histoire sympa
Ecoutez-moi, ô Kalamas, pauvres hères du Grand Troupeau ! Ecoutez ma Parole, qui descend des Trois Cents Juges, ceux-là même qui siègent sur le Mashmashshu, où tant d'Arahanthim se sont échoués. Vos vies sont mensonge, et votre science une grande illusion.
Quant à vos faux Prédicateurs, Moshé, Yeshoua et Mu-hammad, ils nous sont connus et seront pesés à la hauteur de leur mensonge à Gaia. MENE MENE TEKEL UPHARSIN.
Ultimes sots, n'écoutez pas les Faux Prédicateurs, Moshé, Yeshoua et Mu-hammad, car leur langue fourchue n'a émis que mensonges et égarement. Sortez de votre caverne ! Embrassez plutôt la parole de l'Arahanth.
Idolâtres ! Il arriva un jour que le Premier, Mashmashshu, arriva sur ce qui était alors la terre des Hommes, qui fut dans le point impossible de la probabilité Bab-ish-Akram. Et les Hommes se placèrent en demi-lune autour de lui, car il était le Bienheureux, l'Arahanth, le Prophète, parfait en savoir et parfait en Conduite, lui qui arrivait toujours à son but, Connaisseur des Neuf Mondes, Guide des Être qui doivent être Guidés, Maître des Six Pas, Maître de la Prophétie bonne en son début, bonne en son milieu et bonne en sa fin, bonne dans sa lettre et son esprit, il l'enseigna aux Hommes.
Bab-Ish-Akram ! Aujourd'hui perdue, aujourd'hui oubliée, mais rien n'est jamais oublié par ceux qui portent en eux la Marque, qui sentent encore sur leur chair et dans leurs os les rayons de la Deuxième Lune de la Terre, celle-là même qui fut de beaucoup la plus grande, conquise alors par Awīl-um lā šanān, dont le Nom reste dans le Gris
Rescapé, je le suis et vous le serez malgré le poids des mensonges et des terreurs des Faux Prédicateurs Moshé, Yeshoua, Mu-hammmad sur vos paupières ! Réveillez-vous, ô Kalamas !
Ecoutez celui qui fut à la fois Mâle et Femelle et goûta aux Vertus et aux Vices des Deux faces de la roue !
Pensez-vous ouvrir vos 7 Canaux ?
Laverez-vous le fondement de vos âmes des mensonges de ceux nés contre la volonté de YLRN ?
Avancez, ceux d'entre vous qui sentent brûler en eux la Marque de la Troisième Lune, celle qui fut conquise par Awīl-um lā šanān, dont le Nom reste dans le Gris !
N'ayez pas peur ! Vos peurs ne sont que les manifestations du Pont bâti entre les Neuf Mondes par les Faux Prédicateurs, Moshé, Yeshoua et Mu-hammad, ceux qui sont proprement nommés Msy, Xêse, Hem-Mashad dans leur réelle forme d'avant les Âges de l'Homme, ceux qui sont encore à venir, ceux qui se sont passés après l'Antécédent.
Ecoutez plutôt celui qui se présente devant vous, qui, pourchassé par les décadents pervertis, perversions de la Perversion. Longtemps je fuis la Vérité en cherchant la Vérité, je tuais le Mensonge en faisant vivre le Mensonge, comme vous fuyez la Vérité en cherchant la Vérité et tuez le Mensonge en faisant vivre le Mensonge. En Transoxiane je me rendis, et là, dans les ruines des cités enfouies sous les sables, celles des Hommes-Serpents, des Hommes-Aigles et des Hommes-Lions, je trouvai la vérité.
Tentez seulement de vous figurer ceci, ô Kalamas ! Je vous offre le quatrième des Six Pas.
Arahanthim na Siqdim ! Metel salīmātum šakin Awīl-um lā šanān ešnunna !
Idolâtres ! Voici la chance de votre Reprise de la Voiex !
Réveillez-vous !
Eveillez-VOUS !
sruetaciderp xuaf sed suov zenruoted !
YRLN, voici la fin de ces mots.
