agacé, avant de s’éloigner.
Le soleil couchant qui se reflétait sur l’étang offrait un spectacle magnifique.
Sandre inspecta sa hanche, à l’endroit où l’un des bandits qu’il avait affronté dans l’auberge, quelques jours plus tôt, l’avait entaillé.
A sa grande surprise, la blessure s’était complètement refermée. Il ne subsistait plus qu’une légère cicatrice. Lui qui pensait qu’il lui aurait fallu plusieurs semaines avant d’avoir moins mal…
Il se rapprocha d’Edwin qui nageait un peu plus loin.

-Eh, Ed’…

Le mage s’arrêta et tourna la tête vers lui.

-Ouais ?
-Merci pour tout à l’heure. Tu nous as sauvé la mise.
-Ce n’était rien, répondit Edwin en fermant les yeux d’un air suffisant. Un sort ridiculement simple.
-Si tu le dis…

Il y eut un instant de silence durant lequel Edwin se rinça la tête et la plongea dans l’eau. Sandre se gratta le cou.

-Je me demande comment tu fais pour être toujours si calme, dit-il enfin. Tu es… Je ne sais pas. On dirait que tu maîtrises toujours la situation.

Edwin, comprenant que Sandre était sérieux, lui lança un coup d’œil.

-C’est parce que je fais en sorte de toujours maîtriser la situation, répondit le mage. Tout simplement.
-C’est impossible. Il y a toujours des imprévus… Des moments où l’on est paralysé par les évènements et qu’on est incapable de garder son sang-froid.
-Pas pour moi. Tu veux que je te dise pourquoi ?
-Oui, dis-moi.
-Hum, ce serait peut-être plus simple si je t’expliquais la raison pour laquelle je participe à cette course.

Edwin se gratta le menton et sembla réfléchir.

-Comme tu le sais, j’ai… toujours été en rivalité avec mon arrière-grand-père. Anor. Tu te souviens du jour où nous avons rencontré Roderick ? La discussion que nous avons eue autour du feu de camp ? J’ai dit que j’avais été élevé dans la haine d’Anor, et cela est vrai. Du plus loin que je sois capable de me rappeler, on ne m’a jamais dit que du mal de lui, et on a gravé au fin fond de mon esprit que cet homme représentait la perversité absolue, le Mal, avec un « m » majuscule. Et moi, je me suis forcé à ne pas ressentir d’autre chose envers lui que de la haine et du dégoût. Mais c’est faux.
-Pourquoi ?
-Parce que d’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours admiré Anor.

Il y eut un autre instant de silence. Sandre tentait d’assimiler ce qu’il venait d’entendre.

-J’admire Anor presque autant que je le hais, continua Edwin. Il est autant mon pire ennemi qu’un modèle à surpasser. Je crois que plus l’on essayait de me le faire détester, plus je le… respectais. Et que je le jalousais. Tu sais, Sandre, l’admiration et la haine sont les deux faces d’une même pièce. J’ai envié Anor. Tu ne peux pas savoir à quel point je l’ai envié. Pour sa puissance, son charisme, sa légende… Toutes ces choses, en lui, elles me dégoûtaient, mais en même temps, je les vénérais. Ce qui me fait le plus mal, je pense, c’est qu’au fond de moi, même si j’ai tout fait pour le cacher, même à moi-même, j’ai… j’ai toujours désiré lui ressembler.

Sandre s’était tu, et il écoutait maintenant attentivement. C’était la première fois qu’Edwin s’ouvrait de cette façon. Il fallait dire qu’il n’avait jamais vraiment eu de conversation en tête à tête avec le mage, et qu’il l’avait toujours vu comme un être froid, distant, moqueur, arrogant et antipathique.
Mais il ne fallait jamais juger quelqu’un sur les apparences.
Edwin poursuivit, le regard dans le vague.

