Allongé dans mon lit, je réfléchissais. Enfin… en toute franchise je me torturais l’esprit plus qu’autre chose. Mes yeux étaient fixés sur le plafond et je tentais de me souvenir de la moindre de mes actions, pour voir si je n’avais pas commis d’erreur. Si cela avait été le cas, cela aurait été le moment ou jamais de me rattraper. Nina prenait sa douche, je pouvais donc toujours changer quelque chose…
Bientôt, le bruit de l’eau qui coule cessa, m’indiquant qu’elle avait terminé. Quelques instants plus tard, mon corps se changea : elle avait dû prononcer la formule. Je n’avais pas bougé de place, lais j’étais redevenu un garçon. Ça fait un bien fou de retrouver son vrai corps. En fait, on a le sentiment d’être à nouveau soi-même.
J’étais donc de nouveau moi, et elle était de nouveau elle. Du moins… pour la nuit. Il y avait là aussi de quoi se poser des questions. Pourquoi changer de corps la nuit seulement, alors que l’échange aurait lieu de nouveau le lendemain matin ?
J’étais trop obnubilé par ce que j’allais faire cette nuit pour y réfléchir. J’allais de toute manière trouver des réponses tôt ou tard…
La porte de ma chambre s’ouvrit à ce moment-là. Nina passa la tête dans l’entrebâillement tout en tenant la poignée.
- Bon, et bien… je te souhaite une bonne nuit Matt. A demain mon chou.
- ‘nuit… murmurais-je.
Et elle reparti immédiatement en fermant la porte derrière elle.
Je me précipitai vite à mon trou de serrure pour y jeter un œil. La chambre de Nina était juste en face, au fond du couloir. La porte interdite, elle, sur le côté gauche du couloir. Elle y inséra une clé, tourna deux fois et y entra.
Je lâchai un soupir de soulagement. Il fallait qu’elle rentre dans la pièce, sans quoi tout ce que j’avais fait n’aurait servi à rien. J’avais vraiment l’allure d’un cambrioleur scrutant silencieusement l’entrée d’une banque, observant les moindres faits et gestes des gardiens afin de commettre le crime parfait à la faveur de la nuit. En fait, c’était tout comme.
Nina sorti de la pièce, referma à double tour et alla se coucher. Juste avant de fermer sa porte de chambre, elle regarda fixement dans ma direction. J’eu des sueurs froides. Malgré que je sois derrière une porte, on aurait dit qu’elle m’avait pris en flagrant délit. J’en étais tétanisé…
Elle ferma sa porte aussitôt. Peut-être avait-elle cru voir quelque chose dans l’obscurité… J’ai attendu un quart d’heure environ, assis sur mon lit. Cela m’avait paru durer une éternité. Cependant il était maintenant l’heure d’agir. Je me levai, plus déterminé que jamais. J’avançai doucement dans le couloir, puis d’une main décidée je toquai à la porte de Nina.
Elle réagit aussitôt :
- Que veux-tu ?
- Je… je peux entrer ? C’est important.
Sans lui laisser le temps de répondre, j’ouvris la porte.
- Hé ! Je ne t’ai pas dit que tu pouvais !
Nina était allongée dans son lit, sa lampe de chevet allumée. Je baissais les yeux vers mes pieds pour ne pas voir les bocaux, les têtes de serpents et autres aberrations que seule une sorcière pouvait apprécier en tant qu’objet de décoration. Une fois, c'était déjà beaucoup.
- Attend, attend… en fait je voulais juste chercher quelque chose ! Hier quand tu m’as assommé, j’avais une pièce à la main et je crois l’avoir perdu ici… je ne la retrouve plus.
Je me baissai et fis mine de chercher sur le tapis, sous le lit et près des meubles.
- Une pièce ? Quelle pièce ? Je n’ai rien trouvé à part ton téléphone quand je t’ai ramassé, qu’est-ce que tu racontes ? Et tu crois que c’est le moment pour ça ?
- Mais si ! Tu as dû mal chercher… c’est ma pièce porte bonheur ! Je continuais de fouiller un peu, puis en me levant je posai mes mains sur le gros meuble situé un peu plus à gauche pour mieux l’inspecter.
