Merci.
Merci aussi
Dès mon retour à Rhudaur, je vis que la plupart des autres dùnedains étaient là. Ils rentraient tous de dures missions contre des orcs ou des hommes sauvages. Nous avions perdus un quart de nos soldats lors des attaques. Heureusement pour nous, les attaques se faisaient de plus en plus rares. Les ennemis se repliaient et nous ne faisions quasiment plus appel aux dùnedains. Je partis voir le commandant des dùnedains pour faire part du succès de ma récente mission à Bree. Il fut heureux d’ajouter une victoire de plus pour les dùnedains.
-Je suis fier de t’avoir à mes côtés, tes succès sont nombreux.
-Merci, mais sans mes soldats je n’aurais rien pu faire, ce pourquoi j’implore votre grâce pour me les renouveler.
-N’ais de craintes, voici tes soldats, je ne t’aurais guère laissé sans quelques guerriers pour accomplir la mission que je vais te donner.
- Justement, après toutes ses années de loyaux services, pourriez-vous me laisser maître de mon destin. J’ai cru comprendre que nous étions en position de force.
-En effet, nous sommes puissants pour le moment, mais pour combien de temps encore ? Vas où tu le souhaites, mais sache que si tu reviens, tu seras le bienvenu.
Sur ces mots, je partis, accompagner de mes soldats, en direction d’un endroit où la guerre éclatait et non d’un endroit où se trouvaient quelques révoltes animées par la cupidité.
L’endroit que nous cherchions se trouvait près de Minas Thirith, là où les hommes résistaient aux assauts fréquents des orcs ou d’autres créatures. La route jusqu'à la forteresse de l’arbre blanc était longue. Nous fûmes obligés de chasser pour nous nourrir, mais, nous autres les dùnedains, n’avons pas grands besoins de nous nourrir. Le temps était en notre faveur car seul de petites pluies se mettaient sur notre chemin. Il fallait arriver le plus tôt possible, ce pourquoi les déplacements étaient prioritaires. Nous ne dormions qu’une nuit sur deux et ne mangions qu’une fois par jour, au petit déjeuné. Puis, nous vîmes enfin les champs de Pélénor après de nombreux jours de marche. Nous entrâmes et fûmes impressionnés par les fortifications. Les citadins nous regardaient d’un air surpris, car rares étaient les rodeurs dans la cité blanche. Des cavaliers faisaient la ronde, ils étaient tous ordonnés et entrainés. Je les vis et intercepta l’un d’eux pour pouvoir le questionner.
-Pardonnez-moi de vous déranger, où se trouve le poste militaire ?
-Quatrième étage, à côté de la taverne du vieux Sidar.
-Je vous remercie.
Nous continuâmes notre visite jusqu’au quatrième étage, où se trouvait la taverne du vieux Sidar. Nous vîmes à sa gauche, un colossal bâtiment dont deux gardes de la fontaine gardaient l’entrée. Des statues se dressaient sur un couloir menant à une porte en bois avec un arbre blanc en métal argenté. J’ouvris la porte et vis un homme très occupé donnant des ordres à un autre homme. Lorsque cet homme partit, j’engageai la conversation.
-Bonjour, honorable homme de l’ouest, je viens de très loin, plus précisément de l’Eriador, pour pouvoir vous aider dans cette guerre.
-Toute aide nous est précieuse, mais je n’ai pas de temps à perdre avec des soldats incapables d’attaquer en terrain ouvert et périssant au moindre coup. Il me faut de forts guerriers qui ne vivent que pour défendre le Gondor.
-Refuser une pareille aide militaire pourrait vous coûter cher.
-Je ne suis pas le seul à combattre pour le Gondor, rendez vous en Ilthilien et cherchez le capitaine Faramir, il aura besoin de vous.
-D’accord, je pars, mais sachez que je dois avoir le double de votre âge donc évitez de parler d’une quelconque faiblesse stratègique ou guerrière.