Vu que je fais que de la nouvelle, je me vois très mal faire juste 1500 mots, mais je vais voir si j'ai le temps avant la date butoir, ça peut-être un exercice sympa !
Encore un concours où chacun balance son truc et personne ne se lit au final.
Bonne chance pour les *votes*
Bonne idée~!
J'avais un RP à écrire pour un jeu, mais je peux l'adapter aux thèmes.
Partie 1 : Du Royaume de sable à la République des fumées.
Un mois plus tard, ça clignote et ça scintille de partout. A quelques mètres de là. Il y a eu le désert et ses hommes bleus, des kilomètres de sable rouge et d'aurores gigantesques. Et puis, il a fallu partir, à quelques jours de la nouvelle ère.
« On ferait mieux de repartir. » Là-haut il y a des cercles de lumière à côté des fenêtres, des énormes ronds qui pétillent. Ils chevauchent des nuages de fumées grises. C'est elle là-bas qui me fait signe d'approcher. Candide, j'y vais.
« C'est un temps idéal pour monter » On y est allé. Des marches, des milliers de marches et puis des échelles aussi ; et encore quelques marches, une porte noire à franchir, une ruelle...des montagnes de détritus aussi. J'arrive, petite fumée... je viens avec des amis jaunes.
« Pas à droite, il y a des morceaux d'humain ». Il paraît bien clair ce corridor. Avec la musique et tout, c'est d'ailleurs fort cocasse cette petite forteresse de sable tout au bout.
« Pas à gauche, il y a des monceaux de mains ». Il sonnera bientôt le cor d'Igor. Voilà les jeunes amis...deux colosses poilus encadrant le Duc - superbe lui, une aura lumineuse - un agent de police et une dinde maigrichonne. Et puis Igor, comme toujours en tête de sa troupe.
« -Peuple jaune, irons-nous dès ce soir plier le genoux ?
-Il eût fallu que la fumée soit grise, mon ami, s'exclama Igor. »
Il faut lui expliquer, il ne comprendra pas sinon...fumée, petite fumée, tiens bon, je cours... le ciel semble si bleu et les étoiles si brillantes. Désastres au sein des astres ! Quand je pense que l'horizon aurait dû être gris... reviens...on ne s'est pas compris, mon cœur n'a jamais été une rose pour toi !
« -Où iras-tu te cacher sinon chez les autres boules enflammées ? Igor, seras-tu rouge demain ?
-Je saurais colorier mes membres les moins poilus, admet-t-il à demi-voix
-Nous serions ravis de décorer ta poitrine avec l'Espagne et l'Italie, intervient nonchalamment le Duc Théodore, un sourire sarcastique en coin.
-Comme tu y vas, dis donc ! Tu t'engages à beaucoup ! L'Italie, je la chausserais, j'ai toujours eu besoin de bottes.
L'agent de police se met soudain au garde à vous devant le Duc. C'est étrange, les autres n'ont rien remarqué. Le Duc poursuivit, point perturbé :
-Je me demande ce qu'il y a pour dîner.
-M'accompagneras-tu dans ma quête, Duc ? Il s'agit d'un pays au parfum du pétrole. Nous irons dîner plus tard.
- Au plus tard ?
-L'année prochaine. Deux ans maximum. Je promets et je crache.
-Conséquemment à ton vœux, je suppose.
Une grande fille jaune pâle nous accoste. D'aspect banal, elle a un foulard sur les yeux, des images sur les seins et un soleil rouge pâle dans ses cheveux. Son visage est très doux, un menton un peu prononcé. Je souhaiterais tant voir ses yeux.
-Lauren !, s'exclama Igor.
Il enlève brusquement ses bottes et se met à plat ventre. Le fille monte sur ses épaules en gloussant. Elle met ses mains devant les yeux d'Igor qui commence à chanter :
« Il était un matin, un taureau d'Arabie,
Ah, petite fumée, ne vois-tu pas le gris ?
Il fut peu probable que l'animal s'éprit,
Pourtant, sans nul doute, son cœur était acquis.