Visiblement étonnée, elle m’arrêta immédiatement :
- Matt, pourquoi fouilles-tu sur ma commode ?
Nina me regardait de plus en plus suspicieusement. Elle semblait chercher le sens de tout ce remue-ménage. Je me baissai de nouveau, puis tendis ma main sous le lit.
- Ah ! Je crois que je l’ai !
Je lui montrai donc la fameuse pièce porte-bonheur, qui était en fait une pièce de deux euros banale que je venais de sortir de ma poche.
- Ah tant mieux. Laisse-moi dormir maintenant s’il te plait sinon je risque c’est crevée demain
Elle ne s’était rendu compte de rien. Je refermai donc la porte, soulagé, puis alla dans le salon récupérer mon téléphone portable, que j’avais posé sur le grand meuble, caché derrière un pot de fleurs...
Tel était mon plan. J’avais réfléchis au moyen d’entrer dans la pièce interdite, et il me semblait évident que sans clé ou sans connaissance de crochetage de serrure, on ne pouvait y entrer. Comme je ne sais pas crocheter une serrure, j’avais donc décidé de dérober en secret la clé…
La clé est cachée quelque part dans l’appartement. Nina prend sûrement un soin extrême à la dissimuler et évite certainement de le faire lorsque je suis à proximité. J’ai donc eu la folle idée de filmer des pièces de l’appartement avec des caméras, en espérant que Nina range la clé devant l’objectif.
Ne possédant qu’une vieille GoPro ainsi que la caméra de mon smartphone, je ne pouvais filmer que deux pièces différentes. J’ai logiquement choisi le salon et la chambre de Nina, car ces deux pièces avaient de plus fortes probabilités de contenir la clé. La GoPro possède de nombreux avantages que le smartphone n’a pas : elle est petite, donc discrète… elle se pose n’importe où, a une meilleure qualité d’image et plus d’autonomie. J’avais donc allumé et posé le petit appareil là où c’était le plus risqué et là où la clé se trouvait très certainement : dans la chambre.
Elle était sur la commode, camouflée derrière une pile de linge, de telle manière à ce que l’angle de prise de vue couvre la majorité de la pièce. Si Nina cache la clé quelque part dans sa chambre et qu’elle l’a remise en place tout à l’heure, alors je découvrirai où grâce à la vidéo.
J’avais fait de même pour le salon en cachant mon portable parmi les divers objets posés sur le buffet. J’avais lancé l’enregistrement vidéo puis était parti dans ma chambre.
Ainsi, du moment où Nina est rentrée jusqu’à maintenant, deux pièces et tout ce qui s’y était déroulé avait été capturé. En rentrant dans ma chambre, j’étais très excité de voir si mon stratagème avait fonctionné. Je branchai ma caméra et mon portable sur mon PC ; le visionnage pouvait commencer.
Je lançai la première vidéo, celle du salon.
On n’y voyait encore moins bien qu’en vrai et la qualité était dégeulasse. On distinguait vaguement le canapé, la table, les meubles... et Nina lorsqu’elle était rentrée. Elle ne cacha aucun objet et alla directement dans le couloir. La vidéo faisait 35 minutes. Je zappais de temps à autre vers l’avant. Finalement, aucune silhouette ne réapparut dans la pénombre.
Je passais donc à la vidéo de la chambre...
La qualité était meilleure. Le début de la vidéo était noir car la lumière n’était pas encore allumée. Je décidai de ne rien zapper cette fois-ci. Vers les 3 minutes… la porte s’ouvrit.
J’ai d’abord cru à un bug de mon PC ou de la caméra. Malheureusement, j’ai compris que tout cela était réel, ce qui me glaça le sang… Pour être sûr, je me repassai la scène.
Nina apparaissait, encore en possession de mon corps à ce moment-là. Elle ne faisait que poser ses affaires sur son lit, rien de spécial à priori. Elle se tourna ensuite face à l’objectif.
Je sentis de la sueur perler sur mes tempes. Ce n'était pas un bug. Les yeux de Nina apparaissaient complètement rouges sur la vidéo. Sans iris, juste du rouge intense et brillant. On aurait dit le diable en personne. J’essayais de mieux me concentrer, mais à chaque fois que je voyais ses yeux je tremblais intérieurement. Ça faisait vraiment peur.