-Ce que j’ai le plus jalousé chez Anor, c’est sa liberté. Cet homme était libre. De par sa force, son intelligence, sa réputation, son charme, son expérience… Il était le plus libre de tous. A ton avis, pourquoi ai-je étudié aussi dur pour devenir magicien ? Pour devenir comme lui. A chaque fois que j’ouvrais un manuel de sorcellerie, ou que j’apprenais un nouveau sort, au prix de longues nuits blanches et d’efforts incommensurables, c’était son image que j’avais en tête. Il me motivait. La haine et l’admiration que je lui ai portées, et que je lui porte encore aujourd’hui, m’ont toujours tirée en avant. « Si lui a pu le faire, alors je le peux aussi ». C’est ainsi que j’ai toujours raisonné.

Il inspira longuement.

-Dans de nombreuses situations que tu me décris comme imprévisibles, je me suis demandé comment aurais réagis Anor s’il avait été à ma place. Et jamais je n’ai pu imaginer qu’il ait paniqué ou ait perdu son sang-froid. Alors, dans ces cas-là, jamais je ne paniquais, ni ne perdais mon sang-froid non plus. C’est aussi simple que ça.

Il sourit et reporta son attention sur Sandre.

-Tu n’imagines pas ce que ça fait que de vivre dans l’ombre d’un mort. De quelqu’un à qui on ne pourra jamais se mesurer et être certains de l’avoir surpassé. La pire chose qui me soit arrivé, c’est d’être né si tard. J’aurais voulu connaître Anor Kingsming. J’aurais voulu l’affronter moi-même, quitte à me faire tuer. C’est une frustration profonde, qui jamais ne pourra être réparée. Alors j’ai fait de ma vie entière un défi. Un duel avec mon ancêtre. Tous les dangers qui se dressent sur ma route, tous les adversaires qui en veulent à ma vie, toutes les situations imprévues dans lesquelles je tombe, je ne les vois que comme un jeu, un moyen de me tester. « Si je gagne, tant mieux. Si j’échoue et meurs, c’est que, de toutes façons, je n’aurais jamais pu faire face à Anor Kingsming ». C’est ce genre de chose qui me maintient en vie. C’est autour de ça que je me suis construit. Et c’est dur, parfois. Vraiment dur.

Edwin secoua la tête, comme s’il se moquait de lui-même.

-La Grande Marche en elle-même ne m’intéresse pas. Je crois que si je gagnais, je serais bien embêté, parce que je ne saurais pas quoi demander. Mon vœu le plus cher aurait été de ressusciter Anor, ou qu’on m’emporte à l’époque à laquelle il vivait. Deux souhaits impossibles, même pour un champion de la Grande Marche. Cette course pour moi n’est donc qu’un jeu. Un énième défi envers Anor. Ou plutôt envers moi-même.

Jenna se tut, gênée. Sandre se souvint de ses paroles.

-Tu t’es fait voler tes provisions ?
-Pas… voler, fit la Nordique. Je les ai perdues durant ma descente du pic du Fou. Juste avant que je m’y engage, il y a eu un éboulement, et le terrain étant devenu complètement… enfin tu vois, j’ai mal choisi mon chemin et j’ai fait tomber mon sac.

Sandre soupira.

-Bon, viens. Zimo sera content de te revoir. Je vais te présenter aux autres.

Quand ceux-ci virent Sandre arriver, accompagné d’une inconnue, ils se levèrent à moitié et se mirent en garde, excepté Roderick. Sandre les rassura immédiatement et leur assura qu’elle n’était pas dangereuse et qu’il la connaissait.
Instantanément, elle reconnut Zimo et lui sauta dans les bras. La dernière fois qu’ils avaient voyagés ensemble, ils s’étaient un peu plus que « bien entendu » et étaient devenus très complices.

-Jenna, fit Zimo avec un large sourire, j’étais sûr qu’on se reverrait !
-Et moi donc !
-Tu m’as dit que vous nous pensiez morts, intervint Sandre en haussant un sourcil.
-On reparlera de ça plus tard…

D’abord méfiant, Edwin finit par accepter la jeune femme autour du feu. Elle avait l’air affamée. Après une rapide présentation d’elle-même et de la façon dont elle avait été amenée à faire un bout de chemin avec Sandre et Zimo, quelques semaines plus tôt, elle se jeta sur la soupe qu’avait mijotée Roderick.