Suite à cette discutions, je partis en direction de l’Ilthilien.
La route n’était pas très longue (aucune route n’avais l’air longue depuis que nous avions fait Eriador-Gondor), seulement cinq jours de marche furent nécessaires pour arriver proche du lac interdit, tous ces rodeurs gondoriens nous ressemblaient par leurs tuniques, la seule différence étaient leurs capuchons, que nous, dùnedains ne possédons pas. Les gardes nous laissèrent passer jusqu’en direction du lac interdit où se trouvait Faramir. Je m’approchai de lui et m’inclinai.
-Honorable capitaine, je me nomme Elegost, fils de Celetost de Rhudaur.
-Un homme ou un dùnedain ?
-Un dùnedain qui a fait tout ce chemin pour pouvoir vous servir, vous, et votre pays.
-Très bien, toute aide nous est chère et les missions, ici, coulent à flot.
-Je suis à votre entière disposition.
-D’accord, ici, les attaques se font nombreuses et nous devons garder un maximum de troupes dans cette foret. Seul peu de gibier passe par ici, et ils sont notre seule nourriture. Il nous faut donc quelqu’un qui aille chercher de la nourriture à Minas Thirith, c’est là que tes hommes et toi intervenez.
-Faites-moi confiance, je reviendrai bientôt avec bon nombre de vivres.
Faramir me confia la lettre à donner aux hommes de Minas Thirith pour recevoir les vivres nécessaires. Sur le chemin de la cité blanche une petite meute de loups nous attaqua mais, mis à part quelques flèches, nous n’eûmes aucune perte. Arrivé à Minas Thirith, je vis les hommes responsables des vivres et leur montra la décharge que Faramir m’avait donné. Ils comprirent tout de suite que se fut urgent. Ils me donnèrent, en plus des deux énormes chariots remplis de nourriture, quatre gondoriens pour la pousser. Quelle piètre idée eut l’homme qui me donna les vivres, l’odeur de viande sentait horriblement fort. La première journée se termina sans problème ; juste quelques écureuils cherchèrent à voler les noix se trouvant dans l’un des chariots. Nous étions tous déçus ; d’une, nous venions de parcourir en un jour ce que nous avions parcouru sans les chariots en une demi journée, de deux, les hommes qui portaient les vivres avaient besoin de dormir. Le deuxième jour, il n’y eut rien d’alarmant. Nous donnions les provisions dont nous n’avions pas besoin, aux hommes ou les mettions dans les chariots. Lors de la nuit, je discutai avec les hommes. Ils étaient assez robustes. Ils me dirent qu’ils pouvaient se battre si des ennemis arrivaient. Mes hommes et moi sentîmes une pourriture d’orc arriver dans notre direction. Tout le monde fût à l’affut, la nourriture fût entourée par mes hommes, ils avaient tous l’arc bandé, paré à toutes éventualités. D’un coup, cinq orcs sortirent de mon coté, je touchai l’un d’eux au cœur, ils étaient tellement mal équipé que ma flèche était entrée si profondément que seules les plumes empêchèrent la flèche de traverser complètement l’orc. Deux des dùnedains qui étaient de mon côté réussirent à toucher les orcs de leurs flèches. Un orc réussit à frapper un de mes dùnedains avec sa lame, mais un autre de mes soldats l’attaqua par derrière de son épée. Quant au dernier, je le décapitai à l’aide de Saysil. Nous étions prêts à encaisser un second assaut, mais il n’eut pas lieu, du moins, pas cette nuit. Nous enterrâmes le soldat dignement, comme le valait son sacrifice. Lors du troisième jour, nous entendîmes de petits cris qui semblaient venir de gobelins. En effet, nous vîmes de loin une petite grotte que nous décidâmes d’attaquer pour éviter qu’eux ne nous attaques. Je lançai un écureuil que nous avions tué