Tu auras ta mission Akeros
Bon, faut que je fasse mon lit moi... ^^
Non, il n'y a aucun délai a respecter. As tu Word? Il pourrait t'aider à repérer tes fautes.
Gimli, t'as une mission ?
Le correcteur word est pas terrible, il corrige que les fautes d'ortho, et il en a pas fait beaucoup.
ben il aide en partie c'est déjà ça .
Et oui je pars que mercredi pour finir donc je poste surement ce soir mon histoire avec les gobelins .
Morgomir, y faut pas seulement faire le nombre juste de ligne pour avoir la moyenne, y faut aussi que ton texte ai du sens et qu'il soit bien ordonné....
CC merci pour ton commentaire sur la facon dont une personne doit savoir écrire... Mais toi y faut à peu près autant de temps pour les écrire que pour les lire !! Mdr
Gauthier, je te supplie a genoux ( j'ecris a genoux la ), passe moi une autre mission que celle qu'il m'a été confié avec pititjean
Flaanel reçu sa mission pour laquelle il receverat plus de 13000 euros ( je sais pas quel est la monnaie dans sda ).
Ces hordes arrivèrent a coté d'Edoras et preparèrent le terrain :
"-Ce n'est point le moment de dormir soldat, dépéchaient vous nous avons une missions. " dit Flaanel.
Pendant les derniers préparatifs , le seigneur de l'estfolde arrivait a 500 m d'Edoras.Flaanel emflama ses flèches pour disperser les chevaux et les affoler:
"-Soyez rapide et precis . Commença Flaanel: Attention , attention ... Archer elimination !" hurla le sergant.
Deux nuages de flèches apparurent ; les rohirims , criblaient de carreaux, décendirent de cheval et se firent attaquer par 15 assayant . Les marchants horrifiés par la situation ,s'enfuirent , mais Flaanel les a vue et il ne manqua pas une seules de ses cibles; apres que les rohirims furent tués Flaanel engagea un duel avec le seigneur de l'estfolde .
Les soldats du sergant ricanèrent et se moquèrent du seigneur ( qui se battait comme un hobbit ); apres l'amusement Flaanel lui trancha la tête en un seule coup d'épée . Ils fouillerent toutes les caravenes et volerent tout les biens des marchants et prirent leurs femmes en esclavages et brulerent leurs fils et filles . les corps ont été donné au loup comme festin.
Flaanel alla réclamer son dus au seigneur dunedain qui été tres content de lui . l'alcool coula à flos toute la nuit mais Flaanel n'avait pas le coeur a festoyait il pensait plutot a sa prochaine mission ou il se dit qu'il devait gagner plus et se ranger dans les camps du mal pour plus d'argent et de richesse... Il fini par ne plus penser à tous ça et s'amusa avec une jolie fille toute la nuit pour oublier tous ce qui le tourmente .
Le lendemain matin le seigneur dunedain réclama la présence de Flaanel , il lui dit :
"- Pourquoi je t'ai engagé Flaanel ?
- Pour elimer le seigneur de l'esfolde et de laisser aucun temoin ,pourquoi mon seigneur ?
repondit Flaanel
-Mais tu ne l'as pas fait il reste des marchants qui ont survécu a ton attaque ils ont racontés que c'etait moi qui t'avait engagé ; je veut voir leur tête sur des piques demain a l'aube . Ils sont a Edoras tu devras t'introduire dans la cité et éliminer tous ces marchants .
-Oui , mon seigneur . " Et il se retira
Flaanel alla avec les hommes qui etaient à sa disposition à la nuit tombée :
"-Vite , éliminait ces trois gardes en haut a gauche puis envoyait une corde " expliqua le sergant .
Ses hommes executèrent les ordres et ils se retrouvèrent tous dans la cour centrale. Il avait 5 cibles à eliminer 2 dans la tour nord , 1 dans la tour sud et 2 autres dans le palais ; ils commencèrent par la tour du sud . Ils réusirent tous à entrer et tuèrent les 2 cibles sans bavures . Ensuite , la tour du nord a été plus délicate, 2 hommes sont mord a cause d'un archer du rohan planqué dans une meurtrière .
" -Bon vite il faut que nous nous echapions apres ce massacre qu'il va y avoir dans le palais ; Karsh et Ornil allez chercher des chevaux les autres avec moi !" ordonna le sergant !"
