Bon les dernier avant mon depart en vacances sont pour ce soir les amis
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https://www.new.jeuxvideo.com/forums/1-50-27899593-1-0-1-0-fic-fantastique-nemesis.htm
Passer faire un tour c'est une bonne FIC si vous aimez bien la fantasy
Allez les gens venez lire
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Passer faire un tour c'est une bonne FIC si vous aimez bien la fantasy
avant le départ en vacances ^^
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Passer faire un tour c'est une bonne FIC si vous aimez bien la fantasy
Allez je vais me coucher, ceci est mon dernier avant que je ne m'envole pour 3 semaines, j'espere que certaines personnes liront cette FIC....
Sinon je conseille à Lorkdomine de perseverer! Tu finiras par avoir des lecteur t'en fait pas v
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T'en fait pas va*
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I'm come back
Et me revoila, rempli à rabord d'idées, fourmillant d'aventures et de rebondissements, frais comme un pinson et prêt à vous satisfaire!!!!
Merci d'avoir uppé aussi souvent Nara, et bonnes vacances!!
Ne t'en fais pas, j'écris pour le plaisir,peu importe si lecteurs il n'y a pas, tant qu'il y en aura au moins un pour me soutenir (et quel soutien ) I'm happy ^^
Et voici la sweet d'une longue histoire dont je connais désormais pratiquement tout ce qu'il va se passer
[ La tragédie de la mort est en ceci qu'elle transforme la vie en destin. ]
<< Ouvrage Officiel des citations d'Avant-Guerre >> de Lilith Velkensthein
Je tombai dans le néant.
C'était la seule chose dont j'étais à peu près sur. Je sombrai indéfiniment dans le vide, perdant à chaque mètres parcourus une partie de moi. Tout se désagrégait, tout partait en fumée. Je ne serai bientôt plus qu'une fine couche de peau, vide et sans consistance. Je cherchai ces morceaux de mon existence tout autour de moi, tentant en vain de les rassembler pour former quelque chose de solide, de concret. Quelque chose qui prouverait que j'existais bel et bien. Mais, quelque soit l'endroit ou mon regard se posait, c'était toujours la même chose: un espace infini, sans frontières, sans limites, qui m'aspirait peu à peu, sans que je n'y puisse rien.
Comment en étais-je arrivé là?
J'essayai de raviver ma mémoire. Rien ne me revint. Tout mon être se disloquait lentement, et je ne tarderai plus à disparaître entièrement de ce monde. La lutte était inégale. Je ne pouvais combattre ce que je ne comprenais pas. Et, sans combat, impossible pour moi de me concentrer suffisamment afin de comprendre ce qu'il m'arrivait. J'étais coincé. Ma chute allait continuer ainsi, sans que j'ai la moindre chance de réagir. C'était totalement injuste. Il ne restait même plus assez de "moi" pour que je puisse éprouver de la peur, ou bien de la haine envers ceux qui m'avaient fait ça. D'ailleurs, qui étais-je? Qu'étais-je? Et pourquoi, malgré tout cela, avais-je aussi faim? Je n'en savais rien. Je ne voulais pas savoir. Je me préparais lentement à l'inévitable. La fin de tout.
Ma fin.
Puis tout changea. Je me retrouvai brutalement éjecté sur le sol, dur et si dense. Une multitude de couleurs succédèrent au noir oppressant dans lequel je chutai encore quelques instants plus tôt, une infinité de sons au silence mortel qui m'écrasait jusqu'alors. Le bruit du vent dans les feuillages provoqua sur moi une grande extase. Je m'émerveillai devant tant de beauté et de simplicité. L'odeur de la mer, que je pouvais sentir toute proche, le bruit des vagues allant se briser sur les rochers, le contact de la terre que j'empoignai à pleines mains, je me délectai de chacune de ces merveilles.
Mais tout n'était qu'illusion.