par erreur, (croyant que c’était un loup) devant l’entrée de la grotte. Un gobelin imprudent sortit pour gouter l’animal et se retrouva une flèche dans la tête. A notre surprise, ce ne fût pas un gobelin qui s’en prit aux vivres… mais une quarantaine ! J’ordonnai à mes soldats de lâcher une volée de flèches sur eux. Il y eut huit morts ennemis lors de la première volée. Nous eûmes le temps d’enchaîner encore trois volées grâce à la distance qui nous séparait des gobelins. Lorsque les trois volées furent effectuées, seuls quatorze gobelins étaient encore en vie. Nous chargeâmes sur eux, je tuai un gobelin en plantant Saysil dans son ventre, un second en le décapitant et un troisième en lui coupant une jambe. Le sang noir recouvrait ma tête et celui de mes hommes. Cinq d’entre nous avaient péri, ils furent enterrés sur les lieux de la bataille. Nous nous remîmes en route. Les cinq jours suivant furent paisibles et calmes. Le huitième jour, nous tombâmes sur des haradrims éclaireurs. Ils devaient être une vingtaine et ils possédaient les mêmes armements que mes soldats (arcs et sabres). Nous les avions vus de loin, ils suivaient une route qui coupait la forêt. Mes soldats étaient de chaque coté de la route, prêts à tendre l’embuscade. Quand les haradrims se mirent à portée de tir, mes hommes firent feux. Quatre haradrims moururent. Ils tirèrent par rafales, là où ils pensaient que nous étions. Ils tuèrent trois de mes soldats grâce à cette manœuvre. Les volées de flèches furent partout jusqu'à ce que ni dùnedains, ni haradrims n’aient plus de projectiles. Ils étaient huit, et nous cinq. Nous combattîmes sur la route. Je tranchai la gorge de deux haradrims grâce à Saysil. Ils étaient cinq et nous deux : mon fidèle ami qui me suivait depuis ma première bataille et moi. Nous étions encerclés, dos à dos. Puis, vinrent nos sauveurs : trois des porteurs de chariots accoururent à notre aide, en tuant chacun un haradrim. Je tuai un des deux derniers et mon compagnon se chargea de l’autre. Ce compagnon s’appelait Delauras, il m’avait sauvé la vie bons nombres de fois, lorsque je me faisais attaquer par derrière. Nous continuâmes la route jusqu'à notre destination. Nous fûmes tous acclamés comme des héros pour avoir sauver les rodeurs de la famine. Dans ses chariots, se trouvaient aussi des framboisiers qui pouvaient envahir la terre de leurs rhizomes. Ils pourraient ainsi avoir un potager à entretenir qui devrait leur permettre de tenir. Sur le chariot, nous avions aussi mis la viande que nous avions chassée et les provisions de mes soldats morts. Ils avaient surement assez de provisions pour tenir plusieurs mois.
Khiliani
Un convoi d'or appartenant aux haradrims va passer non loin d'Umbar,bien qu'il appartienne aux hommes de l'est,on te charge d'en prendre possetion et de le ramener,massacre tout les soldats pour que nul ne puisse témoigner que ce sont des alliés qui ont attaqué par appat du gain.
Troupes:tes hommes
ennemis :10 cavaliers haradrims et 20 halebardiers.
Prend garde à ne pas laisser fuir les cavaliers !
Tes pertes risquent d'etre dure mais le trésor te permettra de trouver de nouveaux compagnons
Le soleil de levait doucement sur la cité d'Hironeiden,la plupart des habitants étaient couchés depuis bien lontemps et dormaient paisiblement.D'autres quittez les tavernes qu'ils occupaient depuis la veille et rentraient chez eux.Khiliani était endormi,lorqu'il fut réveillé par des bruit répétés sur la porte de sa demeure.il descendit et ouvrit,un homme de Curian était derrière:
-Qui es tu et que veux tu si tôt?demanda Khiliani.
