Cool, je vais préparer mon texte !
alors quoi il y a pas de vainqueur ?
le prochain est en route jet
Hello, je serai peut-être intéressé à participer à une édition du "Master Writer" prochainement.
Juste pour être sûr le thème est "Perdu", n'est-ce pas ?
Jet pourrais-je essayé de faire un beau texte?
Car je veux m'inscrire mais si finalement j'ai pas d'inspiration je veux pas être obligé de faire un brouillon baclé.
Mais bref, je m'inscris
Je peux commencer à rédiger mon texte?
Y'a une date de fin precise ou je peux m'inscrire sans avoir à trop me presser ?
Naufragés du Pyaïl
Prologue -
Perdu, tel est le premier mot que j'ai dit à ma femme lorsqu'on s'est écrasé ici, en Océan Indien. Beaucoup de monde croient savoir la véritable nature de ce mot pas pas expérience, mais par insouciance du dédain de la société face au rejet des plus faible. Aujourd'hui je me rends compte à quel point le monde est pathétique...
Chapitre Premier -
Tout allait bien, on voguait vers l'Inde et puis... plus rien.
Ça c'est passé comme ça, et voilà où nous en somme aujourd'hui.
L'automne se fait sentir et arrive à grands pas, je me souviens du temps où nous marchions dans les bois ensemble et... amoureux.
C'était avant... Maintenant nous sommes ensemble simplement pour survivre dans cette île qui, décidément, ne cesse de nous faire souffrir de l'intérieur.
Elle, elle est déjà morte à l'intérieur, et ne fait que me rendre triste jour après jour...
Chapitre 2 -
Voilà 2 ans que notre bateau s'est écrasé ici, je deviens plus faible de jour en jour,.... Pyaïl, tel est le nom de cette île maudite.
On s'est construit un abri avec les restant du bateau et avons dormis mal, très mal, voir même qu'on a pas dormis de la nuit.
Trop de questions trottaient dans nos tête, allons nous un jour revoir nos amis, notre famille?
Les jours passèrent sans réponse et la tension montait entre ma femme et moi, elle devenait impatiente et piquait des crises à chaque dispute ou désaccord.
Chapitre 3 -
Ma femme me manque, elle n'est plus que l'ombre d'elle-même.
Je ne peux plus vivre comme ça, s'en est la fin...
Puisse la mort m'apporter le repos éternel...
Voilà j'espère que c'est pas trop mal pour un premier texte et je m'attends pas à gagner mais je trouve mon texte plutôt pas mal
Moi /
Je connais pas les règles et j'ai rien lu mais moi /
Ouh y a dsu monde c'est cool
Je repertorirais les participants certainement demain, et pour ceux qui veulent écrire, pas de soucis je pense sque cette édition durera une dizsaine de jours, et pour King, tu n'as qu'à écrire un texte sur le thème :perdu.
Le reste étant libre et tout droit sortis de ton imagination
J'ai commencé à écrire, je posterai peut-être demain soir.
Pareil. /
Moi mon texte est peu en avance mais bon
Oulaaa le mien est trop long oO je vais le baisser
Pas de souci horniron, la taille en soi est pas trop gênante, si l'hitoire est bien
Moi j'ai toute l'hitoire (et j'ai pas eu à réfléchir pour la trouver) mais il me manque encore de la coucher
Je m'inscris / En attendant ma correction sur le RP
Le Passage
Le petit garçon était triste.
Cela faisait plusieurs jours qu’il errait au milieu de l’océan calme et plat. Un océan qui semblait infini. Peut-être l’était-il réellement, qui sait ? Le petit garçon ne se souvenait même plus d’où il venait, ni comment il était arrivé là. Ces jours de vadrouille sur cette barque s’étaient probablement prolongés en semaines. Voire en mois. Peut-être en années ?
Il se leva puis s’assit à l’autre bout de l’embarcation en bois. Il alternait de place régulièrement afin de guetter l’horizon tout autour de lui, espérant trouver de l’aide. Sans succès.
Il bailla.
La nuit était tombé. L’océan noir contrastait avec le ciel embelli par une fresque étoilée . Le petit garçon avait déjà tenté de compter ces astres lumineux, mais c’était impossible car il y en avait beaucoup trop.
Sa tête se pencha doucement en avant, puis il ferma les yeux, tombant dans les bras de Morphée.
Soudain un bruit l’extirpa du sommeil. Il scruta les environs. Là ! À la lueur de la lune, il voyait une forme sombre à quelques mètres de son bateau qui semblait miroiter sur la mer noire. La chose s’approchait du petit garçon. Ou était-ce le petit garçon qui s’approchait de la chose ? Impossible d’en être certain, car rien sur cette étendu d’eau ne permettait de se situer. Toujours est-il que la chose arriva jusqu’à la barque en prenant soin de s’arrêter avec douceur.