Les soldats firent ce qu'il dit ; les archers postés tirent sur les gardes et les tuèrent ;les marchands ,eux,prirent peur et fuirent en direction de la sortie mais 2 hommes les attentaient ; ils capitulérent sans résistance . ils ont été capturés , puis emmené et tués plus loin .
Ils prirent les tetes et les mirent sur des piques qui ont été donné au seigneur dunedain .
mission : complètes , mais deux hommes sont mords .
C'est la meme mission avec des lignes entre les paragraphes oO'
Et il lui faut du temps pour s'adapter .
Bon aller je vais être clément en voilà une autre...
-Sauron en a marre que t'acceptes pas les missions qu'il te donne et il envoit ses armées pour t'anéantir...
Armée ennemie : 35 000 orcs accompagnés de 1000 trolls en armures, 15 000 haradrims et 500 ouarges comme éclaireurs.
Armée alliée : toi, et deux solats qui n'ont pas déserté mais qui pisse dans leur pantalons...
ou
-Saroumane veut la destruction d'un petit village fortifié. Il t'envoie un de ses sergents pour t'épauler.
Armée ennemie : 30 archers du rohan (dont 15 sont dans trois tours de garde) , 10 guerriers et autant de cavalier que tu veux du moment que sa bastonne.
Armée alliée : toi, tes hommes et un des sergent de Saroumane qui peut éventuellement crever à la fin (pas d'obligation sur ce point et tu peux choisir son nom .
ou (et oui encore)
-Des espions se sont introduits en Isengard et ont volés des documents sur la poudre qu'utilise Saroumane. Ils se sont réfugiés dans un village du coin. Tue-les tous et récupère les documents. Détruit aussi les preuves de ton passage.
Armée ennemie : 10 rôdeurs très bien entrainés, 30 gardes du villages, 5 cavaliers du Rohan qui passait par là, et un vingtaine de villageois (t'en fait ce que tu veux, comme d'habitude quoi).
Armé alliée : toi, tes hommes.
merci gauthier
Je prend la premiere
Je vais tous les massacrer
Je pense plutot prendre celle du village fortifié
ben oui vous m'avez demandé d'etre plus clair alors j'ai fait plus clair
Un matin, me réveillant, je trouve une lettre sur ma table de chevet. Elle contient ceci :
‘Un voleur à la solde de Sauron s’est emparé d’une amulette de grande valeur appartenant aux nains des Monts de Fer. Il a été aperçu fuyant vers le Rhun. Retrouvez-le et tuez-le avant qu’il n’arrive à sa destination. La récompense est de 30 pièces d’or.’
Je me lève, m’équipe et descend boire un thé accompagné d’une tranche de pain. Ensuite je me rends à la volière pour envoyer des messages à mes hommes. Ils me rejoindront dans quelques heures à l’auberge. Quelques heures plus tard, tout mes hommes étaient là, assis et buvant une bière. Je les faits donc monter dans ma chambre et leur explique la situation. Je leur dit que nous partagerons la récompense. Nous descendons ensuite et préparons nos équipements et chevaux. Nous devons atteindre le Sud-Est de Rhovanion avant l’aube. Avec un peu de chance nous pourrons tendre une embuscade à ce fameux voleur.