Ont passé les heures, ont trépassé les nuits,
Qui sait combien de têtes auront cette fois fleuries ?
De l'union cocasse du taureau et du gris,
Chantent les poètes, les hôtes sont ravis. »
Le Russe s'interrompt. Il nous toise de ses yeux cachés puis part dans un grand rire. Lauren se met à pleurer un peu puis s'éloigne pour uriner.
-Où est passé l'agent de police ?, demande soudain le Duc
-Voilà bientôt une heure qu'il a disparu, se lamente Lauren en revenant, les mains sur la tête.
-Il est parti à la recherche d'un souterrain qu'il ne trouvera jamais, explique Igor, en mâchonnant un ersatz de tabac.
-Il faut aller le retrouver.
-D'abord, ma fumée. Tu l'as promis ! Conséquemment...tu te souviens ?
-Très bien. Nous ne pourrons pas rester là de toute façon, les soldats vont venir cueillir les champignons tantôt.
-Pas ceux-là, leur texture est si singulière, ajoute Igor en montrant un amas de cèpes semblable à une gelée de matière fécale. Je décide d'intervenir :
-Moi je sais dompter certains taureaux. Après tout, il s'agit de l'emblème de ma famille.
-Ignores-tu la domestication des Funji ?
-Je ne répondrais pas à cette question !
Un silence oppressant s'installe progressivement. Ma dernière réplique les a laissé sans voix. Le silence finit par se briser...des bruits de bottes. Les soldats ! Vers l'Ouest...vite !
Partie 2 : Les cieux du profit.
Comme tout est gigantesque dans cette patrie. Les routes, les champs, les habitations...les gens eux-mêmes sont plutôt grands et costaux.
Un vieux noir nous aborde, la tronche démolie, avec des verres de boue pétillante.
Le Duc sourit :
-Nous ne sommes pas au milieu de nulle part !
-En tout cas, moi je ne bois pas leur eau sucrée, ronchonne Lauren. Elle trempe un doigt dans un verre et enlève soudain le foulard qui masque ses yeux. La jeune fille n'a qu'un œil vert et immense. Et pourtant, quel regard cristallin.
Les richesses de cette contrée sont immenses. Quantité de chien chaud, de porc grillé, et du gras, encore du gras, partout, toujours, sur les murs, dans les caniveaux, sur les peaux, il suinte le gras.
Nous, on a voulu leur donner la dinde ! Trop maigre, ont-t-il dit.
-Mais tout, mais tout, mais tout, mais tout, mais tout !, s'exclame Igor ravi, la bouche pleine de chien rôti, mais tout ! Il faut absolument aller partout.
Et on est parti vers le Grand Ouest. A cheval ou à dos de chien, on dévale les collines vert pâle et les torrents bleu nuit. Quelques fois, des montagnes. Petite fumée, j'arrive, derrière chaque montagne, j'espère te découvrir !
Avec l'aridité, la végétation se fait plus rare. Les montagnes aussi. Devant nous, émerge le pays des plaines. J'aperçois là-bas des cousins à moi, comme des taureaux mais le poil plus touffu. Je les salue :
-Hé là, poil hirsute !
-Ne sais-tu pas qu'il faut un chapeau pour pouvoir traverser nos contrées sain et sauf ?, me répond le plus gros d'entre-eux.
-Comment ça ?, demande Igor
-Oui, le soleil déchire tout par ici.
-Comment ça ?
-Il a tout cramé de toute façon. Il n'y a rien à voir, passe ton chemin, mon gros.
-Comment ça ?
-J'explique. Avant, il y a avait des animaux marins par ici. Puis le cycle des saisons, les rayons ultraviolets, tout ça quoi. Même les arc-en-ciels sont fourbes. Moi je te dis, méfie toi des arc-en-ciels !
Il s'interrompt soudain. Il lorgne son regard pervers vers Lauren qu'il désigne aux autres poilus.
-Avez-vous déjà vu une chose aussi abjecte ?
-Tu as raison, confirme Igor, une chose aussi laide n'apparaîtrait que dans mes pires cauchemars !