Le petit garçon n’en crut pas ses yeux. C’était une cage ! Une magnifique cage à oiseaux en or, avec de fins barreaux se courbant gracieusement à leurs extrémités. Cela semblait être l’oeuvre de la Nature elle-même.
Dans cette ravissante cage se trouvait deux oiseaux : l’un était d’une blancheur éclatante avec sur son corps svelte de belles plumes effilées. L’autre était noir et semblait très malade car ses plumes était froissées et moins nombreuses. De plus son oeil gauche vitreux ne montrait plus signe de vie.
Le petit garçon prit la cage puis la posa à ses pieds.
-D’où venez-vous ?
L’oiseau blanc répondit qu’ils étaient venus le chercher. L’oiseau noir ajouta qu’il était temps de prendre une décision.
-Quelle décision ? demanda le petit garçon. Je suis sur cet océan depuis tellement longtemps que je ne sais plus où nous sommes. Je suis perdu.
L’oiseau noir affirma qu’il était inutile de leur demander, ils ne pouvaient pas répondre.
« Pour quitter cet endroit tu devras trouver la clé permettant d’ouvrir cette cage », expliqua l’oiseau blanc.
Mais que diable voulaient ces deux volatiles au petit garçon ? Ce moquaient-ils de lui ? Comment était-il possible de trouver un clé au milieu de cet océan ?
Il fronça les sourcils en croisant les bras. Il était hors de question qu’il plonge dans l’eau glacée, son père n’avait pas encore eu l’occasion de lui apprendre à nager donc... Oh !
« Tu es sur la bonne voie », signala l’oiseau noir. « Rappelle-toi. »
-Je me souviens maintenant ! J’ai des parents, une famille.
Qu’il était merveilleux de se rappeler de ses proches ! C’était la première fois que le petit garçon avait trouvé un souvenir dans les méandres de sa tête. Cela était suffisamment agréable pour l’encourager à en chercher d’autres. Étaient-ils cachés là, au fond de son esprit ? Malgré ses efforts il ne découvrit plus rien d’autre.
Il était dépité.
Les deux oiseaux lui conseillèrent de continuer à chercher pendant leur absence.
« Repose la cage sur l’eau s’il te plaît », exigea l’oiseau blanc.
Le petit garçon ne voulait pas quitter ces deux petites créatures, mais il savait qu’il valait mieux obéir, c’était le meilleur moyen de retrouver sa route.
La cage s’éloigna dans l’obscurité, disparaissant au-delà de l'horizon. Le petit garçon se rendormit.
Dès lever du soleil, il tenta de se remémorer ses souvenirs. Durant toute la journée il s’attela à la tâche, fermant les yeux et se concentrant sur les réminiscences brumeuses de ses parents.
Quand le soleil se coucha, le petit garçon avait pu rassembler d’avantages de souvenirs. Il se souvint de son père. Une voix grave. Une grosse barbe. Des mains rugueuses. Il adorait aller pêcher. Il se souvint également de sa mère. De grands yeux bleus. Une vois mélodieuse . Un doux parfum de lilas. Elle chantait souvent.
Des larmes coulèrent sur les joues du petit garçon. Étrange phénomène. Il s’endormit tout de même.
Lorsque la lune s’afficha fièrement tout en haut dans le ciel scintillant, la cage dorée s’approcha de nouveau. Même situation que la nuit dernière.
- Je me souviens de ma maison et de mes parents, marmonna le petit garçon. Mais nous habitons loin de la mer, je ne comprends toujours pas pourquoi je suis ici.
L’oiseau noir demanda s’il y avait un soucis lorsqu’il était à la maison.
- Bien sûr que non !
« Alors pourquoi es-tu ici ? », fit remarquer l’oiseau blanc.
Les deux volatiles repartirent.
Les jours se succédèrent ainsi durant très longtemps, sans aucun changement. Les oiseaux étaient systématiquement présents chaque nuit pour prendre des nouvelles des souvenirs du petit garçon, tandis que lui faisait travailler sa mémoire sous le soleil éblouissant. Il se souvint même d’une chanson qu’il fredonnait avec plaisir à chaque heure de la journée. Quel était le nom de cette chanson ? Comment la connaissait-il ?
Une nuit, l’oiseau noir demanda d’où venait cette chanson. Le petit garçon ne savait pas quoi répondre. Ah, c'est sans doute sa mère qui la chantait. Peut-être. Mais oui ! Elle chantait cette chanson tous les soirs lorsqu’il était au lit, pour lui faire oublier la maladie... La maladie ? Des amas souvenirs remontèrent soudainement.
