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Skull and Bones
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Preview Skull and Bones : remontada ou naufrage en vue pour l’arlésienne pirate ? On y a enfin joué !
Profil de meakaya,  Jeuxvideo.com
meakaya - Journaliste jeuxvideo.com

Nouvelle date de sortie pour Skull and Bones. Mais cette fois-ci, pas de report à l’horizon. Mieux encore, on a enfin pu poser la main sur le jeu d’Ubisoft. Cinq après notre dernière épopée sur les eaux de l'océan Indien, Skull and Bones a bien changé. Mais alors, qu’est-ce qui ressort après ce long et chaotique développement ? Il est temps de livrer nos premières impressions moussaillon !

Skull and Bones : remontada ou naufrage en vue pour l’arlésienne pirate ? On y a enfin joué !

Skull and Bones est probablement l’un des jeux les plus attendus au tournant de ces dernières années. Dans le genre, on a déjà eu Dead Island 2 et Cyperbunk 2077. Leur point commun ? Un développement particulièrement long qui suscite forcément de grosses interrogations. C’est d’autant plus vrai de Skull and Bones qui a subi de nombreux reports, sans doute liés à son développement chaotique entre départs, affaires et reboot. Ainsi, depuis nos gaming live de 2018, il n’y a pas que la rédaction qui a viré de bord : Skull and Bones aussi. C’est pourquoi c’est le cerveau rempli de questions et de curiosité que nous avons répondu présent à l’invitation d’Ubisoft. Au programme : visite du studio, interviews avec les développeurs et, surtout, une session de jeu de plus de deux heures. De quoi vous délivrer un premier avis sur ce jeu dont on ignorait presque tout. Orage, calme plat ou trésor à l’horizon ? Voici notre preview de Skull and Bones.

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La fin des Caraïbes, vive l'Océan Indien !

Avant toute chose, un petit récapitulatif s’impose. Skull and Bones est un jeu service de pirates pensé pour le multijoueurs. Au programme ? Monde ouvert, action RPG en co-op, bataille navale et une plongée unique dans l'Océan Indien et son histoire grandement liée à celle de la piraterie. Quand on pense pirates, on pense principalement aux Caraïbes. Il faut dire que de nombreux grands noms de la piraterie ont régné sur les eaux caribéennes et des œuvres de pop culture ont grandement participé à populariser leurs exploits. Et pourtant, ce ne sont pas uniquement sur ces eaux que les pirates ont déferlé du 17e au 18e siècle. Et c’est pour nous le rappeler que Skull and Bones a choisi de nous emmener dans les alentours de la cité-état qui l’a vu naître : l'Océan Indien.

Skull and Bones : remontada ou naufrage en vue pour l’arlésienne pirate ? On y a enfin joué !

Résultat, on se retrouve avec des paysages luxuriants et variés. De la côte africaine aux paradisiaques Indes Orientales, en passant par des îles aux décors de cartes postales comme Madagascar, tout est fait pour vous laisser un souvenir visuel impérissable. Graphiquement, le jeu est d’ailleurs très beau. On salue tout particulièrement le rendu de l’eau, plus réaliste que jamais grâce à la technique élaborée et perfectionnée au fil des années par le studio Ubisoft Singapour (technique dont il est d’ailleurs très fier). Qui plus est, le tout tourne magnifiquement bien puisque nous n’avons pas rencontré de problèmes de ralentissements ou de bugs. Reste à voir si cela sera toujours le cas avec plus de joueurs connectés. Ce rendu visuel plaisant, il est couplé à un sound design riche qui participe grandement à l’immersion du titre. Outre les petits sons omniprésents en jeu, on retrouve également de nombreux chants de marins (30 au lancement du jeu), dont certains ont été créés spécialement pour l’occasion. Forcément, ça joue beaucoup sur le plaisir que l’on prend à découvrir ce nouvel univers.

Skull and Bones : remontada ou naufrage en vue pour l’arlésienne pirate ? On y a enfin joué !

Car oui Skull and Bones propose bien quelque chose de nouveau. Bien que l’idée soit de donner une visibilité nouvelle aux “pirates du pacifique”, ils ne sont pas vraiment présents en jeu. En fait, l’histoire s’inspire de récits, de personnages, de légendes urbaines, mais c’est tout. A priori, il ne sera donc pas possible de croiser des personnages historiques dans Skull and Bones. Un choix que l’on peut comprendre mais qu’on ne peut s’empêcher de trouver bien dommage. Surtout que ça aurait peut-être empêché le titre de tomber dans les clichés et poncifs habituels des pirates sans merci et arrogants que sont Scurlock et les autres forbans de Saint-Anne. Malgré une ambiance bien retranscrite, on a donc eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire proposée par Skull and Bones. Mais à vrai dire, ce n’est pas si grave puisque la promesse est avant tout de nous proposer un jeu reposant sur quatre piliers davantage liés au gameplay : un monde-ouvert pirate, un action RPG en co-op, un arsenal d’armes navales et un jeu service. Et pour relier tout ça, il y a un point central : le navire.