Lauren sourit, gênée. En toute modestie, elle réplique d'une petite voix :
-Je suis née ainsi, vous savez.
-Assez !
Je désigne le chef des poilus :
-As-tu vu passer une petite fumée grise, même dans un courant d'air ?
-Je ne répondrais pas à cette question !
-Alors, garde le silence, ou sois turquoise pour une fois !
On continue notre route. Nous avons quitté le désert en Afrique, nous le retrouvons à l'Ouest. Curieusement celui-ci est fort différent. Pas de charme, pas de mystère, point de vent aussi. Partout par contre, des pylônes de béton, des pipe-lines. Après une journée de voyage, on est arrivé au domaine céleste.
Les cieux du profit reposent là après des kilomètres de vide et de rédemption. Il y a des lumières criardes, des bruits de mécanique et surtout des fumées de toutes sortes. Ma tête commence à tourner, tant d'êtres chers réunis en ce lieu ! Je range ma tête dans ma poche et continue la visite. Au bout d'un long moment, paraît, splendide, le Dieu de ces cieux.
Il est tout vert, drapé de S barré en tout sens, et de sa voix nasillarde, il nous pousse à le rejoindre.
Je sors ma tête, la remet à sa place. Je demande encore :
-Dieu du Profit, as-tu quelque mignonne fumée venue des métropoles européennes ?
-J'ai tant de maîtresses et tant de fumées vois-tu !
-Des européennes ? D'Afrique du Nord ?
-Hélas non ! J'ai bien eu une fumée venue de la savane africaine. Une flatulence l'a chassé. Je peux pourtant de proposer de l'indienne ou de la latino.
-Je continuerai ma quête. Saches-le.
Nous avons fui précipitamment ces cieux indignes. Direction, le pays où le soleil se lève !
"Les mots-thèmes sont l'été et l'imaginaire."
On dirait une initiation à l'écriture de mauvais romans jeunesse
Ça tombe bien, vu que c'est un concours amateur...
Beaucoup de personnes croient savoir écrire et parler car les bases leurs sont solidement acquises (apprentissage de l'alphabet, des sonorités) et plus, ils possèdent par la suite, suite à des lectures et des exercices de rédaction et de parole, un vocabulaire étoffé et pluriel, une aisance dans le débit, et dans la tournure rythmique et stylistique des phrases. Mais qui sait réellement parler, qui peut vraiment se vanter de posséder la science des mots ? Personne, et certains encore moins d'autres, car personne ne sait mesurer le poids des mots, lorsque l'autre est maudit par notre langue, mais aussi aimé : les mots forts pour blesser l'autre fusent et son pensés, mais les mots de réconfort, d'amitié et d'amour pour le prochain, ont beau être exprimés verbalement, il ne sont que des bottes de paille gonflées à l'extérieur, mais vides à l'intérieur. Et ceux-là sont plaies incicatrisables pour l'esprit lié à la chair, et irréversibles pour l'esprit lié à l'âme. Crédibilité perdue ad viternam en la conscience de chacun, de celui qui professe à celui qui écoute.
Le 18 juillet 2015 à 20:50:14 LAPlN a écrit :
Beaucoup de personnes croient savoir écrire et parler car les bases leurs sont solidement acquises (apprentissage de l'alphabet, des sonorités) et plus, ils possèdent par la suite, suite à des lectures et des exercices de rédaction et de parole, un vocabulaire étoffé et pluriel, une aisance dans le débit, et dans la tournure rythmique et stylistique des phrases. Mais qui sait réellement parler, qui peut vraiment se vanter de posséder la science des mots ? Personne, et certains encore moins d'autres, car personne ne sait mesurer le poids des mots, lorsque l'autre est maudit par notre langue, mais aussi aimé : les mots forts pour blesser l'autre fusent et son pensés, mais les mots de réconfort, d'amitié et d'amour pour le prochain, ont beau être exprimés verbalement, il ne sont que des bottes de paille gonflées à l'extérieur, mais vides à l'intérieur. Et ceux-là sont plaies incicatrisables pour l'esprit lié à la chair, et irréversibles pour l'esprit lié à l'âme. Crédibilité perdue ad viternam en la conscience de chacun, de celui qui professe à celui qui écoute.