Le petit garçon sentit un pincement violent dans la poitrine. Il se plia en deux et éclata en sanglot. La nouvelle était dure à réaliser. Désormais il se souvenait de tout, il savait pourquoi il était ici.
« Tu as enfin trouvé la clé », déclara l’oiseau blanc. « Prends-la et ouvre la cage. »
Le petit garçon sentit subitement quelque chose de froid contre sa poitrine. Il souleva son vêtement et vit qu’il portait une chaîne avec une clé en or au bout. Il l’ôta du cou, l’enfonça dans la serrure de la cage, puis ouvrit la porte dans un grincement aigu.
« Très bien, maintenant tu vas devoir faire un choix », expliqua l’oiseau noir. « Soit moi, soit l’oiseau blanc. »
- Quelle est la différence ?
« L’un est le bon choix, l’autre est le mauvais choix. À toi de décider. »
- Mais comment savoir lequel d’entre vous je dois choisir ? paniqua le petit garçon.
L’oiseau blanc lui répondit que le bon choix était évident.
Le petit garçon regarda attentivement les deux volatiles. L’oiseau noir était décidément très laid. L’oiseau blanc était splendide. Était-ce à travers leur apparence qu'il devait juger quel oiseau était le bon choix ? Sans doute. Il réfléchit attentivement. L'oiseau noir représentait surement la mort, l'oiseau blanc représentait la vie.
- Je choisis l'oiseau blanc.
Aussitôt l'oiseau noir prit feu. À peine le petit garçon eut-il le temps d'agir que la pauvre bête se trouvait au fond de la cage sous la forme d'un petit tas de cendre. L'oiseau blanc, lui, sortit de sa prison dorée et se posa sur l'épaule du petit garçon. Soudainement la barque semblait se déplacer.
« Il est temps de partir. »
- Où allons-nous ?
« Regarde derrière-toi. »
Il se retourna. Un paysage magnifique s'offrit à lui. C'était la terre ferme, là-bas, qui s'approchait de lui. Des falaises imposantes surplombait l'horizon, et malgré la distance le petit garçon distingua la verdure qui abondait. On pouvait presque entendre les oiseaux chanter et sentir l'odeur des fleurs sauvages. C'était splendide.
« Bienvenue à la maison », dit l'oiseau blanc.
Le petit garçon était heureux, il avait hâte de rentrer chez lui. Mais une dernière chose le tracassait.
- Quel était le choix de l'oiseau noir ?
L'oiseau blanc hésita, puis répondit :
« La vie. »
_______________
Voilà ma nouvelle.
Pour ceux et celles qui n'ont pas saisi le sens de mon histoire, le petit garçon est gravement malade, il est dans un état transitoire entre la vie est la mort.
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, l'oiseau noir représente la vie, vu l'état de santé du petit garçon. L'oiseau blanc représente la mort, car elle est libératrice et est une étape ultérieur et supérieur à la vie.
Malheureusement ( ou heureusement ? ) la mort était le bon choix pour le petit garçon, choisir la vie ne serait que retarder l'échéance vu son état de santé, même s'il ne se rend pas compte du choix qu'il a fait avant la dernière ligne.
Quant à sa mission qui consiste à retrouver sa mémoire, c'est un détournement poétique du fameux défilement de vie lorsque l'on est proche de la mort.
Celtz : j'aime bien ta nouvelle mais elle est courte c'est dommage :/ et y'a pas de dialogue (mais ca c'est pas grave parce que c'est bien ecrit )
Et Reptilis je suis tombé amoureuse de la tienne ! :o elle est super !! T'as eu une superbe idée pour le coma (si le garçon est dans ce cas ;) ) elle est top ! Je n'y trouve rien à redire u.u
Il avait chaud, il ne voyait rien et ne savait pas ou il était mais il n'avait pas peur, c'était... même une sensation agréable. Il ouvrit les yeux et cria "EH ! Y'A QUELQU'UN ?"
Pas de réponse...
Il décida donc d'avancer et d’essayer de trouver une personne qui pourrait l'aider. Il marchais, regardai partout autour de lui, mais ne reconnaissant rien. Tout était flou les immeubles autour de lui paraissait si loin mais en réalité n'était même pas à 5 mettre de lui.
5 hommes armés de kalachnikov sortirent d'un bâtiment, en parlant une langue qu'il ne comprenait pas. Ils sse rapprochèrent de lui et un des hommes lui dit :
- Noçrag titep al taif ut euq ec-tse'uq saim ?
- Je... suis ou la ? répondit-il pris de peur.
- REILPMET SED EUQRAM AL ETORP LI, NAIM CA RUS EDRAGER ! cria un des hommes.
Il pensait que l'homme voulait lui faire du mal, alors il se mit à courir immédiatement.
- SUSSED IUL ERIT !
- ESSOG NU TSE'C UOF SE'T SAIM !
