anonimous dit oui pour qu´il mette la suite

Diament C´est fait

( parfois quand je mets " up" ça veut dire " regarde au dessus")

anonimous dsl j´avais pas vu

lol bon je vais la mettre bientot je vous le promet! je vais relire pi m´assurer que c correct

au lieu de poster va relire

jai lu le mauvais bout oups jai lu la suite de la suite bon je vais lire la suite la

t´en a pas marre de nous faire
attendre!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

wouao!!! je viens de le lire et je sais pas si ca vaut la peine de le poster pour le peu de commentaire que jai je deviens comme anonymous59

peu de commentaire poste la et t´en aura des commentaire!!!!!

J´ESPERE BIEN bon je la poste!

Lorsqu’ils arrivèrent à l’infirmerie, Mme Pomfresh leur assura qu’Harry serait remis sur pied en moins de trois heures et lui conseilla de dormir pendant que sa dent repousserait. Celui-ci ne se fit pas attendre qu’il s’endormit avec Ron et Hermione à son chevet.

Harry se trouvait à nouveau debout dans la brouillard, puis la même porte que les dernières fois réapparut devant lui mais elle était déjà ouverte. La brume pénétrait à l’intérieur, Harry entra à son tour, il faisait noir, il entendait le bruit de chacun de ses pas se répercuter en écho contre les murs. La seule source de lumière lui provenait de la porte qu’il avait laissé ouverte derrière lui puis tout à coup, elle se referma.
Harry se réveilla en sursaut, Ron était endormi à sa gauche à la hauteur de ses pieds tandis qu’Hermione était endormit à sa droite à la hauteur de sa tête. Il entendit alors des bruits de pas de le couloir et fit semblant de dormir.
- Alors toujours pas de nouvelle des Grands Gobelins ou des Êtres de la Terre? demanda Maugrey.
- Non toujours rien, répondit mystérieusement Dumbledore.
Ils passèrent devant la porte et le bruit de leurs pas s’évanouirent lorsqu’ils tournèrent un coin. Harry se demanda où il avait déjà entendu ses mots-là mais il ne s’en souvenait plus. Il regardait à présent le plafond, sa dent avait repoussée. Mme Pomfresh entra alors dans l’infirmerie.
- Voyons voir votre dent Mr Potter, dit Mme Pomfresh.
Elle ouvrit la machoire d’Harry et l’examina avec une loupe.
- Et bien je crois que c’est parfait. Vous pouvez aller dînner, dit-elle en retournant dans son bureau.
Harry se redressa et réveilla ses amis.
- Je dois vous dire quelque chose, murmura-t-il en secouant Hermione et puis Ron.
Ceux-ci le regardèrent d’un air perplexe tandis qu’il les entraîna hors de l’infirmerie vers la tour de Gryffondor. Lorsqu’ils furent entré dans la salle commune, celle-ci était presque vide car tout le monde était en train de souper, Harry s’installa dans un fauteuil suivit par Ron et Hermione et leur raconta ce qu’il venait d’entendre. Lorsqu’il eut finit, il les regarda à la lueur du feu qui brûlait dans la cheminée.
- Grands Gobelins et Être de la Terre... murmura Hermione pour elle-même.
- Ça ne t’arrive pas d’être un peu plus imprécise parfois? demanda Ron d’un air sarcastique.
Hermione le foudroya du regard.
- Ça ne t’arrive pas d’être un peu plus intelligent desfois? Répliqua-t-elle.
Ron la regarda la bouche grande ouverte. Puis il la referma et décida de ne pas lui répliquer sachant qu’Hermione allait quand même l’emporter. Un silence s’en suivit.
- Et.... que pensez-vous que Maugrey fait dans l’école? Demanda Harry pour détendre l’atmosphère.
- Aucune idée... répondit Ron. Et si on allait manger?
Cette fois-ci Hermione ne répliqua pas et approuva d’un signe de tête. Ils sortirent de la salle commune et se dirigèrent vers la Grande Salle lorsqu’ils entendirent un cri leur parvenant d’un couloir adjacent. Ils se précipitèrent.
- Vous pensez que ça pourrait être des mangemorts ou pire des détraqueurs? Demanda Ron dont l’inquiètude perçait sa voix. On devrait peut-être aller chercher un professeur...
- Non, Ron, coupa Harry, il sera peut-être trop tard.
Ils tournèrent le coin d’un couloir et se dirigèrent vers une tapisserie. Le cri qu’il venait d’entendre venait de derrière, ils en étaient sûr. Ils s’approchèrent de plus en plus proche, sortirent leurs baguettes, l’oeil aux aguets. Harry tendit le bras et retira aussitôt la tapisserie qui révéla Fred et George écroulés par terre prient d’un fou rire qu’ils essayaient de rendre silencieux.
- Qu’est-ce que vous faîtes? leur demanda Hermione le regard accusateur.
- On test notre nouvelle invention, lui répondit George.
- C’est un sifflet, mais à la place de siffler, il émet un cri de femme en détresse, ajouta Fred.
- Très pratique pour détourner l’attention, dit George. Fred avait quelques.... euh « ennuis » avec Rusard donc je l’ai utilisé.
- Il est en train de fouiller toute l’école au complet pour savoir d’où venait le cri, rajouta Fred avant de s’écrouler dans un nouveau fou rire.
- Ah et tiens Harry, dit George en lui tendant un sifflet. C’est un cadeau.
Les jumeaux Weasley partirent dans leur direction en faisant un clin d’oeil à Harry tandis que les autres reprirent leur route vers la Grande Salle.
- Ah ces deux-là.... dit Hermione.
- On croirait entendre ma mère, dit Ron.
Hermione leva les yeux au ciel et ils continuèrent leur chemin jusqu’à la Grande Salle. Lorsqu’ils entrèrent, la salle était à présent presque vide. Les derniers finissaient leur repas avec hâte avant d’aller se coucher. Harry, Ron et Hermione s’assirent dans un coin où la nourriture n’avait pas encore disparu et commencèrent à manger. Au bout d’une vingtaine de minutes, la salle était complètement vide, il ne restait plus qu’eux.
- Et si on allait se coucher? demanda Hermione en baîllant.
Harry et Ron approuvèrent d’un signe de tête lorsqu’un bruit provenant du hall d’entrée attira leur attention.
- Ah, si c’est encore Fred et George, je vais devoir.....commença Hermione.
Harry la tira par la manche et lui plaqua sa main contre sa bouche. Il sentit ses lèvres pulpeuses collées contre la paume de sa main ainsi le souffle chaud d’Hermione contre ses doigts et la libéra. Ils se glissèrent en dessous d’une table et tendirent l’oreille. Dumbledore passa alors devant la porte de la Grande Salle avec Maugrey.
- Alors vous êtes prêt à y aller? demanda calmement Dumbledore.
- Ouais, je suis prêt à prendre les risques, lui répondit Maugrey.
- Ok, et bien je vous souhaites bonne chance.
Maugrey se pencha alors vers Dumbledore et lui murmura quelque chose à l’oreille. Celui-ci approuva d’un signe de tête et l’ex-auror partit.
- Hé bien, je pense que je vais aller prendre une tasse de thé dans mon bureau avant de fermer la Grande Salle, dit-il d’une voix haute et forte avant de partir à son tour.
Lorsque le bruit de ses pas furent évanoui, Harry, Ron et Hermione se redressèrent.
- Tu crois qu’il savait qu’on était là? Demanda Ron d’un air perplexe.
- Bien sûr qu’il le savait! Maugrey nous a surement vu avec son oeil magique et il a averti Dumbledore, répondit Hermione.
- Mais je ne pense pas qu’il ait vu ce qu’on faisait donc il est parti pour nous laisser tranquille.
Ron partit dans un fou rire tandis qu’Hermione hocha la tête. Ils retournèrent dans la tour de Gryffondor en silence. Sur la route, ils rencontrèrent Peeves, l’esprit frappeur.
- Tiens tiens, qu’est-ce que vous faîte en dehors des dortoirs à cette heure-là? Demanda Peeves d’un air mauvais.
- Dégages de là, Peeves, dit Ron.
C’était la dernière chose à dire car le fantôme le regarda, un sourire se dessina alors sur son visage.
- ÉLÈVES EN DEHORS DU DORTOIR!!! IL Y A DES ÉLÈVES EN DEHORS DU DORTOIR, cria Peeves avant de disparaître derrière la statue de la sorcière Borgne.
- Comme tu peux être intelligent Ron! dit Hermione d’un air sarcastique.
- C’est pas ma fau.... commença-t-il avant de s’interrompre
Des bruits de pas retentirent alors à l’autre bout du couloir.
- Vite, il faut se cacher, leur dit Harry.
Ils se séparèrent, Harry se glissa dans le passage secret dissimulé par la statue de la sorcière Borgne tandis que Ron et Hermione se glissèrent dans un placard à balais.
Rusard s’approcha de l’endroit où Peeves avait crié et regarda autour de lui.
- Je sais que vous êtes là, dit-il. Je vous sens, je vous entends, aller sortez de votre cachette, vous ne risquez que l’expulsion de l’école.
Il s’approcha alors de la porte du placard à balais que Ron et Hermione avaient laissé entrouverte et tendit la main....
AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHH
- Qu’est-ce que.... commença Rusard.
AAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHH
Rusard partit à la course. Il croyait que le cri provenait de l’étage inférieur et il voulait absolument attraper le coupable.

