Ils sont sérieux quand ils écrivent ça ?
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[Coruscant, 1313ème étage, Cantina "Le repos du guerrier]

Le Klatooinien revînt avec une bouteille de vin algarine avec deux verres puis parti de nouveau vers son comptoir, ronchonnant quelques insultes à mon égard que je fis mine de ne pas écouter. Les quelques clients présents dans la cantina reprirent leurs discussions d'origine, ne faisant plus attention à moi. Alors que je commençais à me verser du vin dans mon verre, une silhouette entra à son tour dans le bar, s'avançant d'un pas assuré vers moi. Le barman s'interposa devant lui pour lui expliquer qu'ici c'était fermé mais l'homme ouvrit sa cape d'un mouvement sec, faisant pâlir pendant un laps de temps le propriétaire qui se poussa immédiatement de son chemin. L'invité se posa dans le siège en face de moi, arborant un large sourire.

"-Je vois que je suis attendu. S'esclaffa t'il en se servant à son tour du vin alors que je venais à peine de poser la carafe.
-Oui, en effet. Répondis-je en portant mon verre sur mes lèvres, ingurgitant délicatement un bon quart de son contenu. Un comble pour quelqu'un faisant parti des services secret de l'empire.
-Tu sais très bien que je peux te suivre sans me faire remarquer jusque dans ta chambre. Dit-Il en enlevant sa capuche, montrant par la même occasion son visage bleu et ses deux yeux rouges, caractéristiques appartenant aux Chiss.
-Allons Frasak, tu y parvenais seulement parce que je t'y avais autorisé. Souriais-je en buvant de nouveau mon verre. D'ailleurs, n'avais-je pas dit que c'était fini? Alors pourquoi t'ais-je aperçue en train de me filer depuis que je suis descendue de la navette?
-Oh rassure toi j'avais très bien compris le message. S'exclama t'il en finissant son verre. Non, si je suis ici c'est pour te proposer une mission qui pourrait nous donner un coup de pouce à tout les deux.
-Le grand "chasseur bleu" aurait-il besoin de son ex? Fis-je en finissant également mon verre, remplissant de nouveau nos deux verres.
-Malheureusement, mon équipe s'est vue réduite afin de couvrir un maximum de terrain dans toute la galaxie, et j'ai cruellement besoin de personnes compétentes pour m'assister. Répondit-il en ingurgitant d'un seul coup son verre.
-J'imagine que tu vas essayer de t'attribuer tout les lauriers de cette mission je me trompe? Qu'aurais-je donc à gagner?
-Une mission de contre-espionnage peut toujours appuyer ta candidature au titre de seigneur sith. Argumenta t'il en se servant un troisième verre alors que je venais tout juste d'entamer le mien.
-Peut-être... On commence quand?
-Mais tout de suite." S'exclama t'il en se levant, alignant plusieurs crédits sur la table avant de m'inviter à le suivre dehors.

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Mais c'est vrai au moins ce truc ?
Si c'est le cas, go me créer un personnage comme ça
Pour le torturer
Et pour l'aimer
Et le tuer

[Bastion; Prison]
 Nous avions tournés en rond plus d'un quart d'heure avant de tomber sur une porte encore non franchis.
 « Allez, j'espère que c'est la bonne, implora un de mes "alliés", il était très grand, le visage dur, et chauve.
 — Si derrière celle là, on ne peut pas sortir, je retourne avec les autres butter de l'Impérial un max avant de crever moi. » dit un autre.
 Je tirai sur le panneau de commande, et elle s'ouvrit.
 Là se trouvait un pont, pas très large, mais assez long, dans une sorte de passage entre deux secteurs. Il faisait tout noir, et le bout se perdait dans l’obscurité.
 Je commençai à franchir le pont, quand un des prisonniers m'arrêta en me tenant l'épaule, je m’apprêtais à riposter à une potentiel attaque.
 « Stop, me conseilla le prisonnier chauve. J'ai entendu dire, qu’entre chaque secteurs, le passage est fourré de pièges électroniques et... Organiques, dit-il avec dédain. Il faut en être sûr.
 — Bien... Je passe en premier, annonçai-je en reprenant ma marche. Nous verrons bien si tes dires sont vraies. »