-J'apporte un ordre du seigneur Curian.répondit-il.
-Qu'est-ce qu'il me veut?questionna Khiliani.
-Il faut que tu passe le voir,il te le dira lui même.répondit simplement l'homme.
-Très bien,j'arrive.dit Khiliani.
Khiliani remonta dans sa chambre et enfila un habit léger,prit sa dague et partit chez Curian.Khiliani passa dans la ville endormie sans un bruit et sa hâta chez Curian.Il arriva chez le seigneur de guerre et frappa à la porte.Un home vînt et questionna Khiliani:
-Qu'est-ce que tu veux?
-Curian m'a fait quérir.expliqua Khiliani.
-Tu es Khiliani,très bien,entre.dit le garde.
Khiliani fut mener à Curian par deux gardes.Le palais,que Khiliani n'avait pu voir que quelque fois était immense,des tapis de valeurs s'y trouvaient ainsi des des chandeliers précieux,des tableaux.La tentation de dépouiller Curian était grande,les risque aussi,car ce n'est pas avec une vingtaines d'hommes qu'il réussirait.Khiliani arriva enfin devant Curian:
-Ah,Khiliani,te voilà.dit-il.
-Vous m'avez fait quérir?demanda Khiliani.
-Oui,j'ai une mission pour toi et tes hommes.
-Et que devons no.....commença Khiliani.
-Ecoutes!interrompa Curian.Il y a des haradrims qui rapatrie leur butin de guerres dans un convoi.
-Et je dois les protéger,"seigneur"?demanda Khiliani.
-Non,je veux que tu les tue et que tu me ramène le chargement.expliqua Curian.
-Je dois attaquez nos alliés?s'étonna le sergent.
-Oui,je ne veux aucun témoin,c'est compris?questionna le seigneur du palais.
-Très bien,comme vous voudrez.acquiéça Khiliani.Où sont-ils?
-D'après les éclaireurs,ils passent par le fleuve Harnen et vont tout droit au Harad.
-Je pars sur le champs,attendez,et ma récompense?demanda le corsaire.
-Tu aura la moitié comme toujours.répondit Curian.
Khiliani quitta donc le palais et se dirigea vers la taverne,lieu où ses troupes aiment se rassemblaient de bon matin.Il entra et vit avec satisfaction qu'il y avit neuf de ses hommes,ill s'asseya auprès d'eux.Un homme se tourna vers lui:
-Ho sergent,vous allez bien?demanda l'homme.
-Oui..Il faut qu'on parte,on a une mission qui peut rapporter beaucoups.expliqua Khiliani.
-on doit faire quoi?questionnèrent les hommes.
-Je vous expliquerais en chemin,allez chercher nos dix autres compagnons et rendez vous au port.
Les hommes partirent donc exécuter les ordre du sergent.Khiliani alla chez lui et séquipa de son armure légère,prit son sabre et se rendit au port,il regarda la cité,car il était possible qu'aucun ne reviennent,les hommes de l'est sont de redoutables guerriers.Il attendit pendant près d'un quart d'heure,et enfin,ses hommes arrivèrent et montèrent tranquillement sur le navire.Khiliani ordonna à quatres hommes d'aller chercher les esclaves qui étaient enfermés tel des chiens dans des bâtiment sans fenêtre et extremement petit.Ils revînrent avec les vingt six esclaves et les installèrent à leurs postes.Les corsaire hissèrent les voiles et le navire commença sa longue route vers dans la baie de Belfalas et se dirigea vers l'embouchure du fleuve Harnen.Les voiles hissées,les rames en action,le navire mit trois jour pour atteindre l'embouchure du fleuve.Sur le point de débarquer,Khiliani rassembla ses troupes sur le pont:
-Mes amis,dit-il,une fois à terre,il faudra se diriger au sud vers le Harad.
-Et c'est quoi notre mission,sergent?demanda un homme.