L'odeur des cyprès qui me chatouillai les narines, se transforma tout à coup en exhalaisons de tas de cadavres en décomposition, empilés de façon grotesque tout autour de moi. Les vagues devienrent les râles des mourants, les fleurs se transformèrent en carcasses encore fumantes d'armes et d'armures. Même la terre semblait pourrir de l'intérieur. Le champ de bataille s'étendait à perte de vue. Des corps sans âmes d'amlachs chevauchaient ceux des chasseurs qui les avaient combattus. Des moitiés de démons se vidaient de leurs substances à côté des cercles antiques destinés à les vaincre. De la poussière, sans doute de vampires, recouvrait l'ensemble du carnage, transportée par le vent qui renforçait encore l'horrible odeur de décomposition qui en émanait. Des lames, haches et arbalètes se mêlaient avec des restes de grenades, fusils à plasma ou fusils d'assaut en tout genre. Les arbres avaient disparus, remplacés par de grandes tours métalliques à-demi effondrées. De gigantesques éclairs zébraient le ciel et animaient cette comédie macabre. Un spectacle de mort s'offrait à moi.
Et il était là. Au milieu de tout cela. La Grande Ombre, le Néant, celui qui avait vu plus loin que tout être qui avait foulé la surface de ce monde. La bête éternelle. Le Démon. Mon démon.
Il se tourna vers moi.
L'ombre me toisa de toute sa hauteur. Il était plus grand que dans mes souvenirs. Il devait bien faire un mètre de plus que la première fois ou nous nous étions rencontrés. Même ses yeux, ses abominables yeux entièrement rouges, semblaient encore plus terribles qu'auparavant. Jadis ils brillaient d'une lueur mauvaise. A présent ils flamboyaient littérallement.
Le monstre s'approcha lentement de moi. Instinctivement, je tentai de mettre le plus de distance entre nous. Il ricana.
<< Inutile d'essayer de se cacher, me dis une voix caverneuse, provenant de toutes les directions à la fois. Il n'y a pas d'échappatoire. Tu es à moi, petite chose. A moi! >>
Il se jeta sur moi.
Je m'éveillai en sursauts.
L'inconnu était là, qui semblait me comtempler avec curiosité. Il ne quittait jamais son capuchon, ce qui ne me laissait aucune opportunité de voir son visage. Je me relevai vivement. Le campement qui m'entourait était le même que celui que nous avions montés trois jours plus tôt. Un feu, deux minuscules tentes trouées à certains endroits, et des montagnes de détritus en tout genre pour nous tenir compagnie. L'ancienne décharge militaire ou nous avions élu domicile comportait deux avantages. Le premier était qu'il n'y avait qu'à se baisser pour trouver armes et munitions. Quant au second, l'odeur même de la décharge, il nous protégeait efficacement d'éventuelles incursions ennemies, ceux-çi évitant soigneusement toute zone ou la puanteur pourrait s'accrocher à leurs vêtements. Nous étions seuls, et bien isolés.
<< Un mauvais rêve? >>
Je me retournai. Mon entraîneur, mon "maître" comme il se plaisait à s'appeler, m'observait.
<< Oui, murmurai-je. Toujours le même.
- Je vois.
- Vous ne dormez pas?
- Ah! Je le voudrais bien. Profite de ce précieux don que l'on t'a confié. Tout le monde n'a pas la chance de le posséder. >>
Il se perdit de nouveau dans la contemplation des flammes. J'en profitai pour me remémorer notre rencontre. Il n'avait pas été bavard, se contentant de reprendre là ou Emmett s'était arrêté. Le Seigneur Venelag lui avait "demandé" (ordonné serait plus exact) de parachever ma formation tandis qu'Emmett s'en irait récolter des informations sur l'Ennemi. Il reviendrai me chercher dès qu'il en saurait suffisamment. Autrement dit, dès que mon "Maître" m'estimerait fin prêt. Mon coéquipier était parti depuis deux jours, me laissant seul avec cet inconnu.
<< Zélote ... commençai-je.
- Maître, me coupa-t-il. >>
Je fermai les yeux et inspirai une grande bouffée d'air frais.
<< Vous m'avez dit auparavant que vous étiez là pour compléter ma formation.