 Nous marchâmes d'un pas lent, guettant le moindre signe, moindre mouvement. Le pont paraissait interminable ! Heureusement que certains prisonniers avaient pris dans la salle d'armement quelques lampes à faisceau.
 Il n'y avait aucun bruits, aucun signe de vie, ou de piège. j'entendais que le respiration des prisonniers. Mais rien d'autre. C'était à la fois, rassurant, et inquiétant.
 « Bien, je crois que finalement... »
 Je fus coupé par un cris surgissant des profondeurs. Un cris qui me fit glacer le sang.
 « Ho ! Hé hé ! Courrez ! cria l'un des futur rescapé, en poussant ses camardes de devant. Allez ! On va se faire bouffer ! Ou pire ! »
 Plusieurs des détenus crièrent, et nous commençâmes à courir, ne voyant toujours pas la fin du pont.
 Les cris se firent plus nombreux et plus proche. Nous courions le plus vite possible. Puis vint les premiers cris des détenus.
 « Ils nous attaquent !
 Puis une voix grave et rocailleuse s'ajouta aux cris de tout le monde.
 « Nourriture! Manger ! Nourriture ! Nourriture ! Manger ! »
 Puis l'une des créatures qui nous attaqués tomba sur le pont devant nous, et le pont tangua dangereusement.
 « Un Globblin !
 — Manger ! Manger ! Nourriture ! »
↓Une langue épaisse et monstrueusement longue sortit de la gueule du lézard, j'eus le temps de me baisser pour l'éviter, mais la personne derrière moi n'eut pas le temps, et fut attiré dans la bouche du monstre, et ce fut la fin pour lui.
 « Tirez, il faut se débarrasser d'eux dur le champs avant qu'il nous mange tous ! »
 Il m'obéir et tirèrent sur les lézards. Celui devant nous battit bite en retraite.
 « Cacher ! Cacher ! Manger ! »
 Ce fut la catastrophe, prit de panique, les lézards courraient de partout, tombant du pont, entraînant avec eux quelques malheureux.
 À plusieurs reprises, les lézards essayaient de m'engloutir, mais reportai indemne.
 Après avoir continuai de progresser sur le pont, nous vîmes enfin la sortie.
 « Ça y est ! On est libre les gars ! »

 Nous enfonçâmes la porte, elle céda, et nous déboulèrent dans une pièce éclairée.
 « Ne vous arrêtez pas, ordonnai-je aux autres. Ils vont nous suivre ! »
 Effectivement, les reptiles ne perdirent pas de temps et s'engouffrèrent à leur tour dans la salle.
 Une franchîmes une nouvelle porte, et je fus énormément déçu.
ß« Nous sommes dans l'hôpital ! Je n'y crois pas ! Osik ! Di'kulta de planète Impérial ! »
Nous nous éparpillâmes dans la grande salle de l’hôpital, cherchant désespéramment une sortie. À nos trousses les monstres. Plusieurs personnes de l'établissement furent mangées à leur tour, puis après l'alerte activé. Ce fut un vrai cauchemar.