-Nous devons prendre possession d'un convoi chargé d'or,tenu par les haradrims.expliqua Khiliani.
-Les haradrims,c'est nos alliés,non?s'étonnèrent les hommes.
-Oui,mais c'est un ordre.dit Khiliani.
Les corsaires restèrent silencieux et ancrèrent le navire du côté sud du fleuve.khiliani et ses hommes débarquèrent et se déplacèrent rapidement vers le Harad.Selon les traces,les haradrim avait deux jours d'avance,les corsaire doublèrent l'allure.Puis,ils traversèrent une forêt,et de l'autre côté,à la lisière de la forêt les hommes s'arretèrent.A moins de cinquantes mètres,le convoi avançait doucement.Il y avait bien dix cavaliers et vingt hallebardier.Une attaque de front est vouée à l'échec:
-On charge?demanda un homme.
-Non,j'ai un plan,dit Khiliani,on vas se faire passer pour des renforts,venez.
Sur ces mots,les corsaires se rapprochèrent du convoi.Un haradrim se tourna dans leur direction et appela les autres qui s'arretèrent aussitôt.Khiliani et ses hommes allèrent voir les hallebardiers:
-Que voulez vous,corsaires?lança un homme de l'est.
-Je suis le sergent Khiliani,d'Hironeiden et je suis envoyé en renfort pour vous escorter.
-Merci,mais ça ne sert à rien,personne ne pourra rien.dit l'homme.
-Selon des éclaireurs,le gondor rôde par ici avec une cinquantaine de soldats.expliqua le sergent.
-Cinquante!redemanda le haradrim,dans ce cas,venez avec nous.
Le convoi repartit donc avec dix-neuf hommes de plus.Les corsaire étaient nerveux,ils devaient tuer un maximum d'homme au signal qu'ils avait convenu.La marche continua pendant trois heures quand Khiliani montra une direction et cria:
-Gondorien!!!!
Tous les haradrim dégainèrent leur sabre et ragardèrent la direction sans rien voir.Pendant ce temps,les corsaires plantèrent leur sabre dans les corps haradrim le combat commença,six cavaliers était tombés dans le piège et avait péri ainsi que huit halllebardiers.khiliani engagea le combat contre un haradrim,il para sa hallebarde avec son sabre et lui entailla la main avec sa dague.L'homme lâcha son arme et dégaina une épée qu'il abattît sur le sergent.Khiliani l'évita et lui planta la dague dans le torse et il trancha la tête de l'homme.Pendant ce temps,deux corsaires périrent par un cavalier et quatre hallebardiers tombèrent dont trois par les archers corsaires.Khiliani attaqua le cavalier si dangereux.Le sergent jeta sa dague dans le cheval qui tomba immédiatement,envoyant son cavalier à terre.Khiliani ordonna au archers de faire feu,le cavalier tomba.Trois autres corsaires périrent par les hallebardiers qui n'étaient plus que sept.Les archers firent feu sur un autre cavalier qui périt.Les deux derniers cavaliers s'enfuirent.Khiliani ordanna aux archers de les tuer avant qu'ils soit hors de portée.Les archers bandèrent leur arc et firent feu,un homme tomba ainsi que son cheval et celui de l'autre.Le dernier des cavaliers s'enfuit à pied hors de portée.Deux archers prirent un cheval,dont le propriétaire n'avait plus rien à faire,et ils poursuivèrent l'homme.Cependant Khiliani venait de tuer deux hallebardiers et ses hommes en tuèrent quatres.Le dernier survivant s'approcha de Khiliani:
-Pourquoi?cria-t-il,pourquoi nous trahir ainsi.
-L'or.répondit Khiliani.
-Espèce de traître!lança le hardrim et frappant Khiliani qui para le coup
-C'est un ordre.dit-il en planta son sabre dans le haradrim.