Les 15 minutes qui suivirent furent sans réelle importance car Nina prenait sa douche à ce moment-là. Quand elle revint, je découvris enfin ce que je voulais savoir.
Elle avait désormais son corps de fille, l’échange avait eu lieu. Elle plongea une main dans son sac, posé sur son lit. Je mis en pause au moment où elle la sortit. Elle tenait bien une clé dans sa main. Peu après, elle sortit de sa chambre. Quand elle revint, elle cacha la clé sous son oreiller, se mis en pyjama et alla se coucher. On me voyait ensuite rentrer et lui parler… pas la peine d’aller plus loin : j’avais vu ce que je voulais voir.
La clé est donc cachée sous son oreiller quand elle dort et dans son sac à main quand elle sort.
J’attendrais quelques heures avant d’exécuter la partie la plus délicate de mon plan. Je ne pouvais faire autrement que de voler la clé en pleine nuit. Il y avait sûrement une façon moins risqué de faire, mais je voulais coûte que coûte en finir cette nuit avec la chambre secrète.
...
Je m’allongeai, puis attendis patiemment. Après ce que j’avais vu, il m’était impossible de dormir.
Les heures passèrent lentement.
Minuit. Une heure. Deux heures. Deux heures et demie du matin.
Nina dormait forcément, aussi je me levai doucement pour aller vérifier. Avec d’infimes précautions, j’ouvris ma porte. Un silence de mort régnait dans l’appartement. Je me dirigeais encore vers la chambre de Nina. Chaque pas devait être mesuré. Le moindre craquement du plancher devait être évité. Arrivé devant la chambre, je collai mon oreille sur le bois de la porte. L’écho d’une respiration lente et régulière me parvenait.
Lorsque je fus certain que Nina dormait à point fermé, j’ouvris la porte. Tout doucement. Millimètre par millimètre. Rentrer dans la chambre me pris un temps fou. Je ne devais absolument pas la réveiller. J’étais maintenant à l’intérieur. La lumière de mon portable éclaira très faiblement la pièce. Nina était tournée face au mur et me faisait dos. Tant mieux.
Tenant mon portable de la main gauche, je glissai la droite délicatement sous l’oreiller. Je ne sentis pas tout de suite quelque chose. Je devais aller plus loin encore, seulement je risquais de soulever légèrement sa tête et de la réveiller… jamais je n’ai connu de situation aussi stressante. Je n’osai imaginer ce qu’il adviendrait de moi si j’étais découvert actuellement.
Du bout des doigts, je sentis un objet dur. La clé ! Doucement… lentement… je la tirai vers moi. Après avoir bataillé cinq longues minutes, j’avais enfin la clé en main. Victoire !
Sans un bruit je sorti en fermant la porte. Je me tournais cette fois devant la porte verrouillée. Mon cœur battait la chamade. Je glissai la clé dans la serrure, la tourna une fois… puis deux…
Je l’avais déverrouillée. Tout avait fonctionné à merveille. Cependant, je n’avais pas le temps de m’auto congratuler maintenant. Le plus dur était derrière. Place aux grandes découvertes.
J’abaissai la poignée en douceur, afin d’éviter tout bruit du ressort. Une fois ouverte, je pénétrai à l’intérieur. L’application « lampe torche » de mon smartphone me permis d’éclairer convenablement la pièce.
Devant moi se trouvait une grande bibliothèque remplie de livres de différente taille et couleurs, répartis sur plusieurs étages. Quelques volumes étaient aussi épais que deux dictionnaires et d’autres aussi fins qu’un porte-document. Certains dépassaient légèrement et quelques-uns semblaient même sur le point de tomber.