Nous partons donc en début d’après-midi, au galop. Le soir, nous nous arrêtons et un de mes hommes revient avec deux sangliers fraîchement tués. Nous les faisons grillés puis les dégustons, cela rapidement. Nous repartons une heure plus tard, toujours au galop. Soudain, nous entendons ce qui semble être des orientaux faisant la fête, buvant et se gavant de viande. Dans la nuit, il est beaucoup plus facile de les tués. D’autant plus qu’ils sont saouls. Je poste donc mes hommes tout autour de leur campement, et leur dit de se préparer à décocher le plus de flèches possible au moindre problème. Je prépare mes lames et m’approche furtivement du campement. Deux orientaux sont entrain de se saouler à l’écart du groupe. En me voyant arriver, ils éclatent de rire et boivent une nouvelle chope de bière. Je m’approche alors d’eux, leur demande si ils peuvent me donner un peu de leur bière et ils éclatent de rire de plus belle. Je fais alors glisser ma lame de ma manche et la plante entre les deux yeux de l’un des deux rigolos, l’autre ne rigole plus. Mais juste avant qu’il ne se mette à crier, je lui mets la main sur la bouche et lui tranche la gorge. Une fois les deux compères éliminés, je m’approche un peu plus et remarque un orc, plus vigilant, qui ne boit pas. Ce doit être lui, ce doit être le voleur. Il rentre dans une tente, qui semble bien gardée. Il y a trois orientaux devant plus un warg attaché. Les autres orientaux font toujours la fête, insouciants de ce qu’il va leur arrivé. Je me mets alors à crier et d’un coup, des flèches se plantent dans ces sacrés rigolos. Je sors alors mes deux dagues, dit à mes hommes de venir à l’attaque et commence ce qui semble être un beau carnage. Je cours, glisse sous les jambes d’un des orientaux, lui tranche les talons, il tombe. Une flèche se plante dans sa bouche. Il tombe, cette fois raide mort. Un autre me fonce dessus, je lui tranche un bras, puis l’autre, et fini par lui mettre ma dague en plein ventre. Un de mes hommes vient de succomber au combat. Je me relève et vois l’orc se dépêcher de monter sur le warg, il va filler. Si il atteint le Rhun, c’est fini, les nains ne reverrons jamais leur tablette et je ne verrais pas ma récompense. J’enfourche alors un cheval, laissant mes hommes retenir les orientaux. Je me lance donc à la poursuite de l’orc voleur, qui tient la tablette comme si c’était des centaines de pièces d’or. Je me rapproches, lance un de mes couteaux dans la patte du warg ce qui le ralentit mais il reste encore trop rapide. Tant pis, c’est dangereux mais je tente. Je me mets debout sur le selle du cheval et m’apprête à sauter sur le warg. Allez, go. Je saute alors et m’accroche à la selle. L’orc essaye de de me faire tomber, mais ça ne marchera pas. Je sors ma lame cachée et lui transperce la bras, il lâche alors le warg. Nous tombons alors tout les deux. Moi sur lui, j’enchaîne les coups de poing, très rapidement. Il tombe vite dans les pommes, je récupère mon dû et fini par lui trancher la tête.
Je reviens ensuite au camp des orientaux, à cheval où se déroule un horrible spectacle. Mes derniers hommes sont à terre, ils agonisent. Il ne reste plus qu’un orientaux. Je l’interpelle, il fonce sur moi. J’évite sa lance puis lui tranche la tête. Je me dirige ensuite vers le corps de l’un de mes hommes qui me supplie de l’aider. Je l’achève. Je les achèves les uns après les autres. Ils seront morts au combat. Je n’aurais rien pu faire pour eux. Telle sera la version des faits. Je rentre finalement, la tablette en main. Le voyage de retour aura été long et fatiguant mais une fois arrivé chez les nains, avec la tablette, j’étais heureux. Je venais d’être accueillis en héros, j’eu droit aux meilleures bières existantes ainsi qu’à de délicieux porcs. Quand on me demanda où étaient passés mes hommes, je répondis avec tristesse qu’ils y étaient restés. On me remit alors la somme de 30 pièces d’or, une nouvelle dague et un cheval. J’étais comblé.
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L'Allemagne reste la meilleure !
sympa l'histoire, pas très long mais très efficace: action, stratégie (un ptit peu) et pas beaucoup de fautes d'orthographe.
voila ma mission libre que j'ai mis une semaine ou deux à écrire.
Mission libre à Aradhrynd, la capitale des elfes de Thranduil.
Equipement à gagner: armure lourde de gardes Khazad, cotte de Mithril, hache à deux mains.
Les Halls de Thranduil.
Le voyage s'était bien passé jusqu'à Aradhrynd, la capitale du royaume elfique de Mirkwood. Le trajet s'était révélé sans encombres, et en voici la fin.
Sigmin le nain pensait voir une gigantesque cité dans les arbres, ressemblant au campement d'Arafin qu'il avait visité, mais il s'étonna quand le sergent elfe, qui l'accompagnait, lui annonça qu'ils étaient arrivés.
-Où ? Je ne vois pas ces mallorns géants que vous les elfes utilisez comme demeure.
L'elfe rit, puis lui dit:
-Eh bien, c'est une exception pour nous les elfes, bien que vous pourrez voir quelques demeures elfes parmi les arbres environnants, mais notre cité, la seule du royaume, est sous terre.