Il tomba à genoux,Khiliani alla récupérer sa dague et l'égorgea.Les pertes étaient nombreuses,d'autant que les archers revînrent,l'un mort.Car le cavalier avait eut le temps d'utiliser un couteau de lancer avant de se faire abattre.Les corsaire enterrèrent leur mort et ramenèrent l'or au navire.Une fois sur le pont;Khiliani fit hisser les voiles et ils purent repartir vers Hironeiden avec la même tentation qu'avant:
-Sergent,Curian nous envoi trahir nos alliés,pourquoi ne pa le trahir lui,demandèrent ses hommes,partons vers l'est.
-Mes amis,dit Khiliani,si un jour nous trahissons Curian,il faudra le tuer pour en finir et nous ne sommes pas assez nombreux.
Le navire continua donc vers la cité,la nuit tombée,la journée avait été dure,six hommes en moins.Une fois à quai,les hommes ramenèrent le trésor de guerre au palais.Khiliani alla faire son rapport et prit sa parrt qu'il distribua à ses hommes.Ensuite,comme après chaque mission,ils se rendirent à la taverne.Là,ils purent oublier cette jounrée pendant quelques heures.Khiliani engagea des corsaires afin de combler ses pertes et offrit:
-Une tournée gnérale!!
Bilan mission:Six corsaires en moins qui furent remplacer avec l'or gagné.dix cavalier haradrims morts,vingt haradrims à pied morts.Aucun fuyards n'a réussit.Un butin d'une important valeur.
pour vaut missions.
Content qu'elle t'ai plu et effectivement,tu as fait une belle mission dark_bad.
sinon,ben j'attend ma note et ma troisième mission
Ta mission aussi Khiliani est splendide!
Pourrait-on me noter et me donner la mission qui me fera passer sergent en chef.
slt les nouveaux !
eh bien dit donc, ça poste ici, je laisse le fofo 2 jours et ya 5 pages de plus, bravo les gars.
Bon moi j'ai du mal sur ma mission, et en plus demain c'est la rentrée, dur dur...
Et ça commence à être le bazar ici avec les notes les missions et tout les participants.
PS: chaos-warrior t'es pas sur DOW Dark Crusade en ligne, par hasard ? Et tu jouerais pas le chaos, armure noire avec bordure rouge ?
Et oui, ici, on travaille très dur.
Heu,non je ne connais meme pas DOW
Tandem tu dois me donner une mission,gros panda !
En parlant de donner des mission, chaos, tu peux m'en donner une s'il te plait?
Attend d'avoir ta note pour ca,faut pas que Gogeta accumule trop de retard mais apres ce serra avec plaisir
Ok, vivement son retour alor. Mais il revient toujours à 19 h donc j'ai le temps.
Hmmm,dans ses conditions,donne moi une mission et je t'en donnerai une
Perso, j'suis pas très doué pour donner des mission, j'en ai jamais donné. J'ai peur de faire une connerie.
je peut en donner une
Alors n'hésite pas morgomir
Perso:Adrian
camps:mercenaire,donc je sers les deux camps
Je suis actuellement en Rohan !
ok bon
mission pour chaos-warrior
3 drakes de feu sont sortient des mont brumeux en se moment meme ils menacent un camps de nain ils ont besoin de toi va z y vite ta recompense sera superieur car les nains ont du mithril ils te proposent ça en echange de repousser ces drakes de feu
ton armee = toi et tes hommes et 10 lanceurs de hache nain
armee malefique = 3 drakes de feu dont deux avec armure lourde et des embuscades de gobelin . ces embuscades sont frequentes mais il n'y a pas beaucoup de gobelin a la fois
drake de feu = dragon ne sachant pas encore voler mais il peuvent cracher du feu
si tu arrive a sauver les nains ta recompense sera 1000 pieces d'or et 5 armures de mithril legere mais efficace
je crois que je n'ai rien n'oublier si elle ne te plait pas tu me le dit
et moi, tu peux m'en donner une s'il te plait?