A part la grande bibliothèque qui touchait quasiment le plafond, la chambre n’était meublée que de petites armoires à tiroirs ainsi que de bas buffets. Ils étaient tous collés contre les quatre murs, enclavant le milieu vide de la pièce. Des sortes de feuillets, notes ou bouts de papiers divers et variés jonchaient le sol. Sur les meubles, de curieux et mystérieux bibelots avaient été placés pêle-mêle sans ordre particulier. Pots, coffrets, bougeoirs, porte-encens, petites figurines en bois, pierres polies, ainsi que d’autres objets inhabituels et très étranges que je ne connaissais pas… et dont l’utilisation n’était, sans doute possible, qu’utile aux pratiquants de magie, sorcellerie, occultisme ou que sais-je encore…
Je m’approchais d’un petit coffret en bois ancien dont le couvercle était encore ouvert. Plusieurs petits boîtiers carrés remplis de poudre aux couleurs vives y étaient rangés. A vue de nez, il devait y en avoir une trentaine. J’en pris trois différents et les mis dans ma poche. Venir ici est très difficile, je ne retournerais pas ici tous les jours donc autant me servir maintenant. De plus, vu la quantité d’objets, Nina ne remarquera rien dans l’immédiat, et le jour où elle s’en rendra compte, jamais elle ne s’imaginera que je suis le coupable.
Au fond de la pièce se trouvait un petit bureau surplombée par une étagère. Des feuilles étaient étalées. J’en pris une et l’éclaira avec ma lampe torche improvisée. Plusieurs phrases d’une langue que je ne connaissais pas et que je n’avais jamais vue y étaient griffonnées. Ces papiers semblaient sans intérêt pour moi. Bien qu’à la fois fasciné et terrifié par cette mystérieuse salle, un sentiment de déception montait en moi. Pas de réponse à mes questions. C’était bien évidemment une salle insolite, fantastique, certainement sans égal dans ce pays… mais qui malheureusement ne m’apprendrais rien.
Bien qu’en apparence infructueuse, ma recherche allait peut-être aboutir sur une heureuse découverte si j’explorais ce lieu un peu plus en profondeur. J’étais cependant si fatigué que je m’octroierais qu’une seule fouille rapide par meuble. Je fis donc le tour des tiroirs en commençant par le bureau devant lequel j’étais.
En remuant un peu les feuilles étalées dessus, je dénichais, à ma grande surprise, une pochette fermée par des élastiques portant une inscription au feutre… en français.
Allée. Champs de Dorvaldr.
Incompréhensible pour moi.
J’ouvris la pochette sans trop d’espérance mais, contre toute attente…
La première chose que je vis fut une photo de moi, mais pas n’importe quelle photo de moi non… une photo qui ne devait pas être là. On me voyais assis, en train de me reposer, dans un jardin. Ce jardin, je le reconnaîtrai entre tous. C’était celui de ma maison… et la photo avait été prise depuis la rue.
Après tout ce qui m’était arrivé je pouvais encore être choqué par des événements inattendus. Je m’attendais à trouver des informations sur Nina ou sur l’échange de corps vu que Nina fait des recherches là-dessus, mais alors là… je n’en revenais pas. Cette photo signifiait beaucoup de choses… et pas forcément de bonnes choses.
Les autres documents étaient aussi des photos. Beaucoup de gens que je ne connaissais pas, pris en photos secrètement, probablement chez eux aussi. Il n’y avait que des jeunes, filles et garçons. Les dernières étaient des photos de Nina. Sur certaines d’entre elles, elle arborait les mêmes yeux rouges terrifiants que sur la vidéo. C’en était terrifiant. Plusieurs photos étaient complètement ratées, cadrant un bout de décors ou de sol sans intérêt photographique particulier. C’est alors que j’arrivais à la dernière photo. Ce fut le coup de grâce. Une douche froide…
La photo était jaunie, certainement par le temps. Nina apparaissait dessus. La même qui dort actuellement dans la chambre d’à côté.
Elle est assise sur une table en bois, légèrement de biais. Elle porte une longue tenue noire dont une capuche, qu’elle n’a pas sur la tête, pend sur le côté. Elle a un air extrêmement sérieux. Seulement, les mêmes yeux rouges apparaissent sur la photo. A sa droite, une jolie jeune fille portant une tenue identique est assise dans la même position. Elle se tient droite, et aborde le même air sérieux, sans sourire, comme si elle regardait fixement le photographe.
Ce visage, je ne le reconnaissais que trop bien.
C’était Emilie.
Les mêmes cheveux clairs, la même coupe, le même visage rond et gracieux, le même petit nez, la même bouche fine et ses jolis yeux clairs… eux aussi remplacés par deux horribles pupilles écarlates.