-Sous terre ? s'étonna le nain.
-Oui, comme vos demeures, maître nain. Aradhrynd a été construit sous les montagnes de Mirkwood quand mon peuple a du fuir un grand péril -trop grand pour que je vous en dise plus sur le sujet pour le moment-. Mais sachez toutefois qu'un port a été construit sur le Long Lac, et qu'une partie de la cité surplombe le plan d'eau. Comme on dit, les images parlent mieux que les mots, alors plutôt que de vous en parler, je vais vous montrer notre capitale.
Devant eux s'étendaientt les montagnes de Mirkwood, et à leur pied on pouvait voir le Long Lac, où était suspendue Esgaroth, la cité des marchands construite sur des pilotis à la surface du lac.
Arafin mena sa compagnie et celle des nains vers la montagne la plus proche. Il leur fallut une heure pour l'attendre, et une fois arrivés, des elfes furent envoyés pour chercher l'entrée de la cité, creusée dans le flanc de la montagne. Ils revinrent cinq minutes plus tard, accompagnés d'un elfe armé d'un arc et portant une flûte. Il était vêtu de vêtements sombres, tout comme sa cape, qui était aussi recouverte de végétation. La sentinelle, car s'en était une, vous l'aviez sans doute deviner, était grande, belle et froide. Son visage était dure comme la pierre, et ses cheveux blonds descendaient jusqu'à ses bras. Il ne fit pas attention aux nains, ni même aux elfes, sauf à Arafin, à qui il fit de signe de le suivre. Les deux compagnies se mirent en branle (pas de jeux de mots pourris svp) et marchèrent jusqu'à à arriver à un arbre très feuillu où les attendait la sentinelle. Puis, sans un mot de bienvenue, elle se mit tourna face à l'arbre et commença à jouer de la flûte (du pipeau comme disent les gars de GW). C'était une mélodie belle et lente, digne des elfes, et qui accélérait progressivement. Les nains écoutaient avec contentement, heureux d'entendre à nouveau de la musique. Et même les elfes sylvestres semblaient joyeux, car il n'était pas dans leur habitude de jouer d'aussi étranges mélodies. Et en effet, la mélodie était étrange, car au fur et à mesure que le rythme accélérait, les branches de l'arbre se mouvaient de plus en plus vite. Au point important de la mélodie, on vit l'arbre « s'écarter » littérallement de sa place, ce qui laissa découvert l'entrée d'un tunnel. Les nains étaient ébahis, et quand la mélodie diminua d'intensité et de rapidité, l'arbre s'immobilisa. Arafin invita ses compagnons rangers à entrer dans le souterrain, ce qu'ils firent bien volontiers, trop heureux de retourner sous terre, même s'ils n'étaient pas chez eux. Le sergent elfe saisit une fiole qui produisait de la lumière, et trois autres elfes firent de même. Puis la mélodie de la sentinelle -restée dehors- reprit, et l'arbre regagna sa place, obstruant l'entrée du tunnel. Celui-ci était haut de plafond -environ trois mètres- et suffisant large pour que cinq nains de bonne consistance puissent marcher côte à côte sans se toucher. Par contre on ne voyait pas l'extrémité du tunnel, et un elfe particulièrement habile sous terre, du nom d'Isindir, leur indiqua qu'il fallait franchir une porte spéciale avant d'arriver à la cité elle-même. Les nains demandèrent comment était cette porte, mais l'elfe refusa de leur répondre, leur demandant un peu de patience. Les deux compagnies reprirent leur route pendant quelques temps avant d'arriver à la fameuse porte. Sigmin s'étonna, car il ne voyait devant lui qu'un mur de pierre, semblable à une falaise, qui bloquait le passage. Puis Arafin approcha sa fiole du mur, et de fines lignes argentées commencèrent à se dévoiler, au fur et à mesure que les elfes promenaient leur fiole sur le mur. Quand ce fut fini, on pouvait voir une arche et des piliers, semblables à une porte, ainsi que des inscriptions elfiques sur le pourtour.
-« Parlez, ami, et entrez » leur traduisit le sergent elfe.
-On raconte que les portes du royaume de Khazad-Dum sont...commença Sigmin.
-Identiques, oui je sais, le coupa Arafin.