Skull and Bones : remontada ou naufrage en vue pour l’arlésienne pirate ? On y a enfin joué !

Ohé ! Du bateau !

Si un certain Jack Sparrow met un point d’honneur à être qualifié de capitaine, ce n’est pas pour rien. Pour un pirate, avoir son propre bateau c’est signe de grandeur, de richesse, de réputation, de renommée… Alors dans un jeu où le but est justement de faire croître votre réputation (ici niveau d’infamie), c’est forcément votre bateau qui va symboliser votre avancée. Certes, vous pouvez personnaliser votre pirate avec tout un tas de paramètres agréables et le vêtir de vêtements de plus en plus chers et tape-à-l'œil. Il est également possible d’accoster et de se balader dans les ports et autres repaires de pirates afin d’accepter des missions ou contrats. Mais on ne va pas se mentir, le gros du gameplay de Skull and Bones se passe en mer.

Skull and Bones : remontada ou naufrage en vue pour l’arlésienne pirate ? On y a enfin joué !

Votre bateau, c’est un peu votre second vous. Vous pouvez aussi le personnaliser, que ce soit de façon purement esthétique ou au niveau de l’approche de combat. S’il existe trois archétypes de bateaux (tank, DPS, support), il est également possible de placer telle ou telle arme à tel endroit afin de favoriser les attaques rapides de côté ou les coups éloignés par l’avant. Tout est là pour que votre bateau soit vraiment VOTRE bateau. On a eu le droit à un tout petit aperçu de ce côté personnalisation mais vu ce que nous ont montré les équipes, il y a vraiment de quoi rendre votre navire magnifique. Et ça, c’est une motivation certaine pour passer de longues heures à rassembler les meilleures ressources et ainsi s’offrir les plus beaux éléments cosmétiques.

Mais le bateau n’est pas qu’un physique, il a une fonction. Et cette fonction, c’est de vous faire vivre la vie de pirate. Une fois que vous embarquez, vous devenez votre navire. Points de vue différents, poussée du vent… Tout est fait pour rendre votre croisière aussi intéressante que possible. Mais on s'ennuierait peut-être un petit peu sans ce qui constitue une grande partie du gameplay de Skull and Bones : les batailles navales. C’est simple, surtout si vous avez déjà joué à Assassin’s Creed IV : Black Flag ou à un autre AC proposant ce genre de gameplay : vous voyez un bateau, identifiez sa provenance et sa cargaison ; vous l’attaquez à coups de canon, vous attendez que votre équipage recharge, vous continuez jusqu’à ce qu’il coule et vous pouvez même tenter un abordage (sans gameplay dédié néanmoins) ; et enfin vous ramassez le loot qui est tombé à l’eau. Si jamais vous perdez, vous perdez votre cargaison et devez revenir sur le lieu de votre défaite pour le récupérer. Ça ne révolutionne pas la roue, on a déjà vu la plupart des mécaniques proposées mais le gameplay reste fun, accessible et maîtrisé. Rien de nouveau sous le soleil de l'Océan Indien mais le voyage vaut largement le détour.

Skull and Bones : remontada ou naufrage en vue pour l’arlésienne pirate ? On y a enfin joué !

Seule (grosse) ombre au tableau : la répétitivité du titre. En plus de deux heures, on s’est principalement contenté de faire le pigeon voyageur. “Ramène-moi telle ressource ! - Ok pas de souci je vais couler un ou deux navires et je reviens.” C’est assez logique dans ce genre de jeux, mais Skull and Bones n’a pas réussi, sur cette courte introduction, à nous proposer une seule mission marquante et/ou vraiment épique. Cela ne veut pas dire qu’il n’en contient aucune, mais ça nous laisse forcément un goût assez amer et quelques inquiétudes.

Surtout que nos interviews avec les développeurs n’ont pas réussi à vraiment nous rassurer sur la direction que va prendre le titre au fil des heures. Même les quelques mécaniques ajoutées ici et là ne semblent pas s’inscrire dans une véritable direction réfléchie. C’est un peu comme si chacun, au fil du temps et des postes, avait joué sa partition sans se soucier de celles des autres. Si le potentiel est là, on a vite l’impression de se retrouver en pilote automatique dans un monde qui n’a pas de réelle vision d’ensemble. Reste à voir si c’est juste dû à l’aspect “grand tuto” des premières heures ou si c’est un ressenti qui nous suivra tout au long de l’aventure. D’ailleurs, c’est très difficile de se faire un avis sur un jeu comme Skull and Bones (entendez par là un jeu service en co-op) avec si peu de temps de jeu. On émet donc des réserves tout en espérant qu’elles seront balayées au cours de notre prochaine session.