- C'est en effet le rôle que m'a confié Venelag.
- Or, nous n'avons encore rien fait, à ce que je sache.
- Crois-tu?
- Eh bien ...
- Mmmmh. Je suppose qu'il est encore trop tôt pour cette leçon là. Très bien alors. Nous allons commencer le véritable enseignement. >>
Il se leva et s'étira. La blancheur de la lune se marriait parfaitement avec la finesse de sa stature. Même ses gants de soie noire n'entachaient rien à cela, accentuant les reliefs de sa capuche et les pliures de sa robe. Il m'aida à faire de même, puis se dirigea vers un talus qui devait dater de bien avant les Cents Nuits et tout ce qu'il en suivit. Il grimpa dessus et m'invita à faire de même. Je le suivis.
<< Quel plus beau spectacle y-a-t-il que la contemplation des firmaments? >>
Je ne répondis pas.
<< Sais-tu pourquoi tu es ici?
- Je suis ici parceque le Seigneur Venelag a ordonné ...
- Tu es ici parceque j'ai accepté de rendre service à Venelag en t'enseignant ce que je savais.
- Je vois.
- Non. Pas encore. Mais cela viendra. Avec le temps.
- ...
- Certaines des choses que tu apprendras en ma compagnie porteront sur le combat. Celles-çi, je te les enseignerai à la demande de Venelag.
- Et les autres?
- Le reste de mon enseignement, eh bien, sois sur que ton "Seigneur" voudrait sans doute me tuer s'il savait que je comptai te le prodiguer.
- Dans ce cas, pourquoi chercher à me confier pareil enseignement?
- Parceque je suis ton maître, et que je l'ai décidé. Sache que tu ne le reçevras qu'au moment opportun. Et qu'à cet instant précis, les choses te paraîtront beaucoup plus claires qu'elles ne le sont en ce moment. Je doute d'ailleurs que tu ais encore des questions en tête lorsque tout sera fini.
- Permettez-moi d'en douter.
Il rit.
- Nous verrons, mon garçon. Nous verrons. >>
Je le laissai à ces réflexions et m'éloignai vers le campement. Je fourmillai effectivement de questions. Sur moi-même. Sur la signification de Némésis. Sur ce monstre qui avait tué mes compagnons, et que je voyais en rêves. Sur le fait que pendant un temps j'avais oublié qu'il était le responsable de la mort de mon ancien chef chasseur et des siens, et que j'avais subitement recouvré la mémoire trois jours plus tôt, en même temps que j'avais eu mon premier cauchemar. Sur ma transformation prématurée en amlach. Sur le chasseur pourpre, le Seigneur Venelag, les amlachs, vampires et démons anciens. Et enfin sur celui qui s'était proclamé mon Maître, et que je devais suivre jusqu'à ce qu'il m'estime prêt à m'en aller. Néanmoins je ne demandai rien. Cet homme était du genre à ne me révéler ces informations qu'au moment qu'il jugerait "opportun". Ni avant, ni après.
<< Quel est le programme alors? lançai-je alors que je démontai le campement.
- Tu n'es pas sans savoir que tous les chasseurs possèdent une compétence particulière? >>
Je tressaillai. Je ne l'avais même pas senti arriver derrière moi. J'aquiescai à sa question, redoutant la suite.
<< Quel était le tien, Selth? >>
Je sentai le souffle de son haleine sur ma nuque. Froid comme la mort.
<< Qui êtes-vous?
- Aucune importance. Réponds à ma question.
- Je ... je pouvais "prévoir" les attaques ennemies. Du moins, deviner quelle serait sa prochaine cible. Mais cela n'était pas très utile. Peu importe que je sache à qui l'ennemi allait s'en prendre, il était toujours bien trop rapide pour nous.
- Ah, oui. Cela était vrai quand tu étais chasseur. A présent que tu es amlach, ce pouvoir peut enfin révéler toute l'étendue de ses talents.
- Vous voulez dire que ... même en étant transformé en amlach, je pourrai deviner la prochaine cible de l'ennemi?