-Comment le savez-vous ? demanda le nain, passablement agité. Nul elfe n'a jamais foulé le sol de ce royaume.
-Je vous expliquerais plus tard, si vous le voulez bien.
Sigmin se calma, puis le sous-officier elfe prononça quelques mots dans sa langue. Et là, ce fut remarquable: le mur sembla se briser en deux, de haut en bas. Mais c'était belle et bien la porte, et on en voyait l'ouverture, maintenant. Quand les portes furent totalement ouvertes, les nains s'avancèrent prudemment, exhortés par Arafin. Quelques mètres plus loin, le passage s'élargissait pour s'ouvrir sur une salle, où on pouvait voir des elfes. Certains étaient debouts, montant la garde derrière des barricades, d'autres s'entrainaient au maniement de leur lame elfique, mais la plupart se reposaient, allongés en cercle autour d'un cercle de lumière, qui provenait d'un puit creusé dans le plafond. A ce moment-là, tous les elfes présents, sauf la compagnie d'Arafin, se retournèrent pour dévisager les nains. Un des gardes s'adressa au sergent elfe dans leur propre langue, et il paraissait tendu et mécontent. Mais voici leur conversation, pour ceux que cela intérèssent:
-Pourquoi avez-vous amenez des nains ici ? commença le garde.
-Ne vous inquiétez pas, ce sont des amis, répondit Arafin.
-Des amis ?! Comment des nains peuvent-t-ils être des amis des elfes ?
-Ils m'ont sauvé la vie, à moi et à ma compagnie, et pour cela ils méritent notre amitié. De plus, ce sont des émissaires du Roi Sous La Montagne, Daïn Pied-de-Fer, et ils sont venus pour rencontrer notre propre roi, alors laissez-les passer ! Continua le sergent elfe, commençant à s'énerver.
-Je veux bien les laisser passer, mais ils devront laisser leurs armes ici, et seul leur capitaine pourra rentrer dans Aradhrynd pour rencontrer Thranduil.
-Laissez moi leur expliquer cela.
-Bien. Je vous attends.
Arafin se retourna vers Sigmin -et se pencha- et lui parla dans le Language Commun.
-Le garde veut bien vous laissez passer, mais vous devrez laisser toutes vos armes et vos armures ici, et vos compagnons ne pourront vous suivre dans la cité, ils resteront dans une salle proche de celle-ci.
-Bien, mais je parlerais à votre roi de la façon dont vous nous accueillez, dit-il, haussant le ton pour que la garde l'entende.
-Je lui dirais aussi, car je vous accompagnerais, il vous faudra un guide et je dois moi-même voir le roi.
-Je vous remercie, maître elfe.
Puis Sigmin se tourna vers le garde et s'inclina tout en souriant, marmonnant quelques injures dans sa langue maternelle. Il expliqua la situation à ses hommes -ou nains c'est mieux non ?- puis confia le commandement à Filin. Le sergent nain s'avança en compagnie de son homologue elfe, et confia ses armes -arc, hache de combat- et son armure à un elfe qui les emporta et les rangea dans un coffre avec tout le respect qu'il pouvait avoir pour des objets nains (c'est-à-duire pas beaucoup). Puis ses rangers firent de même et on les conduisit dans une salle de repos à côté de celle où ils étaient. Sigmin dut suivre un elfe, accompagné par Arafin, et se dirigea vers la sortie principale, qui leur permettrait de rejoindre la cité en elle-même. Le sergent elfe avait demandé à sa compagnie de rester avec les rangers nains, pour leur tenir compagnie. De plus, certains, à l'image de Sigmin et d'Arafin, s'étaient liés d'amitié, ce qui leur permettraient de rester ensemble. Filin souhaita bon courage à son supérieur, et lui remit le rouleau de parchemin qui contenait la demande de relations entre Erebor et Mirkwood, écrite par Daïn lui-même. Les deux sergents ne marchèrent pas longtemps avant de rentrer dans la cité, car tout d'un coup, tout devint plus lumineux. Sigmin cligna des yeux tellement la lumière était forte, car il était juste avant dans un tunnel sombre. Quand le sergent fut habitué à la lumière, il ouvrit grand les yeux, ébahi, devant la capitale des elfes sylvestres. Une grande salle, aussi géante que Cavenain, s'ouvrait à Sigmin. La lumière venait d'un grand puit creusé dans le plafond et sortant à l'air libre, haut dans la montagne. En