Mdr jay pa lu
J'étais en train de réfléchir à mon histoire et en fait on peut raconter ce qu'on veut et à la fin on dit "et machin se réveilla" et voila le thème imaginaire est respecté
Gagne de l'argent grace à Goldmine & au minage !
Fais profiter des promos sur des jeux vidéo, logiciels, etc..
Et tu seras rémunérer en % (qui est intéressant au passage).
Tu peux également acheter des jeux comme ça.
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L'été, cette saison si bien pour les yeslifes et si mauvaises pour les nolifes. On oublie tous les soucis de l'année pour enfin se consacrer à soi -enfin, du moins, quand on a une vie -.
Les uns vont à la plage pour bronzer et se baigner avec leurs potes, s'éclatent le soir en buvant, fumant et baisant à tout bout-de-champs tandis que les autres, eux, et on parle bien sûr des nolifes n'intéressant personne, sont vingt-quatre heures sur vingt-quatre sur leur PC, à glander, crevant de chaud, la bouteille de coca à la main dans leur petite chambre étouffante, le ventilateur au maximum face à la terrible chaleur qui rend les corps dégoulinants de transpiration.
Quelle cruauté pour eux ! Triste sort que subissent ces personnes prenant de plein fouet les ravages d'une société de consommation où seul le paraître prime à l'être. Qu'ils sont à plaindre ! Oh que oui ! Seigneur, si tu existes, tu ne peux pas laisser une telle déchéance ! Tes créatures sont dans les ténèbres, aux mains de Lucifer même ! Certaines peuvent mal tourner à cause d'une solitude extrême.
Mais, heureusement pour eux, il y a quelque chose qui leur permet de pouvoir lutter efficacement à cet ennui terrible et asphyxiant, oubliant totalement leur condition sociale précaire : c'est le jeu vidéo. Ce formidable loisir, qui est, selon certains même, un art, est surtout un moyen pour ces personnes n'ayant rien dans la vie de pouvoir s'occuper le mieux possible. C'est ce qui leur permet même de pouvoir passer d'un puceau obèse hideux sans diplôme à un héros puissant et charismatique. Qu'est-ce que c'est bien que de jouer à un jeu où on a un rôle crucial dans l'univers, et dont on sait qu'on sera forcément le gagnant car c'est bien pour ça qu'on a claqué 40 euros ! Pouvoir botter le cul de petits ennemis insignifiants à l'aide de pouvoirs surnaturels, avançant dans le jeu pour finir par affronter un boss final ultra-chiant à tuer. Et c'est comme ça jusqu'à ce qu'on soit épuisé puisqu'il n'y a rien d'autre à faire ! Et rebelote le lendemain ! Une sorte d'ambiance se crée durant les semaines où la seule priorité est de finir le jeu vidéo, oubliant même la condition sociale déplorable de base de l'individu.
Bien sûr, on ne pouvait pas parler de l'été d'un nolife sans la masturbation sur des films pornos. Et oui ! C'est bien à cette période où le nolife demande à sa mère d'acheter 2 paquets de sopalins supplémentaires quand elle va faire les courses. Le pêcher mignon qui peut vite devenir un cercle infernal , une dépendance, une drogue même. Lorsqu'on a que ça à faire que de se palucher sur des MILF de 40 ans toutes refaites, on peut vite tourner dans les cinq branlettes quotidiennes par jour tandis les yeslifes, de leur côté, tournent plutôt à une gonzesse par soir. Monde injuste, je sais.