 Les gents se bousculaient dans les couloirs trop étroit, créant des bouchons. Cela faisait aussi ralentir les carnivores qui avalaient les gents en une seules bouchés. Ils devaient être affamés les pauvres. Je souris. Et bien voilà votre repas, gratuit ! Je commençai à tiré dans la foule, vite accompagné par mes alliés.
 « Ça va largement nous faire gagner de l'avance sur eux ! Une chance que les soldats de l'Empire ne soit pas encore là ! En fait je m'appelle Gohphil, mais appelle moi Phil dit le prisonnier chauve.
 — Bien... Tu avais raison à propos de ces or'dinii de pièges.
 — Ouais. Ils sont vraiment sans pitiés ces Impériaux ! Des pièges électroniques, c'est une choses, mais des êtres vivants ! Ce n'est pas une façon de vivre pour ces pauvres créatures. Je n’imagine même pas quelles sont les autre créatures qui sont dispatchés dans cette prison ! »
 Il avait raison, les Impériaux étaient sans pitié. Mais malheureusement moi aussi je l'étais. Il ne savait pas qu'il n'était qu'un objet me permettant de sortir vivant de cette planète.
 Puis en y repensant, j'eus une boule au ventre. Connor avait-il pensé ça en mon égard lors de notre fuite de Tatooine ? Je secouais la tête pour oublier cela...
 Il fait partie de mon passé à présent, et mon passé ne doit en aucun cas me hanter !

 Je continuais ma course, ne pouvant m’empêcher d'avoir des remords sur se que j'avais fait, et sur la voie que j'avais choisis. Puis soudain, une pensée traversa mon esprit. Et Vaneu, était-il vivant ?
 Car J'avais rêvé de lui, il lui était arrivé un accident, mais était-il pour autant mort ? Il fallait que j'en ai le cœur net, et de plus en plus, une idée prit forme, c'était presque une obsession, qui me disait que Vaneu était ici, pas très loin, je pouvais presque... Le sentir...
Il y avait en moi quelques choses qui naquit, et qui me forçait presque à trouver mon... Mon frère !
Mes yeux s'écarquillèrent.
 La Force ! C'était elle ! Merik avait raison ! La Force pouvait parfois mon montrer mon chemin !...
Puis de penser à mon père, mon cœur se brisa...
 Mais pourquoi mon frère ? Pourquoi me conseillait-elle d'aller le chercher, alors que j'avais essayé de le tuer ? À maintes reprise... Mais mon esprit finit par ne plus réfléchir, et l'idée de trouver Vaneu prit le dessus.
 Et de voix chantèrent dans ma tête, une litanie de souffrance.
 Trouve Vaneu, et tue le ! Tue le et ton devoir sera accomplis ! Et vengeance assouvie !
 Non, il t'aideras ! ne le tue pas ! Il t'aidera !
 « Où vas-tu ? me lança Phil.
 — Je... Je sais où il faut aller. »

Mais... Mais c'est E.T man !!!!! Mec tu nepeux pas faire ça !! Si tu le fais, mon perso le kidnappera, et je le protégerais car ce sera l'un des derniers de son espèces

On les voit au sénat dans l'attaque des clones

J'ai trouvé mon nouveau compagnon alors !

Oui c'est un vieux clin d'oeil dans le film rien de grave

[Bastion]

-Je...

Le chevalier Vaneu n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'une alarme retentit dans toute la base.

-Quoi !? Que se passe t'il !?

Prower sortit son datapad,et chercha la cause.

-Capitaine !D'après nos informations,l'alarme vient de la prison de Bastion...il y a une émeute dans toute la prison...Quels son vos ordres capitaine !?

[Bastion]

- Je ne suis pas en état de me battre, Miles, voit avec la garnison du palais ce que vous pouvez faire !

Allez postez là !

Ouais, j'ai envie de savoir la suite moi

[Bastion]

- Je ne suis pas en état de me battre, Miles, voit avec la garnison du palais ce que vous pouvez faire !

-Bien Capitaine ! Au faite...j'ai malheureusement perdu mon sabre laser durant mes "vacances".Pouvez vous me prêter votre sabre jusqu'à que j'en ai autre ? Vous n'en avez pas besoin après tout...

Une vois dans ma tête me disait de le tuer et de lui prendre son sabre...pourquoi ?

Je me donna un coup discret sur la tête pour faire cessez cette vois.

Voix*
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[Bastion]

- Pardon ?
Perdre son arme son arme est déjà un acte grave en soit, mais que vous n’ayez pas jugé bon de vous en procurer un immédiatement après votre retour l’est encore plus.