Lorien, Caras Galadhon était construite parmi les arbres, son nom signifiait d'ailleurs « Forteresse d'arbres ». Ici, malgré le fait d'être sous terre, il y avait aussi des arbres, mallorns et autres. La plupart des habitations étaient construites autour ou dans ces arbres, mais on pouvait voir quelques constructions sur le sol. Une seule structure dépassait les mallorns et surplombait cette ville: le Palais de Thranduil. Merveille d'architecture, ce palais a été bati en deux parties: une surplombant Aradhrynd, et installée dans des arbres, l'autre partie dans la montagne, comprenant un réseau de tunnels bien éclairés joignant de multiples salles souterraines. Ces salles étaient utilisées comme réserves pour la plupart, mais on trouvait aussi les cuisines, les chambres d'amis réservées aux nains, mais on les utilisait surtout comme refuge - à l'image des Cavernes Scintillantes au Gouffre de Helm- pour les civils si l'Ennemi entrait dans la ville. Dans la partie «aérienne», dans les arbres, on trouvait les appartements privés de Thranduil, ceux des invités - elfes, hommes et hobbits- qui préféraient dormir dans les arbres, il y avait aussi la salle du trône, la salle des réceptions ( si on pouvait appeler ça une salle, car elle était à l'air libre) et aussi quelques salles de repos, la bibliothèque et les jardins suspendus d'Aradhrynd. Sigmin était toujours admiratif, et Arafin s'en amusait. Puis il lui demanda de le suivre:
-Suivez-moi, maître nain, nous devons au plus vite rencontrer mon roi, vous pour votre mission diplomatique, moi pour les attaques à la frontière. Je vous ferais visiter la cité plus tard si nous en avons le temps.
-Allons-y, mon ami, répondit le sergent nain.
L'elfe mena son compagnon à travers la rue principale de la capitale sous la montagne. Sur leur chemin, ils croisèrent quelques elfes, qui saluèrent Arafin mais qui se méfièrent de Sigmin, étant un nain. Une fois repartis, le petit dit au grand:
-On dirait qu'ils n'aiment pas trop les nains ici. S'ils savaient ce que nous avons fait pour votre peuple.
-Ne vous inquiétez-pas, maître nain, ils savent ce que votre race a apporté a la nôtre, et ils s'en souviendront toujours. Seulement on ne voit pas beaucoup de Petites Personnes dans cette cité, et seuls les plus vieux et les plus sages des nôtres étaient là lors de l'édification de la ville, et ils sont pratiquement les seuls à vous considérer comme des alliés et des amis. Je crois que cette demande de renouer les relations entre nos deux peuples va être bienvenue, car elle prouvera que les nains veulent eux aussi établir une amitié durable avec mon peuple.
Tout en parlant, les deux sergents s'approchaient des portes du palais. Celles-ci étaient gardées par deux sentinelles en armure dorée, et qui portaient une lance, avec accrochées dessus deux petits fanions bleus et verts brodés de fils dorés. Les plaques de leur protection étaient finement ouvragées, en forme de longues feuilles plates, et protégeaient le torse ainsi que les cuisses. L'armure venait recouvir une cotte de mailles de la même couleur, qui elle descendait jusqu'aux chevilles, et protégeait ainsi tout le corps du guerrier. Venaient renforcer cette protection un casque -toujours doré- avec une petite corne sur le devant, et une cape verte -qui n'était pas tellement une protection. Ces protections dorées renforçaient l'impression de puissance qui se dégageait des sentinelles. Et heureusement que ces elfes voulaient bien les laisser passer, car Sigmin n'aurait pas été de taille à les affronter, qui plus est à mains nues. Les lances se décroisèrent, et les portes s'ouvrirent. Les gardes ne les regardèrent même pas. Les deux sergents franchirent les portes et furent accueillis par un grand elfe.
-Nous vous attendions, maître nain, dit-il. Je me nomme Celdior, et je suis l'intendant de Sa Majesté. Celle-ci vous attend dans la salle du trône, vous et le sergent Arafin.
Sigmin était étonné du fait qu'on l'attendait ici, mais, tandis qu'il marchait vers la salle en question, il n'osa pas parler à Celdior, ni à Arafin.