Skull and Bones : remontada ou naufrage en vue pour l’arlésienne pirate ? On y a enfin joué !

Un jeu vraiment pensé pour le multijoueur ?

En revanche, on a des inquiétudes plus certaines sur l’expérience multijoueur. On l'a évoqué, Skull and Bones a principalement été modelé pour être joué à plusieurs. Et c'est assez plaisant d'arpenter les eaux avec un camarade le temps de quelques heures, de s'entraider sur les pillages, de tenter des coups un peu plus risqués… Mais voilà, il y a quelques petites erreurs de conception qui rendent l'expérience bien moins agréable que prévue. Se retrouver bloquer sans pouvoir valider une quête le temps que notre coéquipier, qui est à l'autre bout de l'océan, rentre jusqu'à Saint Anne et visionne enfin la même cinématique que nous ou se voir refuser certains objectifs sans raison apparente, ça a de quoi frustrer à la longue non ? Il manque une certaine cohésion dans l'avancement des missions réalisées à plusieurs et pour un jeu pensé pour être savouré ainsi c'est assez déroutant…

Skull and Bones : remontada ou naufrage en vue pour l’arlésienne pirate ? On y a enfin joué !

Notez d’ailleurs qu’il est possible de vivre l’aventure Skull and Bones en solitaire. D’ailleurs, l’intérêt de jouer en équipe ne saute pas forcément aux yeux au cours des premières heures. Lors de notre session de jeu, on aurait largement pu arpenter les mers en solo, ça aurait même été plus fluide vu les couacs que nous avons rencontré. Et d’ailleurs, c’est le choix qu’ont fait la grande majorité des journalistes présents lors de l’événement. Se dire qu’il n’est pas venu à l’idée de la plupart des testeurs de jouer en équipe pour un titre qui a normalement été pensé pour ça, c’est tout de même assez inquiétant quand on y pense. Est-ce que Skull and Bones a raté le coche ? Pas vraiment puisqu’outre les couacs rencontrés, on s’est plutôt bien amusé sur le jeu et on a saisi le potentiel de “jeu fun et plein d’action à faire entre potes”. Surtout qu’on peut facilement justifier ces choix par une envie d’avancer le plus vite possible pour voir un maximum de choses pendant le temps qui nous était alloué. Mais forcément, ça pose un peu question... Quoi qu’il en soit, l’expérience multijoueur a encore une belle marge de progression. Et cela ne nous aurait à vrai dire pas tellement dérangé, si une grande de partie de la promesse de Skull and Bones ne reposait pas sur cet aspect et si les équipes n’avaient pas eu des années de peaufinage et de phases de test pour réparer un peu tout ça.

Skull and Bones : remontada ou naufrage en vue pour l’arlésienne pirate ? On y a enfin joué !

Et là est le problème également. On l’a dit, Skull and Bones est attendu au tournant. On est naturellement plus sévère avec un jeu qui a pris tant de temps à sortir. À quoi bon les reports et les reboot si c’est pour nous fournir une expérience peu mémorable ? À quoi bon tout ce temps passé pour un contenu assez maigre ? Et si encore une fois nous avons vu peu de choses, sur le papier aussi il y a de quoi grincer un peu des dents. Seulement deux repaires de pirates, deux personnages vraiment importants, dix bateaux différents… Difficile d’y voir un contenu généreux pour le lancement. Reste à voir ce que le programme post-lancement nous réserve et s’il nous abreuvera rapidement de nouveaux contenus. Entre vrai potentiel et réelles inquiétudes, on se contentera donc d’un “à voir”, en attendant d’en savoir plus.

Skull and Bones : remontada ou naufrage en vue pour l’arlésienne pirate ? On y a enfin joué !

Nos impressions

Vous l’aurez compris, notre session de jeu nous a laissés comme perdu entre deux eaux. Si le potentiel de fun et de voyage est bien présent, on est resté avec un arrière-goût un peu amer en bouche : le sentiment que Skull and Bones n’exploite pas assez les différentes possibilités qui s’ouvrent à lui. Mais on est tout de même curieux de s’y replonger, ce qui est plutôt bon signe pour un jeu du genre. Simple besoin d’en voir plus ou perspective d'un véritable horizon radieux ? Difficile de trancher pour le moment. Et oui, il va falloir (encore) être patient !

L'avis de la rédaction
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Commentaires
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Troof87 Troof87
MP
Niveau 13
le 12 janv. à 11:11

rien à attendre d'Ubisoft depuis bien longtemps...

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