• Tout en lui parlant, je ne pus m’empêcher de ressentir une présence familière liée à ce qui se passe dans le bâtiment. Une présence familière… mêlée à de la colère, de la rancœur…*

- Il est dans cette armoire, lâchais-je en la désignant du doigt, mais je vous promets que les vacances seront réellement terminées lorsque je sortirai d’ici, vous faites honte à l’Ordre des chevaliers impériaux, Prower.
Et faites gaffe, vous avez déjà affronté le responsable de la pagaille causée actuellement, essayez de ne pas trop en faire au risque de paraître, encore une fois, ridicule.

Ferme la

[Bastion]

-Et faites gaffe, vous avez déjà affronté le responsable de la pagaille causée actuellement, essayez de ne pas trop en faire au risque de paraître, encore une fois, ridicule.

J'accrochais son sabre laser quand la colère monta.

-Ridicule !? Bordel de merde

aaarrrg le fail

[Bastion]

-Et faites gaffe, vous avez déjà affronté le responsable de la pagaille causée actuellement, essayez de ne pas trop en faire au risque de paraître, encore une fois, ridicule.

J'accrochais son sabre laser quand la colère monta.

-Ridicule !? Bordel de merde je vous ais sauvé la vie en lui coupant les bras !! Vous en avez pas marre d'être comme ça !? Vous savez au moins ce que j'ai endurer quand j'ai pris congé !? Merde mais j'ai failli mourir ! j'ai perdu mon sabre alors que je croyais perdre la vie !!J'ai ce maudit oeil rouge que je vais certainement devoir garder toute ma vie ! Oui peut être que je suis pas fait pour être un chevalier impérial,pour vous je suis surement qu'un intello pas capable de garder un putain de sabre et de garder son sang froid mais moi au moins je casse pas les couilles aux gens !

Puis je partit.

Willy est trop véner !

[Bastion, Hôpital]
 Plus j'avançai dans les couloirs, plus cette terrible chanson était forte, et me disait de le tuer, mais aussi de l'épargner... Pour qu'il m'aide.
 Je fus à plusieurs reprises sujet de vertige, et je devais ralentir, afin de reprendre mes esprits.
 L'air était de plus en plus brûlante, pesante. Mes oreilles bourdonnaient, et chaque pas, j'entendais le sang battre dans mes veines.
 J'avais des difficultés pour respirer, j'étais en manque d'oxygène.
 Phil avait pris un autre chemin quand un des lézards avait surgit de nul part devant nous. Il s'en été occupé pendant que moi, je continuais ma route.
 Je ne savais pas où j'allais, perdu entre ces milliers de chambre de l’hôpital !... J'étais essoufflé, j’avais une forte envie de vomir, et des larmes coulèrent le long de mon visage.
 Puis quelque chose me força à m’arrêter devant une de ces innombrables portes.
 Mon cœur battit la chamade, je n'entendais que mon sang circuler dans mon corps, et je posais la main sur la poignée de la chambre.
 J'avais encore plus de peine à respirer et je ne voyais plus rien et la tête me tournais ! Mon cœur allait exploser !
 Avec un grognement faible, je poussai la porte, et soudain tout s'arrêta. Ce fut si brutal, que je perdis l'équilibre, et je du m'accrocher à la porte pour ne pas tomber.
 Tout tournais autour de moi, ma vu se rétablit, et je repris petit à petit mon souffle, et ma fréquence cardiaque se stabilisa.
 Tout redevint normal, et je vis qui se trouvais allongé devant moi.
 Mais malgré ma haine qui était imprégnée en moi, j'attendais, calme. J'étais encore piégé dans cette grave litanie.

allez là, maintenant que je post, personne n'est là !

Bah en même temps ils sont occupés à s'inscrire au new rpg de Thanator

Un autre RPG ?! c'est quoi ?