- UOF NE'M !
Un des hommes pris sont arme et tira un balle dans sa jambe.
Il tomba sous la douleur de la balle.
Un des hommes se rapprocha de lui avec et un couteau et...
...
Tout était redevenu noir...
...
Puis, ça recommençait à éclaircir à nouveau.
Cette fois si une femme ce tenait devant lui... Et lui dit :
- Jerome, réveille toi, je t'ai préparé ton petit déjeuner.
_________________________________
Voilà ce que ça donne pour moi.
Je pense que vous aurez besoin d'explication alors n'hésitez pas à me poser des question.
Arf, je posterai la mienne demain, je ne l'ai pas encore finie.
Mais, j'admets que vos textes sont beaux, j'espère moi-même en être à la hauteur.
5 mars
Ça fait deux mois maintenant. Deux mois qu’on est ici. Deux mois que quarante-deux personnes survivent ici. A tous ceux qui auront ce message, nous sommes les survivants du vol Atlantic 518 à destination de Sydney. Personne n’est venu nous chercher. Personne ne sait que nous sommes perdus.
Je vais vous raconter tout ce qui s’est passé. Ça pourra peut-être aider.
Je m’appelle Derek Anderson, je suis médecin. J’ai pris l’avion avec ma femme, Lilly et mon fils de neuf ans, Josh. On allait à Sydney pour aller voir mes parents pour fêter Noël. On faisait souvent le trajet, au moins cinq fois par an. Mais cette fois-ci, tout ne s’est pas passé comme prévu.
Ça a commencé par des petites secousses, le pilote nous assurait que tout allait bien et que c’était normal. On était dans une grande zone de turbulence. Puis les secousses ont été plus fortes, à, chaque fois plus violentes et longues. Plusieurs personnes ont fait un malaise. C’est alors que l’avion chuta complètement, les masques à oxygène tombèrent du plafond et je tentais d’en attraper un. Mon fils n’arrivait pas à attraper le sien, je l’aidais, sans me soucier de ma propre survie. Et puis plus rien. Le noir total.
Je me souviens de m’être réveillé dans le sable. Je ne savais pas pourquoi j’étais là. Je ne savais plus rien. Autour de moi, le chaos, des cadavres jonchaient le sable. Il y avait des hommes qui demandaient à l’aide, des femmes qui pleuraient, quelques enfants qui agonisaient. C’est alors que j’entendis une femme. Elle criait un nom. Un nom qui m’était familier, «Derek» je crois. Mais je n’arrivais pas à faire le lien entre «Derek» et mon... Mon nom... Je ne m’en souvenais plus... Pourquoi étais-je ici ? Qui était cette femme ? Pourquoi tant de personnes sont mortes ici ? Plus loin, sur la plage, il y avait la carcasse d’un avion. Il s’est sans doute écrasé ici. La femme s’avançait vers moi, en pleurant. Elle me prit dans ses bras.
« Heu...Madame... Qui êtes-vous ?
-C’est pas le moment, Derek ! Josh est mal en point !
-Qui est Josh ? »
Je n’eut pas de réponse, mais la femme me prit le bras et m’emmena vers un petit garçon dont le visage était en sang.
« Tiens bon, Josh ! » Disait-elle
Je me mis vite en tête que Josh n’était autre que le petit garçon. Je décidais de l’ausculter.
« Papa... Tu vas me soigner ? Comme à ton travail ? »
Il m’avait appelé «Papa». C’était déconcertant, je ne me rappelais pas avoir eu de fils. D’ailleurs, je ne me rappelais de rien du tout. C’est alors que je compris, par déduction que j’étais à bord de l’avion, il s’est crashé, le choc était tellement fort que j’en suis devenu amnésique. Le garçon a dit que je le soignerais comme à mon travail. Je devais être médecin. Si c’était le cas, alors je devais compter sur mes réflexes pour le raccommoder. Il avait une grande entaille sur le haut de la tête.
« Madame ?
-Chéri, pourquoi...
-Excusez-moi, mais je ne vous connais pas, ou je ne me souviens plus de vous, mais il faut que vous gardiez un œil sur le petit pendant que je vais chercher de quoi le soigner, d’accord ?
-Je...Oui, d’accord...
-Merci. »
J’ai ensuite couru vers l’avion pour chercher le nécessaire, mais un moteur encore en marche explosa et me projeta à terre.
Une fois de plus, plus rien. Le black-out.
J’ai été atteint d’amnésie pendant plusieurs semaines, puis les souvenirs sont revenus. Mais on dirais que le monde entier est atteint d’amnésie : personne ne se souvient de nous assez pour venir nous chercher.
Ouah ! elle sont bien vos histoire comparé à la mienne.
J'arrive même pas à suivre le thème.