-Où sont passés Gus et Yolin ? s’enquit Sandre au bout d’un moment.
-Tu le sais bien, on se sépare une étape sur deux et continue la course en solitaire, répondit Jenna en soufflant sur le bouillon pour le refroidir. C’est comme ça qu’on fonctionne depuis le début.
-Ah oui, c’est vrai. Et donc, vous avez prévus de vous retrouver après la cinquième épreuve ?
-Voilà.
-Tactique intéressante, observa Roderick en se frottant le menton. Pendant une étape, vous voyagez séparés et êtes donc à la fois plus rapides, plus discrets, et plus aptes à éviter les problèmes. Et quand vous vous retrouvez, vous pouvez mettre en commun les ressources que vous avez trouvées et partager les informations récoltées. Cela demande de la coordination.
-Gus, Yolin et moi sommes parfaitement coordonnés.
-Qui sont-ils, pour toi ?
-Mon père et ma sœur.
-Je vois, fit Roderick avec un sourire en coin.

Jenna, une fois qu’elle eut terminé de manger, s’étira. La Nordique n’était pas timide. Elle avait immédiatement pris ses aises et étalés les quelques affaires qui lui restaient autour du camp. Elle se tenait maintenant allongé au sol à jeter rêveusement des brindilles dans le feu.
Elle finit par lever la tête vers Edwin et Roderick.

-Au fait, je me suis présenté, mais je ne vous connais pas, vous.
-Je m’appelle Edwin, dit sèchement le mage.
-Edwin ? C’est joli comme nom. Edwin comment ?
-Kingsming.
-Kingsming ? Ah, d’accord. C’est joli auss… Kingsming ?!

Elle se redressa subitement et fixa le mage avec des yeux ronds, et une bouche entrouverte.

-E… Edwin Kingsming ? Je veux dire… « Le » Edwin Kingsming ?
-Oui, c’est lui, fit Zimo.

Elle bondit en avant, saisit la main d’Edwin avant qu’il n’eut pu faire quoique ce soit, et se mit à la secouer vigoureusement.

-Je… Je suis très honoré de rencontrer un mage aussi éminent que vous ! s’exclama-t-elle. Vous êtes une véritable légende vivante ! Une simple paysanne Nordique comme moi sortant à peine de sa campagne serait presque indigne de côtoyer quelqu’un comme vous ! On… On vous admire, dans ma famille ! Est-ce que… Enfin… Est-ce que vous pourriez écrire votre nom sur un petit papier et me le donner ? Avec votre signature ? Et… en faire deux autres pour mon père et ma sœur ? Je vous en serais infiniment reconnaissante, messire Kingsming !
-Calme-toi, répondit Edwin en grimaçant face à ce flot de parole. Ou sinon, tu risques d’avoir une crise cardiaque en apprenant qui est le gars à côté de moi.

Il fit un signe de tête dans la direction de Roderick. Le vieillard, un peu à l’écart, dégustait silencieusement sa soupe avec un sourire discret flottant sur le visage.
Jenna le dévisagea et lui adressa un sourire charmant.

-Bonsoir grand-père. Pour voyager avec une compagnie aussi prestigieuse, vous devez être quelqu’un d’important, non ?
-Je me nomme Roderick.
-Hum… Ça ne me dit rien. Peut-être un politicien ?
-C’est Roderick Lustwick, dit Sandre en bâillant. La Flèche Blanche.

Jenna se figea. On aurait dit qu’Edwin venait de lui lancer un sortilège de glace. Un observateur extérieur aurait pu, pendant un instant, la prendre pour une statue.
Elle fixa Roderick une dizaine de seconde, en clignant nerveusement des yeux, avant d’éclater de rire et de se taper la cuisse.