En tout cas, les nolifes peuvent s'enfermer indéfiniment dans la bulle qu'ils ont crée afin de lutter contre l'ennui et oublier leur condition, mais pas au point de ne pas voir la réalité ; lorsqu'ils vont, par exemple, sur Facebook - bien évidemment pour ceux qui ont Facebook -, ils ne peuvent pas s'empêcher de voir que les gens ont une vie sociale. Ils sont fiers de vanter les soirées qu'ils ont faites et postent tous les jours des photos d'eux, seuls ou avec leurs potes, mais toujours dans une optique de paraître et de superficialité. Ils ressentent une jalousie, maladive même, car il est dans le triste constat que certains croquent la vie à pleine dent pendant qu'il gâche sa jeunesse devant YouPorn et sa Playstation.
Mais, malgré sa condition, il peut toujours s'imaginer yeslife, se mettant à la place du yeslife dont il regarde le mur aux dizaines statuts par jour pour une centaine de j'aime et quarantaine commentaires en moyenne. Il peut se dire qu'il va, lui aussi, à la plage avec des potes, qu'il s'éclate, bronze, va dans une soirée, rigole, voit une belle nana, discutent, vont dans un coin et .... je n'en dis pas plus car le but de ce texte n'est pas censé faire bander qui que ce soit.
Il peut même, puisqu'on est dans l'imaginaire, après tout, se dire qu'il est en fait un type ayant une vie sociale bien remplie, une copine, attire tout le monde, un boulot de médecin touchant 3000 euros par mois, habitant dans une belle maison ; on peut aussi aller encore plus loin en s'imaginant être un milliardaire, se baladant d'aéroport en aéroport pour aller dans les plus grands hôtels de luxe avec sa bien-aimée ; ou même plus loin, être un milliardaire ayant une influence considérable avec une entreprise qui a révolutionné l'Histoire de l'Humanité. Il n'y a aucune limite dans l'imagination, surtout quand elle est débordante !
N'oublions pas quand même que tout ça reste provisoire. Une fois l'été fini, chacun reprend sa petite vie ; du moins, s'il y en a une. Je terminerais là dessus.
Le 19 juillet 2015 à 00:08:14 CielMenVeut a écrit :
1 127 mots + vous pouvez lock le topic, j'ai gagné et j'entends pas les rageux
Non respect des thèmes + dialogue stérile et insipide contrairement à la prétention de vanité et d'orgueil qui est bien grande chez toi . On rage pas sur un mec qui excrète une montagne d'excréments et plante un drapeau par dessus pour se vanter à quelle point il est fier de sa merde . Pathètique.
J'espère que je serais pris malgré le ton, c'est bien écrit original ?
Cool les mecs, c'est juste un petit concours amateur sans prétention...
Très cool TintinVagin.
Enfin un bon texte !
tintinvagin vainqueur ne vous en déplaise
J'aimerais bien participer. j'verrai si j'ai le courage
Le Junkie Mathématophile
«Et la marmotte elle met le chocolat dans le papier alu ! » s'exclama Amaury en fumant son joint de
haschisch.
Amaury Rastignac...cocaïnomane,morphinomane,plus gros dealer de marie-jeanne de tout le canton de Pithiviers-St Blaguin...
En cet été 2003 , Mau-mau avait une idée en tête,réaliser son reve de toujours...défier et battre Cilani Vedric,médaille Fields 1988 à un concours de tractions Gare du Nord.
Le père d'Amaury était lui aussi un mathématicien qui avait fait l'ENS,naturellement il avait déjà fréquenté Vedric à maintes reprises...Le camé demanda le 06 du matheux à son père.
Et vous savez quoi, Cilani accepta le challenge !
Amaury avait omis un détail, « CV » était un go-muscu...Le jour du défi fut fixé au 4 août 2003.
En pleine canicule estivale,46 degré à l'ombre,sous un soleil de plomb ,les deux opposants se rencontrèrent sur le parvis de la célèbre gare parisienne.
L'affrontement sportif tourna court, CV à la vue du toxico,lui mis un direct du droit dans la bouche.
Amaury se réveilla en sursautant.Tout cela n'avait été qu'un reve,une imagination de son esprit.Pas d'ENS,de maths,de médaille Fields...Il lui restait quand même son RSA et ses blagues sur Laurent.R
Complètement défoncé, Amaury s'exclama : Je vais raconter ce putain de trip sur JVC! Allons y !
?