Le trio arriva aux portes de la Grande Salle. Celle-ci aussi était gardée par des gardes vêtus de la même façon que ceux de dehors. Mais ici il y en avait quatre, et leur cape étaient rouge. Ils décroisèrent leur lance et ouvrirent les portes quand l'Intendant s'avança. Celui-ci s'avança dans la salle, suivis par les deux sergents. Sigmin était époustouflé par la beauté de ces lieux: une grande salle où les piliers étaient des troncs d'arbres, et la charpente et le toit, des branches et des feuillages. Les murs semblaient être d'écorce, et le sol était en bois, gravés de motifs elfiques, s'entrelaçant et se perdant sur les colonnes et les murs. Entre les piliers et au fond de la salle -qui n'était pas bien grande-, il y avait une estrade et plusieurs marches, elles aussi recouvertes de motifs, qui menaient au trône du roi de la Forêt Noire. Et le roi était sur son trône. Au fur et à mesure qu'il s'approchait, Sigmin le distinguait de mieux en mieux: grand, au cheveux blond descendant jusqu'aux bras (comme tout elfe qui se respecte), et aux yeux verts. Sur sa tête était posée une couronne de feuilles. Il était vêtu d'une grande cape verte recouvrant ses vêtements de grandes coutures, vert eux aussi, et brodés de fils d'or. Il avait juste une paire de chaussures elfiques toutes simples, sans ornements. On disait aussi qu'il avait toujours du lembas -le pain de route elfique- dans ses poches, et à côté de lui était posée sa lame elfique, rangée dans son fourreau, ainsi que son arc et son carquois.
Arrivé tout près de Thranduil, Celdior s'inclina. Sigmin et Arafin firent de même.
-Monseigneur, dit-il, voici le nain Sigmin, fils de Hirin, porteur d'un message du Roi Sous La Montagne, Daïn II Pieds d'Acier, Seigneur d'Erebor. L'accompagne le sergent Arafin, chargé de la surveillance de la frontière et porteur lui aussi d'un message, toutefois plus urgent.
-Eh bien, que ce soit lui qui commence à parler, car à mon avis ce n'est pas une bonne nouvelle, et on dit toujours: « les mauvaises nouvelles avant les bonnes, que l'ont puissent se consoler un peu »..
Ainsi p arla Thranduil, d'une voix forte et claire, qui résonna dans la salle.
-Monseigneur, j'apporte effectivement de mauvaises nouvelles, déclara Arafin. L'Ennemi a passé notre frontière, une fois de plus, et il amène avec lui des rejetons d'Ungoliant.
Thranduil avait un air grave en apprenant cette nouvelle. On entendit aussi des murmures sur les côtés de la salle, et Sigmin remarqua la présence d'une dizaine d'elfe, tous aussi richement vêtu que le roi, et qui discutaient entre eux sur la déclaration d'Arafin.
-Ce que vous nous annoncez là est grave, dit Celdior. Si les orques et les araignées remontent encore plus dans le Nord de la Forêt Noire, ils peuvent menacer nos familles. Il faudrait renforcer une fois de plus nos frontières avec d'autres groupes de surveillance. De plus, les attaques des Gobelins ont repris à la frontière Nord, et nous manquons de guerriers pour repousser les offensives.
Thranduil ne disait rien, réfléchissant sur la situation actuelle. Puis il déclara:
-Ne nous préocupons pas de ça maintenant, car nous avons un invité qui doit aussi nous apporter des nouvelles, qui, je l'espère, seront meilleures. Je vous en prie, maître Sigmin, parlez !
-Je remercie Sa Majesté de m'accueillier dans son palais. Je vous apporte un message de mon roi, Daïn II d'Erebor.
Puis il sortit le parchemin, le déroula puis déclama:
« Moi, Daïn II, fils de Nain, Roi du Peuple de Durin, Seigneur Sous La Montagne, aux Pieds D'Acier, Descendant de Durin Ier, Maître d'Erebor et des Monts Solitaires, s'adresse au roi du royaume sylvestre de Mirkwood, Thranduil fils d'Oropher, premier Seigneur de la Forêt Noire. Moi, Daïn, demanda le rétablissement des anciennes routes commerciales entre Aradhrynd et Erebor, afin de renouer les relations amicales entre elfes et nains. Bien sûr, nous restons ouvert à toutes autres propositions, demandes d'aides militaires, financières, conseillères, et nous nous ferons un plaisir de vous aider, si besoin en est. En espèrant recevoir des réponses, nous vous saluons, roi Thranduil, et nous vous adressons nos plus sincères remerciements. »
-Merci, maître nain, de cette annonce, répondit le roi elfe. Je ne peux, vous comprendrez, vous donner une réponse tout de suite, car je préfère y réfléchir, et puis les attaques à la frontière me semble plus pressante. Je vais donc vous laisser, mon intendant s'occupera de vous.