Pas eu le temps de me relire comme il faut, y'as sûrement des fautes, désolé
Quelques fautes mais rien de bien méchant d'après moi
Sweet quand tu peux
Ah ouais et n'hésitez pas à poster pour donner votre avis surtout. Je parle de vous ceux qui lurk.
Bien ou pas ce chapitre alors ?
Vraiment excellent, mais c'est ce que je dis depuis le début, tu dois te lasser
Gros GG
Me lasser ?
Non j'aime bien écrire, mais un chapitre par jour c'est clair que je tiendrais pas longtemps
Et merci du compliment Selenios, ça me fait plaisir
sweet
Le 23 décembre 2014 à 00:34:59 -K2 a écrit :
Me lasser ?
Non j'aime bien écrire, mais un chapitre par jour c'est clair que je tiendrais pas longtemps
Je voulais dire que tu devais te lasser des compliments
Moi qui adore écrire également, j'imagine le plaisir que tu doit prendre avec cette FIC
Ah pardon j'ai mal compris. Non je ma lasse pas des compliments ça ma motive
Tu écris ? Cool, tu me montreras ?
Je ne me sens pas, pour l'instant, de me lancer dans une FIC en solo
J'ai écris pleins de nouvelles, mais je fais tout sur papier, et les recopier me prendrait un temps fou
Mais en te lisant, je me rend compte que tu a un style narratif assez proche du mien... Tu crois qu'un duo serais envisageable ?
Possible. Les duos d'auteurs ne courent pas les rues mais généralement c'est du lourd
Par exemple le duo Erckmann-Chatrian (que je te conseille fortement), ils n'ont pondu que des purs bijoux
Moi je suis plutôt dans les nouvelles aussi. En fait j'ai un document texte que je remplis d'idées dès que j'en ai. Actuellement j'ai 12 scénarii originaux dedans et cette FIC était celle que je trouvais la plus nulle du lot, donc je m'en suis "débarrassé" pour faire un test de sur le 15-18. Finalement j'aime beaucoup mais je m'écarte carrément de scénario original qui ne consistait qu'à entasser les scènes de cul. J'ai vite remarqué que si je ne rajoutais pas quelque chose en plus de la romance et du saykse ben ça ne m'intéressait plus.
Toi tu écris quel genre d'histoire ? Romance, policier, aventure, fantasy, SF... ?
ça commence à me faire fliper ton truc
Mais sinon c'est bien, sweet
Et bien assez paradoxalement, j'adore la SF, mais je n'en écris pas (question de cohérence scientifique avant tout, aucune envie de passer pour un abruti )
En revanche, je me suis pris de passion pour l'anticipation, qui est un genre assez peu développé à l'écrit, mais mériterait pourtant de l'être
Et merci du conseil littéraire, je vais regarder ça de plus près
Merci Chris
La SF ? Quelle bonne surprise c'est mon genre favoris, j'ai déjà écrit des scénarii de fou
La cohérence scientifique c'est sûr que c'est difficile à respecter mais avec quelques calculs et en reprenant les données d'autres œuvres on peut se débrouiller.
Et anticipation c'est un peu de la SF non ?
Oui, la différence est que je ne m'oriente pas du tout du côte scientifique, mais plutôt de celui du relationnel.
D'ailleurs, puisque tu aimes la SF et que nous sommes au stade des recommandations, je te conseille vivement "Spin", de Robert Charles Wilson, un chef-d'œuvre
Merci, je note !
Super fic, une des rares qui m'est accrochée à ce point.
J'adore ta façon d'écrire (la narration toussa toussa) j'ai moi même déjà écris des fic/nouvelles en utilisant ce style d'écriture, mais je n'ai jamais rien poster par faute de temps.)
Personnellement j'adore tous les livres policier/fs (les Musso sont splendides policier/sentimentale) dans ta fic il y a de la fs et du sayks ce qui me plait puisque cela ce rapproche du sentimentale.
Enfin bref tous cela pour te dire que j'apprécie ta fic et j'espère qu'elle continuera à m'impressionner.
J'attends la Sweet avec entrain
Vraiment très bien. J'attend la suite avec impatience !