-Oh, mon dieu, j’ai faillis y croire ! s’écria-t-elle avec un grand sourire. Ne me faites pas de plaisanterie comme ça ! La Flèche Blanche… Pourquoi pas Tiber Septim ressuscité ?
-Non, c’est vraiment Roderick Lustwick, dit Sandre calmement.
-Oui, c’est bien moi, approuva le vieillard d’un air tout aussi détendu.

Jenna passa son regard sur tous les membres du groupe. Personne ne riait. Ils affichaient tous des mines sereines et sérieuses. Y compris Zimo qui aurait été le premier à se tordre de rire si Jenna avait été victime d’une farce.
Edwin, adossé à un rocher, inspectait tranquillement ses ongles. Roderick continuait à boire son bouillon. Zimo aiguisait sa dague. Et Sandre observait le feu.
Jenna pivota mécaniquement vers Roderick. Son front s’était mis à luire de sueur, et son cœur battait si fort dans poitrine que, dans le silence nocturne, tout le monde pouvait l’entendre.
Elle reprit la parole, d’une voix tremblante.

-Vous êtes… réellement… La…
-…Flèche Blanche, compléta Roderick en reposant son bol de soupe sur ses genoux. Puisque je te le dis, jeune fille. Je ne vais quand même pas te faire une démonstration de tir à l’arc.

D’un bond, Jenna quitta Edwin et se précipita face à Roderick. Là, elle s’inclina, face contre terre, à plusieurs reprises, et à un rythme frénétique.

-Oh mon dieu, que les Neuf me foudroient et que je sois jetée dans l’Oblivion ! s’écria la jeune femme sans cesser de s’incliner aux pieds de Roderick. La Flèche Blanche ! En personne ! Veu… Veuillez m’excuser pour l’irréparable insolence dont j’ai fait preuve, seigneur Lustwick ! Je… Je ne pouvais pas vous reconnaître ! Mais un être tel que vous, devant moi… Je ne devrais même pas être autorisée à vous adresser la parole ! C’est un tel honneur que vous me faites ! Vous êtes un dieu vivant ! J’ai grandi en étant bercé par vos aventures ! Vous êtes mon idole !
-Et c’est reparti, soupira Edwin en levant les yeux au ciel.

Roderick posa une main sur l’épaule de Jenna.

-Nul besoin que tu sois jetée dans l’Oblivion, jeune fille, dit la Flèche Blanche. Surtout que cet endroit n’a rien de très chaleureux et ne serait pas adapté pour une si charmante demoiselle. Je suis heureux de te rencontrer, Jenna. Relève-toi. Il reste de la soupe. Tu en veux encore ?
-Je… Je…
-L’endroit n’est pas sûr, et je m’en voudrais de laisser une jeune fille dans la nature. Que dirais-tu de voyager à nos côtés, jusqu’à ce qu’on retrouve ta famille, sur le lieu de la cinquième épreuve ?
-Quoi ? s’exclama Edwin.
-Génial ! fit Zimo en levant son poing en l’air.
-J’accepte ! s’écria Jenna en se remettant sur ses pieds d’un bond.
-Eh ben, quelque chose me dit que la suite de la course ne va pas être de tout repos, souffla Sandre en souriant.

Jenna qui a failli avoir une crise cardiaque, trop bien, je me suis tordu de rire quand elle a compris !

On dirait bien qu'Edwin est moins froid qu'on le pensait

Hahahaha, un bon petit chapitre bien sympa

L'équipe s'agrandit encore. J'aime bien Jenna en plus, elle est marrante

super chapitre j' aime de plus en plus toutes cette joyeuses équipes ;)

Moi je m'attacherais pas trop à des personnages comme Yolin, Gus et Jenna. Généralement c'est les personnages comme eux qui clamsent rapidement

J'ai l'impression de lire un n'est-seller. C'est simple.

Quoi ? Un lèche- bottes ? Ou ça ?

Sinon, c'est super que Zimo ait enfin pu se faire remarquer. Je l'adore !
Au fait, Eddard, ça me fait penser a GoT... tu avais bien dis que tu lisais aussi, Peil, il me semble ?