Sur ces mots, il indiqua d'un geste son intendant qui les attendait, Sigmin et Arafin, à la sortie principale. Arrivés près de lui, Celdior leur dit:
-Je vais vous montrer vos appartements, maître nain, ainsi que ceux de vos compagnons qui sont venus avec vous.
-Ils ne doivent pas rester au poste de garde ? demanda le nain, interloqué.
-Non, notre roi préfère accueillir les sujets du Roi Sous La Montagne dans son propre palais, vos guerriers pourront ainsi rejoindre vos semblables déjà présents ici.
-Il y a déjà des nains ici ? s'étrangla Sigmin.
-Oui, une trentaine de soldats sont arrivés il y a quelques jours, avec pour ordre de se mettre sous votre commandement une fois votre mission diplomatique réussie. Et comme je crois que cette mission est réussie, vous dirigez à présent une cinquantaine de nains, si je ne m'abuse.
-Effectivement, mais si ça ne vous dérange pas, j'aimerais beaucoup les rencontrer.
-Ne vous inquiétez pas, maître nain. J'ai aussi envoyé quelqu'un récupérer vos affaires et guider vos rangers jusqu'à leur nouvelle chambre.
-Je vous en remercie, seigneur elfe, répondit le nouveau promu sergent-chef Sigmin.
Puis Celdior sortit de la grande salle, suivit par le nain. Arafin les avait quitté quelques minutes auparavant, car il devait s'entretenir avec le roi Thranduil à propos des attaques aux frontières. Les deux personnes travèrsèrent une passerelle pour arriver dans le flanc de la montagne, à l'entrée d'un tunnel.
-Voila l'entrée d'un réseau de galeries et de salles. Vous avez le choix pour votre chambre, vous pouvez en prendre qui s'ouvre sur ce côté de la montagne, sur le palais de Thranduil, ou alors il y a des appartements qui donnent dehors, sur la pente au-dessus du Long Lac, où la rivière qui traverse cette immense salle rejoint le plan d'eau.
-Où sont logés les nains qui sont déjà arrivés ? demanda simplement Sigmin.
-Eh bien, nous avons mis à leur disposition une salle commune ainsi que plusieurs chambres à plusieurs lits. Vos rangers seront logés au même endroit, car il y a suffisamment de lit pour une centaine de personnes.
-Je vous remercie de votre hospitalité, seigneur elfe, mais sans vouloir vous offenser, je préférerais dormir avec mes compagnons, car nous sommes toujours ensemble, et jamais je n'ai passé de nuit sans eux depuis plusieurs années.
-Je comprends, maître nain, et nous ferons comme bon vous semble. Je demanderais donc aux pages d'apporter vos affaires dans la salle où sont logés les guerriers, et vos rangers vous rejoindront là-bas aussi. Je vous y conduis maintenant, suivez-moi.
-Allons-y ! lança le sergent nain.
L'elfe entra dans le tunnel, prenant une torche à l'entrée et l'allumant. Suivit par le nain, il marcha dans les galeries jusqu'à à arriver devant une double porte en bois. Sur les côtés et au-dessus de la porte, de grands piliers de pierre étaient gravés de runes naines.
-Ce sont vos ancêtres, quand ils ont construit ces demeures, qui ont gravé ces runes, elles disent...
-Que cette salle sera réservée à ceux de notre peuple qui seront invités ici, répondit Sigmin.
-Oui, effectivement, maître nain.
voila c'était ma petite histoire...^^
Bilan: mission réussite (étonnant, non), un mort tué par des gobelins, ces mêmes gobelins tués juste après.
Pertes neutres: 7 cloportes, 2 araignées, 1 mouche et trois coquelicots.^^
Les pauvres
ouais trop triste pauvre mouche
N'oublie pas les coquelicots