- Non, Seth. Ce que je veux dire, c'est que lorsque tu seras prêt, tu pourras prévoir tous les mouvements de l'ennemi, sans exception aucune. >>
J'en eu le vertige. C'était impossible. Invraisemblable. Impensable. Inimaginable.
Comme pour dénigrer mes soupçons, le zélote éclata d'un grand rire cristallin. Il secoua la tête, puis se calma soudainement.
<< Oh, Selth. Tu n'as pas idée des pouvoirs que tu as en toi.
- Si ce que vous dites est vrai, comment puis-je acquérir pareil force?
- L'appât du pouvoir, hein? Une bien mauvaise motivation. Mais, du moment que cela te convienne ...
- Comment?
- Je pourrai t'entraîner. Durant quelques mois, six peut-être. Mais, ce serait beaucoup trop long, et nous n'avons pas de temps à perdre. Au lieu de cela, je vais t'emmener affronter un ennemi redoutable. Peut-être l'un des pires contre lequel tu e te battras jamais.
- Ne vous en faîtes pas, dis-je en souriant. J'ai eu de quoi faire lors de mon entraînement contre l'amlach ennemi, dans les cachots du manoir des Vindels.
- Ah! Emmett m'en a parlé. Un chiot chétif et faible. Je t'envoie combattre une horreur sans nom, un monstre survenu des pires cauchemars de l'Humanité, et de leur grande folie.
- Qu'est-ce que c'est, fis-je avec une légère pointe d'inquiétude dans la voix.
- Une Abomination. >>
Rheum
super ! encore une fois !!! j'adore !! je suis plongé dans l'histoire !!!
Ouais j'ai trouver un point ou y'a le net ^^
Super une sweet
Very nice one
Merci Lorko j'espere que tes vacances etait super ^^
BTW==>
Ouais j'ai trouver un point ou y'a le net ^^
Super une sweet
Very nice one
Merci Lorko j'espere que tes vacances etait super ^^
BTW==>
Nice bug squser c'est le net Thailandais
Bon je rentre le 15 aout je veux une dizaine de sweet et que sa saute!
Non je deconne une sa sera bien
Hmmm vais tentay d'en faire plus que une seule quand même !!! :p
Et merci mes vacs étaient very nice 35° tous les jours
Merci à toi aussi Ichi!!
Ah et euh Naka stp peux-tu me rappeler les infos sur ton perso jay la flemme de chercher
nan ! pas 15 pages !! 1 ou 2 mais c'est LE verry maximum
quand je vois les pavets quand je rentre de vacances ça me fais " ça fais beaucoup"
bon allez, go ! à la sweett !
Voila une description:
Demon ancien du nom de Kuronohotaru, entièrement noir à l'exception de deux yeux pales. Relativement grand(1m90 environ sa ira pas besoin d'en faire une grosse bete) mais de carrure assez frêle. Dans son dos on peux apercevoir deux magnifique ailes encore plus sombre que son corps et de tailles assez impressionnante car au moins aussi grande que lui. Compte sur son intelligence et sa maitrise des lames pour combler sa corpulence handicapante.
Excellent jeteur de sort, le nombre d'éléments qu'il est capable de contrôler est vaste. Est capable de voler mais pas sur des distances extraordinaire non plus(Il va pas survoler le pays entier hein ^^). Relativement neutre envers les espèces peuplant le monde car il ne comprend pas pourquoi cette guerre existe, il doit pourtant faire face a des pulsions caractéristiques de sa races qui le poussent à tuer et qu'il tente de contrôler avec plus ou moins de succès. Dans la plupart des cas il ne tue que s'il est obliger.
Voila voila ^^
?
Lorkdo c'est cool si tes vacs se sont bien passer ^^
Bon allez j'y vais! De retour sur le 15-18 aux alentour du 15 aout ^^
Profitez bien des sweets bandes de chanceux
Arf j'écris la sweet en ce moment (je suis motivay ) mais je bute sur une ****** de phrase de me*** Allay je me motive et je m'y remets goooooooooo
Hem et euh ....