Lorsque Harry fut certain que Rusard n’était plus là, il sortit de sa cachette et se dirigea vers le placard à balais, il ouvrit la porte et vit Hermione et Ron blotti au fond du placard. En voyant Harry, ceux-ci laissèrent échapper une exclamation de soulagement.
- Ouf, on croyait que c’était Rusard qui allait ouvrir la porte, dit Hermione en se redressant aidé par Harry. Au fait, qui a crié?
- C’est moi, répondit-il en montrant le sifflet que lui avait donné Fred et George.
- Et bien pour une fois leur invention a été utile, avoua Hermione en riant.
Ron se releva à son tour et ils partirent discrètement vers la tour de Gryffondor. Une fois dans la salle commune, ils se laissèrent tomber dans des fauteuils et se regardèrent en silence pendant plusieurs minutes. Puis Hermione se leva.
- Bon je vais aller me coucher, dit-elle en montant les escaliers qui menaient au dortoir des filles. Bonne nuit!
- Bonne nuit! Répondirent Harry et Ron en montant à leur tour les escaliers qui menaient au dortoir des garçons.
Ils se couchèrent dans leurs lits sans prendre la peine de se changer puis s’endormirent aussitôt. La cicatrice de Harry brillait à la lueur de la pleine lune tandis qu’au loin on pouvait entendre un loup aboyer dans la nuit.

commentaires

super cool

je viens de vous mettre la longueur de 3 suite donc je crois mérité 3 fois plus de commentaire

bin oui ! !!!!!!!!!!

Il sentit ses lèvres pulpeuses collées contre la paume de sa main ainsi le souffle chaud d’Hermione contre ses doigts et la libéra.

mais il l´a mit la scene du placard

lol jai mis le PLACARD, mais ya pas vraiment de scene lol

Ptitmouss2 Posté le 30 août 2004 à 15:20:06
Il sentit ses lèvres pulpeuses collées contre la paume de sa main ainsi le souffle chaud d’Hermione contre ses doigts et la libéra.

pk tu ri?

c con